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dimanche 16 juin 2024

Vivre en femme la dysphorie du genre en vacances

 Un de nos clients a  réalisé son rêve et son fantasme de vivre habillé en femme. 

Le blabla, c'est bien, les photos c'est mieux pour vous permettre de voir qu'au gîte fétichistes vous pouvez vivre comme vous voulez ! 

 Il n'a pas été jugé, bien au contraire, nous l'avons même accompagné pour faire de l'urbex en femme.
















 Pour visiter le gîte et les installations sur Youtube, cliquez ICI

Le site du gîte fétichistes est ICI


mercredi 7 juin 2023

Les libertins se lâchent au gîte fétichistes

Le donjon et les installations du gîte fétichistes donnent aux libertins des envies de BDSM sexuel

 

Pilori

Ces deux couples libertins se connaissent depuis des années. Ultra complices et en totale confiance, entre eux, ils pratiquent sans préservatif. Ce n’est pas la première fois qu’ils partagent des vacances, l’année précédente c’était au Cap dAgde mais comme les prix explosent et que tout devient payant, agacés ils ont décidé de changer de destination.

Dès leur arrivée, ils sont agréablement surpris par l’accueil malgré l’heure tardive. Une présentation rapide des lieux puis du donjon et de l’appartement leur est faite. Sur la table du salon ils trouvent avec le code wifi et le classeur des conseils d’usage, une rose pour chacune des femmes ainsi que le classeur des vraies bonnes mauvaises idées.

Ils constatent que les repas commandés à 9,50 euros sont bien au réfrigérateur, qu’une baguette de pain est posée sur la cuisinière. La climatisation est également allumée et les lits sont prêts. Marc leur indique que les papiers et la suite de la visite se feront le lendemain quand ils se seront reposés. 

Nos amis libertins prennent une douche salvatrice avant de se jeter sur le repas. Entre l’entrée et le plat se réchauffant au micro-onde, Paul commente en rigolant ce qu’il a découvert dans le classeur des Vraies Bonnes Mauvaises idées.

- C’est complètement fou cette ouverture d’esprit qu’ils ont ici. Dans le classeur, il y a quasiment des idées et scénarios pour tous les fétichismes ou presque. J’ai bien aimé l’idée de la chasse à la soumise. Franck, je te propose que demain nous lâchions une de nos femelles sur la propriété, le premier qui la trouve se la saute sur place. Qu’en penses-tu ?

Avant même que Franck ait le temps de répondre, les filles s’insurgent, elles ne sont pas des femelles, encore moins du gibier ! Même si elles savent pertinemment qu’il plaisantait et ne leur manquait pas de respect, elles le menacent de représailles.

- Chéri, j’ai lu sur le site du gîte qu’ils peuvent garder les clés des cages de chasteté, j’ai bien envie de te mettre sous cage de chasteté et de leur confier les tiennent ! Menace Martine l’épouse de Paul.

- Je ne l’ai pas emmenée ! Répond Paul au tac au tac.

- Moi si ! Lui répond Martine.

Lucie provocatrice dans l’âme surenchérit et déclare qu’être traitée de gibier l’a profondément blessée. Excitée depuis leur arrivée, elle propose d’aller visiter le donjon en détail puis de mettre Paul sur la croix de Saint André pendant qu’ils s’amusent tous les trois dans la chambre LOVE.

Ce soir là, après les heures de route, hormis un bain naturiste dans la piscine, ils font qu’un petit tour dans le donjon où ils s’excitent à l’avance.

- J’adore ce lieu et tout ce matériel, je sens que l’on va s’éclater mon amour ! Déclare Paul à sa femme parfois dominatrice sous la couette.

- Martine, j’ai comme l’impression qu’il est en demande ton chéri, on le fait dormir dans le lit cage ? Demande Lucie. Comme ça, il n’y aura pas besoin de chasser, on l’aura déjà sous la main.

- On va peut-être attendre demain, mais l’idée me plait bien. Il a intérêt à être sage et gentil avec celle qui pourrait bien devenir une sévère domina…. ! Réponde Martine amusée.

Après quelques bisous de principe, nos libertins ne tardent pas à se coucher dans les deux lits king size superposés. Réveillé au chant des oiseaux, Paul est le premier à se lever. Il sort discrètement du gîte sans trop ouvrir la porte pour que le soleil ne réveille pas tout le monde. C’est avec la trique encore au garde-à-vous qu’il retourne au donjon après avoir « « levé la patte » » aux pieds des arbres. Rapidement excité par les lieux et le matériel, ce n’est pas l’envie qui lui manque de diminuer la « pression » intracrânienne. CAD l’envie de jouer avec ce qui sert à ??? Vous avez deviné ? Bon, je continue le récit !

Il revient donc « sagement » au gîte pour préparer la tournée générale de café. Pendant qu’il coule, il va installer les bols et de quoi grignoter sur la terrasse. A son retour, les coquins commencent à bouger et prennent leur ticket, comme à la sécu, pour passer à la salle de bain faisant également office de lieu dédié au dépôt de bilan. (Les toil…) 

Lorsque Marc les aperçoit en se rendant au potager dans une tenu ultra fétichiste, baskets trouées, chaussettes usées et short même pas assorti au tee-shirt vintage, il leur fait un coucou de la main avant de poursuivre son chemin. Hélé par les filles à moitié nue et les hommes à poil, il vient donc discuter avec eux en les regardant comme si ils étaient vêtus de tenue de sport. CAD il n’en avait rien à faire de leur nudité.

La discussion porte dans un premier temps sur les lieux à visiter, les choses pratiques comme le tabac et les courses alimentaires. (A croire que le classeur posé sur la table du gîte avec toutes ces infos ne sert à rien MDR) A la suite de quoi, la discussion porte sur les installations et sur les propositions de jeux possibles en extérieur. Que n’avaient-ils pas fait là que d’entraîner Marc sur ce sujet ? ? ?

Vingt minutes plus tard, il n’y avait pas que les yeux des filles qui brillaient du feu du désir, feu animé par un vent de perversité force 8. Chasse à la soumise ou au soumis ont été abordé tout comme la possibilité d’installer le banc à fessée dehors pour autre chose que les punitions. Il leur explique qu’il est possible de planter 4 pieux dans le gazon pour entraver une fille ou un homme bras et jambes écartés et fesses en l’air, d’utiliser le hamac de la piscine comme un sling, de faire un ou des Espaces game coquin, de faire ….. 

Paul demanda alors à Marc de terminer la visite sommaire du donjon, faite rapidement la veille, pour leur laisser le temps de se reposer. Autant demander à un fétichiste passionné de vous commenter non pas son mais SES fétichismes. Etant ultra ouvert d’esprit, à chaque matériel ou exemple donné, Marc indiquait que cela est utilisable autant pour homme que pour femme. Etant toujours nu, Paul ne put cacher que les explications ne le laissaient pas de marbre.

Pour ne gêner personne et comme il y avait beaucoup de vent, Marc leur conseilla d’aller visiter le célèbre Monasterio de Piedra (Monastère de Pierre) qui est justement bien abrité du vent. Il précisa que le parc méritait le détour mais qu’il est à faire avec de bonnes chaussures. Après ces explications moins érotiques, le bas ventre de Paul se remit au repos.

Ils commandèrent avant de partir « touristiser » le repas du soir mais cette fois dans la salle de restauration. Marc leur proposa de venir choisir dans son potager les légumes bios du repas qu’il leur préparerait. Etonnées, les filles apprécièrent tout comme le fait qu’il leur propose de prendre quelques fruits pour la route dans le verger.

Pendant la journée, il leur prépara une quiche au jambon Ibérique et aux truffes puis du canard en sauce avec des timbales de légumes et quelques frittes. (Frittes de courgettes, frittes de carottes, frittes de pommes de terre).

Vers 17 heures, les touristes libertins rentrèrent avec le sourire smiley posé sur les lèvres. A priori la visite leur avait plus. Douche et piscine + coquineries aquatiques fut leur programme de la soirée en attendant le repas servi à 21 heures.

Pendant le repas à 13 euros pris en salle de restauration, avec le menu comprenant l’apéro et les amuses bouches, nos libertins contèrent leurs impressions avant de passer aux questions habituelles posées par les clients.

Résumé rapide pour ne pas vous ennuyer :

- Qu’est-ce qui vous a incité à venir vivre en Espagne ?

