J’étais en vacances en Espagne où j’ai choisi comme hébergement de louer le gîte Fétichistes avec l’idée de faire du tourisme mais aussi de m’amuser.
Lorsque j’ai dit à Marc que je manquais d’idées pour faire du selfbondage, sa réponse, accompagnée d’exemples de multiples scénarios possibles, n’a pas tardée ! Après une petite discussion et quelques questions un peu gênantes, il m’a proposé de me guider sur un scénario et des tenues si j’en avais envie.
Devant mes incompréhensions et mes doutes, il m’a donc accompagné au donjon où il a installé le matériel de base en me disant que pour les accessoires et tenues, je pourrai agrémenter à ma guise en fonction de mes envies. Après avoir fait descendre le crochet du treuil du donjon, il y a bloqué les menottes en y attachant une longue ficelle.
- Une fois que vous serez menotté, avec la télécommande vous n’aurez plus qu’à faire remonter vos poignets menottés mains dans le dos. Ensuite, vous faites descendre doucement la télécommande sur le sol et la ficelle vous permettra de la récupérer et donc, de redescendre vos bras. Pour les clés de menottes, si vous souhaitez plus de frissons, je vous conseille d’aller les mettre sous le portique shibari qui est dans le parc. Ainsi, si vous êtes nu ou en robe vous aurez peur d’être vu, cela rajoutera des frissons. Si vous êtes pudique, vous n’avez qu’à les poser sur le lit de la chambre LOVE ou sur le sling.
Devant mon visage blême pour cause de gêne, il m’a rassuré en me disant que pour les célibataires, le but du gîte est justement qu’ils puissent s’amuser. Il précisât, que j’aurai bien tord de m’en priver. Il m’a ensuite donné deux autres exemples tous aussi grisants que gênants pour un timide comme moi.
Abandonné au donjon avec ma gêne et ma monstrueuse excitation, je me suis retrouvé seul avec moi-même et donc, en mauvaise compagnie... Pour le coup des clés des menottes, je suis donc allé les mettre sous le portique shibari qui est dans le parc, lieu qui m’exposerait à leurs regards suivant l’heure où je jouerai. Déjà pour moi, en parler avait été une étape, et là, je risquais de m’exposer...
Le problème de ce lieu de perdition, est qu’il y a tellement de matériel que rien que de les voir on s’excite et donc, on perd un peu de sa retenue. J’ai donc décidé d’ajouter quelques accessoires mis à la disposition des clients. Je me suis pris un plug, un parachute de couilles avec un poids et des pinces à sein
Excité comme une puce devant un vieux chien bien dodu, j’avais déjà envie de me ... enfin vous avez compris. La morale (humour) m’a obligé à me rendre dans mon gîte pour mettre sans tarder ma cage de chasteté. J’y ai laissé les clés avant de sortir.
Arrivé au donjon, je me suis donc mis nu pour enfiler une des robes roses empruntée dans la salle aux secrets. Sa matière m’excitait tout comme de m’habiller une femme. Dans ma cage de chasteté, c’était déjà la fête, ou plutôt la crise du logement. Le plug n’a pas tardé à trouver sa place dans mes petites fesses, cela faisait de moi « une femme comblée ».
Sans tarder, j’ai voulu mettre le parachute de couille avec un poids de 3 kilos. Avec ma cage de chasteté tirant déjà vers l’avant, cela m’a pris un peu de temps. Les pinces à sein furent posées par l’encolure de la robe ce qui, après le moment de douleur, cela m’excitât encore plus, rendant ainsi la cage de chasteté ultra étroite.
L’idée de me bâillonner me vint, mais cela m’obligea à marcher jusqu’au placard aux accessoires. Suivant les conseils donnés, j’ai donc pris le bâillon bouche ouverte. Comme indiqué, contrairement au bâillon boule, ce modèle ne peut réellement pas être recraché. Une fois en bouche, sans les mains, il reste en place.
