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mardi 20 juin 2023

Une lope gay au gîte fétichistes

 


 - Allo

- Oui bonjour, je vous appelle parce que j’ai quelques questions à propos de votre gîte.

- Mais je vous en prie, que désirez-vous savoir ?

- Je suis un peu gêné de vous poser ces questions mais j’aimerai savoir si vous acceptez les chiens humains et si cela est possible chez vous ?

- Ne soyez pas gêné, cela fait 40 ans que je suis dans le monde des rencontres fétichistes, il n’y a donc pas de sujet tabou avec nous. Chien humain dites-vous, en clair est-il possible de faire du pets-play ou dogtrainning au gîte ? Et bien la réponse est oui, sans aucun problème. Par contre, je vous conseille de prévoir des genouillères et coudières ou des gants car si certaines parties sont, disons carrossables, si vous vous éloignez un peu dans la propriété, ce sont des chemins ou sentiers avec des pierres.

- On peut vraiment se promener comme ça sur votre propriété ?

- Oui, sans aucun problème, rien ne nous gêne. Nous pourrons même, si vous le désirez, servir des repas en gamelle.

- C’est génial, et si on est gay, cela vous pose des problèmes si on joue en extérieur ?

- Toujours pas ! Il y a même du matériel qui se prête bien au fist et autre comme chaise percée, piloris. En fait, le matériel que vous voyez en photo sur le site peut être utilisé à votre convenance que vous soyez lesbienne, gay ou hétéros, on s’en moque.  

- J’ai encore une question ?

- Je vous en prie !
 
- Le gîte est limité à 4 personnes mais si on est 5 comment cela se passe ? Il faut qu’il y en ait un qui aille dormir à l’hôtel ?

- La limitation est due au fait que nous n’avons que deux grands lits et que, pour des raisons juridiques, nous ne pouvons accepter des tentes ou caravanes.

- Oui mais vous avez un lit spécial qui permet de faire dormir dessous ! Si je compte bien cela fait 5 places.

- Allons droit au but, vous désirez venir à 5 et me demandez si on peut s’arranger ?

- Oui c’est ça !

- A partir du moment où il y en a un de vous qui accepte de dormir ailleurs que dans un lit conventionnel, nous pourrions adapter le forfait de la location.

Après cet entretien téléphonique, Damien décide de réserver le gîte pour un week-end du mois de juillet. En réalité il est tout seul pour le moment. Son idée est d’offrir un week-end au gîte à deux Maîtres gays et d’être leur lope. Pendant deux mois, il s’acharne sur les forums et sites gays ainsi que sur Fessestivites et Abkingdom où parfois, il a croisé quelques ABDL intéressés par le BDSM.

Sur Fessestivites  il a trouvé un dom gay très pervers qui est d’accord pour l’accompagner au gîte et s’occuper de la lope. Pour être sûr de ne pas se faire planter, Maître Max lui a demandé une copie de la réservation puis à téléphoner au gîte. Ce dernier a confirmer qu’il y avait une réservation mais a refusé de dévoiler l’identité du locataire. Après une discussion, le gîte lui a simplement indiqué que la personne avait loué, à priori, pour un week-end BDSM gay. Malgré les autres demandes de renseignements, le gîte a respecté l’anonymat du client.

Pauvre Damien....

Pauvre Damien car lors des discussions téléphoniques, faîtes que d’une main, il lui a dévoilé ses fantasmes d’être chien et lope en version BDSM hard. Entre fantasmes et réalités il y a un grand pas. Après être allé le voir chez lui pour « tester » la lope et s’amuser un peu, assez connu dans le monde des rencontres, Maître Max n’a pas eu de mal à trouver dans son relationnel trois autres personnes branchées BDSM gay pour aller avec eux en Espagne. Parmi elles, il y a Master Paul et son ami Lucas qui est switch et Mamadou qui est blanc de peau mais surnommé ainsi pour la taille de son service trois pièces, toujours volontaire pour péter des rondelles.  

Bien que Damien ait proposé de tout payer, les invités participent aux frais de transport à bord d’un monospace loué pour la circonstance. Pendant le trajet pour aller de Lyon au gîte, le soumis aux anges continue de les allumer. L’excitation rend parfois dingue et fait oublier la prudence....

A peine descendus de la voiture, Maître Max prend les choses en main ou plutôt en laisse. Damien se retrouve à poil avec un collier autour du cou devant les propriétaires du gîte. Pendant le pot de bienvenue, pris en gamelle pour Damien, les discussions vont bon train. La laisse du chien est détachée pour qu’il aille décharger les bagages. Les invités constatent qu’effectivement, les « activités » sont quasiment sans limite au gîte. La femme du patron n’a pas été offusquée de servir à boire au chien et a l’air « blindée ».   

Lorsqu’ils arrivent au gîte qui a été préparé pour eux, les invités ne sont pas déçus ! ! ! Sur la terrasse il y a deux piloris. Un est en version Moyen-Âge, l’autre en version esclave à baiser le soumis se retrouvant bloqué par les membres à quatre pattes cul offert. A côté, se trouve le  « banc de la défonce » permettant de bloquer une personne en position diaper. Autant dire qu’une fois la dessus, la voie est très accessible. Une niche de grande taille a également été installée à côté de la piscine. (HUMOUR Normal, en français Chien et niche contiennent les mêmes lettres)

A l’intérieur du donjon, un chaise percée recouverte d’un abattant WC les amusent mais ce qui les surprend, c’est le lit à baldaquin avec des anneaux de partout et son lit cage.

- Cela vous plait ? Demande Damien    

- Mais on est où ici ? Demande Mamadou étonné de ce décor si particulier !

- Au gîte fétichistes !

- C’est assez surprenant répond Master Paul.

- Je prendrai bien une douche, le chien profite d’être encore debout pour venir m’aider !

Damien tiré par la laisse se retrouve dans la douche avec son Maître qui lui impose de se mettre à quatre pattes et de lui servir de chaise de bain. L’idée plaisant aux invités, il ne sortira de la salle de bain qu’après que tout le monde ait pris sa douche. Ses premiers pas de lope sont, pour l’instant, assez soft même si il a du lécher des culs et des pieds pour vérifier qu’ils s’étaient bien lavés. Là où Damien c’est un peu affolé, c’est devant la taille du mandrin de Mamadou.

Ce lieu si particulier donne des envies, Damien est conduit au « banc de la défonce » où, allongé sur le dos, entravé et menotté il a perdu de sa superbe. Pendant que les doigts de Master Paul jouent les spéléologues dans le cul bien offert, Maître Max se fait tailler une pipe. Les doigts fouilleurs font rapidement place à une bite très motivée, huit heures de route avec une lope qui rêvait de se faire sauter, cela donne des envies. Faisant de l’oeil à Mamadou, Lucas profite que Max a laissé la place pour se faire préparer le cul par la langue de Damien en faisant un facesitting.

Pendant que Mamadou et Lucas s’envoient en l’air, Maître Max et Master Paul prennent une bière. Abandonné sur le « banc de la défonce » Damien se désespère de ne pouvoir en prendre une avec eux, mais son avis.... En guise de bière, une demi-heure plus tard, lorsqu’il voit Lucas enjamber sa tête pour un facesitting, il refuse de lécher le cul qui vient de se faire défoncer. Ses réfutations sont très mal prises ! Maître Max prend un paddle accroché à l’étagère des accessoires pour le motiver. La fessée au paddle, cela pique mais en position diaper, c’est hard ! Master Paul rejoint son ami fesseur et entreprend de malaxer d’une main ferme les précieuses de Damien.

Entre deux cris, le désespéré cède et, comme si sa vie en dépendait, lape le cul chargé de lubrifiant et pas très propre. Très excité par ce qu’il voit, Mamadou enfile un préservatif et vient, à sa façon et avec sa bite 26 x 6 expliquer à Damien qu’il doit faire des efforts. Dilaté, défoncé, ramoné aussi bien en profondeur qu’en largeur, il « chante » plus qu’il ne lèche. Libéré et porté pour cause de manque d’énergie jusqu’à la niche où il est attaché, Damien s’y réfugie bien volontiers.  

