L’église et la religion ne sont pour rien dans cette histoire

Initialement DL, Paul a commencé à goûter au plaisir de la couche très jeune suite à un accident de cyclomoteur. Si c’était gênant au début, porter des protections c’est rapidement associé au plaisir solitaire du jeune homme. Si la médecine et la nature ont gommé les soucis d’incontinence, dans la tête du jeune homme, une certaine affection était né avec la douceur de la matière et la sensation de sécurité offertes par les protections. Il est donc devenu ABDL pour employer le mot le plus connu.

Malgré tout gêné d’en porter, n’osant pas dévoiler son fétichisme, Paul n’en portait jamais lors des soirées étudiantes ni lors de ses rendez-vous galants.

Un soir, il rencontre au club de sport, une étudiante en huitième année de médecine. En discutant avec elle, il apprend qu’elle désire devenir psychiatre, un domaine qui la passionne. Cette nana est ce que l’on appelle dans le jargon étudiant une bombe. Mignonne, brune aux yeux bleus avec un corps de rêve, elle ne fait pas tourner la tête qu’aux hommes. Ses années d’étude en psychiatrie lui ont appris à gérer son émotivité, sa pudeur et surtout, ses envies de sexe. Comme Paul lui plait beaucoup, elle n’hésite pas un instant à le draguer ouvertement.

Subjugué par cette beauté de la nature, en plus d’une attirance incompréhensible, Paul voit une fabuleuse opportunité de relation coquine. Étant en collocation, la perle lui propose le rendez-vous coquin en se lovant contre lui pour lui demander cash : « chez toi, ou chez toi, là, tout de suite » ? Autant dire qu’il n’a pas hésité une seconde et « sauté » sur l’opportunité s’offrant à lui. Ébloui comme un gamin d’école maternelle devant un magasin de jouets, il la guide dans la ville jusqu’à son appartement sans même réfléchir à autre chose qu’au corps de déesse de la beauté désirant s’offrir à lui.

Lorsqu’ils pénètrent chez lui, Lio aperçoit des paquets de couches, une culotte en plastique et une grenouillère négligemment posés sur le sol près du lit. Paul, quant à lui, ne voit rien d’autre que cette super nana retirant son tee-shirt puis sa brassière de sport. Il ne la regarde plus dans les yeux mais dans les seins, au demeurant très beaux.

« La douche d’abord, après je te croque » lui indique Lio en s’attaquant au tee-shirt de Paul puis au pantalon de son survêtement. En moins de deux bisous, ils se retrouvent sous la douche et se savonnent mutuellement. N’étant pas farouche pour deux sous, la belle n’hésite pas à savonner et laver le Priape tendu malgré la gêne de Paul, peu habitué à être entrepris ainsi par une fille. Avant même qu’ils se soient séchés, la belle s’agenouille, le caresse et le gobe avec un « hum » très significatif. Tiré par la « perche » vers sa chambre, il se retrouve allongé sur le dos et enjambé par une chute de reins très demandeuse de câlin. En clair au cas où ma description ne serait pas assez significative, elle mène la danse des sexes dans un 69 endiablé.

Le Priape tendu est rapidement recouvert d’un capuchon puis « enjambé ». Nos tourtereaux s’enroulent comme des serpents et fusionnent un petit moment accompagnés par les grincements d’un lit acheté en solde dans un magasin Ukrainien ayant souffert de l’indépendance du Donetsk et du Lougansk, des clients trop heureux de récupérer leur liberté. (C’est d’époque ^^^)

Le gros câlin terminé, Paul propose à Lio de lui servir un verre et de dormir chez lui. Lio lui propose de lui mettre sa couche et ses petites affaires pour le dodo ! ! ! !

Je vous laisse imaginer la tête de Paul constatant bien trop tard, que sa négligence a tout dévoilé à sa nouvelle conquête. En essayant de se rattraper aux branches, il se prend les pieds dans le tapis de ses incohérentes explications, un fétichisme qu’il essaye de cacher derrière petit souci d’incontinence suite à son accident. En clair, il tente d’enfumer une future psychiatre amusée par la situation. Elle se joue de ses propos illogiques en lui demandant les raisons de la grenouillère et du body qu’elle attrape sous le lit.

Lio s’amuse réellement à martyriser ce jeune homme lui plaisant beaucoup, et pour cause, Paul est réellement un beau mec avec des neurones entre les oreilles. Autant dire que les attirances de départ étaient mutuelles. Gêné Paul refuse, prétexte qu’il n’en a plus besoin mais, tout rouge, finit par abdiquer pour « lui faire plaisir ». Lancé dans son délire et cette nouveauté pour elle, Lio lui fait la totale, couche, culotte plastique, body et grenouillère.

On dirait un grand bébé comme ça, j’adore ! Déclare Lio en se lovant contre lui comme si il devenait son « doudou ». Tu sais, je connais cette paraphilie, j’en ai entendu parler, la mienne c’est ça ! Lui explique la mante religieuse en caressant le devant de la couche de la guimauve lové dans ses bras.
Ben, heu, c’est gênant ! Répond Paul.
Sous la couette, il n’y a rien de gênant, d’ailleurs si tu me fais encore des bisous là, je pleurerai pas ! Répond Lio en désignant son entrejambe.

