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lundi 5 juin 2023

Selfbondage au treuil du gîte fétichistes

 

Equipement du gîte fétichistes

J’étais en vacances en Espagne où j’ai choisi comme hébergement de louer le gîte Fétichistes avec l’idée de faire du tourisme mais aussi de m’amuser.

Lorsque j’ai dit à Marc que je manquais d’idées pour faire du selfbondage, sa réponse, accompagnée d’exemples de multiples scénarios possibles, n’a pas tardée ! Après une petite discussion et quelques questions un peu gênantes, il m’a proposé de me guider sur un scénario et des tenues si j’en avais envie.

Devant mes incompréhensions et mes doutes, il m’a donc accompagné au donjon où il a installé le matériel de base en me disant que pour les accessoires et tenues, je pourrai agrémenter à ma guise en fonction de mes envies. Après avoir fait descendre le crochet du treuil du donjon, il y a bloqué les menottes en y attachant une longue ficelle.

  • Une fois que vous serez menotté, avec la télécommande vous n’aurez plus qu’à faire remonter vos poignets menottés mains dans le dos. Ensuite, vous faites descendre doucement la télécommande sur le sol et la ficelle vous permettra de la récupérer et donc, de redescendre vos bras. Pour les clés de menottes, si vous souhaitez plus de frissons, je vous conseille d’aller les mettre sous le portique shibari qui est dans le parc. Ainsi, si vous êtes nu ou en robe vous aurez peur d’être vu, cela rajoutera des frissons. Si vous êtes pudique, vous n’avez qu’à les poser sur le lit de la chambre LOVE ou sur le sling.

Devant mon visage blême pour cause de gêne, il m’a rassuré en me disant que pour les célibataires, le but du gîte est justement qu’ils puissent s’amuser. Il précisât, que j’aurai bien tord de m’en priver. Il m’a ensuite donné deux autres exemples tous aussi grisants que gênants pour un timide comme moi.

Abandonné au donjon avec ma gêne et ma monstrueuse excitation, je me suis retrouvé seul avec moi-même et donc, en mauvaise compagnie... Pour le coup des clés des menottes, je suis donc allé les mettre sous le portique shibari qui est dans le parc, lieu qui m’exposerait à leurs regards suivant l’heure où je jouerai. Déjà pour moi, en parler avait été une étape, et là, je risquais de m’exposer...

Le problème de ce lieu de perdition, est qu’il y a tellement de matériel que rien que de les voir on s’excite et donc, on perd un peu de sa retenue. J’ai donc décidé d’ajouter quelques accessoires mis à la disposition des clients. Je me suis pris un plug, un parachute de couilles avec un poids et des pinces à sein

Excité comme une puce devant un vieux chien bien dodu, j’avais déjà envie de me ... enfin vous avez compris. La morale (humour) m’a obligé à me rendre dans mon gîte pour mettre sans tarder ma cage de chasteté. J’y ai laissé les clés avant de sortir.

Arrivé au donjon, je me suis donc mis nu pour enfiler une des robes roses empruntée dans la salle aux secrets. Sa matière m’excitait tout comme de m’habiller une femme. Dans ma cage de chasteté, c’était déjà la fête, ou plutôt la crise du logement. Le plug n’a pas tardé à trouver sa place dans mes petites fesses, cela faisait de moi « une femme comblée ».

Sans tarder, j’ai voulu mettre le parachute de couille avec un poids de 3 kilos. Avec ma cage de chasteté tirant déjà vers l’avant, cela m’a pris un peu de temps. Les pinces à sein furent posées par l’encolure de la robe ce qui, après le moment de douleur, cela m’excitât encore plus, rendant ainsi la cage de chasteté ultra étroite.

L’idée de me bâillonner me vint, mais cela m’obligea à marcher jusqu’au placard aux accessoires. Suivant les conseils donnés, j’ai donc pris le bâillon bouche ouverte. Comme indiqué, contrairement au bâillon boule, ce modèle ne peut réellement pas être recraché. Une fois en bouche, sans les mains, il reste en place.

Cela commençait déjà à bien tirer sur mes testicules, je me suis demandé si je n’avais pas un peu exagéré en les lestant avec 3 kilos mais, une fois lancé, je ne suis pas revenu en arrière. Avant de me menotter, j’ai donc attrapé la télécommande du treuil posée au sol avec sa ficelle. Le bruit et la sensation des menottes se refermant sur mes poignets m’excitât encore grandement au point que ma tête tournait un peu.

A ce moment là, en tournant la tête, je pouvais voir les boutons de la télécommande du treuil. Cela fut donc facile de trouver celui qui allait faire remonter mes poignets vers le plafond et m’obliger à me pencher en avant pour offrir mes fesses à une maîtresse imaginaire. Quand on est très excité on en fait parfois un peu trop. En effet, j’ai réellement bien fait remonter mes bras au point d’être très penché en avant. (Trop)

Avec précaution j’ai fait glisser la ficelle entre mes doigts pour déposer la télécommande sur le sol. D’un petit coup de pied je l’ai repoussée avant de lâcher la ficelle de rappel attachée aux menottes. A partir de ce moment là, j’ai constaté que j’avais trop monté mes poignets vers le haut et que cela tirait déjà sur mes épaules. Je plains les pauvres gens qui, à l’époque de l’inquisition ou romaine ont été suspendus de cette façon, cela devait être horrible.

La petit salope que j’étais devenu, offrait sa croupe sans possibilité de fuir l’inquisitrice dominatrice. C’est là que mon excitation m’a conduit à imaginer qu’elle voulait rentabiliser sa « soumise » en mettant son cul en libre service à bas prix dans un bordel... Non je ne suis pas gay, mais des fois, j’ai des idées tordues concernant cette partie de mon anatomie. Bouger comme si un sadique sautait la catin, se reporta sans tarder sur le parachute de couilles et mes épaules contrariées par la position.

Le balancement du poids tira fortement sur mes testicules, mouvement qui malgré moi et la douleur me fit bander comme un âne dans la cage. Cette érection entraînât la cage à aller vers l’avant et donc.... tira encore sur mes précieuses déjà bien malmenées. J’avais envie de petites douleurs bien excitantes, pas de faire du CBT ! La « sagesse » m’incita à mettre un terme à ce selfbondage en attrapant la ficelle avec mes petits doigts pour faire remonter jusqu’à eux, la télécommande du treuil.

C’est à ce moment là que mes yeux, ont prévenu le reste de mon anatomie que cela allait prendre du temps ! En effet, 50 mètres de ficelle à faire glisser entre vos doigts par morceau de quelques centimètres, cela prend du temps. Mes épaules et mes testicules en ont parlé à mon cerveau de malade mental, en le menaçant de faire une douloureuse révolution si je ne pressais pas le mouvement. Je commençais à avoir réellement chaud malgré la clim du donjon. Mes yeux piquaient pour cause de transpiration, c’est dire...

Lorsque enfin ma main à attrapé la télécommande, j’ai constaté que choisir le bon bouton pour faire redescendre les mains menottées de la « cruche » penchée en avant, n’était pas chose aisée ! En effet, au lieu d’appuyer sur le bouton « descendre » j’ai appuyé sur le bouton « montée ». AIE pour résumer. Mes épaules étant déjà malmenées, j’ai bien failli lâcher la télécommande, bêtise qui m’aurait obligé à tirer à nouveau les 50 mètres de ficelle.

Ce fut un réel soulagement que de faire redescendre mes poignets et de sortir les menottes du crochet du treuil. Cette action n’est pas aussi facile qu’on ne le pense avec des mains menottées dans le dos. Elle vous impose des mouvements qui, dans mon cas, ce sont reportés sur mes précieuses lestées ! La première chose que j’ai faite une fois libéré du treuil, c’est de m’accroupir pour décrocher le poids de trois kilos fixé au parachute de couilles. Mains menottées dans le dos, cela n’a rien de pratique et il n’est pas facile de défaire des noeuds sans réellement voir ce que vous faites !