Pendant le repas, pris avec les propriétaires du gîte, le chien manque à l’appel. Deux gamelles sont apportées à Damien, une d’eau l’autre contenant une sorte de pâtée faite avec ce qu’il y a au menu du soir. Le Maître des lieux leur demande si ils vont le faire dormir dehors ou dans la cage sous le lit en précisant que les nuits sont fraîches. Pour protéger son gîte d’éventuelles fuites urinaires, il leur donne une couche pour personne incontinente ce qui les amusent. De fait, en redescendant à leur gîte, le chien est détaché et mis en couche avant d’être bouclé sous le lit.

Le samedi matin, le petit déjeuner a été déposé sur la table de la terrasse du gîte. Encore une fois, Damien n’a pas pu manger normalement. Equipé de genouillères et moufles, hormis un petit séjour de deux heures au pilori, il va vivre en chien toute la journée. Vers midi, après les avoir vu « s’amuser » sur la balançoire, il prend place sur le « banc des plaisirs » suspendu à la poutre de la balançoire. Il doit attraper avec sa bouche une bite tendu face à lui à chaque balancement. Ne vous y trompez pas, Maître Max ne le fait pas balancer de façon conventionnelle mais à coup de grandes claques.

Pendant le repas pris à 14 heures, Maître Max discute avec le maître des lieux en lui demandant si le sulky servant pour du pony-play peut être adapté pour du chien de traîneau. N’y ayant pas pensé, le maître des lieux leur promet de chercher une solution en précisant « sans garantie ». Après réflexion, il parvient à bricoler quelque chose avec des s a n g l e s et des colliers de plomberie fixés sur les barres du sulky. « Cela n’est pas très esthétique mais devrait fonctionner » lui dit-il en arrivant avec le sulky.

Attelé comme un chien de traîneau, Damien raccompagne son Maître en promenade jusqu’au gîte où il compte bien faire une sieste. Porter et tirer le sulky à quatre pattes est épuisant mais très distrayant comme façon de faire du pony.

- La prochaine fois, on devrait lui attacher les couilles au sulky et le faire tirer comme ça ! Dit Master Paul en affolant le toutou convaincu qu’ils sont capables de le tenter.

Après la sieste, Maître Max découvre qu’il y a des chaînes et des anneaux un peu partout dans les arbres autour du gîte. Il va donc voir le maître des lieux pour voir si il a des idées pour profiter du terrain.

- Vous pourriez organiser une chasse à l’homme. Vous lui laissez un quart d’heure d’avance et après vous le chassez. Libre à vous de décider ce que vous ferez au gibier !

- Vous pourriez me prêter un fouet et des bracelets ?

- Pour les bracelets, prenez ceux de la chambre mais avez-vous déjà fouetté au sens propre du terme avec un vrai fouet ?

- Non jamais !

- Nous allons jouer prudence car cela peut être dangereux pour vous comme pour lui. Je vais voir ce que je peux vous prêter.

Le lâché du gibier nu se fait vers 17 heures. Le maître des lieux confit à Maître Max un mini fouet en lui donnant quelques conseils et en lui disant « attention aux yeux, un fouet peut être détourné et arriver là où vous ne voulez pas et parfois même sur vous ».

Parti sur la propriété, Damien se demande ce qu’ils vont lui faire. Marcher lui pose rapidement un problème, Maître Max lui ayant posé un gros ballstretcher. A chaque pas, ses testicules ballottent. « Si cela dure longtemps, elles vont traîner par terre » se dit le gibier. Rattrapé facilement par les chasseurs s’étant partagés le terrain comme des rabatteurs, le pauvre Damien est ramené aux arbres à chaîne pour y être lié bras et jambes écartés. Maître Max découvre rapidement que le fouet peut être cruel pour celui qui le donne. Malgré tout, il commence à s’habituer à cet instrument au grand dam du gibier commençant à être strié de partout.

Assoiffé, il demande grâce et supplie. La négociation est simple, champagne contre l’arrêt du jeu. Les poignets libérés, la lope peut se mettre à genoux et prendre en bouche la verge de Paul. Derrière lui, Lucas, taquine les précieuses pendantes avec son pied, histoire de motiver la lope. La « collation prise », ils rentrent au gîte pour prendre un apéro plus conventionnel en tirant Damien par sa laisse pour prendre une bonne douche.     
         
Pour la paella, il est décidé de laisser Damien s’asseoir à table, il a mérité une pause syndicale. La nuit se terminera au bord de la piscine où le chien a appris la brasse coulée et la pipe coulée. La problématique fut que l’eau de la piscine et la bière cela donne des envies. Maître Max se rend au donjon pour aller chercher la chaise percée. Installée dans le gazon, avec un système d’évacuation humain, la lope prend plusieurs douches....   

Sa soirée est loin d’être terminée, Mamadou a encore des envies. L’orgie se termine tard dans la nuit après de multiples « « échanges » » sur le sling et sans couche pour Damien, il est trop tard pour aller en acheter. De fait, il peut sortir à quatre pattes pour aller une lever dehors. « Si je te vois te lever comme un humain, je te fouette les couilles » lui avait indiqué Maître Max. Autant dire que le toutou a été obéissant.  

Le lendemain, après s’être bien défoulés, amusés dans le donjon et le jardin, nos acolytes font du tourisme conventionnel ou presque puisque c’est avec un gros plug que Damien fera la visite. Ils se rendent au monastère de pierres, un lieu méritant grandement le détour. Ils profitent également de l’immense parc verdoyant et de ses cascades. Marc leur avait conseillé de bien se chausser car il faut crapahuter un peu, cela va avoir de l’importance pour les aventures de Damien. Même si les arbres et les cascades rendent la visite agréable, les chaussettes sont montées en odeur comme le constatent les Maîtres dans la voiture pendant le retour.

Arrivés au gîte, prises sur la terrasse, les bières bien fraîches sont salutaires pour nos assoiffés. Damien pourra en boire une quand il aura léché les pieds déchaussés et dépourvus de chaussettes. Ils les a trouvés « salés », allez donc savoir pourquoi ! Après une bonne douche, nos acolytes prennent un peu de bon temps dans la piscine où, Damien se doit de faire un peu de plongée pour lécher ci et là^^^.

N’ayant pas envie de faire des courses, Damien n’aura pas à cuisiner puisqu’ils se sont fait livrer des repas à 9,50 euros. Si le repas du chien n’a pas été mixé ni mis en gamelle, puisque les Maîtres avaient oublié ce détail, la lope mange malgré tout à quatre pattes sous la table. Nous dirons que ce n’est pas parce qu’ils manquaient de place, mais que c’était juste pour lui faire plaisir...

Le donjon et sa chambre Love sont un peu comme des aimants pour nos acolytes. A peine entrés, Damien est placé puis entravé sous la chaise percée servant de toilettes humaines. Sa mission est simple, préparer les culs de sa langue et, il l’espère, ne pas avoir à les nettoyer après usage. Il n’en nettoya que deux sans trop de résistance, un pied posé sur vos testicules, cela motive.

Nos acolytes s’étant éclatés entre eux, la fatigue aidant, ils s’occupent rapidement de la lope pour qu’elle ait un minimum de plaisir, mais à leur façon... Traduction ? Sur l’étagère aux accessoires, ils avaient repéré le masque permettant de fixer des chaussettes ou slips parfumés sur le visage d’une personne. Maître Max propose généreusement de prêter son slip et une de ses chaussettes afin que la lope profite de lui toute la nuit et ne se sente pas abandonné.

- Tu ne te sentiras pas abandonné puisque tu vas pouvoir me sentir toute la nuit ! Lui indique Maître Max en faisant bien rire ses complices.

Pour qu’il ne pourrisse pas le lit, il doit mettre une couche avant d’être entravé bras et jambes écartées avec son masque aux fragrances humaines bien serré. La nuit parfumée de Damien n’est qu’une mise en bouche car Maître Max a des projets pour lui le lendemain.