Cela commençait déjà à bien tirer sur mes testicules, je me suis demandé si je n’avais pas un peu exagéré en les lestant avec 3 kilos mais, une fois lancé, je ne suis pas revenu en arrière. Avant de me menotter, j’ai donc attrapé la télécommande du treuil posée au sol avec sa ficelle. Le bruit et la sensation des menottes se refermant sur mes poignets m’excitât encore grandement au point que ma tête tournait un peu.
A ce moment là, en tournant la tête, je pouvais voir les boutons de la télécommande du treuil. Cela fut donc facile de trouver celui qui allait faire remonter mes poignets vers le plafond et m’obliger à me pencher en avant pour offrir mes fesses à une maîtresse imaginaire. Quand on est très excité on en fait parfois un peu trop. En effet, j’ai réellement bien fait remonter mes bras au point d’être très penché en avant. (Trop)
Avec précaution j’ai fait glisser la ficelle entre mes doigts pour déposer la télécommande sur le sol. D’un petit coup de pied je l’ai repoussée avant de lâcher la ficelle de rappel attachée aux menottes. A partir de ce moment là, j’ai constaté que j’avais trop monté mes poignets vers le haut et que cela tirait déjà sur mes épaules. Je plains les pauvres gens qui, à l’époque de l’inquisition ou romaine ont été suspendus de cette façon, cela devait être horrible.
La petit salope que j’étais devenu, offrait sa croupe sans possibilité de fuir l’inquisitrice dominatrice. C’est là que mon excitation m’a conduit à imaginer qu’elle voulait rentabiliser sa « soumise » en mettant son cul en libre service à bas prix dans un bordel... Non je ne suis pas gay, mais des fois, j’ai des idées tordues concernant cette partie de mon anatomie. Bouger comme si un sadique sautait la catin, se reporta sans tarder sur le parachute de couilles et mes épaules contrariées par la position.
Le balancement du poids tira fortement sur mes testicules, mouvement qui malgré moi et la douleur me fit bander comme un âne dans la cage. Cette érection entraînât la cage à aller vers l’avant et donc.... tira encore sur mes précieuses déjà bien malmenées. J’avais envie de petites douleurs bien excitantes, pas de faire du CBT ! La « sagesse » m’incita à mettre un terme à ce selfbondage en attrapant la ficelle avec mes petits doigts pour faire remonter jusqu’à eux, la télécommande du treuil.
C’est à ce moment là que mes yeux, ont prévenu le reste de mon anatomie que cela allait prendre du temps ! En effet, 50 mètres de ficelle à faire glisser entre vos doigts par morceau de quelques centimètres, cela prend du temps. Mes épaules et mes testicules en ont parlé à mon cerveau de malade mental, en le menaçant de faire une douloureuse révolution si je ne pressais pas le mouvement. Je commençais à avoir réellement chaud malgré la clim du donjon. Mes yeux piquaient pour cause de transpiration, c’est dire...
Lorsque enfin ma main à attrapé la télécommande, j’ai constaté que choisir le bon bouton pour faire redescendre les mains menottées de la « cruche » penchée en avant, n’était pas chose aisée ! En effet, au lieu d’appuyer sur le bouton « descendre » j’ai appuyé sur le bouton « montée ». AIE pour résumer. Mes épaules étant déjà malmenées, j’ai bien failli lâcher la télécommande, bêtise qui m’aurait obligé à tirer à nouveau les 50 mètres de ficelle.
Ce fut un réel soulagement que de faire redescendre mes poignets et de sortir les menottes du crochet du treuil. Cette action n’est pas aussi facile qu’on ne le pense avec des mains menottées dans le dos. Elle vous impose des mouvements qui, dans mon cas, ce sont reportés sur mes précieuses lestées ! La première chose que j’ai faite une fois libéré du treuil, c’est de m’accroupir pour décrocher le poids de trois kilos fixé au parachute de couilles. Mains menottées dans le dos, cela n’a rien de pratique et il n’est pas facile de défaire des noeuds sans réellement voir ce que vous faites !
L’idée d’aller chercher les clés des menottes dans le jardin avec le poids accroché à mes testicules ne me séduisait pas. Je me suis tellement acharné que même mes doigts étaient mouillés de transpiration. En vain ! Je n’allai pas avoir d’autres choix que de marcher dehors avec les précieuses douloureusement lestées.