L’idée d’aller chercher les clés des menottes dans le jardin avec le poids accroché à mes testicules ne me séduisait pas. Je me suis tellement acharné que même mes doigts étaient mouillés de transpiration. En vain ! Je n’allai pas avoir d’autres choix que de marcher dehors avec les précieuses douloureusement lestées.

Déjà me lever et donc soulever le poids fut une étape, la suivante fut de sortir du donjon car il y a une marche. Difficulté à laquelle s’ajoutait une pression psychologique importante : le risque d’être vu menotté, habillé en femme avec un truc qui se balance entre les jambes ! ! !

Une fois dehors, sur la terrasse de la piscine, le soleil m’a donné un uppercut en guise d’accueil. Je comprends pourquoi Marc fait la sieste à cette heure là ! Si le soleil me harcelait, cela avait l’avantage qu’il ne me verrait pas en mauvaise posture. J’ai rapidement compris qu’il fallait que je marche jambes serrées pour limiter le balancement du poids entre mes jambes.

Oui mais, cette démarche avait deux inconvénients. Le premier est qu’il n’est pas possible d’aller rapidement chercher les clés, les petits pas n’aident pas la vitesse. Le deuxième est que le poids heurte vos tibias. La « petite salope » a donc traversé la terrasse où, vautré sur un banc, un de leurs chats a regardé avec un grand intérêt le poids se balançant devant mes tibias. Peu motivé pour jouer, il n’a pas bougé de son banc. OUF !

J’ai ensuite traversé le jardin sous le soleil à la vitesse d’un escargot fatigué. Par chance, le portique shibari qui est dans le parc est à l’ombre. Ayant un peu d’expérience avec les menottes, je n’ai pas galéré pour me libérer. La premier truc que j’ai retiré c’est le parachute de testicules comme vous vous en doutez. Mes tétons se sont vengés de l’agression lorsque j’ai retiré les pinces à sein.

Je n’ai pas tardé à retirer le bâillon bouche ouverte avant de repartir, cette fois en marchant normalement au donjon pour tout déposer ainsi que la robe et fermer la porte. En effet, la climatisation n’a pas d’autre utilité que de coûter cher quand une porte est grande ouverte. La douche solaire me tendait les bras tout comme la piscine. Comme le gîte accepte sans problème les naturistes, je me suis dévêtu pour prendre la douche dehors avant de prendre conscience que la naturiste exposait aux regards des oiseaux sa cage de chasteté ainsi qu’aux proprios si ils venaient se baigner.

La douche me fit un bien fou et je n’ai pas résisté à l’envie de me baigner nu sous cage de chasteté. Si c’est fort agréable, cela m’a, à nouveau, excité mais la sagesse m’a interdit de continuer mes délires sans respecter la pause syndicale : aller boire et manger ! Marc est passé avec une serviette sur l’épaule devant le gîte sans même regarder si j’y étais. Il s’en est fallu de peu que je sois vu en mauvaise posture ou sous la douche de la piscine en étant sous cage de chasteté. Si pour lui, c’est un détail dont il n’a rien à faire, pour moi, cela aurait été une étape difficile.

En grignotant, je lisais les fiches du classeur des « Vraies bonnes mauvaises idées » proposées. C’est là que j’ai constaté que j’avais encore ma cage de chasteté et que je m’étais, finalement tellement éclaté que l’idée de me masturber, comme bien souvent quand je me fait un petit selfbondage, ne m’avait même pas effleuré l’esprit.

Je me suis demandé si j’oserai leur confier les clés de ma cage tout en pensant à un autre des scénarios que Marc m’avait indiqué. Pour ne pas faire que des « vilaineries » et profiter de mes vacances, je me suis obligé à m’habiller pour aller visiter un peu la région. En effet, en Espagne, les commerces et autres ferment relativement tard le soir.

A suivre pour mon selfbondage sur la chaise d’inquisition du gîte fétichiste, un scénario qui m’excite rien que d’y penser.

Fin

  • Si Marc existe réellement
  • Si le gîte fétichistes existe réellement
  • Si il est possible de vivre ce type d’aventure au gîte fétichistes
  • Cette histoire est totalement fictive. Son but est de vous donner un exemple de ce qu’il est possible de vivre au gîte fétichistes
Visiter le site du gîte fétichistes en cliquant ICI

mercredi 24 mai 2023

Vacances économiques et tourisme en Espagne + vos fétichismes


 En pleine période de crise, l'Espagne est très avantageuse pour les Français. L’autoroute est gratuite, l’essence moins chère comme beaucoup d’autres choses. Mais si en plus vous pouvez faire du naturisme et vivre vos fétichismes...

 Situé au centre d’une région touristique, notre gîte climatisé est en pleine nature, avec une piscine et un parc verdoyant.

Ce qui est encore plus séduisant, c’est que vous aurez accès sans supplément à :
- Un donjon équipé,
- Une nuserie pour adulte
- Une chambre LOVE
- Vous pourrez faire du naturisme

Après une journée de tourisme, puis une tête dans la piscine, si le cœur vous en dit, pour 12 euros / pers vous pourrez même dîner sur place avant d’aller jouer les coquins sur les installations prévues à cet effet.

Que l’on se rassure, VOUS serez seuls au gîte fétichistes, il n’y a pas d’autres locataires !

Le gîte fétichistes est une destination réellement économique, sympathique et coquine pour vos vacances.

Nous vous invitons à découvrir le site du gîte géré par Fessestivites puis les très nombreuses possibilités de loisirs classiques pour vos vacances.

http://gitefetichistes.com

POUR LES CELIBATAIRES  ?

Un accueil privilégié leur est réservé. Il n'y a pas de Maître ou Maîtresse ou nurse MAIS, car il y a un mais, car des activités vous seront proposées comme :

- Un Espace Game à réaliser dans la tenue de votre choix (Sans supplément) 

- Un bondage walking dans la tenue de votre choix. (Sans supplément) 

- Des scénarios de selfbondage. Vous serez sécurisé en cas de loupé. (Sans supplément) 

- Les repas du soir sont proposés dans la salle de restauration en notre compagnie.  Ils peuvent vous être servis sur une chaise haute pour adulte, vous pouvez être en femme, en ce que vous voulez. (Sans supplément sauf le prix du repas qui est à 12 €) 

- Gardiens de clé de cage de chasteté. (Sans supplément) 

- Gardiens de clés de cadenas de culotte à cadenas ou autres. (Sans supplément) 

- Si vous le désirez, vous pouvez assurer le service de table en soubrette avec une couche visible. 

En clair, vous ne serez pas totalement seul au moins au gîte. Quoi que, nous pourrions aller faire nos courses ensemble ou aller faire du vélo, du potager.   

UN DONJON POUR VOUS TOUT SEULS

 





LA NURSERIE POUR ADULTE









 

lundi 21 novembre 2022

Soumise open source en BDSM

 

L'open data comme moteur d'innovation dans les usages prend une autre orientation que l’informatique dans cerécit.

 

Soumise-open-source-en-BDSM.jpg

Informaticienne, Laura travaille depuis peu sur Fessestivites. La programmation et les logiciels c’est son métier. Sa double formation en électro mécanique lui permet d’imaginer des machines pour la réalisation de fantasmes.

Il faut dire que pour son travail, elle utilise les images et vidéos qu’elle trouve sur ce site de rencontres où l’on y partage bien volontiers ses propres créations, mais aussi celles trouvées sur internet. Si elle n’est pas une fille facile, en clair pas une salope, elle n’en a pas moins quelques fantasmes. Qui n’en a pas me direz-vous.

C’est dans les rubriques selfbondage qu’il lui vient le plus d’idées. En effet, pour avoir discuté avec les filles du site qui le pratique, qu’elle comprend leur démarche.

L’onanisme c’est la paix

« L’onanisme c’est la paix » est la réponse que lui a donné une des filles. « Cela te permet de te faire plaisir sans avoir un râleur buveur de bière à la maison et de jouer quand tu veux. Avec l’auto bondage, tu peux vivre tes propres films BDSM, les sensations de la contrainte physique associées par exemple, à un gode vibrant coincé dans ta chatoune. Quand tu as fini, tu ranges le Maître de tes fantasmes dans le placard et tu as la paix ».