Au petit matin, après avoir pissé dehors, il vient le libérer du lit pour le mettre à quatre patte avant de le faire un bondage l’obligeant à n’évoluer qu’en chien. Pour cela il lui attache les jambes une par une avant de lui poser des menottes qu’il passe dans son collier. Après quoi, il lui retire le masque avec son slip et sa chaussette mouillée puis la couche pleine d’urine. Cette dernière est alors placée sur son visage et fixée avec du scotch d’emballage.

- Pour te faire plaisir, et surtout pour que tu ne dises pas que je ne suis pas gentil, je vais placer les clés des menottes aux pieds de la table qui se situe dans la cabane naturelle au fond du verger. A ton retour, tu pourras déjeuner et prendre une douche. Attends, on ne peut pas te laisser le cul exposé à l’air, il faut le combler un minium. Cette queue de chien t’ira à ravir, c’est à peine si tu le sentiras passer. Bonne balade la lope ! Conclu Maître Max avant d’aller se faire un café.

Si il aime bien se faire loper et faire le chien, le pauvre Damien n’est pas au bout de ses peines. En effet, la couche détrempée posée sur son visage ne lui permet quasiment pas de voir. A cela se rajoute que, pour aller au fond du verger à quatre pattes, le trajet va être fort long. C’est lorsqu’il quitte la terrasse où il a été soigneusement équipé, qu’il prend conscience que la rosée matinale va être infernale pour lui. Même si Marc entretient le verger quasiment comme le parc, les herbes y sont plus hautes. Mouillées et fraîches, elles deviennent cruelles avec lui.

La lope transformée en chien est un train de vivre un de ses fantasmes, sauf que, le trajet fort long et avec les herbes mouillées, cela change la donne et c’est de suite moins amusant. En plus, l’herbe fraîche cela donne envie de pisser. C’est à mis chemin, fatigué et surtout par manque de courage qu’il se soulage comme une chienne. C’est dans ce moment d’abandon que sa queue décide de faire bande à part. Cela l’inquiète car Maitre Max risque de ne pas apprécier et de le punir pour ça si il l’apprend. Bien décidé à éviter la punition, Damien presse le pas, ou plutôt, les pattes. C’est en arrivant à la table placée sous la cabane naturelle, qu’il découvre quarante minutes plus tard que Maître Max ne lui a pas laissé les clés des menottes.

Serrer les fesses en revenant ne suffira pas à son anus, « bien usiné » les jours précédents à contenir son envie naturelle dit « solide ». Pour ne pas arriver le cul crade, il en est réduit à se frotter comme une chienne en chaleur dans les herbes. C’est en puisant dans ses réserves de courage qu’il reprend son périple canin. Au passage, il récupère la queue de chienne par très propre qu’il nettoie dans les herbes afin que Maître Max ou ses complices ne lui fassent pas laver avec sa bouche. Tant bien que mal, c’est vers 9h30 qu’il arrive à la terrasse du gîte où les acolytes prennent leur petit déjeuner.

C’est après presque deux heures de marche en chien qu’il est libéré et peut enfin boire ! Boire et déjeuner, après l’effort un peu de réconfort ne peut pas faire de mal, a estimé Maître Max.

- Bien la lope, il ne te reste plus qu’à ranger tes affaires et à faire le ménage, qui, je te le rappelle, est à la charge des locataires. Je t’invite à ne pas trop tarder car nous devons rendre le gîte et le donjon en parfait état de propreté. Je subodore sans trop de risque d’erreur, que Marc se ferait un plaisir de te punir au fouet si c’est mal fait. Je te laisse imaginer sa réaction si je lui disais que tu as mal fait le ménage par pure provocation... ! Lui indique Max avant d’aller faire quelques achats chez ABCplaisir.

C’est avec une pointe de regret et après l’état des lieux sans imperfection...., qu’ils prennent le chemin du retour. Par prudence, la lope ne conduira pas, mais sur l’autoroute, à l’arrière entre les sièges, elle officiera un peu de la bouche.   

FIN

TSM

- Si Marc existe réellement
- Si le gîte fétichistes existe réellement
- Si il est possible de vivre ce type d’aventure au gîte fétichistes
- Cette histoire est totalement fictive. Son but est de vous donner un exemple de ce qu’il est possible de vivre au gîte fétichistes
 

Visiter le site du gîte fétichistes en cliquant ICI

Visiter le gîte en vidéo sur Youtube

A gay lope at the fetish lodge

 

A gay lope at the fetish lodge

- Hello

- Yes, hello, I'm calling because I have a few questions about your gîte.

 - But please, what would you like to know?

- I'm a bit embarrassed to ask you these questions, but I'd like to know if you accept human dogs and if this is possible in your home?

- Don't be embarrassed, I've been in the fetish dating business for 40 years, so there's no taboo subject with us. Human dog you say, in other words, is it possible to have farts-play or dogtrainning at the B&B? Well, the answer is yes, without any problem. However, I would advise you to bring knee and elbow pads or gloves, because although some parts are, let's say, passable, if you go a little further into the property, there are paths or trails with stones.

- Is it really possible to walk around your property like that?

- Yes, it's no problem at all, there's nothing in our way. If you like, we can even serve meals in bowls.

- That's great, and if we're gay, do you have any problems with us playing outside?

- Still not! There's even equipment that lends itself well to fisting and other things like pierced chairs and pilorises. In fact, the equipment you see pictured on the site can be used at your convenience whether you're lesbian, gay or straight, we don't care. 

- Do I still have a question?

- Please do!

- The gîte is limited to 4 people, but what happens if there are 5? Does one of us have to go and sleep in a hotel?

- The restriction is due to the fact that we only have two large beds and, for legal reasons, we can't accept tents or caravans.

- Yes, but you have a special bed that allows you to sleep underneath! If I count correctly, that makes 5 places.

- Let's get straight to the point, you'd like to come with 5 people and are asking me if we can work something out?

- Yes, that's it!

- As long as one of you agrees to sleep somewhere other than in a conventional bed, we could adapt the rental package.

After this telephone conversation, Damien decided to book the gîte for a weekend in July. In reality, he was on his own for the moment. His idea was to offer a weekend at the gîte to two gay Masters and to be their lope. For the next two months he's been scouring gay forums and sites, as well as Fessestivites and Abkingdom, where he's come across a few ABDLs interested in BDSM.

On Fessestivites he found a very kinky gay dom who agreed to accompany him to the gîte and look after the lope. To make sure he didn't get the wrong end of the stick, Maître Max asked him for a copy of the booking and then phoned the gîte. The gîte confirmed that a booking had been made but refused to reveal the identity of the tenant. After some discussion, the gîte simply told him that the person had booked, presumably, for a gay BDSM weekend. Despite further enquiries, the gîte respected the customer's anonymity.

Poor Damien....

Poor Damien, because during telephone conversations, which were only one-handed, he revealed his fantasies of being a dog and bitch in a hard BDSM version. There's a big step between fantasy and reality. After visiting him at his home to 'test' the lope and have a bit of fun, Master Max, who is fairly well known in the dating world, had no trouble finding three other gay BDSM enthusiasts to go with them to Spain. Among them are Master Paul and his friend Lucas, who is a switch, and Mamadou, who is white by skin but nicknamed for the size of his three-piece wardrobe, and who is always willing to fart pucks.

Although Damien had offered to pay for everything, the guests contributed to the cost of transport in a minivan hired for the occasion. During the journey from Lyon to the gîte, the submissive angel keeps on lighting them up. Excitement can drive you crazy and make you forget to be careful....

As soon as we got out of the car, Maître Max took matters into his own hands, or rather, his leash. Damien found himself naked with a collar around his neck in front of the owners of the gîte. During the welcome drink, taken in a bowl for Damien, the discussions are going well. The dog's lead was untied so that he could unload the luggage. The guests noticed that there were virtually no limits to "activities" at the gîte. The owner's wife had not been offended by serving the dog a drink, and she seemed "armoured".  

When they arrived at the gîte, which had been prepared for them, the guests were not disappointed! ! ! There are two pilorises on the terrace. One is a medieval version, the other a slave version, where the submissive is locked in place by his four-legged legs with his arse offered to him. Next to it is the "high bench", used to hold a person in the diaper position. Suffice to say that once you're on it, the way is very accessible. A large niche has also been installed next to the swimming pool (HUMOUR Normal, in French Chien and niche contain the same letters).