- La macronie, la France qui par en C…, les finances, la sécurité et la convivialité du pays.

- Vous devez en voir des drôles ?

- Oui, mais le principal est que les clients s’amusent, le reste on s’en moque. Le plus amusant ce sont les célibataires qui viennent faire du selfbondage ou des jeux solitaires. Au début ils sont timides, mais juste au début si vous voyez ce que je veux dire.

ET LA, au milieu de la discussion cette fois en présence de l’épouse de Marc, Martine demande devant tout le monde si c’est vrai qu’ils acceptent de garder les clés des cages de chasteté des messieurs ? Autant dire que Paul piqua du nez dans son assiette de fromage inclus également dans le menu ! (Le dernier point n’est pas important mais j’y tenais alors…)

Devant la réponse positive de Marc et son épouse, Martine leur confia un jeu de clé. Autant dire que pendant le repas, Lucie et Franck s’amusèrent aux dépens du futur et chaste vacancier.

Le lecteur doit savoir que dans ce monde de coquins, entre elles, les filles peuvent être de sacrées chipies et même devenir démoniaques pour martyriser un homme. Les femmes peuvent réellement être pire que les hommes en ces domaines.

Comme indiqué précédemment dans le texte, la femme de Paul parfois est dominatrice sous la couette. Oh rien de BDSM, disons qu’elle aime bien gérer et que son chéri fasse ce qu’elle a envie comme elle a envie. Dans leur couple, la cage de chasteté n’est pas vraiment un accessoire de domination et Paul ne la porte jamais très longtemps. Martine la lui impose lorsque elle a ses règles et surtout, lorsqu’elle a envie qu’il s’occupe beaucoup d’elle en lui broutant le minou pendant des heures par exemple. Elle l’a bien menacé de la lui mettre lorsqu’ils vont en club libertin mais n’est jamais passée à l’acte.

Poussée par Lucie désireuse d’en jouer, de s’en amuser, puis par Franck, ravi de s’imaginer passer des soirées avec deux femmes pour lui tout seul, la menace de chasteté perdure. Si bien qu’après le dîner, lorsqu’ils vont au donjon pour explorer plus en détail les accessoires et carcans, la dite cage de chasteté trouve sa place sur le sexe de Paul. Quelques minutes plus tard, il se retrouve entravé nu et encagé sur la croix de Saint André. Les filles l’allument un max et s’en amusent. Elles poussent le vice jusqu’à s’agenouiller pour lui lécher les couilles, le caresser, lui grignoter les tétons ou le dévorer de bisous, le tout en jouant avec sa verge prisonnière dans le tube de la cage. Le pauvre Paul, donc la verge subit la crise du logement, ne peut même pas caresser les furies devenues gloutonnes, que dis-je, des rapaces.

De son côté, Franck a rapproché un magic wand massager du lit baldaquin puis un gode. Allongé sur le lit, il commente les « souffrances » psychologique de Paul tout en caressant sa verge en pleine forme. Jugeant qu’il était temps de passer aux câlins, elles rejoignent Franck pour câliner et s’occuper de la seule verge libre et disponible. L’encagé entravé sur la croix ne peut qu’assister à leurs ébats.

Animée par une certaine perversité, au bout d’une heure de câlins en tout sens, Lucie propose d’installer Paul sous la chaise percée afin qu’il puisse constater, après coup, qu’elles se sont « bien amusées ». C’est Franck qui est chargé de l’entraver sous la chaise percée présentée comme des toilettes pendant que les filles se font un 69 d’anthologie sur le lit de la chambre LOVE.   

Un langue c’est bien, une belle verge en pleine forme c’est mieux s’accordèrent à dire les deux filles ne parvenant pas à se rassasier. Franck du faire des efforts surhumains ce soir là pour ne pas jouir trop vite, ce qui lui aurait imposé une petite pause avant de retrouver un forme « utile » pour les mangeuses d’homme. Sous sa chaise percée et avec l’abatant des WC fermé, Paul ne peut qu’entendre et subir. Ce petit jeu ne lui déplait pas, il aime bien être un peu bousculé de temps en temps. Là, ses fantasmes de cuckold sont donc pleinement satisfaits.

Désireuse de varier un peu les plaisirs, n’ayant jamais testé la chaise percée ni le « toilet Salve » Lucie prend l’initiative que quitter le lit ravagé par leurs ébats pour aller s’asseoir et confier la toilette de son chaton à la langue de Paul. Aux fragrances de l’amour, ce dernier ne tarde pas à constater que la partie était chaude, avant que sa langue le lui confirme. Vicieuse comme pas deux, Lucie lui confie aussi son anus à lécher en plantant ses griffes dans les tétons se trouvant juste sous ses doigts. De leur côté, Franck et son épouse pratiquent la chevauchée fantastique jusqu’à sa conclusion. A leurs cris, Paul imagine qu’il sera bientôt libéré ce qui est une erreur.

En effet, quelques instants plus tard, et sûrement dans un esprit de partage, Martine se lève en mettant sa main en cuillère sous son chaton afin de ne pas perdre du bon jus d’homme qu’elle compte bien partager avec son mari. Comprenant le projet de son amie, Lucie cède sa place sur la chaise percée et Paul voit arriver l’arrière train de son épouse. Alors qu’il rechigne, Lucie pose son pied sur la cage de chasteté et commence à lui écraser les précieuses pour le motiver à laper le précieux liquide qu’elle boit régulièrement.

« Ne te plaint pas, il aurait pu me sodomiser et puis, en temps normal, tu aimes bien me faire avaler ton jus d’homme, tu peux donc le savourer à ton tour » lui crie Martine en plein délire de domina en herbe. Entravé et malmené, Paul n’a pas d’autres choix que de s’exécuter. Il lèche donc le sexe baveux de sa femme avec un léger manque de motivation compensé par un pied de perverse.

En sortant du donjon, l’éclairage de la piscine leur fait l’effet d’un aimant. Nos libertins rassasiés (sauf un) sont tentés par un bain de minuit. Paul est envoyé au gîte pour aller récupérer les serviettes. Pendant son absence les filles complotent et mûrissent l’idée de mettre Paul dans le pilori et de le faire sauter par son ami Franck.

Avant de se coucher, Paul demande à sa femme de lui retirer la cage de chasteté. Mais hélas pour lui, c’est Marc et son épouse qui ont les clés. Les réveiller pour ça n’est pas une bonne idée du tout !

Le lendemain, avant de partir visiter Saragosse, toujours aussi perverse, Lucie demande à Marc de leur préparer un Espace game. Son idée est que l’une d’elle devienne la proie d’un prédateur. Rien que d’y penser elle s’excite. Martine a cédé aux suppliques de son chéri et lui a retiré la cage de chasteté mais en confiant secrètement à nouveau les clés à Marc.  

Sur le chemin du retour après une journée à Saragosse, nos libertins font quelques photos érotiques en mode Urbex dans un hôtel désaffecté. Arrivé au gîte, il est décidé de tirer au sort, pour savoir laquelle des filles sera la proie de l’Espace game. Appelé en renfort, Marc vient donc équiper Lucie de quelques entraves. Il lui conseille de mettre des chaussettes pour ne pas blesser ses jolies chevilles avant de les enchaîner de façon à ce qu’elle ne puisse pas courir. A l’aide d’une autre chaîne et d’un cadenas, il relie les menottes aux chevilles avant de lui donner une enveloppe avec les indices.

Nue et ainsi enchaînée, la prisonnière devenant gibier quitte le donjon avec 15 minutes d’avance. Paul et Franck savourent une bonne bière en compagnie de Martine comme surveillante de l’alarme mise sur le mobile.

De son côté, Lucie savoure le fait d’évoluer nue dans la nature avec des entraves puis d’être le gibier. Cela l’amuse autant que cela l’excite. En même temps, elle aimerait bien gagner et trouver les clés afin que ce soit elle qui décide comment s’orienteront les amours du soir. Sur les conseils de Marc, les chasseurs partent avec une serviette sur l’épaule afin de protéger leur proie à consommer sur place. En effet, un minimum d’hygiène et de confort ne peut pas nuire quand on se fait « violer » par des chasseurs assoiffés de sexe. 