Comme indiqué précédemment, si Laura n’est pas une fille facile, elle n’en a pas moins quelques fantasmes. Et le sien, serait qu’un Maître, beau comme un dieu l’attache et la fasse jouir pendant des heures en la baisant comme elle aime, tout en jouant un peu de sa pudeur.

Elle s’est donc mise à étudier les centaines de scénarios de selfbondage qui sont dans la rubrique Divertissements pour voir ce qui est recherché par les adeptes puis ce qu’il serait possible de fabriquer pour répondre à leurs attentes.

Elle ensuite étudié le site selfbondage.fr

Après s’être enrichie de leurs recherches et base de jeux d’auto contrainte, elle s’est rapproché de deux d’entre eux par messagerie pour les interroger sur leurs motivations. Les réponses étaient différentes de celles des filles.

  • Moi cela me plairait bien que ma femme me domine de temps en temps, mais j’ai trop peur de la perdre si je lui en parle. A cela se rajoute que ma masculinité pourrait en être affectée dans la vision qu’elle a de moi ! Fut la réelle réponse que Laura réussit à avoir en plusieurs fois avec Franck, un homme charmant.

  • Moi, cela me permet d’imaginer des scènes avec des hommes mais je ne suis pas gay. Je me féminise un peu et je m’imagine en soumise sexuelle ou en victime. C’est un peu ma soupape de sécurité matrimoniale, car ma vie de couple est parfois difficile.

Cette réponse de Paul la perturba un peu. En effet, jouer le rôle de la victime innocente de son beau Maître imaginaire profitant de son corps, est un de ses fantasmes. Elle n’est donc pas la seule à s’imaginer ce genre de chose....

Elle a également étudié ce site internet français

Cette réflexion la conduite à se mettre en recherche de témoignages de femmes ayant vécu un gang bang BDSM. Leurs réponses la perturba encore une fois et l’emmenèrent à une conclusion. Les pseudos sadiques ne sont que les sextoys de leurs fantasmes. Après le gang bang, réalisé parfois avec d’illustres inconnus, c’est un peu comme si elles les rangeaient dans le placard après usage.

Pourquoi s’encombrer d’un homme quand on peut en avoir un 100 % disponible avec l’onanisme ou le selfbondage ou plusieurs quand on a envie de s’envoyer en l’air dans un gang bang ?

Les recherches et enquêtes de Laura la conduisent à une conclusion : les gens du BDSM cherchent aussi l’aléatoire, l’inconnu avec quelque chose pas obligatoirement totalement sexuel. D’après les réponses obtenues, le plaisir dans la douleur est recherché par les masochistes pratiquant le selfbondage ou le côté humiliant ou la perte totale de contrôle.

Dans son atelier personnel, Laura entreprend de se fabriquer des jouets en se basant sur les données collectées et ses conclusions. Les seule choses qu’elle achète sur ABCplaisir, une boutique réputée pour son sérieux, ce sont des plugs, des godes, puis des vibros et le Magic wand massager qu’une des filles lui a fortement conseillé d’essayer. Autant dire clairement que la petite Laura dormit peu la première semaine qui suivit la livraison de sa commande. Elle perdit même un peu de poids pour cause de « sport solitaire en chambre » en guise de repas.

Son premier carcan des plaisirs solitaires fut opérationnel une dizaine de jours plus tard. Cela semble peu mais le lecteur doit savoir que, une fois lancée sur un projet lui plaisant, une informaticienne peut oublier les dimanches et parfois même de manger. (Véridique)

Laura avait conçu une machine à faire baver tous les adeptes du selfbondage et de l’onanisme BDSM. Son carcan était une sorte de table équipée d’une machine à baiser, de pompes à téton ressemblant à des machines à traire, d’une perche pour le magic wand massager destiné à titiller son clitoris pendant que le gode « « usinerait » » sa chatoune. Pour les entraves, elle s’était fabriqué un dispositif de bracelets métalliques se serrant par des électroaimants. Ainsi, en cas de coupure d’électricité, ses poignets seraient libres.

Pour la partie aléatoire, Laura avait conçu un programme sur son ordinateur portable. Couplé à des prises électriques par un savant dispositif, son PC pouvait commander la vitesse de la machine à baiser, la « traite » de ses seins, la puissance de son magic wand massager. Sa programmation lui permettait en outre de gérer la durée de jeu ainsi que sa liberté. Pour la durée de jeu, par prudence, elle régla 30 minutes pour le premier test.

Partagée entre l’excitation, la peur, la honte, mentalement c’est un peu comme si elle attaquait une banque lorsqu’elle est entrée dans son atelier ce soir là. Elle était troublée, inquiète et impatiente. Elle s’allongea nue sur le dos, attacha ses cuisses bien écartées puis inséra le gode dans sa chatoune avant de le fixer par un clips à la tige de la machine à baiser « maison ».

Excitée comme une puce voyant débarquer un régiment de chats, elle ne put contenir ses phalanges coquines avant de se reprendre. « Non ce n’est pas toi qui décide, tu es soumise » s’est dit à haute voix Laura. C’est dire si elle était troublée....

Ses aspires tétines trouvèrent leur place sur ses tétons, elle appuya sur la touche « espace » de son PC posé près d’elle pour lancer l’aspiration. Elle fit pencher la perche à « magic wand massager pour que la boule arrive sur sa délicieuse petite fraise sensible.

Pour augmenter la partie inconnu, elle fit glisser un petit bandeau sur ses yeux et ne tarda pas à mettre ses poignets dans les bracelets à serrure magnétique. En effet, elle ne disposait plus que de trente secondes pour s’offrir comme victime.

Comme prévu, le PC commanda la fermeture de ses bracelets. Le clic et le froid du métal la firent bondir de peur et se traiter de malade mentale. La machine à baiser se lança en même temps que le magic.

Pendant 30 minutes, les variations de vitesse de ses sextoys la rendirent folle de plaisir mais aussi folle de rage quand son PC ralentissait ou arrêtait l’un ou l’autre.

Lorsque tout s’arrêta, Laura était aussi fraîche qu’un légume. Elle ressemblait à une feuille de salade desséchée puis oubliée dans un champ juste après un orage. En clair, elle était trempée de transpiration (oui y compris en bas...) et vidée de toute énergie. Dans l’état d’épuisement où elle était, il ne lui venait même pas à l’idée de retirer ses poignets des menottes ouvertes, c'est dire ! ! !

Au bout d’un moment, elle revint un peu sur terre. Sa première impression fut que son bas ventre, son ventre et même ses reins avait été laminés par la coulé de lave incandescente d’un volcan en éruption. Si dans ses coquines habitudes, Laura pouvait jouir deux fois en peu de temps, là, elle avait pulvérisé en même temps les records de vitesse et le nombre de jouissances. Après s’être libérée totalement, c’est comme une nana totalement saoule qu’elle alla se coucher dans son lit. S’écrouler est le mot qui convient le mieux.

Le lendemain, un peu honteuse, elle essaya d’analyser les réactions de son corps pour comprendre pourquoi cela avait été aussi intense. Pour elle, la contrainte et l’inconnu devaient être la cause de l’éruption volcanique sexuelle vécue ce soir là. En effet, elle avait déjà testé le magic et s’était déjà mis des choses dans la chatoune, mais là..... Mais là, il n’y avait aucun rapport.

Vous connaissez les informaticiens, ils aiment bien parler de leurs créations ! Oui mais cela ne pouvait pas se faire sur un forum informatique.

Elle contacta les filles qu’elle avait « sondées » sur Fessestivites pour leur parler de son carcan des plaisirs. Elles en doutèrent jusqu’au moment où elle créa un dossier photo codé pour qu’elles puissent constater que Laura ne leur racontait pas des bêtises. Cela fit des envieuses.....

Laura leur demanda de garder ça secret pour ne pas se faire harceler par les mecs.

Le secret fut bien gardé entre toutes les copines des copines. Ce secret fut donné en secret à un homme qui, secrètement, dévoila que Laura avait fabriquer une machine infernale spécial selfbondage ou pour des jeux de domination.