 Inside the dungeon, a perforated chair covered with a toilet seat amuses them, but what surprises them is the four-poster bed with rings everywhere and its cage bed.

- Do you like it? asks Damien   

- But where are we here? asks Mamadou, amazed by this very special setting!

- At the fetishist lodge !

- It's quite surprising," replies Master Paul.

- I could do with a shower, but the dog's still up and about to help me!

Damien was pulled by the leash and found himself in the shower with his Master, who forced him to get down on all fours and use him as a bath chair. The guests liked the idea and he didn't come out of the bathroom until everyone had had a shower. His first steps as a lope are, for the moment, fairly soft, even if he has to lick asses and feet to check that they've washed properly. Where Damien went a little crazy was the size of Mamadou's chuck.

Damien was taken to the "stoner's bench" where, lying on his back, shackled and handcuffed, he had lost his superbness. While Master Paul's fingers play spelunker in the well offered ass, Master Max gets a blow job. The digging fingers quickly gave way to a highly motivated cock, eight hours on the road with a slut who was dreaming of getting fucked, that makes you want more. Winking at Mamadou, Lucas takes advantage of the fact that Max has left the room to have his arse prepared by Damien's tongue by doing a facesitting.

While Mamadou and Lucas are having sex, Master Max and Master Paul are having a beer. Abandoned on the "high bench", Damien despairs at not being able to have one with them, but his opinion.... By way of beer, half an hour later, when he sees Lucas straddling his head for a facesitting, he refuses to lick the arse that has just been smashed. His rebuttals are taken very badly! Maître Max picks up a paddle from the accessory shelf to motivate him. Spanking on a paddle stings, but in the diaper position, it's hard! Master Paul joins his teacher friend and begins to knead Damien's precious hands with a firm hand.

Between two cries, the desperate man gives in and, as if his life depended on it, laps up the lube-laden and not very clean arse. Very excited by what he sees, Mamadou slips on a condom and comes, in his own way and with his 26 x 6 cock, to explain to Damien that he must make an effort. Stretched out, fucked, deep and wide, he "sings" more than he licks. Freed and carried for lack of energy to the kennel where he is tied up, Damien happily takes refuge there. 

During the meal with the owners of the gîte, the dog was missing. Two bowls were brought to Damien, one with water and the other containing a sort of pâtée made from what was on the evening menu. The owner asked them if they were going to let him sleep outside or in the cage under the bed, pointing out that the nights were cool. To protect his bed and breakfast from possible urine leakage, he gave them a nappy for incontinent people, which amused them. In fact, on the way back to their gîte, the dog was untied and put in a nappy before being buckled under the bed.

 On Saturday morning, breakfast was laid on the table on the gîte terrace. Once again, Damien was unable to eat normally. Equipped with kneepads and mittens, apart from a short two-hour stay in the pillory, he lived like a dog all day. Around midday, after watching them having fun on the swing, he took his place on the "bench of pleasures" suspended from the swing beam. He has to grab a cock stretched out in front of him with his mouth every time he swings. Don't be fooled, Master Max doesn't swing him in the conventional way, but with big slaps.

During lunch at 2pm, Maître Max had a chat with the owner, asking if the sulky used for pony-play could be adapted for sled dogs. Not having thought of this, the owner promised to look for a solution, adding "without guarantee". After some thought, he managed to cobble together something using plumbing sockets and collars fixed to the bars of the sulky: "It's not very aesthetic but it should work", he told her as he arrived with the sulky.

Harnessed like a sled dog, Damien takes his Master for a walk back to the gîte, where he plans to take a nap. Carrying and pulling the sulky on all fours is exhausting, but a very entertaining way to pony up.

- Next time, we should tie his balls to the sulky and make him pull it like that! says Master Paul, scaring the pooch into believing that they are capable of tempting him.

After his nap, Master Max discovered that there were chains and rings all over the trees around the gîte. So he went to see the owner to see if he had any ideas on how to make the most of the area.

- You could organise a manhunt. You give him a quarter of an hour's head start and then you chase him. It's up to you what you do to the game!

- Could you lend me a whip and some bracelets?

- For the bracelets, take the ones in the bedroom, but have you ever been whipped in the true sense of the word with a real whip?

- No, I haven't!

- We're going to play it safe because it could be dangerous for you as well as for him. I'll see what I can lend you.

The naked game was released at around 5pm. The landowner gave Maître Max a mini whip, giving him a few tips and telling him to "watch your eyes, a whip can be diverted and end up where you don't want it to and sometimes even on you".

As he set off across the estate, Damien wondered what they were going to do to him. Walking quickly became a problem for him, as Master Max had fitted him with a large ballstretcher. Every time he took a step, his testicles jiggled. "If this goes on much longer, they'll be dragging on the ground", he says to himself. Easily caught by the hunters who had shared the field like rabbit hunters, poor Damien was led back to the trees by chain to be tied with his arms and legs spread wide. Master Max soon discovers that the whip can be cruel to the person who uses it. Despite this, he begins to get used to the instrument, much to the annoyance of the game, which is beginning to be streaked all over.

Thirsty, he begs for mercy. The negotiation was simple: champagne in exchange for an end to the game. With his wrists freed, the lope can get down on his knees and take Paul's penis in his mouth. Behind him, Lucas teases the precious danglers with his foot, just to motivate the slut. Once they've had their "snack", they head back to the gîte for a more conventional aperitif, pulling Damien by his lead to take a good shower.

For the paella, it was decided to let Damien sit at the table, as he had earned a union break. The night ended by the pool, where the dog had learnt the sunken breaststroke and the sunken pipe. The problem was that pool water and beer make you want to drink. Master Max went to the dungeon to fetch the pierced chair. Set up on the lawn, with a human drainage system, the slut takes several showers....  

Mamadou's evening is far from over, and he still has his cravings. The orgy ends late into the night after many "exchanges" on the sling and without a nappy for Damien, it's too late to go out and buy some. In fact, he's able to get out on all fours to get up outside. "If I see you stand up like a human, I'll whip your balls," Master Max told him. Suffice to say, the doggie was obedient. 

The next day, after having had a great time in the dungeon and the garden, our companions went on a conventional sightseeing tour, or almost a conventional tour, since Damien took a big plug. They visit the stone monastery, a place well worth the diversions. They also enjoyed the immense green park and its waterfalls. Marc had advised them to wear good footwear, as they would have to do some climbing, which would be important for Damien's adventures. Even though the trees and waterfalls made the visit pleasant, the socks had gone up in smell, as the Masters noticed in the car on the way back.

When we arrived at the gîte, the cold beers on the terrace were a welcome relief for our thirsty guests. Damien was able to drink one after he had licked his bare feet and no socks. He found them "salty", so who knows why! After a good shower, our companions have a good time in the pool where Damien has to do a bit of diving to lick this and that^^^.

Damien didn't feel like shopping, so he didn't have to cook, as they had meals delivered for €9.50. Although the dog's meal was not mixed or put in a bowl, as the owners had forgotten this detail, the lope nevertheless ate on all fours under the table. We'd say it wasn't because they were short of space, but that it was just to please him...

The dungeon and its Love room are like magnets for our acolytes. As soon as they enter, Damien is placed and then shackled under the pierced chair used as a human toilet. His mission was simple: to prepare the asses of his tongue and, he hoped, not have to clean them after use. He only cleaned two of them without too much resistance, a foot on your testicles, that's motivating.

Our acolytes having had a blast with each other, with fatigue helping, they quickly took care of the slut so that she could have a minimum of pleasure, but in their own way... Translation? On the accessory shelf, they had spotted the mask used to attach scented socks or briefs to a person's face. Master Max generously offered to lend his briefs and one of his socks so that the slut could enjoy him all night and not feel abandoned.

- You won't feel abandoned because you'll be able to smell me all night long! says Master Max, making his accomplices laugh.

To make sure he doesn't rot the bed, he has to put on a nappy before being shackled arms and legs apart with his human-scented mask on tight. Damien's fragrant night is just an appetiser, because Master Max has plans for him the next day.