Lucie a réalisé une grande partie de l’espace game lorsque les chasseurs partent chasser la « femelle ». Martine les suit de loin en marchant normalement contrairement aux hommes bien décidés à gagner la partie. L’un des deux est sur la partie haute du terrain, l’autre sur la partie basse comme un rabatteur. Evoluant entre les arbres du verger, Paul a moins de visibilité contrairement à Franck qui est plus dans la « plaine ». En les ayant vu arriver, Lucie se cache entre les vignes située entre la partie basse et haute du terrain. Hélas (ou tant mieux) pour elle Franck l’a aperçue.

Nos deux chasseurs convergent vers le gibier tentant de fuir à petits pas vers ce qu’elle pense être le lieu où se trouvent les clés de ses entraves. Attrapée à bras le corps par Paul, elle ne peut rien faire pour s’échapper et regarde Franck installer les serviettes de bain. Obligée sous la menace d’être confiée à Marc pour une séance de fouet, elle n’a pas d’autres choix que de faire des fellations aux chasseurs avant d’être plaquée au sol. Paul relève les jambes de sa femme afin qu’elle ne puisse plus échapper à la belle trique de son ami.

Etant excitée par le jeu, la pénétration du sauvage dans un mini « marécage » n’est qu’une formalité. Lucie s’éclate à être la victime, à être ainsi défoncée en plein air. C’est grâce à ses cris de plaisir que Martine les retrouve facilement. Secrètement elle se plait à imaginer être à sa place. Si bien qu’elle prend place sur le visage de la proie pour se faire bouffer la chatte en tenant les jambes agitées de tremblements. A défaut de se faire sauter, elle peut au moins se faire brouter. 

- Encule cette salope mon amour, il faut que tous ses orifices soient utilisés ! Ordonne Martine à son mari une fois que Franck a terminé son affaire.

Entre les jambes de Martine on peut entendre crier le mot « salope », la suite est rapidement étouffé par une chatte bien trempée. Paul mouille donc de salive le petit orifice à tarauder sans modération une fois « perforé ». Comme il n’a pas joui depuis 48 heures, autant dire qu’il est motivé. La « pauvre » Lucie a beau essayer de se soustraire à ses ravisseurs et au Priape de Paul, la prise de la pastille, bastille pardon se fait sans trop de soucis. Et pour cause, Lucie aime bien se faire prendre par là. Au bout d’un petit moment, les oiseaux s’étonnent qu’une victime pousse de tels cris de plaisir. Cela leur fera sûrement un sujet de discussion une fois rentrée au nid. 

Après avoir récupéré les clés, nos libertins reviennent tranquillement à leur gîte. Les premiers arbres du verger bénéficient d’une sorte d’engrais bio humain sur le chemin du retour. La douche leur est salutaire tout comme le bain dans la piscine.

………………..

Comme vous le savez, deux filles sont toujours d’accords pour dire du mal d’une troisième mais entre elles, elles ne s’épargnent pas pour autant. Lucie a donc décidé de se « venger » de Martine l’ayant traitée de salope avant de la faire enculer à son tour. Je précise pour le lecteur, que ces vengeances bien réelles sont malgré tout très amicales dans ces jeux.

Sur Fessestivites, Lucie a pu voir un bondage réalisé par Marc pour un couple. L’homme attaché comme un chien est suspendu sous le treuil dans le donjon. Dans la vidéo, Marc fait voir qu’une fois suspendue, la personne peut être utilisée par les deux extrémités de son tube digestif en le faisant tourner. Le lendemain, elle s’arrange pour l’interpeller pour lui demander si il peut, sous prétexte d’un cours de shibari, réaliser ce bondage sur son amie. Lui demander de donner un coup de pouce avec ce cours et de partager une de ses passions n’était donc pas anodin.

Il est 17 heures lorsqu’ils reviennent d’une balade dans le désert des Bardenas Reales. Elle a prévenu ses amis de sa demande de cours de shibari tout en précisant que Martine serait son modèle déclaré volontaire. Si cette dernière sent l’embrouille, elle n’est pas pour autant inquiète, entre elles il n’y a jamais de réelle méchanceté.

Vers 17h30, Marc les rejoint donc pour leur faire voir comment faire rapidement un bondage « en mode chien ». Il se fait aider en leur demandant de faire la même chose que lui à Martine nue et à quatre pattes dans le donjon. Il est vrai que à quatre pour les « pattes » cela va plus vite que quand il n’y a qu’un seul shibariste. A la suite de quoi, il rajoute quelques cordes puis demande à Lucie de faire avancer « la chienne » jusque sous le treuil qu’il fait descendre. C’est là que Martine comprend qu’elle va vivre une suspension et qu’elle s’est faite piéger par son amie.

Marc finalise rapidement son shibari et entreprend donc de faire monter Martine à l’aide du treuil. Il lui demande régulièrement si cela va, si elle a mal quelque part afin d’ajuster quelques cordes.

- Je vais donc vous laisser tranquilles mais avant il faut que je vous donne les conseils de base. Vous devez vérifier que le s a n g circule bien à l’extrémité de ses membres ensuite si elle ne va pas bien, rien que le fait de la faire redescendre et poser sur le sol devrait résoudre le problème. Mes nœuds de suspension n’en sont pas réellement, il suffit de tirer ici et ici pour les défaire. Ensuite, il ne vous restera qu’à faire glisser mes cordes sur ses membres après avoir défait les boucles centrales. Cela peut donc aller très vite. Merci de ne pas lui faire tourner sur elle-même plus d’un tour afin de ne pas enrouler les câbles du treuil. Bonne amusement à vous. Leur indique Marc avant de quitter les lieux.

- Salope tu avais prévu ton coup à l’avance et comploté avec Marc ! Crie Martine. 

- Moi comploter ? Jamais voyons ! D’ailleurs j’ai une petite surprise pour toi. Regarde cette belle queue de chienne, je suis sûre que tu as envie de l’avoir dans les fesses ! Lui répond Lucie avec un sourire pervers posé sur les lèvres.

Avec un plaisir non dissimulé, elle mouille le rosebud de la queue de chienne du donjon avant de le presser contre le délicat petit orifice habitué à du plus gros. Ainsi équipée, Martine ressemble à une chienne au toilettage canin ne tarde pas à faire remarquer Paul amusé, et dont l’état de sa verge ne cache pas ses intentions.

Nos deux compères ajustent la hauteur de la « chienne » afin de profiter des deux côtés de son anatomie. Franck se fait sucer pendant que Paul, placé derrière elle la pénètre avec un plaisir non dissimulé. D’un léger balancement, Lucie s’amuse à la faire prendre et sucer en alternance avant d’installer le fauteuil de Maîtresse sous son amie. Assise, elle peut à loisir attraper ses tétons pour entretenir le balancement.

Après avoir râlé le minimum, syndical, Martine découvre que se faire prendre ainsi suspendue est planant dans les deux sens du terme. En la faisant tourner, Lucie permet aux deux hommes d’alterner les « orifices ». Ce jeu l’amuse un moment mais elle a bien l’intention « d’achever » son amie. Elle quitte donc sa place de perverse voyeuse pour aller chercher un magic wand à poser sur le clitoris, appelé aussi bouton des plaisirs féminins. Et c’est justement un maximum de plaisir qu’elle veut donner à son amie. Il y a quand même pire comme vengeance nous en conviendrons !

Après un certain nombre d’orgasme, Martine demande grâce. Rapidement descendue et libérée, elle s’allonge quasiment sur fauteuil de Maîtresse pour se remettre de toutes ces agréables sensations et jouissances. N’ayant pas encore pris du plaisir autre que cérébral Lucie s’allonge sur le lit de la chambre LOVE pour réclamer son dû, chose que les deux hommes se « dévouent » à lui donner. Réellement épuisée, Martine s’endort pendant les festivités. (Nan, il n’y a aucun rapport avec le super site Fessestivites) 

  La semaine de vacances de nos libertins passe à une vitesse époustouflante. Entre les sorties touristiques en journée, la piscine et les joutes sexuelles le soir les heures semblent être devenues de minutes. Si bien que pour en profiter le plus possible, ils ne commandent plus que les repas du soir à 9,50 euros pour ne pas perdre de temps à aller faire les courses et cuisiner.