Un secret est donc fait pour être murmuré d’oreille à oreille, ou juste en message privé qu’il ne faut pas dévoiler sur un forum. Un soir de beuverie, l’un des soumis, adepte de l’ABDL et du BDSM en parla sur le forum.

Folle de rage, Laura aurait bien attaché les coupables sur la machine à baiser avec du papier verre sur le gode en guise de préservatif. Elle imagina même remplacer le magic wand massager par une perceuse équipée de lanière d’acier pour fouetter le sexe des personnes indiscrètes. Comme quoi, il faut se méfier d’une femme en colère ! ! !

Un soir, un homme charmant la contact en privé. Cet homme, également informaticien, ne lui posa aucune question intime, il resta centré sur la partie informatique de son jouet secret. Ils parlèrent de code, langage C++, PHP et autres termes soporifiques pour le commun des mortels.

Quelques jours plus tard, Laura accepta de lui faire voir son carcan des plaisirs.

Cet homme charmant lui proposa de commencer par un déjeuner dans un restaurant près de chez elle avant d’aller voir sa machine. C’est entre la poire et le fromage qu’il se dévoila un peu. Il était célibataire et intéressé par le BDSM. Il insista sur le fait que c’est la partie cérébrale qui le titillait le plus et non pas le sexe pour le sexe.

A la question « vous êtes soumis ou Maître » il répondit : « je suis épicurien, pour moi, tout cela est un jeu dans lequel on se projette, on s’abandonne pour en ressortir enrichi d’expériences jouissives intellectuellement et ou physiquement ».

Après le repas, Laura, un peu pompette à cause du champagne, l’invita donc chez elle pour lui faire voir son carcan des plaisirs. Henri de son prénom, hallucina sur les parties techniques que Laura avait réussi à associer. Ils échangèrent principalement sur le cahier des charges qu’elle s’était fixée avant de mettre les machines en route sans personne dessus pour en apprécier les effets.

  • Si cette invention est géniale, ne manque t’elle pas de chaleur humaine ? Demanda Henri.

  • Oui bien sûr, mais au moins les filles ne seront pas emmerdées par des pots de colle et pourront s’éclater sans risque de v i o l ou de SIDA ! Lui répondit Laura.

  • Ah là c’est sûr qu’il ne risque pas d’y avoir de mauvaises rencontres ou de pseudos Maîtresses n’ayant qu’un but : pomper le fric des mecs.

De fils en aiguilles, ils échangèrent sur leurs bonnes et mauvaises expériences tant sur le net que dans la vraie vie. Une complicité s’installa entre eux, Henri ne tenta rien pour la séduire malgré la titanesque envie le submergeant depuis leur rencontre au restaurant.

LA SEMAINE SUIVANTE

Après X et X messages ils finirent par associer leurs neurones de psychopathes informaticiens sur d’éventuelles améliorations ou déclinaisons pouvant être apportées à son invention. Ce fut Hot de chez chaud bouillant ! ! !

De l’électro stimulation, à l’anal, au buccal avec des bâillons donnant à boire ou se gonflant tout seul, aux accessoires pouvant flageller ou fesser, autant dire que les idées perverses fusaient.

C’est entre deux bonnes ou mauvaises idées, que les mains se sont touchées. Le magnétisme des lieux doit être responsable du rapprochement des lèvres, (comme les pôles d’un aimant), de ces deux être aussi pervers l’un que l’autre. Une fois soudées, les lèvres ne purent se décoller, et, à être bloqué, autant laisser les langues discuter silencieusement.

Ce fut un coup de foudre auquel, aucun d’eux ne s’attendaient. En effet, si au départ, il ne s’agissait que d’amitié, leur relation évolua très vite de façon horizontale.

EPILOGUE

La question que se pose le lecteur est : qui va dominer l’autre ?

Laura et Henri on carrément refusé de le dire. La seule chose que l’on sait, c’est que le carcan des plaisirs est utilisé.

  • Oui mais par qui ?

  • On ne sait pas !

Fin

TSM

.......................

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Lucie au gîte fétichiste

Lorsqu’elle a vu les annonces de l’ouverture d’un gîte fétichiste en Espagne accordant une attention particulière aux célibataires, Lucie a trouvé l’idée originale. Après avoir mené sa petite enquête, elle s’est offerte un week-end coquin pour vibrer un peu. Si effectivement les propriétaires du gîte sont ultra respectueux et attentifs à leurs clients, le mobilier et les accessoires qu’ils mettent à votre disposition sont là pour fouetter votre libido.

Manquant un peu d’idées pour jouer seule, en prenant conseil, Lucie s’embarque dans des aventures aussi sulfureuses que jouissives même si, parfois, c’est assez tendu. Ses vacances éroticos sensuelles deviennent BDSM, ABDL et lui feront mal aux fesses.

...............

Lucie est une femme coquine, pas une salope, ne pas confondre. Elle aime les plaisirs de la vie, le BDSM, le bondage mais ne se donne pas au premier venu. Comme beaucoup de femme, elle s’est offert quelques sextoys. Elle a également joué à s’attacher un peu toute seule pour jouer avec le bondage et ses sextoys pour « s’obliger » à jouir un peu plus longtemps.

Ses petits selfbondage étaient très simples, comme attacher ses chevilles et ses cuisses avec des ceintures après avoir mis un petit plug anal, puis un vibro dans son chaton. Le plus compliqué de ses selfbondage a été d’oser mettre des menottes mains dans le dos et de s’allonger sur le ventre pour s’abandonner à ses sextoys. Les clés des menottes étaient tout simplement posées sur la table de nuit. Si ses petits jeux coquins étaient très sages, chaque fois dans son esprit coquin, les fantasmes l’étaient beaucoup moins. Qui n’a pas de fantasmes me direz-vous ?

Lorsqu’elle a vu les annonces de l’ouverture d’un gîte fétichiste accordant une attention particulière aux célibataires, cela l’a titillée. En s’imaginant dans les jeux possibles décrits pour les couples et les hommes seuls, il lui venait des fourmis dans son petit bedon....

Elle s’est donc lancée dans une étude approfondie à la version enquêteurs de police sur les propriétaires du gîte. Les 60 évaluations faites sur le profil de TSM étaient pratiquement toutes dans le même sens. « Un sadique pervers à la fois très respectueux et accueillant ».

Lire les évaluations réelles des personnes l’ayant rencontré

Joueuse mais prudente, Lucie a donc pris un abonnement sur Fessestivites pour contacter les femmes ayant fait des évaluations sur son profil. Toutes les filles lui ont répondu qu’elle ne risquait rien, hormis s’éclater, découvrir et s’amuser en toute simplicité.

Aussi frileuse qu’excitée, elle l’a donc contacté par messagerie pour avoir plus d’informations sur ce que son gîte fétichiste pouvait proposer comme « loisirs ». Sa réponse a été simple !

  • Vous pourrez faire tout ce que vous rêver de vivre et faire seule en étant assistée, accompagnée, guidée et surtout sécurisée. Exemple, si vous rêvez d’essayer une camisole de f o r c e, vous l’enfilez, je ferme la camisole et vous me dites combien de temps vous désirez restée prisonnière. Cela peut être aussi de dormir enfermée dans une cage, de rester une heure nue au pilori, à chaque fois, c’est vous qui décidez. Je peux également vous prêter du matériel pour faire du selfbondage, vous donner des idées de scénarios mais ne jamais entrer dans votre gîte. L’avantage est que si je ne vous vois pas à midi par exemple, je viendrai voir si vous êtes bloquée et en perdition. En clair, ma femme ou moi-même pouvons être la personne de confiance à qui vous pouvez tout dire.

Convaincue qu’elle ne risquait rien et que sa vie ne serait pas en danger, Lucie a donc fait une réservation comme si elle se jetait à la mer.

Trois mois plus tard, et après des rêves érotiques fous et quelques cauchemars, c’est dans la parking de l’aéroport qu’elle rencontre l’agitateur de mauvaise conscience. Venu en ville faire trois achat pour son gîte, il lui a proposé de la récupérer à l’aéroport pour lui éviter d’avoir à payer un taxi. Les discussions pendant le trajet dans le 4x4 poussiéreux, finirent de lever ses craintes. TSM est un gentil taré bourré de très mauvaises et surtout, perverses idées. En rencontrant son épouse Malicia, pour l’apéro de bienvenue, elle constata qu’il n’était pas le seul à avoir des idées perverses.