Early in the morning, after pissing outside, he comes to free him from the bed to put him on all fours before doing a bondage forcing him to evolve only as a dog. To do this, he tied his legs together one by one before handcuffing him and threading them through his collar. He then removed the mask with her pants and wet sock, and the nappy full of urine. This is then placed over her face and secured with packing tape.

- To please you, and above all so that you don't say that I'm not nice, I'm going to place the keys to the handcuffs at the foot of the table in the natural hut at the end of the orchard. When you come back, you can have lunch and take a shower. Wait, we can't leave your arse exposed to the air, we've got to fill it in a bit. This dog's tail will look great on you, and the rosebud is so small you'll hardly feel it. Enjoy the ride, bitch! Concluded Master Max before going to make himself a coffee.

While he enjoys being loped and acted like a dog, poor Damien is not at the end of his troubles. The soggy coat on his face means he can barely see. What's more, it's going to be a long way to get to the bottom of the orchard on all fours. It was when he left the terrace where he had been carefully equipped that he realised that the morning dew was going to be hell for him. Although Marc tends the orchard in much the same way as he does the park, the grass here is taller. Wet and fresh, they become cruel to him.

The lope transformed into a dog is living out one of his fantasies, except that the long journey and the wet grass change the situation and make it less fun. Plus, fresh grass makes you want to pee. It was on the way, tired and above all lacking courage, that he relieved himself like a dog. It was during this moment of abandonment that his tail decided to go its own way. This worries him because Maitre Max might not appreciate it and will punish him for it if he finds out. Determined to avoid punishment, Damien presses his pace, or rather, his paws. When he arrived at the table under the natural hut, he discovered forty minutes later that Master Max had not left him the keys to the handcuffs. 

Tightening his buttocks on the way back wasn't enough for his anus, which had been "well machined" over the previous few days, to contain his natural urge for what he called "solid sex". To avoid arriving with a dirty arse, he was reduced to rubbing himself in the grass like a bitch in heat. Drawing on his reserves of courage, he resumed his canine journey. In the process, he retrieves the bitch's tail, which is not very clean, and cleans it in the grass so that Master Max or his accomplices don't make him wash it with his mouth. As best he could, it was around 9.30am that he arrived at the terrace of the gîte where the acolytes were having breakfast.

After almost two hours of dog-walking, he was freed to drink at last! Drink and breakfast, after the effort a bit of comfort can't do any harm, thought Master Max.

- Well, Bitch, all that's left for you to do is put your things away and do the housework, which, I would remind you, is the responsibility of the tenants. I suggest you don't delay too long, as we have to leave the gîte and the dungeon in a perfectly clean state. I suspect, without too much risk of error, that Marc would be delighted to punish you with a whip if it's not done properly. You can imagine his reaction if I told him that you'd done the housework badly out of sheer provocation... ! Max tells him before going off to do some shopping at ABCplaisir.

It was with a touch of regret that they set off on their return journey, after a flawless inventory..... To be on the safe side, the Bitch won't be driving, but on the motorway, in the back between the seats, she'll be officiating with her mouth.  

END

TSM

- If Marc really exists

- If the fetish bed and breakfast really exists

- If it is possible to experience this type of adventure at the Gîte Fetichistes

- This story is completely fictional. Its aim is to give you an example of what it's possible to experience at the gîte fétichistes.

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mardi 6 juin 2023

Le gîte fétichiste.com devient le gîte de la discipline domestique

 


Virginie voyait ces vacances au gîte fétichiste d’un mauvais oeil même si son mari lui avait promis qu’il ne lui ferait pas faire du BDSM. Il avait même été obligé de lui faire voir le site du gîte qui était clair sur ce que les personnes pouvaient simplement rêver ou fantasmer sans rien pratiquer. Vous connaissez les femmes, elles ont la qualité d’être parfois tenaces et même têtues jusqu’à vous mettre en colère.

  • Chérie, je crois que nous étions d’accord, je choisis le lieu de nos vacances en Espagne la première semaine, tu choisis le deuxième. Pourquoi revenir encore une fois sur le sujet hormis pour m’énerver et me donner envie de te fesser ?

Au ton de la voix de son mari dans cette réponse, Virginie comprit de suite qu’il fallait faire profil bas. Cela ne dura pas très longtemps, et, en ce dimanche matin pluvieux les privant de sortie, elle laissa s’exprimer sa mauvaise humeur en râlant pour tout et rien, puis en claquant les portes. Essayant de travailler sur un dossier, exaspéré, Paul se leva d’un bond pour aller expliquer à sa femme que cela suffisait.

  • Je n’arrive pas à travailler, tu te calmes où tu vas en prendre une !

  • Ouais, c’est toujours pareil, tu campes sur tes positions et ...

  • Serais-tu en train de faire référence aux vacances ?

  • Oui tu sais bien que.....

Virginie fut coupée net dans sa réponse par une main ferme la saisissant par le bras pour la conduire vers une chaise de la cuisine. Allongée en quelques secondes sur ses genoux, prestement troussée et déculottée, elle commença par dire « non s’il te plait » et exprimer ses regrets. Mais il était un peu tard pour ça, Paul abattit de bon coeur sa main sur la fesse droite de sa femme. Elle cria aussitôt, ce qui n’empêcha pas l’autre fesse d’en recevoir une tout aussi forte.

« Le partage est équitable pour le choix des vacances, tu vas arrêter de discuter et de me casser les pieds puis de m’empêcher de travailler ». Chaque syllabe de cette phrase correspondant à une claque bien appuyée sur les fesses, le message commença à passer. Pour être sûr qu’elle ait bien compris, il lui ordonna de la répéter syllabe par syllabe si elle ne voulait pas qu’il la lui répète en lui claquant les cuisses.

Virginie abdiqua en contenant sa colère et eut quelques difficultés à la répéter pendant la deuxième fessée appuyée. Prestement redressée et mise au coin mains sur la tête à côté de l’ordinateur dans le salon, elle n’eut pas d’autres choix que de rester calme. Paul ne put psychologiquement se remettre au travail, il l’invita à venir s’asseoir sur ses genoux pour un câlin de consolation.

  • Tu sais que je t’aime toi ? Sauf que quand tu fais ta mauvaise tête, tu ne me laisses pas d’autres choix que de te recentrer. A propos des vacances, je te rappelle que nous ne passerons qu’un week-end au gîte fétichiste et que la suite de la semaine sera dans un hôtel 3 étoiles avec vue sur mer chose qui ne te déplait pas. La semaine suivante, sera exactement comme tu le désires. Je suis donc bien plus qu’équitable et même le grand lésé de l’histoire. Nous en conviendrons, ton comportement méritait cette fessée.

Trois bisous et un câlin plus tard, Virginie ne boudait plus et chantait dans la cuisine. Paul vient la rejoindre en lui disant « je crois que ce week-end sera réellement orienté discipline domestique à temps plein, car après cette fessée, tu es devenue d’une excellente humeur ».

Par provocation, Virginie lui tira la langue, l’ambiance n’étant pas à la punition, Paul oublia ce petit dérapage.

DEUX MOIS PLUS TARD

Lors du traditionnel apéritif de bienvenue du gîte fétichiste, nos tourtereaux purent rencontrer Malicia et Saku, une de leurs amies venue passer quelques jours chez eux. Virginie et Saku se trouvèrent des accointances, elles plaisantèrent plus que de raison. Malicia ne fut pas en reste pour dire des bêtises mais elle sut rester dans les limites à ne pas dépasser. Saku par contre.... De fait, elle se retrouva allongée sur les genoux de TSM, prestement déculottée pour une fessée explicative.

Paul et Virginie peu habitués aux rencontres de ce type apprécièrent l’ambiance des lieux. Sauf que, Virginie et Saku devinrent encore plus copines....

  • Je crois que Virginie a de « mauvaises fréquentations » ! Dit TSM lors du repas.

  • Ah bon pourquoi ? Demanda Paul.

  • Parce qu’aussi géniale que soit notre amie, elle est parfois un petit démon, vous devriez surveiller votre femme ! Lui répondit TSM en mode joueur.

Le ton des échanges étant basés sur l’humour, le jeu puis les provocations, Malicia et Saku firent cause commune avec Virginie pour provoquer les hommes.