Le vendredi, Marc rappelle à Paul qui est fumeur, le principe de l’Eco-tourisme en lui disant qu’à 5,30 le paquet de cigarettes, il serait intéressant d’en prendre quelques cartouches. Paul inquiétait d’être contrôlé et verbalisé par les douaniers français, le principe de l'Eco tourisme lui plait beaucoup. Ils se rendent au tabac du village où Paul achète 6 cartouches que les douaniers ne verront pas. A leur retour, aidé de Malicia, ils font un carton d’expédition comme ceux de la boutique ABCplaisir, Paul se crée un compte Mondial Relais et paye l’expédition de ses cartouches de cigarettes. Son colis ne sera envoyé que le lundi, ce qui leur laisse largement le temps de rentrer en France et de reprendre 2 autres cartouches avant la frontière. Au total, Paul a économisé près de 300 euros, ce qui paye une grande partie de leurs vacances ! 

Pendant qu’il cherchait à faire des économies, les filles complotent un max pour faire une surprise de taille 20 X 5 à Paul. Le pilori est donc sorti du donjon pour être installé près de la piscine. A son arrivé, les inquisitrices ne dévêtissent pour le bloquer dans le pilori. Franck est invité à participer activement à la sodomie de son ami. Si il n’était pas très motivé, quand deux furies gloutonnes s’acharnent sur un homme après lui avoir mis un cockring et fait des promesses de « remerciement » il n’a pas de souci d’érection devant les fesses d’un homme.

N’étant pas encore informé qu’il a été condamné au supplice du Pal, le pauvre Paul ne comprend les intentions des filles que lorsque, tenu par la queue Franck est conduit derrière lui. Son petit cul fut bien lubrifié malgré ses réfutations. Ayant déjà connu le gode ceinture, il allait donc goûter à une belle queue de 20 X 5.

Pour l’aider à accepter plus facilement le « Pal », Lucie passe sous Paul pour le sucer un peu pendant que Martine guide la queue de Franck dans le délicat orifice affolée. A l’aide de gros bisous et de caresses ciblées, la verge de Franck conserve sa « motivation » perforatrice. 

Paul ne put réellement se soustraire tant les filles étaient motivées et motivantes^^^. Une fois emmanché et un peu « ramoné » il commença à apprécier. Ce n’est qu’à ce moment là que Lucie abandonna la fellation du « condamné » pour assister au spectacle d’un homme sodomisé par un autre. Cela l’excita encore plus que d’en avoir parlé et vu sur le net. Elle n’eut pas d’autres choix que de se caresser sans aucune pudeur avant de prendre Martine par la main pour l’accompagner dans le plaisir.

Adorant voir les filles se "gouiner", Franck put se « masturber » autrement qu’avec sa main. En clair, il n’avait plus besoin d’accompagnement psychologique pour continuer d’enculer son ami. Il trouva même qu’un cul d’homme est aussi agréable qu’un cul de femme mais garda cette remarque pour lui. Si bien que les oiseaux perdirent leur latin en assistant à cette débauche bruyante que la piscine gardera en mémoire.

Franck fut grandement remercié pour sa prestation, et Paul fut mis sous cage de chasteté avant d’être libéré du pilori. C’est donc nu et encagé qu’il fut conduit tout honteux à Marc et Malicia pour finir de payer la semaine de vacances. Ce qu’il ne savait pas, c’est que Martine avait récupéré les clés de sa cage de chasteté. ET oui, les filles avaient encore comploté. Elles lui firent croire que Marc les avait placées dans le colis des cigarettes.

Après le repas du soir pris au gîte, ils ne firent qu’un passage éclair au donjon, la fatigue du tourisme et leurs aventures en fut la cause. Cela permis à chacun d’essayer quelques accessoires mais cela ne fut que de simples petits jeux. 

Le lendemain, ils reprirent la route  en se promettant de revenir.

FIN

- Si Marc existe réellement

- Si le gîte fétichistes existe réellement

- Si il est possible de vivre ce type d’aventure au gîte fétichistes

- Cette histoire est totalement fictive. Son but est de vous donner un exemple de ce qu’il est possible de vivre au gîte fétichistes

Visiter le site du gîte fétichistes en cliquant ICI

https://gitefetichistes.com

lundi 5 juin 2023

Une femme découvre la soumission au gîte fétichiste

 


Cela faisait un moment que Paul me parlait de BDSM et, personnellement, cela me faisait peur. Certes, j’avais bien quelques fantasmes coquins mais de là à les vivre... Ce coquin m’a bien eue en me promettant que nous ne ferions que l’amour dans la chambre LOVE !

A notre arrivée, j’étais un peu tendue. Cela n’a pas duré car l’accueil est aussi simple que chaleureux. C’est vraiment l’esprit « vacances » à la campagne qui est mis en avant. Après nous avoir aidé à décharger nos affaires et expliqué rapidement le fonctionnement du gîte, Marc nous a fait visiter sommairement le parc, l’immense verger en nous disant que nous pouvions aller cueillir des fruits, si nous en avions envie ou nous y amuser. Sous-entendu perçut par Paul comme vous le constaterez plus tard.

Jusque là, c’était l’esprit « vacances » à la campagne mais cela n’a pas duré. Après nous avoir fait voir la piscine en nous précisant que nous pouvions y faire du naturisme, il a ouvert une porte donnant sur ce qu’il a appelé : les lieux de perditions. OUF ! C’était la première fois que j’entrais dans un donjon et si cela est excitant à voir sur internet, en réel, c’est troublant.

Marc nous a fait voir pour la climatisation, les jeux de lumières, la télécommande du treuil puis les accessoires et mobilier à notre disposition. A chaque fois, il donnait très sommairement des exemples d’utilité... Les yeux de Paul brillaient d’envie ! Lorsque Marc nous a précisé que nous pouvions aussi sortir du matériel pour jouer ou faire l’amour à la piscine, dans le parc ou le verger, je me suis décomposée en imaginant que mon mari allait avoir ces envies.

Accompagnés à l’accueil, un ancien moulin restauré, pour y faire les papiers, j’étais encore troublée par ce que j’avais vu dans le « lieu de perdition ». Autant dire qu’une fois seuls, Paul n’a pas tardé à vouloir y retourner. Il m’a attrapée et jetée sur le lit de la chambre LOVE pour me dévorer de bisous.

Un bisou en appelant un autre, dans ces lieux grisants, le plaisir charnel semble décuplé.

Comme par hasard, le lit de la chambre love est équipé de menottes permettant d’attacher une personne. Paul a retiré ma culotte et m’a donc entravée les bras et jambes en croix pour continuer de me dévorer de bisous et caresses. Il m’a soudain abandonnée pour aller chercher un gros vibro dans les X sextoys du donjon. Branché à la rallonge fixée à la tête du lit, j’ai du « subir » ses attaques sensuelles sans même pouvoir le caresser à mon tour ni même, l’étreindre.

« Obligée » de subir un tsunami de caresses, de bisous avec en plus, un truc qui vibre contre votre bouton magique, cela donne des envies de plus. J’ai fini par lui dire de me prendre tant j’étais excitée. Il n’a pas tardé et, pour la première fois, je me suis vue dans le miroir situé au dessus du lit. J’ai découvert les fesses de mon mari en pleine action mais aussi que mon visage peut être très expressif...

Paul avait commandé le repas livré dans le réfrigérateur du gîte. Si bien qu’après la douche, j’ai mis la table et réchauffé le repas au micro-onde. Mon mari n’avait pas l’air d’avoir faim et n’avait pas encore pris sa douche. Il lisait et sa lecture semblait passionnante au point de m’oublier ! ! ! J’ai compris la raison de cette soudaine passion pour la lecture, quand il est allé prendre sa douche.

Sur la table du gîte se trouvent deux classeurs. Un avec toutes les infos pratiques et touristiques pour les touristes, l’autre appelé « le classeur des vraies bonnes mauvaises idées ». C’est en quelque sorte le tutorial pervers des installations coquines. Mon mari avait trouvé un mode d’emploi pour libérer ses envies sadiques ! ! ! Bon, j’avoue que certaines des idées du classeur sont troublantes...

La route nous ayant fatigué, nous n’avons pas traîné à essayer le lit king size. Un bisou et trente secondes plus tard, Paul dormait me laissant seule avec mon temps d’insomnie. J’avais envie de retourner lire le classeur maudit, juste.... pour tuer le temps en attendant que Morphée s’occupe de mon cas. Lire a mis le feu aux poudres de ma libido. Mes doigts coquins ne sont pas parvenus à « m’achever », une douce somnolence a fini par envahir. Au lieu de profiter du lit king size, je me suis lamentablement endormie sur le canapé avec la lumière allumée.