Pendant que TSM terminait la préparation du repas, Malicia lui fit visiter les lieux et l’accompagna à son gîte. Les discussions furent coquines, entre filles on se lâche un peu plus. Pendant le repas, elle eut des explications sur des fétichismes qu’elle connaissait très peu ou ne comprenait pas comme l’ABDL. C’est au dessert qu’elle avoua qu’elle manquait d’idée pour l’après-midi. C’était une vraie fausse mauvaise bonne idée que de dire cela à TSM ! ! !

  • Je vous propose de vous accompagner à votre gîte pour vous préparer un plan qui finira de vous achever après la fatigue du voyage. Cela peut être très jouissif..... Rassurez-vous, je ne fais que tout installer et je vous abandonne pour aller faire ma sieste ! Répondit TSM.

Peu rassurée elle accepta cette proposition. Il prit une serrure de glace de deux heures et, habitué aux lieux, il ne lui fallut que très peu de temps pour faire une installation sur le lit avec tout ce qu’il faut pour qu’elle se fasse plaisir.

  • Je vous explique le principe. Vous mettez ce que vous voulez dans vos orifices, vous garder une culotte pour bloquer le magic wand massager en bonne place. Ensuite vous attachez vos chevilles dans ces bracelets, vous attachez votre main gauche dans ce bracelet avant d’allumer vos jouets et de menotter votre dernier poignet ici ! Lui indiqua TSM avant d’ajouter : vous pouvez également vous mettre des pinces à sein et une cagoule qui vous aidera à mieux fantasmer. Si vous n’avez pas de question, je vous laisse vous installer ?

  • Si j’ai une question. Comment s’ouvrent les menottes ?

  • Cette petite boite noire est remplie de glace. Quand elle sera fondue, elle libérera votre poignet. Vous pourrez alors vous libérer, c’est aussi simple que ça.

  • Merci, vous pouvez me laisser ! Répondit Lucie toute rouge de honte.

A peine était-il sorti et enfin seule, elle se précipita vers le placard à sextoys. Rien que de les toucher la faisait mouiller. Elle mit un préservatif sur un plug anal de taille modeste, sur le vibro qui n’allait pas tarder se retrouver au chaud.... Au cas où, elle prit aussi des pinces à sein légères car la douleur pure, n’est pas son truc ainsi qu’un petit bandeau pour ses yeux de biche. Après s’être dévêtue, hormis la culotte comme conseillé, elle ne tarda pas à combler ses orifices très demandeur, surtout celui de devant...

Lucie prit place sur le lit pour entraver ses chevilles. A la suite de quoi, elle s’allongea pour entraver son poignet droit. L’excitation étant à son comble, elle le détacha pour se mettre les petites pinces à sein. Elle finalisa son selfbondage après avoir allumé le petit vibro et le gros magic wand puissance 10 logé dans sa culotte. « Ouhaou, cela va être géant » pensa aussitôt Lucie.

Son esprit coquin ne tarda pas à se mettre en route. L’amant de ses rêves venait la « sauter » avant de la livrer en pâture à ses amis. Ce fantasme n’est réellement qu’un fantasme car elle n’accepterait pas ce genre de pratique. Par contre, dans les fantasmes on peut y mettre ce qu’on veut pour délirer, s’envoler et jouir.

En agitant ses reins comme si son amant la prenait sauvagement, elle agitait aussi le vibro et le plug. Ces actions, cumulées aux vibrations et au magic wand massager puis au fait d’être réellement attachée, la firent rapidement monter « dans les tours ». Le premier orgasme fut géant même si elle aurait bien aimé que les sextoys vibrants lui accordent une pause. Le deuxième orgasme ne tarda pas à pointer son nez. Le troisième la mit dans un état de transe. Son corps lui échappait, elle criait son plaisir et tremblait sans discontinuer. Au quatrième elle hurla sa jouissance, chose qu’elle n’avait jamais fait étant plutôt discrète au lit..

« Déglinguée » et en perdition totale, elle commença à subir les effets des sextoys. « Subir » est un bien grand mot, disons qu’elle aspirait à une pause syndicale qu’ils ne semblaient pas vouloir lui accorder ! « Je me fais un gang bang BDSM toute seule » pensa Lucie continuant d’enchaîner contractions sur contractions.

Une heure plus tard, les batteries du vibro et du magic wand massager finirent par rendre l’âme, laissant ainsi une pauvre fille épuisée de jouissances entravée bras et jambes en croix sur le lit. Lucie sombra dans les bras de Morphée pour un sommeil profond sans rêve. C’est en se tournant comme quelqu’un qui dort qu’elle se réveilla. Pendant une seconde, elle s’affola d’être entravée avant de se rendre compte de la situation. Son poignet droit était libre, elle pouvait se délivrer. Si cela fut facile à faire, le retrait des pinces à sein lui parut soudainement très hard. Une douche salutaire s’avéra obligatoire ! C’est là qu’elle découvrit qu’il y avait aussi des anneaux dans les murs, même dans la salle de bain. « C’est vraiment une maison de fous » se dit-elle.

Lucie prit conscience qu’elle était restée entravée trois heures au total. Malgré ses tétons très sensibles elle enfila un tee-shirt puis une jupe pour aller prendre l’air puis prendre un verre avec Malicia.

  • Alors, c’était bien ? Lui demanda Malicia.

  • Superbe, j’ai cru mourir deux ou trois fois, votre mari est un vrai malade mental !

  • Je sais, c’est aussi pour ça que je l’aime !

  • Il vous l’a fait aussi ?

  • Oh, il m’a fait bien pire !

La discussion entre filles continua sur le sujet un moment mais elles refusent que j’écrive ce qu’elles se sont dit. Croyez-moi sur parole, entre elles les discussions sont parfois chaudes...

N’ayant pas envie de cuisiner, Lucie avait annoncé qu’elle prendrait tous ses repas au gîte. Elle partagea donc celui du soir en mauvaise compagnie et put même assister à la fessée de Malicia, une injustice évidente car c’est une perle. En même temps, en voir une en vraie lui donna des envies, mais elle n’osa pas l’avouer.

TSM lui demanda si elle avait des projets coquins pour la soirée ou la nuit comme si il lui demandait si elle voulait faire du tourisme ou des courses !

  • Non, je n’en ai pas mais si vous avez des idées, je n’aurai rien contre des propositions ! Répondit Lucie un peu gênée.

  • Arrêtez de rougir, ici rien ne nous choque. Vivez vos passions ou essayez des trucs, ne soyez surtout pas gênée, cela fait 40 ans que je suis dans le monde des rencontres. Je suis le propriétaire de Fessestivites et Abkingdom, autant dire que vous pouvez vous lâcher et nous parler librement de tout.

Ne connaissant pas Abkingdom, Lucie voulut en savoir un peu plus sur l’ABDL. TSM lui expliqua la différence entre AB qui signifie adult baby puis l’âge-play avant d’aborder le côté DL qui signifie diaper lover. Il aborda aussi le côté little, petite fille ou petit garçon, une autre forme de régression. Il précisa que c’était quelque chose à découvrir, à essayer au moins une fois pour voir car les sensations, les émotions ressenties ne tuent pas ceux qui essaye pour voir. Il précisa que c’est un fétichisme honteux pour beaucoup alors qu’il n’y a aucun mauvais fétichisme.

  • Il n’y a pas de mal à se faire du bien et à s’accorder des plaisirs quels qu’ils soient. Certains aiment la fessée, d’autres les pieds, d’autres les collants ou le latex, d’autres le libertinage, d’autres le BDSM, où est le mal à aimer pratiquer quelque chose qui fait du bien et ne dérange personne ? Vous devriez essayer au moins une fois l’ABDL, je peux vous faire dormir en couche enfermée dans un lit de bébé. Si je précise enfermée, c’est parce que je sens bien que les jeux de contrainte vous amusent. Rien ne vous y oblige, vous pouvez aussi refaire du bondage pour la nuit.