  • Vous voyez, votre femme commence déjà à avoir des écarts de langage. A cela se rajoute qu’elle n’arrête pas de dire le mot « ouais » et de mettre ses coudes sur la table. Je pense qu’il serait utile que je vous fasse visiter les lieux sans elles, cela me permettra de vous donner quelques pistes de réflexion !

  • Oh là, ne le laissez pas seul avec mon mari ! Répondit Malicia à Virginie, il aura à son tour une très mauvaise fréquentation !

Ni une ni deux, Malicia fut invitée à prendre place sur les genoux de TSM et, devant tout le monde prit une fessée. Très solidaire, Saku apporta un paddle à TSM afin que ses explications soient plus claires. Malicia la traita de traître. Cette ambiance peu commune mit le feu aux poudres de la libido des tourtereaux.

Pendant que Virginie prenait une douche au gîte, Paul se rapprocha de TSM pour une visite commentée des lieux et des multiples possibilités qu’il offre. Il trouva vraiment géniale l’idée de la balançoire à fessée ainsi que de remplacer le coin par le pilori. « Après une bonne fessée, quand elles sont bloquées dans cet accessoire du Moyen-Âge, vous pouvez être tranquille, elles sont sages ».

Paul découvrir aussi le paillasson de la réflexion pouvant être posée sur « le petit cheval » puis le banc à fessée. Il hallucinait un peu devant tout ça et ressemblait à un gamin dans un magasin de jouets.

Pendant la traditionnelle sieste espagnole, les tourtereaux profitèrent de la piscine puis, en catimini de quelques instruments mis à leur disposition. En fin d’après-midi, Virginie retrouva Saku en train de terminer la décoration d’un meuble destiné à des choses pas très catholiques, dans le donjon en construction. Les « complotistes » d’un nouveau genre, s’amusèrent à écrire sur une planche avec des clous de décoration « la chaise du diable » qu’elles allèrent déposer sur le tabouret du maître des lieux sur la terrasse.

Assis avec un bouquin sur la terrasse de son gîte, Paul les vit passer. Par curiosité, il se leva et les suivit. Prises au piège, elles ne purent qu’essayer de trouver des excuses bidons, aussi crédibles que leurs visages, celui de Saku était amusé, celui de Virginie devenait couleur coca.

Informé des dérapages des filles, TSM décida qu’il serait bien de proposer un tribunal pour statuer sur l’affaire puis décider des sanctions fessiales. Malicia fut désignée d’office comme avocate.

Si bien qu’au repas du soir, le tribunal put entendre les parties ainsi que l’avocat avant de statuer. On peut dire que l’avocate ne fut pas très convaincante pour défendre Saku qu’elle chargea volontairement pour défendre Virginie.

  • Innocente et entraînée, elle n’a pas pu refuser de suivre le démon, je plaide la relaxe pour Virginie ! Indiqua Malicia dans sa plaidoirie.

  • Sous l’inquisition, les sorcières appelaient les démons, c’est pour cette raison qu’elles étaient questionnées jusqu’à l’obtention des aveux. A la suite de quoi elles étaient brûlées vive en place publique. Pour Saku, j’hésite entre le ducking-stool et le fouet pour la faire avouer et la châtier.

  • Cela signifie quoi le ducking-stool à par tabouret d’esquive ? On peut s’échapper ? demanda Virginie amusée.

  • Le ducking-stool était une chaise en bois dans laquelle la contrevenante était assise. Une bande de fer était placée autour d'elle pour qu'elle ne tombe pas pendant son immersion dans la rivière par exemple. Si elle ressortait vivante c’est qu’elle était innocente. La distraction du moment consistait à l’immerger et à la ressortir puis à l’immerger à nouveau plus longtemps. Cela ne se terminait jamais bien. il ne faut pas confondre ducking-stool et Cucking stools qui était une sanction publique autrefois utilisées pour châtier les femmes hors-la-loi. Attachées à une sorte de chaise, des femmes tête et pieds nus étaient exposées publiquement à leur porte ou on les faisait défiler dans les rues au milieu des railleries de la foule. Un peu comme si Paul vous faisait asseoir devant chez vous après chaque fessée, pour que tout le monde sache ce qu’il vous est arrivé.

  • Tiens, ce serait une idée amusante ! Qu’en penses-tu chérie ? Demanda Paul.

Virginie n’approuva pas, comme l’on peut s’en douter, mais TSM ne lui laissa pas trop le temps de tergiverser.

  • Concernant votre épouse rebelle, fautive malgré qu’elle ait été entraînée par Saku, le tribunal a statué. Elle devra être entravée sur le banc à fessée pour subir sa punition devant nous. Cette fessée devra être donnée déculottée cela va de soit. Nous prendrons place face à elle pour lire sur son visage si le message passe bien. Voir le regard et les mimiques incessantes d’une fille fessée, est un spectacle dont je ne me lasse pas.

  • Ah non, pas devant tout le monde ! Répondit Virginie.

  • Et pourquoi donc ? Vous n’avez pas détourné les yeux ni quittée la terrasse lorsque Malicia et Saku ont été fessées. Je dirai même que cela semblait bien vous amuser. Qu’en pensez-vous les filles ?

Demander à deux filles fessées si elles souhaitent épargner une troisième complice de jeu, frise l’aberration ! ! ! En entendant Malicia et Saku répondre « la fessée, la fessée » Virginie comprit qu’elle n’y échapperait pas. TSM demanda aux filles, d’aller chercher le banc à fessée, ce qu’elles firent de bon coeur sans rechigner, allez donc savoir pourquoi ?

A leur retour, il fut installé face à un canapé où TSM prit place avec les filles, avant d’ajouter à l’attention de Virginie « ainsi nous ne verrons pas vos courbes fessières, votre pudeur ne sera donc pas affectée. Toutefois, il faudra penser à nous regarder ». Au regard qu’elle lui lança, il fut aisément possible de lire les noms d’oiseaux qu’elle n’osa pas prononcer.

Le spectacle d’une grande qualité se transforma rapidement en comédie musicale, ponctuée de « ah » et de « Ouh » lors de l’application de le sentence. Il ne manquait plus que le vendeur de pop-corn pour que cela soit parfait. Paul quant à lui ne l’épargna pas, jouer en public lui donnait des ailes, si bien que les filles durent appliquer un peu de crème sur les fesses de la condamnée.

Saku fut condamnée au ducking-stool sans chaise. Sa sentence fut appliquée à la piscine. Elle fut jetée dans l’eau mains menottées dans le dos. Aussitôt rejointe par TSM, une sorte de dialogue social vit le jour au milieu de la nuit.

  • Avoue que tu es une sorcière !

  • Non !

---> Glouglou

Cela prit un certains temps, à peu près 10 pages word que je ne vais pas écrire afin de ne pas vous lancer. Une petite fessée fut donnée à Saku sur la margelle pour faire sécher ses fesses. La coquine ne put contenir son envie de jouer en tapant dans l’eau pour éclabousser tout le monde. Si bien qu’elle fut mise au pilori fesses à l’air pendant le dernier verre de la soirée. (Enfin, presque le dernier...)

Le lendemain, TSM les retrouva nus à la piscine avec Saku. Il ne s’attarda pas pour ne pas les gêner mais comprit que le gîte avait fait sauter le verrou « pudeur » de Virginie. Alors qu’il travaillait son potager, Saku vint le voir pour lui indiquer que Paul désirait lui parler.

Elle le guida jusqu’à la balançoire des fessées où il s’étonna de trouver Virginie entravée fesses à l’air sur le banc à fessée suspendu.

  • Je n’arrive pas à bien gérer votre balançoire, pouvez-vous me faire une démonstration s’il vous plait ? Prétexta Paul pour l’inviter à jouer.

TSM se fit évidement un plaisir de lui faire une démonstration. Il commença à la pousser comme l’on fait sur une balançoire traditionnelle, enfin presque car là, Virginie était entravée sur le banc à fessée suspendu. A la suite de quoi, il n’eut plus qu’à entretenir la vitesse du balancement lorsque les fesses venaient à la rencontre de sa main. Cette « garce » de Saku ne put se contenir et se mit côté « tête » pour aider au mouvement. Virginie demanda réparation, elle l’obtint de suite, allez donc savoir pourquoi !