Le lendemain, Marc nous a conseillé d’aller visiter le Monastère de Pierre en nous indiquant que ce serait une bonne stratégie, à cause du vent très fort ce jour là. Après 40 minutes d’autoroute gratuite, cela change, nous sommes arrivés à destination. Ouah ! Ce lieu est lui aussi magique ! Après la visite de l’abbaye grandiose, nous avons visité le parc et ses cascades. Ce lieu est géant, frais et abrité du vent. C’est un peu fatiguant pour les petites jambes habituées aux ascenseurs. Marc nous avait prévenu des horaires espagnols, nous n’étions donc pas inquiets en arrivant au restaurant en début d’après-midi. Pour 15 euros nous avons pu apprécier un bon repas servi rapidement. A priori, ils n’aiment pas faire attendre les clients ou sont mieux organisés pour le service, cela change.

Pour revenir au gîte, nous avons essayé un autre itinéraire fort sympathique, passant de zones ultra boisées à des zones quasi désertiques. Les contrastes sont surprenants. En arrivant, Paul m’a proposée de prendre un bain à la piscine puis de se reposer. Reposer, mon oeil... J’ai rapidement été attaquée par un requin coquin et affamé. Il a osé, essayé de me manger mais j’ai refusé par peur que Marc nous voit. En guise de câlins aquatiques, je me suis laissée bloquer dans le pilori du donjon.

Rapidement dévêtue, et pour cause je n’avais qu’un bas de maillot, je me suis faite traiter de sorcière par le grand inquisiteur bien décidé à essayer quelques instruments. Après avoir désinfecté et recouvert d’un préservatif le petit plug de chienne, il me l’a logé dans les fesses en me disant que la petite queue m’allait très bien. Le mufle !

Ce n’était pas la première fois qu’il me mettait un petit truc dans les fesses, mais me faire prendre debout, entravée avec un truc dans l’anus m’a faite décoller très vite. Chacun de ses mouvements était comme décuplé derrière. C’est là que j’ai commencé à trouver que le BDSM, ce n’est pas si inintéressant que ça dans la réalité. En effet, cela faisait deux fois qu’il me faisait l’amour en deux jours, et deux fois que... que c’était bien bon !

Le repas du soir fut pris dans la salle de restauration du gîte avec les propriétaires. Supers zens, ils nous ont parlé de leurs mésaventures, des surprises en arrivant au moulin. Il nous ont indiqué ne pas regretter un seul instant d’avoir quitter la France. Nous avons compris rapidement pourquoi pendant notre semaine de vacances. Ici la vie est moins chère, les gens sont zens. Le repas, servi sur assiette ressemblait à celui d’un trois étoiles ! Pour treize euros tout compris, c’était franchement bon et copieux.

Le lendemain, nous avons continué de « touristiser » en allant au marché de Saragossse sur les conseils de Marc et son épouse. Constat cruel : quand les prix sont de folie et ultra bas, on dépense plus ! Bon en même temps, j’ai deux ans d’avance pour les fringues. RIRE !

Arrivés au gîte, après un énième resto cette fois à 12 euros par tête, puis une première exploration de Saragosse, la piscine nous tendait les bras. Et mes fesses devaient les tendre aussi à mon mari désireux de jouer les requins toujours affamés. Devant mon refus, la pudeur... il m’a dit que cela mériterait une fessée.

« Hummmm, voilà une bonne idée, mais sur le banc à fessée » fut ma réponse. Paul fut surpris car je n’avais jamais osé lui parler de ce fantasme. Conduite au donjon puisque nous avions la clé, je fus donc entravée sur le banc à fessée puis, punie pour provocation.

Aie, aie, aie au début, mais, au bout d’un moment, j’étais comme dans une bulle. Quand Paul s’est arrêté en voyant mes fesses rougir « sérieusement » d’après lui. L’inconsciente lui a dit « c’est tout » ?

Que n’avais-je pas dit là ! Il a attrapé le paddle Fessestivites et j’ai dégusté au départ avant d’entrer à nouveau dans la bulle d’une « masochiste des fesses qui se découvre ».

Le repas du requin étant servi et entravé sur un banc à fessée, les deux côté de mon tube digestif ont été utilisé même si, derrière, je n’aime pas trop. Là, ce fut différent, peut-être que le fait d’être entravée décuple mes plaisirs.

La suite des vacances c’est déroulée sur le même principe et c’est, finalement, épuisant ! Tourisme, marche, piscine et sexe avouons-le, c’est génial mais fatiguant.

Pour le sexe en extérieur, Paul avait conspiré avec Marc lui ayant prêté des menottes. Sous prétexte d’aller manger des fruits mûrs sur l’arbre, mon mari m’a faite marcher jusqu’au fond du verger. Et là, il m’a menottée par surprise à un arbre, m’a déculottée, fessée et ....

Finalement, faire ça au grand air ce n’est pas si mal ! Bon d’accord, j’ai perdu une culotte puisque nous l’avons oubliée au fond du verger !

Ce qui est un peu fou en ces lieux, c’est qu’en plus des vacances touristiques, on a envie de céder à la tentation et que l’on découvre des choses pas désagréables du tout.

Fin

Cette histoire est fictive.Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existé est purement fortuite hormis pour Marc qui existe réellement tout comme le gîte fétichistes dont le site est ICI.

Selfbondage au treuil du gîte fétichistes

 

Equipement du gîte fétichistes

J’étais en vacances en Espagne où j’ai choisi comme hébergement de louer le gîte Fétichistes avec l’idée de faire du tourisme mais aussi de m’amuser.

Lorsque j’ai dit à Marc que je manquais d’idées pour faire du selfbondage, sa réponse, accompagnée d’exemples de multiples scénarios possibles, n’a pas tardée ! Après une petite discussion et quelques questions un peu gênantes, il m’a proposé de me guider sur un scénario et des tenues si j’en avais envie.

Devant mes incompréhensions et mes doutes, il m’a donc accompagné au donjon où il a installé le matériel de base en me disant que pour les accessoires et tenues, je pourrai agrémenter à ma guise en fonction de mes envies. Après avoir fait descendre le crochet du treuil du donjon, il y a bloqué les menottes en y attachant une longue ficelle.

  • Une fois que vous serez menotté, avec la télécommande vous n’aurez plus qu’à faire remonter vos poignets menottés mains dans le dos. Ensuite, vous faites descendre doucement la télécommande sur le sol et la ficelle vous permettra de la récupérer et donc, de redescendre vos bras. Pour les clés de menottes, si vous souhaitez plus de frissons, je vous conseille d’aller les mettre sous le portique shibari qui est dans le parc. Ainsi, si vous êtes nu ou en robe vous aurez peur d’être vu, cela rajoutera des frissons. Si vous êtes pudique, vous n’avez qu’à les poser sur le lit de la chambre LOVE ou sur le sling.

Devant mon visage blême pour cause de gêne, il m’a rassuré en me disant que pour les célibataires, le but du gîte est justement qu’ils puissent s’amuser. Il précisât, que j’aurai bien tord de m’en priver. Il m’a ensuite donné deux autres exemples tous aussi grisants que gênants pour un timide comme moi.

Abandonné au donjon avec ma gêne et ma monstrueuse excitation, je me suis retrouvé seul avec moi-même et donc, en mauvaise compagnie... Pour le coup des clés des menottes, je suis donc allé les mettre sous le portique shibari qui est dans le parc, lieu qui m’exposerait à leurs regards suivant l’heure où je jouerai. Déjà pour moi, en parler avait été une étape, et là, je risquais de m’exposer...

Le problème de ce lieu de perdition, est qu’il y a tellement de matériel que rien que de les voir on s’excite et donc, on perd un peu de sa retenue. J’ai donc décidé d’ajouter quelques accessoires mis à la disposition des clients. Je me suis pris un plug, un parachute de couilles avec un poids et des pinces à sein

Excité comme une puce devant un vieux chien bien dodu, j’avais déjà envie de me ... enfin vous avez compris. La morale (humour) m’a obligé à me rendre dans mon gîte pour mettre sans tarder ma cage de chasteté. J’y ai laissé les clés avant de sortir.

Arrivé au donjon, je me suis donc mis nu pour enfiler une des robes roses empruntée dans la salle aux secrets. Sa matière m’excitait tout comme de m’habiller une femme. Dans ma cage de chasteté, c’était déjà la fête, ou plutôt la crise du logement. Le plug n’a pas tardé à trouver sa place dans mes petites fesses, cela faisait de moi « une femme comblée ».

