L'open data comme moteur d'innovation dans les usages prend une autre orientation que l’informatique dans cerécit.
Informaticienne, Laura travaille depuis peu sur Fessestivites. La programmation et les logiciels c’est son métier. Sa double formation en électro mécanique lui permet d’imaginer des machines pour la réalisation de fantasmes.
Il faut dire que pour son travail, elle utilise les images et vidéos qu’elle trouve sur ce site de rencontres où l’on y partage bien volontiers ses propres créations, mais aussi celles trouvées sur internet. Si elle n’est pas une fille facile, en clair pas une salope, elle n’en a pas moins quelques fantasmes. Qui n’en a pas me direz-vous.
C’est dans les rubriques selfbondage qu’il lui vient le plus d’idées. En effet, pour avoir discuté avec les filles du site qui le pratique, qu’elle comprend leur démarche.
L’onanisme c’est la paix
« L’onanisme c’est la paix » est la réponse que lui a donné une des filles. « Cela te permet de te faire plaisir sans avoir un râleur buveur de bière à la maison et de jouer quand tu veux. Avec l’auto bondage, tu peux vivre tes propres films BDSM, les sensations de la contrainte physique associées par exemple, à un gode vibrant coincé dans ta chatoune. Quand tu as fini, tu ranges le Maître de tes fantasmes dans le placard et tu as la paix ».
Comme indiqué précédemment, si Laura n’est pas une fille facile, elle n’en a pas moins quelques fantasmes. Et le sien, serait qu’un Maître, beau comme un dieu l’attache et la fasse jouir pendant des heures en la baisant comme elle aime, tout en jouant un peu de sa pudeur.
Elle s’est donc mise à étudier les centaines de scénarios de selfbondage qui sont dans la rubrique Divertissements pour voir ce qui est recherché par les adeptes puis ce qu’il serait possible de fabriquer pour répondre à leurs attentes.
Elle ensuite étudié le site selfbondage.fr
Après s’être enrichie de leurs recherches et base de jeux d’auto contrainte, elle s’est rapproché de deux d’entre eux par messagerie pour les interroger sur leurs motivations. Les réponses étaient différentes de celles des filles.
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Moi cela me plairait bien que ma femme me domine de temps en temps, mais j’ai trop peur de la perdre si je lui en parle. A cela se rajoute que ma masculinité pourrait en être affectée dans la vision qu’elle a de moi ! Fut la réelle réponse que Laura réussit à avoir en plusieurs fois avec Franck, un homme charmant.
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Moi, cela me permet d’imaginer des scènes avec des hommes mais je ne suis pas gay. Je me féminise un peu et je m’imagine en soumise sexuelle ou en victime. C’est un peu ma soupape de sécurité matrimoniale, car ma vie de couple est parfois difficile.
Cette réponse de Paul la perturba un peu. En effet, jouer le rôle de la victime innocente de son beau Maître imaginaire profitant de son corps, est un de ses fantasmes. Elle n’est donc pas la seule à s’imaginer ce genre de chose....
Elle a également étudié ce site internet français
Cette réflexion la conduite à se mettre en recherche de témoignages de femmes ayant vécu un gang bang BDSM. Leurs réponses la perturba encore une fois et l’emmenèrent à une conclusion. Les pseudos sadiques ne sont que les sextoys de leurs fantasmes. Après le gang bang, réalisé parfois avec d’illustres inconnus, c’est un peu comme si elles les rangeaient dans le placard après usage.
Pourquoi s’encombrer d’un homme quand on peut en avoir un 100 % disponible avec l’onanisme ou le selfbondage ou plusieurs quand on a envie de s’envoyer en l’air dans un gang bang ?
Les recherches et enquêtes de Laura la conduisent à une conclusion : les gens du BDSM cherchent aussi l’aléatoire, l’inconnu avec quelque chose pas obligatoirement totalement sexuel. D’après les réponses obtenues, le plaisir dans la douleur est recherché par les masochistes pratiquant le selfbondage ou le côté humiliant ou la perte totale de contrôle.
Dans son atelier personnel, Laura entreprend de se fabriquer des jouets en se basant sur les données collectées et ses conclusions. Les seule choses qu’elle achète sur ABCplaisir, une boutique réputée pour son sérieux, ce sont des plugs, des godes, puis des vibros et le Magic wand massager qu’une des filles lui a fortement conseillé d’essayer. Autant dire clairement que la petite Laura dormit peu la première semaine qui suivit la livraison de sa commande. Elle perdit même un peu de poids pour cause de « sport solitaire en chambre » en guise de repas.