  • Je vous propose qu’elle soit châtiée lors d’un concert fessée à l’apéritif, est-ce que cela vous convient ? Demanda TSM.

Virginie et Paul approuvèrent de bon coeur mais ne purent savoir ce qu’est un concert fessée. Si bien qu’ils furent un peu en avance pour l’apéro.

Même innocente, (enfin presque une femme n’est jamais innocente) Malicia fut invitée à s’agenouiller sur la table basse à côté de Saku. TSM mit de la musique bien rythmée et revint avec deux cravaches. Il s’installa sur le canapé et entreprit de jouer de la batterie sur les fesses offertes. Ayant le rythme dans la peau et quelques expériences avec les baguettes, les trois compères s’amusèrent gaiement. Paul voulu essayer après la démonstration, mais manquant d’expérience cela ne dura pas. Il promit de s’entraîner !

Après le repas, les tourtereaux prirent le chemin du retour en promettant de revenir pour d’autres aventures et « quelques bricoles » que Virginie voulait essayer. Si sa timidité ne l’avait pas freinée, elle aurait bien volontiers joué bien plus.

  • Et dire que tu m’as fait des caprices et la tête pour ne pas venir ! Conclue Paul en lui donnant une grande claque sur les fesses pour la pousser vers la voiture.

FIN

Cette histoire n’est pas totalement fictive. Paul et Virginie sont des personnages inventés. Malicia et Saku existent réellement et sont parfois très complices. Les jeux indiqués dans cette histoire ont déjà été réalisé X et X fois chez nous à Vauvert.

Vous pourrez venir en vacances au gîte fétichiste en 2023 pour vivre chez nous vos passions et envies si vous le désirez. Le ton de cette histoire correspondra à l’ambiance que vous pourrez trouver chez nous.

Le site du gîte est ici (Ouverture en avril 2023)
Le site du gîte CLASSIQUE et dépouillé des accessoires est ICI
Voir les lieux sur la chaîne Youtube

lundi 5 juin 2023

Une femme découvre la soumission au gîte fétichiste

 


Cela faisait un moment que Paul me parlait de BDSM et, personnellement, cela me faisait peur. Certes, j’avais bien quelques fantasmes coquins mais de là à les vivre... Ce coquin m’a bien eue en me promettant que nous ne ferions que l’amour dans la chambre LOVE !

A notre arrivée, j’étais un peu tendue. Cela n’a pas duré car l’accueil est aussi simple que chaleureux. C’est vraiment l’esprit « vacances » à la campagne qui est mis en avant. Après nous avoir aidé à décharger nos affaires et expliqué rapidement le fonctionnement du gîte, Marc nous a fait visiter sommairement le parc, l’immense verger en nous disant que nous pouvions aller cueillir des fruits, si nous en avions envie ou nous y amuser. Sous-entendu perçut par Paul comme vous le constaterez plus tard.

Jusque là, c’était l’esprit « vacances » à la campagne mais cela n’a pas duré. Après nous avoir fait voir la piscine en nous précisant que nous pouvions y faire du naturisme, il a ouvert une porte donnant sur ce qu’il a appelé : les lieux de perditions. OUF ! C’était la première fois que j’entrais dans un donjon et si cela est excitant à voir sur internet, en réel, c’est troublant.

Marc nous a fait voir pour la climatisation, les jeux de lumières, la télécommande du treuil puis les accessoires et mobilier à notre disposition. A chaque fois, il donnait très sommairement des exemples d’utilité... Les yeux de Paul brillaient d’envie ! Lorsque Marc nous a précisé que nous pouvions aussi sortir du matériel pour jouer ou faire l’amour à la piscine, dans le parc ou le verger, je me suis décomposée en imaginant que mon mari allait avoir ces envies.

Accompagnés à l’accueil, un ancien moulin restauré, pour y faire les papiers, j’étais encore troublée par ce que j’avais vu dans le « lieu de perdition ». Autant dire qu’une fois seuls, Paul n’a pas tardé à vouloir y retourner. Il m’a attrapée et jetée sur le lit de la chambre LOVE pour me dévorer de bisous.

Un bisou en appelant un autre, dans ces lieux grisants, le plaisir charnel semble décuplé.

Comme par hasard, le lit de la chambre love est équipé de menottes permettant d’attacher une personne. Paul a retiré ma culotte et m’a donc entravée les bras et jambes en croix pour continuer de me dévorer de bisous et caresses. Il m’a soudain abandonnée pour aller chercher un gros vibro dans les X sextoys du donjon. Branché à la rallonge fixée à la tête du lit, j’ai du « subir » ses attaques sensuelles sans même pouvoir le caresser à mon tour ni même, l’étreindre.

« Obligée » de subir un tsunami de caresses, de bisous avec en plus, un truc qui vibre contre votre bouton magique, cela donne des envies de plus. J’ai fini par lui dire de me prendre tant j’étais excitée. Il n’a pas tardé et, pour la première fois, je me suis vue dans le miroir situé au dessus du lit. J’ai découvert les fesses de mon mari en pleine action mais aussi que mon visage peut être très expressif...

Paul avait commandé le repas livré dans le réfrigérateur du gîte. Si bien qu’après la douche, j’ai mis la table et réchauffé le repas au micro-onde. Mon mari n’avait pas l’air d’avoir faim et n’avait pas encore pris sa douche. Il lisait et sa lecture semblait passionnante au point de m’oublier ! ! ! J’ai compris la raison de cette soudaine passion pour la lecture, quand il est allé prendre sa douche.

Sur la table du gîte se trouvent deux classeurs. Un avec toutes les infos pratiques et touristiques pour les touristes, l’autre appelé « le classeur des vraies bonnes mauvaises idées ». C’est en quelque sorte le tutorial pervers des installations coquines. Mon mari avait trouvé un mode d’emploi pour libérer ses envies sadiques ! ! ! Bon, j’avoue que certaines des idées du classeur sont troublantes...

La route nous ayant fatigué, nous n’avons pas traîné à essayer le lit king size. Un bisou et trente secondes plus tard, Paul dormait me laissant seule avec mon temps d’insomnie. J’avais envie de retourner lire le classeur maudit, juste.... pour tuer le temps en attendant que Morphée s’occupe de mon cas. Lire a mis le feu aux poudres de ma libido. Mes doigts coquins ne sont pas parvenus à « m’achever », une douce somnolence a fini par envahir. Au lieu de profiter du lit king size, je me suis lamentablement endormie sur le canapé avec la lumière allumée.

Le lendemain, Marc nous a conseillé d’aller visiter le Monastère de Pierre en nous indiquant que ce serait une bonne stratégie, à cause du vent très fort ce jour là. Après 40 minutes d’autoroute gratuite, cela change, nous sommes arrivés à destination. Ouah ! Ce lieu est lui aussi magique ! Après la visite de l’abbaye grandiose, nous avons visité le parc et ses cascades. Ce lieu est géant, frais et abrité du vent. C’est un peu fatiguant pour les petites jambes habituées aux ascenseurs. Marc nous avait prévenu des horaires espagnols, nous n’étions donc pas inquiets en arrivant au restaurant en début d’après-midi. Pour 15 euros nous avons pu apprécier un bon repas servi rapidement. A priori, ils n’aiment pas faire attendre les clients ou sont mieux organisés pour le service, cela change.

Pour revenir au gîte, nous avons essayé un autre itinéraire fort sympathique, passant de zones ultra boisées à des zones quasi désertiques. Les contrastes sont surprenants. En arrivant, Paul m’a proposée de prendre un bain à la piscine puis de se reposer. Reposer, mon oeil... J’ai rapidement été attaquée par un requin coquin et affamé. Il a osé, essayé de me manger mais j’ai refusé par peur que Marc nous voit. En guise de câlins aquatiques, je me suis laissée bloquer dans le pilori du donjon.

Rapidement dévêtue, et pour cause je n’avais qu’un bas de maillot, je me suis faite traiter de sorcière par le grand inquisiteur bien décidé à essayer quelques instruments. Après avoir désinfecté et recouvert d’un préservatif le petit plug de chienne, il me l’a logé dans les fesses en me disant que la petite queue m’allait très bien. Le mufle !