Sans tarder, j’ai voulu mettre le parachute de couille avec un poids de 3 kilos. Avec ma cage de chasteté tirant déjà vers l’avant, cela m’a pris un peu de temps. Les pinces à sein furent posées par l’encolure de la robe ce qui, après le moment de douleur, cela m’excitât encore plus, rendant ainsi la cage de chasteté ultra étroite.

L’idée de me bâillonner me vint, mais cela m’obligea à marcher jusqu’au placard aux accessoires. Suivant les conseils donnés, j’ai donc pris le bâillon bouche ouverte. Comme indiqué, contrairement au bâillon boule, ce modèle ne peut réellement pas être recraché. Une fois en bouche, sans les mains, il reste en place.

Cela commençait déjà à bien tirer sur mes testicules, je me suis demandé si je n’avais pas un peu exagéré en les lestant avec 3 kilos mais, une fois lancé, je ne suis pas revenu en arrière. Avant de me menotter, j’ai donc attrapé la télécommande du treuil posée au sol avec sa ficelle. Le bruit et la sensation des menottes se refermant sur mes poignets m’excitât encore grandement au point que ma tête tournait un peu.

A ce moment là, en tournant la tête, je pouvais voir les boutons de la télécommande du treuil. Cela fut donc facile de trouver celui qui allait faire remonter mes poignets vers le plafond et m’obliger à me pencher en avant pour offrir mes fesses à une maîtresse imaginaire. Quand on est très excité on en fait parfois un peu trop. En effet, j’ai réellement bien fait remonter mes bras au point d’être très penché en avant. (Trop)

Avec précaution j’ai fait glisser la ficelle entre mes doigts pour déposer la télécommande sur le sol. D’un petit coup de pied je l’ai repoussée avant de lâcher la ficelle de rappel attachée aux menottes. A partir de ce moment là, j’ai constaté que j’avais trop monté mes poignets vers le haut et que cela tirait déjà sur mes épaules. Je plains les pauvres gens qui, à l’époque de l’inquisition ou romaine ont été suspendus de cette façon, cela devait être horrible.

La petit salope que j’étais devenu, offrait sa croupe sans possibilité de fuir l’inquisitrice dominatrice. C’est là que mon excitation m’a conduit à imaginer qu’elle voulait rentabiliser sa « soumise » en mettant son cul en libre service à bas prix dans un bordel... Non je ne suis pas gay, mais des fois, j’ai des idées tordues concernant cette partie de mon anatomie. Bouger comme si un sadique sautait la catin, se reporta sans tarder sur le parachute de couilles et mes épaules contrariées par la position.

Le balancement du poids tira fortement sur mes testicules, mouvement qui malgré moi et la douleur me fit bander comme un âne dans la cage. Cette érection entraînât la cage à aller vers l’avant et donc.... tira encore sur mes précieuses déjà bien malmenées. J’avais envie de petites douleurs bien excitantes, pas de faire du CBT ! La « sagesse » m’incita à mettre un terme à ce selfbondage en attrapant la ficelle avec mes petits doigts pour faire remonter jusqu’à eux, la télécommande du treuil.

C’est à ce moment là que mes yeux, ont prévenu le reste de mon anatomie que cela allait prendre du temps ! En effet, 50 mètres de ficelle à faire glisser entre vos doigts par morceau de quelques centimètres, cela prend du temps. Mes épaules et mes testicules en ont parlé à mon cerveau de malade mental, en le menaçant de faire une douloureuse révolution si je ne pressais pas le mouvement. Je commençais à avoir réellement chaud malgré la clim du donjon. Mes yeux piquaient pour cause de transpiration, c’est dire...

Lorsque enfin ma main à attrapé la télécommande, j’ai constaté que choisir le bon bouton pour faire redescendre les mains menottées de la « cruche » penchée en avant, n’était pas chose aisée ! En effet, au lieu d’appuyer sur le bouton « descendre » j’ai appuyé sur le bouton « montée ». AIE pour résumer. Mes épaules étant déjà malmenées, j’ai bien failli lâcher la télécommande, bêtise qui m’aurait obligé à tirer à nouveau les 50 mètres de ficelle.

Ce fut un réel soulagement que de faire redescendre mes poignets et de sortir les menottes du crochet du treuil. Cette action n’est pas aussi facile qu’on ne le pense avec des mains menottées dans le dos. Elle vous impose des mouvements qui, dans mon cas, ce sont reportés sur mes précieuses lestées ! La première chose que j’ai faite une fois libéré du treuil, c’est de m’accroupir pour décrocher le poids de trois kilos fixé au parachute de couilles. Mains menottées dans le dos, cela n’a rien de pratique et il n’est pas facile de défaire des noeuds sans réellement voir ce que vous faites !

L’idée d’aller chercher les clés des menottes dans le jardin avec le poids accroché à mes testicules ne me séduisait pas. Je me suis tellement acharné que même mes doigts étaient mouillés de transpiration. En vain ! Je n’allai pas avoir d’autres choix que de marcher dehors avec les précieuses douloureusement lestées.

Déjà me lever et donc soulever le poids fut une étape, la suivante fut de sortir du donjon car il y a une marche. Difficulté à laquelle s’ajoutait une pression psychologique importante : le risque d’être vu menotté, habillé en femme avec un truc qui se balance entre les jambes ! ! !

Une fois dehors, sur la terrasse de la piscine, le soleil m’a donné un uppercut en guise d’accueil. Je comprends pourquoi Marc fait la sieste à cette heure là ! Si le soleil me harcelait, cela avait l’avantage qu’il ne me verrait pas en mauvaise posture. J’ai rapidement compris qu’il fallait que je marche jambes serrées pour limiter le balancement du poids entre mes jambes.

Oui mais, cette démarche avait deux inconvénients. Le premier est qu’il n’est pas possible d’aller rapidement chercher les clés, les petits pas n’aident pas la vitesse. Le deuxième est que le poids heurte vos tibias. La « petite salope » a donc traversé la terrasse où, vautré sur un banc, un de leurs chats a regardé avec un grand intérêt le poids se balançant devant mes tibias. Peu motivé pour jouer, il n’a pas bougé de son banc. OUF !

J’ai ensuite traversé le jardin sous le soleil à la vitesse d’un escargot fatigué. Par chance, le portique shibari qui est dans le parc est à l’ombre. Ayant un peu d’expérience avec les menottes, je n’ai pas galéré pour me libérer. La premier truc que j’ai retiré c’est le parachute de testicules comme vous vous en doutez. Mes tétons se sont vengés de l’agression lorsque j’ai retiré les pinces à sein.

Je n’ai pas tardé à retirer le bâillon bouche ouverte avant de repartir, cette fois en marchant normalement au donjon pour tout déposer ainsi que la robe et fermer la porte. En effet, la climatisation n’a pas d’autre utilité que de coûter cher quand une porte est grande ouverte. La douche solaire me tendait les bras tout comme la piscine. Comme le gîte accepte sans problème les naturistes, je me suis dévêtu pour prendre la douche dehors avant de prendre conscience que la naturiste exposait aux regards des oiseaux sa cage de chasteté ainsi qu’aux proprios si ils venaient se baigner.

La douche me fit un bien fou et je n’ai pas résisté à l’envie de me baigner nu sous cage de chasteté. Si c’est fort agréable, cela m’a, à nouveau, excité mais la sagesse m’a interdit de continuer mes délires sans respecter la pause syndicale : aller boire et manger ! Marc est passé avec une serviette sur l’épaule devant le gîte sans même regarder si j’y étais. Il s’en est fallu de peu que je sois vu en mauvaise posture ou sous la douche de la piscine en étant sous cage de chasteté. Si pour lui, c’est un détail dont il n’a rien à faire, pour moi, cela aurait été une étape difficile.

En grignotant, je lisais les fiches du classeur des « Vraies bonnes mauvaises idées » proposées. C’est là que j’ai constaté que j’avais encore ma cage de chasteté et que je m’étais, finalement tellement éclaté que l’idée de me masturber, comme bien souvent quand je me fait un petit selfbondage, ne m’avait même pas effleuré l’esprit.