  • Heu, je crois que pour aujourd’hui, le bondage et les sextoys on va oublier ! Répondit Lucie avant de demander à Malicia si elle aime l’ABDL.

  • J’ai essayé pour voir, non ce n’est pas mon trip mais je confirme, il y a des passionnées. Essayez pour voir, vous verrez bien ! Répondit Malicia.

  • Et qui est-ce qui me met la couche ? Demande Lucie.

  • Vous mais je peux vous aider si vous ne vous en sortez pas toute seule ! Répondit TSM.

  • Vous n’êtes pas jalouse qu’il fasse ça ? Demanda Lucie étonnée.

  • Absolument pas, où est le mal ? Il ne baisera pas avec vous, il vous fera la même chose qu’un infirmier ! Répondit Malicia.

  • Ecoutez Lucie, je vous propose de vous organiser une nuit de douceur sous la contrainte pour vous faire découvrir l’âge-play comme si vous y étiez obligée. Vous mettez seule votre couche, j’attends devant la porte du gîte et je n’entre que quand vous m’y invitez. A partir de là, je vous verrai avec une grosse culotte. Cela vous va ?

Rouge comme une écrevisse, Lucie abdiqua. Une heure plus tard, TSM pénétra donc dans le gîte de Lucie après y avoir été invité. Il la fit s’allonger sur le lit pour arranger les attaches de la couche, puis lui faire enfiler une culotte en plastique.

  • Bien, la petite fille est protégée pour la nuit. Maintenant il faut l’habiller pour qu’elle n’ai pas froid. Regardez ce que j’ai prévu pour vous ! Indiqua TSM ou ouvrant un sac de voyage avec une grenouillère et un body. Que préférez-vous, la grenouillère ou le body ou les deux ?

Lucie prit la grenouillère qu’elle enfila toute seule un peu gênée par cette aventure.

  • Vous êtes toute mimi comme ça, allez bébé, entrez dans le lit qui est sous le grand lit dit TSM en tirant un grand tiroir s’avérant être un lit une place sur roulette. Vous avez un doudou ou je vous en prête un ?

  • J’en ai un répondit Lucie en rougissant. Il est dans ma valise, vous pouvez l’attraper ?

TSM alla donc chercher le doudou de la grande fille et le lui donna avant de pousser le lit à roulette sous le grand lit. A la suite de quoi, il souleva le tissu du côté du lit permettant à Lucie de voir à travers les barreaux d’un lit de bébé.

  • Je vous ai prévu de quoi vous désaltérer et de quoi vous aider à dormir ! Lui indiqua TSM en lui donnant une tétine et un biberon d’eau. A qu’elle heure voulez-vous que je vous libère ?

  • Comment ça me libérer ?

  • Parce que je vais fermer le lit à clé, sans quoi vous allez tricher !

  • Est-ce obligé ?

- Non ici, rien n’est imposé mais vous devriez m’écouter et tester réellement !

Prise dans la tourmente des événements, elle accepta de se laisser enfermer jusqu’à huit heure. TSM lui laissa le bouton d’une petite veilleuse avant de quitter les lieux en lui souhaitant bonne nuit. La première chose que fit Lucie, c’est de toucher entre ses jambes, avoir ce gros truc entre les cuisses la perturbait un peu. « Je suis folle d’avoir accepté » dit Lucie à son doudou. Pour jouer un peu, elle prit la tétine en câlinant sa peluche délavée et usée par des nuits de câlins. A la suite de quoi, elle testa le biberon et trouva ça très pratique pour boire la nuit. Malgré la sieste crapuleuse, Lucie ne tarda pas à éteindre la lumière et s’endormir.

Vers trois heures du matin, c’est une envie pressante qui la réveilla. Si enfermée dans ce lit cage elle se sentait protégée de l’extérieur, le dit lit l’empêchait d’aller aux toilettes. « Le sadique avait raison, j’aurai triché si il l’avait laissé ouvert » se dit Lucie. Sauf que, elle parvint pas à se soulager dans la couche. Une sorte de blocage psychologique l’empêchait de se libérer. Au plus on pense à l’envie de faire pipi, au plus..... elle travaille vos méninges.

Vers quatre heures du matin, après en avoir parlé avec son doudou, elle finit par se dire que faire quelques gouttes dans sa couche ne la tuerait pas. Oui mais entre le dire et pouvoir le faire..... ce n’est que vers quatre heure et demi qu’elle parvint à faire quelques gouttes, enfin, les premières parce qu’un fois ouverte, sa vessie refusa de se refermer. C’est ainsi que, seule dans son lit avec personne pour la regarder, que Lucie découvrit que se lâcher dans une couche ce n’est pas si désagréable que ça. « Tu ne le diras à personne hein » ? Demanda Lucie à son doudou qui, évidement, promis de garder le secret.

C’est ce pipi couche qui déclencha quelque chose d’inexplicable dans la tête de Lucie. Elle se rendormit avec son doudou dans les bras et en suçant son pouce.

  • Coucou Lucie, il est huit heure. Je vous ai apporté le petit déjeuner, tout est sur la terrasse. Je vous ouvre et vous laisse tranquille. Gardez encore un peu votre couche pour le petit déjeuner, cela vous permettra de continuer à découvrir ce monde. Après votre douche, vous la mettrez dans un sac en plastique que vous fermerez bien avant de la mettre dans la poubelle. Ensuite, vous pourrez venir nous voir ou profiter de la propriété. L’eau de la piscine est à 25, si cela vous séduit, vous pouvez aller vous baigner en maillot ou nue, ici les seuls voisins que nous avons ce sont les oiseaux. Bonne journée grand bébé !

  • Je ne suis pas un bébé ! Cria Lucie amusée par le côté ultra décontracté de TSM.

Au lieu de se lever, Lucie se laissa aller à farnienter un peu au lit, il est vrai que sa nuit avait été écourtée. Si bien qu’elle s’accorda un deuxième pipi couche sous sa couette en se disant que le matin, pour la grasse matinée, ce truc était bien pratique puisqu’il n’y a plus l’obligation de se lever. Une demi heure plus tard, elle poussa un cri de peur quand un chat échappé de la chatterie du Moulin vint lui faire un câlin. Il y en a cinq, c’est Princesse Chipie la toute blanche à poil long qui était venue lui rendre visite. Son cri lui ayant fait peur, l’adorable chatte s’était enfuie.

Arrivée sur la terrasse, Lucie quitta immédiatement sa grenouillère pour cause de chaleur. « Douche de suite ou café d’abord » se demanda t’elle. Café fut la priorité qui s’imposa à elle. Lucie prit conscience qu’en ce lieu de perdition appelé gîte fétichiste, qu’elle pouvait vraiment se lâcher, qu’elle ne serait pas jugée par les envies qu’elle avait, surtout une. Elle avait envie d’essayer la machine à baiser sur le cheval espagnol que lui avait montré Malicia.

Après avoir pris son petit déjeuner accompagné par le chant des oiseaux, elle retira la couche pour aller aux toilettes puis prendre une douche. Evoluer nue dans cette ambiance décontractée lui plut. C’est donc intégralement nue qu’elle osa se rendre à la piscine pour piquer une tête et faire quelques brasses.

  • Vous devriez faire attention au soleil, votre peau est blanche et vous risquez de prendre un coup de soleil ! Lui dit TSM passant devant la piscine.

Gênée par sa nudité, elle attrapa rapidement sa serviette pour se cacher.

  • Vous êtes vraiment timide ou simplement pudique ? Ici c’est naturiste, donc si vous voulez évoluer nue, ne vous inquiétez pas, on s’en moque ! Lui indiqua TSM amusé.

  • Oh ça va vilain pas beau ! Répondit Lucie provocatrice.

  • Si vous avez envie d’une fessée, cela peut s’arranger vilaine ! Répondit TSM avant de l’inviter à venir choisir les légumes du repas du midi dans son potager.

  • Dans cette tenue ?

  • Mettez la serviette autour de votre taille si vous voulez !