Déjà me lever et donc soulever le poids fut une étape, la suivante fut de sortir du donjon car il y a une marche. Difficulté à laquelle s’ajoutait une pression psychologique importante : le risque d’être vu menotté, habillé en femme avec un truc qui se balance entre les jambes ! ! !
Une fois dehors, sur la terrasse de la piscine, le soleil m’a donné un uppercut en guise d’accueil. Je comprends pourquoi Marc fait la sieste à cette heure là ! Si le soleil me harcelait, cela avait l’avantage qu’il ne me verrait pas en mauvaise posture. J’ai rapidement compris qu’il fallait que je marche jambes serrées pour limiter le balancement du poids entre mes jambes.
Oui mais, cette démarche avait deux inconvénients. Le premier est qu’il n’est pas possible d’aller rapidement chercher les clés, les petits pas n’aident pas la vitesse. Le deuxième est que le poids heurte vos tibias. La « petite salope » a donc traversé la terrasse où, vautré sur un banc, un de leurs chats a regardé avec un grand intérêt le poids se balançant devant mes tibias. Peu motivé pour jouer, il n’a pas bougé de son banc. OUF !
J’ai ensuite traversé le jardin sous le soleil à la vitesse d’un escargot fatigué. Par chance, le portique shibari qui est dans le parc est à l’ombre. Ayant un peu d’expérience avec les menottes, je n’ai pas galéré pour me libérer. La premier truc que j’ai retiré c’est le parachute de testicules comme vous vous en doutez. Mes tétons se sont vengés de l’agression lorsque j’ai retiré les pinces à sein.
Je n’ai pas tardé à retirer le bâillon bouche ouverte avant de repartir, cette fois en marchant normalement au donjon pour tout déposer ainsi que la robe et fermer la porte. En effet, la climatisation n’a pas d’autre utilité que de coûter cher quand une porte est grande ouverte. La douche solaire me tendait les bras tout comme la piscine. Comme le gîte accepte sans problème les naturistes, je me suis dévêtu pour prendre la douche dehors avant de prendre conscience que la naturiste exposait aux regards des oiseaux sa cage de chasteté ainsi qu’aux proprios si ils venaient se baigner.
La douche me fit un bien fou et je n’ai pas résisté à l’envie de me baigner nu sous cage de chasteté. Si c’est fort agréable, cela m’a, à nouveau, excité mais la sagesse m’a interdit de continuer mes délires sans respecter la pause syndicale : aller boire et manger ! Marc est passé avec une serviette sur l’épaule devant le gîte sans même regarder si j’y étais. Il s’en est fallu de peu que je sois vu en mauvaise posture ou sous la douche de la piscine en étant sous cage de chasteté. Si pour lui, c’est un détail dont il n’a rien à faire, pour moi, cela aurait été une étape difficile.
En grignotant, je lisais les fiches du classeur des « Vraies bonnes mauvaises idées » proposées. C’est là que j’ai constaté que j’avais encore ma cage de chasteté et que je m’étais, finalement tellement éclaté que l’idée de me masturber, comme bien souvent quand je me fait un petit selfbondage, ne m’avait même pas effleuré l’esprit.
Je me suis demandé si j’oserai leur confier les clés de ma cage tout en pensant à un autre des scénarios que Marc m’avait indiqué. Pour ne pas faire que des « vilaineries » et profiter de mes vacances, je me suis obligé à m’habiller pour aller visiter un peu la région. En effet, en Espagne, les commerces et autres ferment relativement tard le soir.
A suivre pour mon selfbondage sur la chaise d’inquisition du gîte fétichiste, un scénario qui m’excite rien que d’y penser.
Fin
- Si Marc existe réellement
- Si le gîte fétichistes existe réellement
- Si il est possible de vivre ce type d’aventure au gîte fétichistes
- Cette histoire est totalement fictive. Son but est de vous donner un exemple de ce qu’il est possible de vivre au gîte fétichistes
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