Je me suis demandé si j’oserai leur confier les clés de ma cage tout en pensant à un autre des scénarios que Marc m’avait indiqué. Pour ne pas faire que des « vilaineries » et profiter de mes vacances, je me suis obligé à m’habiller pour aller visiter un peu la région. En effet, en Espagne, les commerces et autres ferment relativement tard le soir.

A suivre pour mon selfbondage sur la chaise d’inquisition du gîte fétichiste, un scénario qui m’excite rien que d’y penser.

Fin

  • Si Marc existe réellement
  • Si le gîte fétichistes existe réellement
  • Si il est possible de vivre ce type d’aventure au gîte fétichistes
  • Cette histoire est totalement fictive. Son but est de vous donner un exemple de ce qu’il est possible de vivre au gîte fétichistes
Visiter le site du gîte fétichistes en cliquant ICI

mercredi 24 mai 2023

Vacances économiques et tourisme en Espagne + vos fétichismes


 En pleine période de crise, l'Espagne est très avantageuse pour les Français. L’autoroute est gratuite, l’essence moins chère comme beaucoup d’autres choses. Mais si en plus vous pouvez faire du naturisme et vivre vos fétichismes...

 Situé au centre d’une région touristique, notre gîte climatisé est en pleine nature, avec une piscine et un parc verdoyant.

Ce qui est encore plus séduisant, c’est que vous aurez accès sans supplément à :
- Un donjon équipé,
- Une nuserie pour adulte
- Une chambre LOVE
- Vous pourrez faire du naturisme

Après une journée de tourisme, puis une tête dans la piscine, si le cœur vous en dit, pour 12 euros / pers vous pourrez même dîner sur place avant d’aller jouer les coquins sur les installations prévues à cet effet.

Que l’on se rassure, VOUS serez seuls au gîte fétichistes, il n’y a pas d’autres locataires !

Le gîte fétichistes est une destination réellement économique, sympathique et coquine pour vos vacances.

Nous vous invitons à découvrir le site du gîte géré par Fessestivites puis les très nombreuses possibilités de loisirs classiques pour vos vacances.

http://gitefetichistes.com

POUR LES CELIBATAIRES  ?

Un accueil privilégié leur est réservé. Il n'y a pas de Maître ou Maîtresse ou nurse MAIS, car il y a un mais, car des activités vous seront proposées comme :

- Un Espace Game à réaliser dans la tenue de votre choix (Sans supplément) 

- Un bondage walking dans la tenue de votre choix. (Sans supplément) 

- Des scénarios de selfbondage. Vous serez sécurisé en cas de loupé. (Sans supplément) 

- Les repas du soir sont proposés dans la salle de restauration en notre compagnie.  Ils peuvent vous être servis sur une chaise haute pour adulte, vous pouvez être en femme, en ce que vous voulez. (Sans supplément sauf le prix du repas qui est à 12 €) 

- Gardiens de clé de cage de chasteté. (Sans supplément) 

- Gardiens de clés de cadenas de culotte à cadenas ou autres. (Sans supplément) 

- Si vous le désirez, vous pouvez assurer le service de table en soubrette avec une couche visible. 

En clair, vous ne serez pas totalement seul au moins au gîte. Quoi que, nous pourrions aller faire nos courses ensemble ou aller faire du vélo, du potager.   

UN DONJON POUR VOUS TOUT SEULS

 





LA NURSERIE POUR ADULTE









 

lundi 21 novembre 2022

Soumise open source en BDSM

 

L'open data comme moteur d'innovation dans les usages prend une autre orientation que l’informatique dans cerécit.

 

Soumise-open-source-en-BDSM.jpg

Informaticienne, Laura travaille depuis peu sur Fessestivites. La programmation et les logiciels c’est son métier. Sa double formation en électro mécanique lui permet d’imaginer des machines pour la réalisation de fantasmes.

Il faut dire que pour son travail, elle utilise les images et vidéos qu’elle trouve sur ce site de rencontres où l’on y partage bien volontiers ses propres créations, mais aussi celles trouvées sur internet. Si elle n’est pas une fille facile, en clair pas une salope, elle n’en a pas moins quelques fantasmes. Qui n’en a pas me direz-vous.

C’est dans les rubriques selfbondage qu’il lui vient le plus d’idées. En effet, pour avoir discuté avec les filles du site qui le pratique, qu’elle comprend leur démarche.

L’onanisme c’est la paix

« L’onanisme c’est la paix » est la réponse que lui a donné une des filles. « Cela te permet de te faire plaisir sans avoir un râleur buveur de bière à la maison et de jouer quand tu veux. Avec l’auto bondage, tu peux vivre tes propres films BDSM, les sensations de la contrainte physique associées par exemple, à un gode vibrant coincé dans ta chatoune. Quand tu as fini, tu ranges le Maître de tes fantasmes dans le placard et tu as la paix ».

Comme indiqué précédemment, si Laura n’est pas une fille facile, elle n’en a pas moins quelques fantasmes. Et le sien, serait qu’un Maître, beau comme un dieu l’attache et la fasse jouir pendant des heures en la baisant comme elle aime, tout en jouant un peu de sa pudeur.

Elle s’est donc mise à étudier les centaines de scénarios de selfbondage qui sont dans la rubrique Divertissements pour voir ce qui est recherché par les adeptes puis ce qu’il serait possible de fabriquer pour répondre à leurs attentes.

Elle ensuite étudié le site selfbondage.fr

Après s’être enrichie de leurs recherches et base de jeux d’auto contrainte, elle s’est rapproché de deux d’entre eux par messagerie pour les interroger sur leurs motivations. Les réponses étaient différentes de celles des filles.

  • Moi cela me plairait bien que ma femme me domine de temps en temps, mais j’ai trop peur de la perdre si je lui en parle. A cela se rajoute que ma masculinité pourrait en être affectée dans la vision qu’elle a de moi ! Fut la réelle réponse que Laura réussit à avoir en plusieurs fois avec Franck, un homme charmant.

  • Moi, cela me permet d’imaginer des scènes avec des hommes mais je ne suis pas gay. Je me féminise un peu et je m’imagine en soumise sexuelle ou en victime. C’est un peu ma soupape de sécurité matrimoniale, car ma vie de couple est parfois difficile.

Cette réponse de Paul la perturba un peu. En effet, jouer le rôle de la victime innocente de son beau Maître imaginaire profitant de son corps, est un de ses fantasmes. Elle n’est donc pas la seule à s’imaginer ce genre de chose....

Elle a également étudié ce site internet français

Cette réflexion la conduite à se mettre en recherche de témoignages de femmes ayant vécu un gang bang BDSM. Leurs réponses la perturba encore une fois et l’emmenèrent à une conclusion. Les pseudos sadiques ne sont que les sextoys de leurs fantasmes. Après le gang bang, réalisé parfois avec d’illustres inconnus, c’est un peu comme si elles les rangeaient dans le placard après usage.

Pourquoi s’encombrer d’un homme quand on peut en avoir un 100 % disponible avec l’onanisme ou le selfbondage ou plusieurs quand on a envie de s’envoyer en l’air dans un gang bang ?

Les recherches et enquêtes de Laura la conduisent à une conclusion : les gens du BDSM cherchent aussi l’aléatoire, l’inconnu avec quelque chose pas obligatoirement totalement sexuel. D’après les réponses obtenues, le plaisir dans la douleur est recherché par les masochistes pratiquant le selfbondage ou le côté humiliant ou la perte totale de contrôle.

Dans son atelier personnel, Laura entreprend de se fabriquer des jouets en se basant sur les données collectées et ses conclusions. Les seule choses qu’elle achète sur ABCplaisir, une boutique réputée pour son sérieux, ce sont des plugs, des godes, puis des vibros et le Magic wand massager qu’une des filles lui a fortement conseillé d’essayer. Autant dire clairement que la petite Laura dormit peu la première semaine qui suivit la livraison de sa commande. Elle perdit même un peu de poids pour cause de « sport solitaire en chambre » en guise de repas.

Son premier carcan des plaisirs solitaires fut opérationnel une dizaine de jours plus tard. Cela semble peu mais le lecteur doit savoir que, une fois lancée sur un projet lui plaisant, une informaticienne peut oublier les dimanches et parfois même de manger. (Véridique)

Laura avait conçu une machine à faire baver tous les adeptes du selfbondage et de l’onanisme BDSM. Son carcan était une sorte de table équipée d’une machine à baiser, de pompes à téton ressemblant à des machines à traire, d’une perche pour le magic wand massager destiné à titiller son clitoris pendant que le gode « « usinerait » » sa chatoune. Pour les entraves, elle s’était fabriqué un dispositif de bracelets métalliques se serrant par des électroaimants. Ainsi, en cas de coupure d’électricité, ses poignets seraient libres.