A l’aller, Lucie garda la serviette à sa taille, au retour elle était sur son épaule, cela l’avait agacée d’être obligée de la tenir tout le temps. En arrivant à la maison, il lui proposa un café ainsi qu’à Malicia. Assis sur la terrasse ils échangèrent sur les nouvelles expériences de Lucie qui finit par avouer, que c’était troublant sans rien dévoiler de plus. TSM et Malicia ne lui demandèrent aucun détail, leur but n’est pas de gêner les clients, bien au contraire. Lucie s’isola un instant avec Malicia pour lui avouer qu’elle essayerait bien le cheval espagnol.

  • C’est TSM qui s’occupe de ça, vous voulez que je lui en parle ?

  • Heu....

  • Arrêtez de faire la timide, éclatez-vous, profitez du gîte et de ses installations.

Malicia lui expliqua que c’est son mari qui allait le préparer et lui permettre de s’installer seule dessus.

« Et zut » ! Se dit Lucie, « il faut que je me lâche, car je suis sûre que le sadique aura des idées perverses, plus jouissives que juste m’asseoir sur un gode qui bouge » Ce fut le cas ! Il lui installa la machine dans le gîte mais avec quelques variables à la façon TSM. Une fois qu’elle fut « empalée » sur le gode recouvert d’un préservatif, il lui attacha les chevilles aux anneaux du carcan, bloqua un magic wand massager sur le devant de la selle avant de lui demander si elle voulait être menottée. Elle refusa les menottes, c’était un peu « trop » pour elle de se faire attacher. Il l’abandonna donc pour retourner préparer le repas du midi.

Lucie put donc commencer à jouer avec le variateur de la machine puis le magic sur son chaton en avançant sur la boulle, elle aussi recouverte d’un préservatif. Au bout d’un moment, elle regretta qu’il ne l’ait pas menottée car seule, elle n’arrivait pas à « s’obliger » à empiler les jouissances comme pendant sa sieste crapuleuse. Quand le plaisir était trop fort, elle jouait avec la télécommande de la machine puis avec le bouton du magic. Si elle avait été entravée..... Ce fut quand même bien bon !

Après le repas, vers 14 heures, TSM lui demanda si elle avait besoin de quelque chose avant qu’il aille faire sa sieste. Lucie voulu elle aussi faire une sieste « normale » avant d’être ouverte à une proposition de jeux. Il lui parla donc du principe du Bondage Walking en indiquant qu’il avait plusieurs jeux de pistes pour aller récupérer les clés des menottes ou des cadenas des chaînes.

  • J’ai plusieurs jeux de piste, du simple au plus avancé mais comme vous avez le sens de l’orientation d’une fille, je pense que le simple serait bien pour vous !

  • Mais vous êtes macho, une fille sait aussi très bien s’orienter qu’un homme ! Répondit Lucie.

La provocation ayant fonctionné, il abdiqua et lui indiqua qu’il lui donnerait la fiche d’orientation après la sieste car à 15 heures, on ne fait pas de Bondage Walking en Espagne. Vers 17 heures, Lucie revint les voir pour lui dire qu’elle était prête à jouer et relever le défi.

  • J’ai déposé les clés sur le terrain, voici la fiche du jeu de piste pour les trouver.

  • Mais je ne vous ai pas dit ce que je voulais faire, comment savez-vous ce qu’il me faut ? Demanda Lucie.

  • J’ai un jeu de clés pour plusieurs cadenas et une paire de menottes, dites-moi de quoi avec vous besoin. Vous pouvez avoir 6 cadenas une paire de menottes et des chaînes.

  • Heu, je ne sais pas trop. Vous avez des idées ?

  • Je vous propose deux cadenas + une chaîne pour les chevilles afin de jouer le bagnard. Ensuite, vous pourriez vous faire une ceinture de chaîne qui devient un string. Là il vous faut 2 cadenas de plus. Je peux vous prêter un plug métal, il a un anneau que vous pouvez fixer à la chaîne avec un cadenas. Vous bloquez vos menottes mains dans le dos au niveau de la chaîne. Dans ce cas, il faudra fixer le plan dans une pochette plastique sur une de vos jambes puisque vous ne pourrez pas le tenir dans vos mains. La règle du jeu est simple. Si à 20 heures vous n’êtes pas rentrée, je viendrai vous chercher pour vous ramener. Dans ce cas, je vous verrai donc nue avec votre petit équipement...... Ah un truc j’ai de petite pinces à sein munie de clochette ou un collier lui aussi munie de clochette, que préférez-vous ?

  • Le collier, mes tétons ont déjà trop souffert ! Répond Lucie spontanément avant de comprendre qu’elle vient de se dévoiler encore une fois.

  • OK, allez dans votre gîte, je vous apporte tout ce donc vous avez besoin. Vous vous équiperez seule si vous le désirez ou, si besoin je peux vous aider.

  • Cela devrait aller, vos explications étaient très claires, je devrai m’en sortir !

Lucie ne prend pas conscience qu’elle perd beaucoup de temps en se préparant. Elle accroche le plan à sa cuisse droite par des bandes de velcros avant de verrouiller ses menottes mains dans le dos. Elle part seule et loin des regards de son gîte vers 18 heures. Marcher avec des chaînes aux pieds ralentit sa progression. La clochette fixée à son collier commence à l’agacer. A cela se rajoute que, lorsqu’elle se penche en avant pour lire le plan sans trop pouvoir plier sa jambe, elle tire sur la chaîne passant entre ses fesses et donc,...... sur le plug.

Malgré ses petits inconvénients, Lucie trouve ce jeu très excitant. Elle s’imagine même dans ses petits délires qu’elle est le gibier d’une chasse à la femme. Quel dommage qu’elle n’ait pas assez d’amplitude pour pouvoir venir jouer un peu avec son petit bouton des plaisirs. Elle éclate de rire lorsqu’elle arrive à « la fontaine des assoiffés » comme indiqué sur le plan. Il s’agit d’un biberon attaché à un arbre avec de l’eau encore glacée. Elle descend de bon coeur les deux tiers du biberon.

Au bout d’une heure d’aventure en pleine nature, Lucie commence à se traiter de folle et TSM d’enfoiré pour ses idées tordues. En effet, d’après le plan, c’est de l’autre côté de la petite vallée qu’elle devrait être. C’est donc toujours à petit pas qu’elle fait marche arrière sur 500 mètres et termine le biberon d’eau au passage. Alors qu’elle traverse la petite vallée, Lucie est rattrapée par une envie pressante. Chaînes aux pieds et mains menottées dans le dos, elle n’a pas trop envie de s’agenouiller surtout avec un plug dans les fesses. N’ayant pas d’autre choix que de faire pipi debout, elle trempe ses cuisses et ses pieds en traitant TSM de noms spéciaux qu’il est préférable qu’il n’entende pas.

Assis tranquillement sur sa terrasse avec un pastaga bien frais, le dit Très Sadique Mec la suit de loin avec ses jumelles. Une petite sécurité en cas de chute. Il sait donc où se trouve Lucie quand, à 20 heures il quitte donc son verre vide pour enfourcher son vélo. Il commence par récupérer les clés avant de rejoindre Lucie. En le voyant arriver, elle est à la fois soulagée et honteuse d’être vue nue avec un string de chaîne et un truc dans les fesses. Après avoir libéré les chevilles de la pauvre fille perturbée d’avoir perdu, il pose son sac à dos pour en sortir une bouteille d’eau fraîche.

  • Avec les menottes, cela va être difficile pour moi de boire ! Lui indique Lucie d’un air de dire « t’as pas fini de me libérer ».

  • Je sais mais j’ai bien dit que je viendrai vous chercher, pas que je vous libérerai ! Lui répond TSM en accrochant une laisse au collier de Lucie.

  • Et, ça va pas la tête !

  • Il va bientôt faire nuit, alors où je vous laisse comme ça avec les renards qui ne vont pas tarder à sortir, ou je vous raccompagne à ma façon ! A vous de choisir !

  • Bon ça va, je vous suis, mais je ne suis pas une chienne !

  • Ah, ce jeu vous exciterait ? je peux vous le préparer si vous le désirez !

  • Nan, merci, ça ira pour aujourd’hui !