Même épuisé et perturbé, Paul ne peut pas lui refuser cette gâterie. Il glisse donc sous la couette et s’allonge sur le ventre entre les magnifiques cuisses fuselées délicieusement dessinées par mère Nature.

Le week-end commence dont chaudement (à cause de la grenouillère) pour Paul et Lio. En effet, au petit matin elle l’a bloqué quand il a voulu aller faire pipi aux toilettes.

Non bébé, tu restes avec maman au dodo, sans toi, le lit va être tout froid, tu ne vas pas déjà m’abandonner ! Lui indique Lio en le serrant dans ses bras et en le bloquant avec ses jambes.

Accompagné dans la libération de sa vessie par les griffes de la mante religieuse, Paul ne sait plus où il en est psychologiquement. Questionné par la gestapo du dodo sur ce fétichisme, il lui parle donc d’Abkingdom et de Fessestivites qui est plus BDSM qu’ABDL. Ouvrir la porte à la question et aux découvertes à un psy, c’est comme finir d’ouvrir la porte des banques de l’Europe à Biden. Ni une ni deux, elle prend son téléphone mobile pour se rendre sur les sites indiqués.

Et là..... c’est la fête à la grenouille pour Paul à qui elle impose de se connecter avec SON mobile pour qu’elle puisse découvrir les sites. Lovée contre lui, puis, la tête posée sur le son ventre toujours au chaud, elle surfe gaiement pendant qu’il se décompose.

Mais ils sont trop géniaux ces sites, les gens osent parler de leurs fétichismes et mettre des photos d’eux. Ca m’excite tout ça, on prend un café et on va prendre une douche ?

Rassuré par le fait qu’elle ne se moque toujours pas de lui, Paul se laisse mener par le bout du nez toute la matinée. Ils se lèvent donc pour le petit déjeuner en tenue d’Ève pour elle et dans la tenue de sa nuit pour Paul. Ils prennent ensuite une douche salutaire avant de faire un retour au dodo pour autre chose que dormir.

Deux mois plus tard, Lio change de colocation pour venir s’installer chez Paul. La colocation est un prétexte pour la mante religieuse trouvant son « bébé » à sa convenance pour une relation longue durée. Le problème de Lio est qu’elle est jalouse. Dès qu’une nana le regarde de trop, elle sort ses griffes.

Une psy amoureuse peut devenir une manipulatrice hors pair. Bien décidée à inscrire « chasse réservée » quelque part sur le corps de Paul qui est commercial d’une grande entreprise, et donc par parfois en déplacement, elle parvient à lui faire accepter l’idée de porter une cage de chasteté.

Ne râle pas bébé, ton fétichisme c’est les couches et les tenues ABDL, moi c’est ce que je suis en train de mettre sous clé. Cela m’excite de la savoir sous cage de chasteté. Depuis que j’ai découvert ça sur Fessestivites, j’en rêve. Rassure-toi, j’ai demandé conseil à ABCplaisir, ils m’ont super bien renseignée, cette cage est faites pour toi. Ils m’ont même dit que si cela n’allait pas, ils pourraient me vendre un anneau plus grand ou plus petit ! Indique Lio en fermant le cadenas de la cage de chasteté.

Monstrueusement amusée par ce qu’elle vient d’arriver à faire, la bouche de la mante religieuse s’attaque au sexe encagé comme si elle lui faisait une fellation. Paul agonise, sa verge tente en vain de pousser les bords quand elle décide de le préparer pour une nuit sage puisqu’elle a ses règles. Les menstrues cela ne dure hélas pas qu’une journée, et un soir de délire, elle pique une couche de Paul pour lui faire voir qu’elle peut aussi en mettre des plus grosses que ses petites protections. Voir sa nana en couche aide bien Paul à accepter le port de la cage de chasteté qu’elle lui impose.

Lio teste donc cette nuit là le pipi couche mais n’y éprouve pas vraiment du plaisir, chose que regrette Paul. Elle lui en parle librement sans aucune gêne et sans tabou, hormis qu’elle n’a pas eu à se lever, cela ne lui a rien apporté.

Sans être soumis, Paul est depuis cette période sous cage de chasteté en permanence. Sa femme devenue sa nounou d’Amour s’occupe bien de lui et inversement pour les choses du sexe. La seule variable est que parfois elle joue un peu la Maîtresse en le privant de « dada » quand il a oublié de sortir la poubelle. Dans ce cas, il doit lui faire des bisous jusqu’à qu’elle soit rassasiée, ce qui prend un certain temps.....

Suite à des bouchons sur l’autoroute des vacances, Lio porte parfois des couches quand ils font de longs trajets. A ce moment là, elle laisse son bébé jouer à la poupée. Ben oui quoi, c’est d’actualité que les garçons jouent à la poupée, c’est l’éducation nationale qui l’a dit ! (Humour)

Après une longue négociation de quelques secondes puis des rivières de larmes emportant le rimmel, Paul et Lio ont décidé de se marier pour le meilleur et pour le pire. Lio a accepté de lui retirer sa cage de chasteté ce jour là et Paul, de se passer de couche pour la nuit de noce.

Pour leur voyage de noce, ils sont décidé d’aller passer une semaine au gîte fetichiste en Espagne, Lio a envie de découvrir un peu plus ce monde. Pauvre Paul....

FIN

TSM