Son premier carcan des plaisirs solitaires fut opérationnel une dizaine de jours plus tard. Cela semble peu mais le lecteur doit savoir que, une fois lancée sur un projet lui plaisant, une informaticienne peut oublier les dimanches et parfois même de manger. (Véridique)
Laura avait conçu une machine à faire baver tous les adeptes du selfbondage et de l’onanisme BDSM. Son carcan était une sorte de table équipée d’une machine à baiser, de pompes à téton ressemblant à des machines à traire, d’une perche pour le magic wand massager destiné à titiller son clitoris pendant que le gode « « usinerait » » sa chatoune. Pour les entraves, elle s’était fabriqué un dispositif de bracelets métalliques se serrant par des électroaimants. Ainsi, en cas de coupure d’électricité, ses poignets seraient libres.
Pour la partie aléatoire, Laura avait conçu un programme sur son ordinateur portable. Couplé à des prises électriques par un savant dispositif, son PC pouvait commander la vitesse de la machine à baiser, la « traite » de ses seins, la puissance de son magic wand massager. Sa programmation lui permettait en outre de gérer la durée de jeu ainsi que sa liberté. Pour la durée de jeu, par prudence, elle régla 30 minutes pour le premier test.
Partagée entre l’excitation, la peur, la honte, mentalement c’est un peu comme si elle attaquait une banque lorsqu’elle est entrée dans son atelier ce soir là. Elle était troublée, inquiète et impatiente. Elle s’allongea nue sur le dos, attacha ses cuisses bien écartées puis inséra le gode dans sa chatoune avant de le fixer par un clips à la tige de la machine à baiser « maison ».
Excitée comme une puce voyant débarquer un régiment de chats, elle ne put contenir ses phalanges coquines avant de se reprendre. « Non ce n’est pas toi qui décide, tu es soumise » s’est dit à haute voix Laura. C’est dire si elle était troublée....
Ses aspires tétines trouvèrent leur place sur ses tétons, elle appuya sur la touche « espace » de son PC posé près d’elle pour lancer l’aspiration. Elle fit pencher la perche à « magic wand massager pour que la boule arrive sur sa délicieuse petite fraise sensible.
Pour augmenter la partie inconnu, elle fit glisser un petit bandeau sur ses yeux et ne tarda pas à mettre ses poignets dans les bracelets à serrure magnétique. En effet, elle ne disposait plus que de trente secondes pour s’offrir comme victime.
Comme prévu, le PC commanda la fermeture de ses bracelets. Le clic et le froid du métal la firent bondir de peur et se traiter de malade mentale. La machine à baiser se lança en même temps que le magic.
Pendant 30 minutes, les variations de vitesse de ses sextoys la rendirent folle de plaisir mais aussi folle de rage quand son PC ralentissait ou arrêtait l’un ou l’autre.
Lorsque tout s’arrêta, Laura était aussi fraîche qu’un légume. Elle ressemblait à une feuille de salade desséchée puis oubliée dans un champ juste après un orage. En clair, elle était trempée de transpiration (oui y compris en bas...) et vidée de toute énergie. Dans l’état d’épuisement où elle était, il ne lui venait même pas à l’idée de retirer ses poignets des menottes ouvertes, c'est dire ! ! !
Au bout d’un moment, elle revint un peu sur terre. Sa première impression fut que son bas ventre, son ventre et même ses reins avait été laminés par la coulé de lave incandescente d’un volcan en éruption. Si dans ses coquines habitudes, Laura pouvait jouir deux fois en peu de temps, là, elle avait pulvérisé en même temps les records de vitesse et le nombre de jouissances. Après s’être libérée totalement, c’est comme une nana totalement saoule qu’elle alla se coucher dans son lit. S’écrouler est le mot qui convient le mieux.
Le lendemain, un peu honteuse, elle essaya d’analyser les réactions de son corps pour comprendre pourquoi cela avait été aussi intense. Pour elle, la contrainte et l’inconnu devaient être la cause de l’éruption volcanique sexuelle vécue ce soir là. En effet, elle avait déjà testé le magic et s’était déjà mis des choses dans la chatoune, mais là..... Mais là, il n’y avait aucun rapport.
Vous connaissez les informaticiens, ils aiment bien parler de leurs créations ! Oui mais cela ne pouvait pas se faire sur un forum informatique.