Cinquante mètre plus loin, TSM (Très Sympathique Mec ^^^) lui retire la laisse et les menottes en lui disant que cela lui allait bien ! Comprenant qu’il avait simplement envie de jouer avec ses nerfs, Lucie lui tire la langue.

  • La fessée c’est toute de suite avec les fesses pluguées ou ce soir après votre douche ?

  • Ce soir je préfère ! Répond Lucie sans réfléchir.

  • Vous êtes donc d’accord pour que je vous donne la fessée méritée !

  • Heu.... je n’ai pas dit oui !

.......................

Laissée seule à son gîte, Lucie prend une douche grandement méritée et justifiée vue la couleur de l’eau à ses pieds. A 21 heures, elle les rejoint à la maison pour le repas du soir en tenue « civile ». Peu pressés et vivant à l’heure espagnole, ils lui proposent de partager leur apéritif maison fait avec des aubergines et des poivrons grillées du jardin.

  • Alors cette expérience de Bondage Walking vous avez aimé ? Demande Malicia.

  • Original à vivre, il y a une sorte de communion qui se fait avec la nature, sauf que j’ai rencontré un rustre qui a voulu me faire marcher en laisse comme une chienne ! Répond Lucie.

  • Oui et qui, au lieu de me remercier d’être allé la libérer et la chercher avant la nuit m’a tiré la langue en guise de reconnaissance. Cela mérite une fessée, qu’en penses-tu Malicia ?

  • Absolument, c’est inadmissible ! Répond Malicia amusée.

  • Classons cette regrettable affaire de suite, venez vous installer sur mes genoux que je vous apprenne la politesse ! Indique alors TSM en reculant sa chaise.

Pour Lucie, ce n’est pas le fait de recevoir une petite fessée qui la perturbe, mais c’est de la recevoir devant quelqu’un ! Une fois allongée sur les genoux de TSM, sa jupe est prestement relevée, la grosse paluche de TSM commence à appliquer la fessée sur une jolie culotte qu’il regrette presque de baisser quelques instants plus tard.

  • Aie, qu’est-ce que vous faites ?

  • Une vraie fessée se donne déculottée, n’est-ce pas Malicia ?

  • Absolument !

Avant même qu’elle n’ait le temps de répondre, TSM continue de lui claquer les fesses gentiment, bien qu’il aurait bien volontiers appuyé un peu plus. Comme une cliente n’est pas une amie, il se contient et ne fait pas durer la fessée de la coquine. Pour Lucie, c’est encore une grande nouveauté car, sa seule expérience de spanking, avait eu lieu une fois avec un de ses copains ultra timide ayant à peine claqué ses fesses. Même si il a été soft, elle sent bien que ses fesses sont chaudes lorsqu’elle prend place sur sa chaise.

Le repas est un moment de partage aussi bien en terme de nourriture que de discussions. Lucie apprend un peu plus de la vie de ce couple d’adorables psychopathes et regrette déjà d’être obligée de partir le lendemain car elle serait bien restée plus longtemps. Hélas, le billet d’avion ne peut être changé. En leur compagnie, elle aimerait découvrir encore plein de choses car elle se sent en totale sécurité.

  • Vous me faites quoi ce soir ? Demande Lucie.

  • La question est mal posée. Que désirez-vous faire et vivre ?

  • J’ai bien aimé la nuit en couche dans le petit lit mais y a t’il moyen de varier un peu ?

  • Avec une couche ?

  • Oui mais aussi du bondage ! Répond Lucie à présent sans trop de pudeur.

  • Couche, bondage et jouissances avant le dodo, cela vous va ? Lui demande TSM dont le cerveau a déjà démarré en mode pervers.

  • Ouiii !

Accompagnée à son gîte par TSM et son sac à malice, Lucie est invitée à s’allonger due sur le lit. Il lui donne une couche et un vibro en lui demandant de se le mettre toute seule « comme une grande ». A la suite de quoi, il démarre le vibro et referme la couche avant de l’aider à enfiler une culotte à cadenas. Il pose le caméscope dans un coin en lui expliquant que c’est la règle au gîte. A partir du moment où il participe, c’est filmé comme pour les caméras des banques. S’il n’y a pas de problème la vidéo est supprimée. Il demande ensuite à Lucie d’entraver ses chevilles puis lui prête une cagoule d’isolation BDSM en lui demandant de la mettre après lui avoir expliqué que le principe serait le même que son selfbondage.

Il l’aide donc à lier son poignet gauche puis guide sa main pour qu’elle ferme elle même les menottes de son poignet droit. Elle est donc attachée bras et jambes en croix sur le lit et cagoulée. TSM branche un magic wand massager filaire sur un programmateur réglé sur 5 minutes On, 5 minutes Off avant de programmer une plus longue période en mode On. Le sextoy trouve sa place entre la couche et la culotte en plastique de Lucie.

TSM (Très Sadique Mec) abandonne Lucie avec ses interrogations après avoir éteint la lumière. Pendant les cinq première minutes, elle se demande ce qu’il a placé entre sa couche et sa culotte en plastique. Elle ne le découvre que quand le magic se met en route. Les vibrations pile poil au-dessus de son chaton, sont loin d’être désagréables. Cumulées avec celles du vibro en bonne place, elles la conduisent doucement sur les rivages d’une jouissance. Hélas, cinq minutes c’est trop court pour y parvenir et le sextoy s’arrête. Elle boude un peu en se disant que c’est dommage que le magic a du tomber en panne.

Elle pousse un cri de surprise dans sa cagoule cinq minutes plus tard quand il se remet en route. Le Très Sadique Mec lui a programmé 4 sessions On et 4 sessions Of avant de le lui laisser 60 minutes non stop. Lucie enrage pendant les sessions Of et On avant de finalement savourer le plaisir du magic en mode On juste au dessus de son chaton. Juste après sa première jouissance, une envie pressante, que cette fois elle libère sans blocage, la fait décoller. « Pipi couche + magic c’est ouhaouuuu » se dit Lucie bien décidé à en acheter un chez ABCplaisir. (ABCplaisir, cela va de soit ! ! ! )

Lorsque la serrure de glace lui rend sa liberté, Lucie se détache mais n’a même pas le courage d’aller attraper les clés de menottes posées sur la table du salon. Ce n’est qu’au petit matin qu’elle trouve le courage de se lever pour aller retirer la menotte gênante toujours accrochée à son poignet.

« Mais où sont les clés de la culotte à cadenas » se demande Lucie. Convaincue qu’il veut l’obliger à venir les voir avec ses grosses fesses, elle sort de son gîte en jupe vers 9 heures et découvre qu’elles sont sur la table avec le petit déjeuner puis une rose fraîche. En lisant le petit papier sous la rose, son sourire disparaît aussitôt. « Départ 11 heures maximum pour que vous ne loupiez pas votre avions ».

Après avoir pris son petit déjeuner, Lucie prend une douche, fait un carré de ménage en laissant tout ce qui a été utilisé comme linge et draps dans un panier prévu à cet effet avec de rejoindre ce couple qui l’a si gentiment accueillie. Après avoir réglé quelques achats en boutique et le solde de son séjour, c’est presque les yeux mouillés qu’elle monte dans la voiture pour prendre la route de l’aéroport.

  • Est-ce que je pourrai revenir et vivre d’autres choses avec votre aide ?

  • Avec plaisir Lucie mais si vous me tirez encore la langue cette fois la fessée sera plus consistante !

  • Leeeeeeeeeeeeee ! Fait Lucie en lui tirant la langue pendant qu’il conduit.

Ni une ni deux, TSM quitte la route pour prendre un chemin pour s’arrêter derrière un bosquet d’arbres.

  • Une bonne déculottée va vous être offerte par la maison !

EPILOGUE

Lucie a eut son avion, TSM prévoit toujours de la marge. Elle a trouvé que les sièges de l’appareil n’étaient pas très confortables, allez savoir pourquoi ?

FIN

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Vivre en femme la dysphorie du genre en vacances

 Un de nos clients a  réalisé son rêve et son fantasme de vivre habillé en femme.  Le blabla, c'est bien, les photos c'est mieux pou...