Pour la partie aléatoire, Laura avait conçu un programme sur son ordinateur portable. Couplé à des prises électriques par un savant dispositif, son PC pouvait commander la vitesse de la machine à baiser, la « traite » de ses seins, la puissance de son magic wand massager. Sa programmation lui permettait en outre de gérer la durée de jeu ainsi que sa liberté. Pour la durée de jeu, par prudence, elle régla 30 minutes pour le premier test.

Partagée entre l’excitation, la peur, la honte, mentalement c’est un peu comme si elle attaquait une banque lorsqu’elle est entrée dans son atelier ce soir là. Elle était troublée, inquiète et impatiente. Elle s’allongea nue sur le dos, attacha ses cuisses bien écartées puis inséra le gode dans sa chatoune avant de le fixer par un clips à la tige de la machine à baiser « maison ».

Excitée comme une puce voyant débarquer un régiment de chats, elle ne put contenir ses phalanges coquines avant de se reprendre. « Non ce n’est pas toi qui décide, tu es soumise » s’est dit à haute voix Laura. C’est dire si elle était troublée....

Ses aspires tétines trouvèrent leur place sur ses tétons, elle appuya sur la touche « espace » de son PC posé près d’elle pour lancer l’aspiration. Elle fit pencher la perche à « magic wand massager pour que la boule arrive sur sa délicieuse petite fraise sensible.

Pour augmenter la partie inconnu, elle fit glisser un petit bandeau sur ses yeux et ne tarda pas à mettre ses poignets dans les bracelets à serrure magnétique. En effet, elle ne disposait plus que de trente secondes pour s’offrir comme victime.

Comme prévu, le PC commanda la fermeture de ses bracelets. Le clic et le froid du métal la firent bondir de peur et se traiter de malade mentale. La machine à baiser se lança en même temps que le magic.

Pendant 30 minutes, les variations de vitesse de ses sextoys la rendirent folle de plaisir mais aussi folle de rage quand son PC ralentissait ou arrêtait l’un ou l’autre.

Lorsque tout s’arrêta, Laura était aussi fraîche qu’un légume. Elle ressemblait à une feuille de salade desséchée puis oubliée dans un champ juste après un orage. En clair, elle était trempée de transpiration (oui y compris en bas...) et vidée de toute énergie. Dans l’état d’épuisement où elle était, il ne lui venait même pas à l’idée de retirer ses poignets des menottes ouvertes, c'est dire ! ! !

Au bout d’un moment, elle revint un peu sur terre. Sa première impression fut que son bas ventre, son ventre et même ses reins avait été laminés par la coulé de lave incandescente d’un volcan en éruption. Si dans ses coquines habitudes, Laura pouvait jouir deux fois en peu de temps, là, elle avait pulvérisé en même temps les records de vitesse et le nombre de jouissances. Après s’être libérée totalement, c’est comme une nana totalement saoule qu’elle alla se coucher dans son lit. S’écrouler est le mot qui convient le mieux.

Le lendemain, un peu honteuse, elle essaya d’analyser les réactions de son corps pour comprendre pourquoi cela avait été aussi intense. Pour elle, la contrainte et l’inconnu devaient être la cause de l’éruption volcanique sexuelle vécue ce soir là. En effet, elle avait déjà testé le magic et s’était déjà mis des choses dans la chatoune, mais là..... Mais là, il n’y avait aucun rapport.

Vous connaissez les informaticiens, ils aiment bien parler de leurs créations ! Oui mais cela ne pouvait pas se faire sur un forum informatique.

Elle contacta les filles qu’elle avait « sondées » sur Fessestivites pour leur parler de son carcan des plaisirs. Elles en doutèrent jusqu’au moment où elle créa un dossier photo codé pour qu’elles puissent constater que Laura ne leur racontait pas des bêtises. Cela fit des envieuses.....

Laura leur demanda de garder ça secret pour ne pas se faire harceler par les mecs.

Le secret fut bien gardé entre toutes les copines des copines. Ce secret fut donné en secret à un homme qui, secrètement, dévoila que Laura avait fabriquer une machine infernale spécial selfbondage ou pour des jeux de domination.

Un secret est donc fait pour être murmuré d’oreille à oreille, ou juste en message privé qu’il ne faut pas dévoiler sur un forum. Un soir de beuverie, l’un des soumis, adepte de l’ABDL et du BDSM en parla sur le forum.

Folle de rage, Laura aurait bien attaché les coupables sur la machine à baiser avec du papier verre sur le gode en guise de préservatif. Elle imagina même remplacer le magic wand massager par une perceuse équipée de lanière d’acier pour fouetter le sexe des personnes indiscrètes. Comme quoi, il faut se méfier d’une femme en colère ! ! !

Un soir, un homme charmant la contact en privé. Cet homme, également informaticien, ne lui posa aucune question intime, il resta centré sur la partie informatique de son jouet secret. Ils parlèrent de code, langage C++, PHP et autres termes soporifiques pour le commun des mortels.

Quelques jours plus tard, Laura accepta de lui faire voir son carcan des plaisirs.

Cet homme charmant lui proposa de commencer par un déjeuner dans un restaurant près de chez elle avant d’aller voir sa machine. C’est entre la poire et le fromage qu’il se dévoila un peu. Il était célibataire et intéressé par le BDSM. Il insista sur le fait que c’est la partie cérébrale qui le titillait le plus et non pas le sexe pour le sexe.

A la question « vous êtes soumis ou Maître » il répondit : « je suis épicurien, pour moi, tout cela est un jeu dans lequel on se projette, on s’abandonne pour en ressortir enrichi d’expériences jouissives intellectuellement et ou physiquement ».

Après le repas, Laura, un peu pompette à cause du champagne, l’invita donc chez elle pour lui faire voir son carcan des plaisirs. Henri de son prénom, hallucina sur les parties techniques que Laura avait réussi à associer. Ils échangèrent principalement sur le cahier des charges qu’elle s’était fixée avant de mettre les machines en route sans personne dessus pour en apprécier les effets.

  • Si cette invention est géniale, ne manque t’elle pas de chaleur humaine ? Demanda Henri.

  • Oui bien sûr, mais au moins les filles ne seront pas emmerdées par des pots de colle et pourront s’éclater sans risque de v i o l ou de SIDA ! Lui répondit Laura.

  • Ah là c’est sûr qu’il ne risque pas d’y avoir de mauvaises rencontres ou de pseudos Maîtresses n’ayant qu’un but : pomper le fric des mecs.

De fils en aiguilles, ils échangèrent sur leurs bonnes et mauvaises expériences tant sur le net que dans la vraie vie. Une complicité s’installa entre eux, Henri ne tenta rien pour la séduire malgré la titanesque envie le submergeant depuis leur rencontre au restaurant.

LA SEMAINE SUIVANTE

Après X et X messages ils finirent par associer leurs neurones de psychopathes informaticiens sur d’éventuelles améliorations ou déclinaisons pouvant être apportées à son invention. Ce fut Hot de chez chaud bouillant ! ! !

De l’électro stimulation, à l’anal, au buccal avec des bâillons donnant à boire ou se gonflant tout seul, aux accessoires pouvant flageller ou fesser, autant dire que les idées perverses fusaient.

C’est entre deux bonnes ou mauvaises idées, que les mains se sont touchées. Le magnétisme des lieux doit être responsable du rapprochement des lèvres, (comme les pôles d’un aimant), de ces deux être aussi pervers l’un que l’autre. Une fois soudées, les lèvres ne purent se décoller, et, à être bloqué, autant laisser les langues discuter silencieusement.

Ce fut un coup de foudre auquel, aucun d’eux ne s’attendaient. En effet, si au départ, il ne s’agissait que d’amitié, leur relation évolua très vite de façon horizontale.

EPILOGUE

La question que se pose le lecteur est : qui va dominer l’autre ?

Laura et Henri on carrément refusé de le dire. La seule chose que l’on sait, c’est que le carcan des plaisirs est utilisé.

  • Oui mais par qui ?

  • On ne sait pas !

Fin

TSM

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