Elle contacta les filles qu’elle avait « sondées » sur Fessestivites pour leur parler de son carcan des plaisirs. Elles en doutèrent jusqu’au moment où elle créa un dossier photo codé pour qu’elles puissent constater que Laura ne leur racontait pas des bêtises. Cela fit des envieuses.....
Laura leur demanda de garder ça secret pour ne pas se faire harceler par les mecs.
Le secret fut bien gardé entre toutes les copines des copines. Ce secret fut donné en secret à un homme qui, secrètement, dévoila que Laura avait fabriquer une machine infernale spécial selfbondage ou pour des jeux de domination.
Un secret est donc fait pour être murmuré d’oreille à oreille, ou juste en message privé qu’il ne faut pas dévoiler sur un forum. Un soir de beuverie, l’un des soumis, adepte de l’ABDL et du BDSM en parla sur le forum.
Folle de rage, Laura aurait bien attaché les coupables sur la machine à baiser avec du papier verre sur le gode en guise de préservatif. Elle imagina même remplacer le magic wand massager par une perceuse équipée de lanière d’acier pour fouetter le sexe des personnes indiscrètes. Comme quoi, il faut se méfier d’une femme en colère ! ! !
Un soir, un homme charmant la contact en privé. Cet homme, également informaticien, ne lui posa aucune question intime, il resta centré sur la partie informatique de son jouet secret. Ils parlèrent de code, langage C++, PHP et autres termes soporifiques pour le commun des mortels.
Quelques jours plus tard, Laura accepta de lui faire voir son carcan des plaisirs.
Cet homme charmant lui proposa de commencer par un déjeuner dans un restaurant près de chez elle avant d’aller voir sa machine. C’est entre la poire et le fromage qu’il se dévoila un peu. Il était célibataire et intéressé par le BDSM. Il insista sur le fait que c’est la partie cérébrale qui le titillait le plus et non pas le sexe pour le sexe.
A la question « vous êtes soumis ou Maître » il répondit : « je suis épicurien, pour moi, tout cela est un jeu dans lequel on se projette, on s’abandonne pour en ressortir enrichi d’expériences jouissives intellectuellement et ou physiquement ».
Après le repas, Laura, un peu pompette à cause du champagne, l’invita donc chez elle pour lui faire voir son carcan des plaisirs. Henri de son prénom, hallucina sur les parties techniques que Laura avait réussi à associer. Ils échangèrent principalement sur le cahier des charges qu’elle s’était fixée avant de mettre les machines en route sans personne dessus pour en apprécier les effets.
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Si cette invention est géniale, ne manque t’elle pas de chaleur humaine ? Demanda Henri.
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Oui bien sûr, mais au moins les filles ne seront pas emmerdées par des pots de colle et pourront s’éclater sans risque de v i o l ou de SIDA ! Lui répondit Laura.
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Ah là c’est sûr qu’il ne risque pas d’y avoir de mauvaises rencontres ou de pseudos Maîtresses n’ayant qu’un but : pomper le fric des mecs.
De fils en aiguilles, ils échangèrent sur leurs bonnes et mauvaises expériences tant sur le net que dans la vraie vie. Une complicité s’installa entre eux, Henri ne tenta rien pour la séduire malgré la titanesque envie le submergeant depuis leur rencontre au restaurant.
LA SEMAINE SUIVANTE
Après X et X messages ils finirent par associer leurs neurones de psychopathes informaticiens sur d’éventuelles améliorations ou déclinaisons pouvant être apportées à son invention. Ce fut Hot de chez chaud bouillant ! ! !
De l’électro stimulation, à l’anal, au buccal avec des bâillons donnant à boire ou se gonflant tout seul, aux accessoires pouvant flageller ou fesser, autant dire que les idées perverses fusaient.
C’est entre deux bonnes ou mauvaises idées, que les mains se sont touchées. Le magnétisme des lieux doit être responsable du rapprochement des lèvres, (comme les pôles d’un aimant), de ces deux être aussi pervers l’un que l’autre. Une fois soudées, les lèvres ne purent se décoller, et, à être bloqué, autant laisser les langues discuter silencieusement.
Ce fut un coup de foudre auquel, aucun d’eux ne s’attendaient. En effet, si au départ, il ne s’agissait que d’amitié, leur relation évolua très vite de façon horizontale.
EPILOGUE
La question que se pose le lecteur est : qui va dominer l’autre ?
Laura et Henri on carrément refusé de le dire. La seule chose que l’on sait, c’est que le carcan des plaisirs est utilisé.
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Oui mais par qui ?
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On ne sait pas !
Fin
TSM
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