Ce n’était pas la première fois qu’il me mettait un petit truc dans les fesses, mais me faire prendre debout, entravée avec un truc dans l’anus m’a faite décoller très vite. Chacun de ses mouvements était comme décuplé derrière. C’est là que j’ai commencé à trouver que le BDSM, ce n’est pas si inintéressant que ça dans la réalité. En effet, cela faisait deux fois qu’il me faisait l’amour en deux jours, et deux fois que... que c’était bien bon !

Le repas du soir fut pris dans la salle de restauration du gîte avec les propriétaires. Supers zens, ils nous ont parlé de leurs mésaventures, des surprises en arrivant au moulin. Il nous ont indiqué ne pas regretter un seul instant d’avoir quitter la France. Nous avons compris rapidement pourquoi pendant notre semaine de vacances. Ici la vie est moins chère, les gens sont zens. Le repas, servi sur assiette ressemblait à celui d’un trois étoiles ! Pour treize euros tout compris, c’était franchement bon et copieux.

Le lendemain, nous avons continué de « touristiser » en allant au marché de Saragossse sur les conseils de Marc et son épouse. Constat cruel : quand les prix sont de folie et ultra bas, on dépense plus ! Bon en même temps, j’ai deux ans d’avance pour les fringues. RIRE !

Arrivés au gîte, après un énième resto cette fois à 12 euros par tête, puis une première exploration de Saragosse, la piscine nous tendait les bras. Et mes fesses devaient les tendre aussi à mon mari désireux de jouer les requins toujours affamés. Devant mon refus, la pudeur... il m’a dit que cela mériterait une fessée.

« Hummmm, voilà une bonne idée, mais sur le banc à fessée » fut ma réponse. Paul fut surpris car je n’avais jamais osé lui parler de ce fantasme. Conduite au donjon puisque nous avions la clé, je fus donc entravée sur le banc à fessée puis, punie pour provocation.

Aie, aie, aie au début, mais, au bout d’un moment, j’étais comme dans une bulle. Quand Paul s’est arrêté en voyant mes fesses rougir « sérieusement » d’après lui. L’inconsciente lui a dit « c’est tout » ?

Que n’avais-je pas dit là ! Il a attrapé le paddle Fessestivites et j’ai dégusté au départ avant d’entrer à nouveau dans la bulle d’une « masochiste des fesses qui se découvre ».

Le repas du requin étant servi et entravé sur un banc à fessée, les deux côté de mon tube digestif ont été utilisé même si, derrière, je n’aime pas trop. Là, ce fut différent, peut-être que le fait d’être entravée décuple mes plaisirs.

La suite des vacances c’est déroulée sur le même principe et c’est, finalement, épuisant ! Tourisme, marche, piscine et sexe avouons-le, c’est génial mais fatiguant.

Pour le sexe en extérieur, Paul avait conspiré avec Marc lui ayant prêté des menottes. Sous prétexte d’aller manger des fruits mûrs sur l’arbre, mon mari m’a faite marcher jusqu’au fond du verger. Et là, il m’a menottée par surprise à un arbre, m’a déculottée, fessée et ....

Finalement, faire ça au grand air ce n’est pas si mal ! Bon d’accord, j’ai perdu une culotte puisque nous l’avons oubliée au fond du verger !

Ce qui est un peu fou en ces lieux, c’est qu’en plus des vacances touristiques, on a envie de céder à la tentation et que l’on découvre des choses pas désagréables du tout.

Fin

Cette histoire est fictive.Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existé est purement fortuite hormis pour Marc qui existe réellement tout comme le gîte fétichistes dont le site est ICI.

Selfbondage au treuil du gîte fétichistes

 

Equipement du gîte fétichistes

J’étais en vacances en Espagne où j’ai choisi comme hébergement de louer le gîte Fétichistes avec l’idée de faire du tourisme mais aussi de m’amuser.

Lorsque j’ai dit à Marc que je manquais d’idées pour faire du selfbondage, sa réponse, accompagnée d’exemples de multiples scénarios possibles, n’a pas tardée ! Après une petite discussion et quelques questions un peu gênantes, il m’a proposé de me guider sur un scénario et des tenues si j’en avais envie.

Devant mes incompréhensions et mes doutes, il m’a donc accompagné au donjon où il a installé le matériel de base en me disant que pour les accessoires et tenues, je pourrai agrémenter à ma guise en fonction de mes envies. Après avoir fait descendre le crochet du treuil du donjon, il y a bloqué les menottes en y attachant une longue ficelle.

  • Une fois que vous serez menotté, avec la télécommande vous n’aurez plus qu’à faire remonter vos poignets menottés mains dans le dos. Ensuite, vous faites descendre doucement la télécommande sur le sol et la ficelle vous permettra de la récupérer et donc, de redescendre vos bras. Pour les clés de menottes, si vous souhaitez plus de frissons, je vous conseille d’aller les mettre sous le portique shibari qui est dans le parc. Ainsi, si vous êtes nu ou en robe vous aurez peur d’être vu, cela rajoutera des frissons. Si vous êtes pudique, vous n’avez qu’à les poser sur le lit de la chambre LOVE ou sur le sling.

Devant mon visage blême pour cause de gêne, il m’a rassuré en me disant que pour les célibataires, le but du gîte est justement qu’ils puissent s’amuser. Il précisât, que j’aurai bien tord de m’en priver. Il m’a ensuite donné deux autres exemples tous aussi grisants que gênants pour un timide comme moi.

Abandonné au donjon avec ma gêne et ma monstrueuse excitation, je me suis retrouvé seul avec moi-même et donc, en mauvaise compagnie... Pour le coup des clés des menottes, je suis donc allé les mettre sous le portique shibari qui est dans le parc, lieu qui m’exposerait à leurs regards suivant l’heure où je jouerai. Déjà pour moi, en parler avait été une étape, et là, je risquais de m’exposer...

Le problème de ce lieu de perdition, est qu’il y a tellement de matériel que rien que de les voir on s’excite et donc, on perd un peu de sa retenue. J’ai donc décidé d’ajouter quelques accessoires mis à la disposition des clients. Je me suis pris un plug, un parachute de couilles avec un poids et des pinces à sein

Excité comme une puce devant un vieux chien bien dodu, j’avais déjà envie de me ... enfin vous avez compris. La morale (humour) m’a obligé à me rendre dans mon gîte pour mettre sans tarder ma cage de chasteté. J’y ai laissé les clés avant de sortir.

Arrivé au donjon, je me suis donc mis nu pour enfiler une des robes roses empruntée dans la salle aux secrets. Sa matière m’excitait tout comme de m’habiller une femme. Dans ma cage de chasteté, c’était déjà la fête, ou plutôt la crise du logement. Le plug n’a pas tardé à trouver sa place dans mes petites fesses, cela faisait de moi « une femme comblée ».

Sans tarder, j’ai voulu mettre le parachute de couille avec un poids de 3 kilos. Avec ma cage de chasteté tirant déjà vers l’avant, cela m’a pris un peu de temps. Les pinces à sein furent posées par l’encolure de la robe ce qui, après le moment de douleur, cela m’excitât encore plus, rendant ainsi la cage de chasteté ultra étroite.

L’idée de me bâillonner me vint, mais cela m’obligea à marcher jusqu’au placard aux accessoires. Suivant les conseils donnés, j’ai donc pris le bâillon bouche ouverte. Comme indiqué, contrairement au bâillon boule, ce modèle ne peut réellement pas être recraché. Une fois en bouche, sans les mains, il reste en place.

Cela commençait déjà à bien tirer sur mes testicules, je me suis demandé si je n’avais pas un peu exagéré en les lestant avec 3 kilos mais, une fois lancé, je ne suis pas revenu en arrière. Avant de me menotter, j’ai donc attrapé la télécommande du treuil posée au sol avec sa ficelle. Le bruit et la sensation des menottes se refermant sur mes poignets m’excitât encore grandement au point que ma tête tournait un peu.

A ce moment là, en tournant la tête, je pouvais voir les boutons de la télécommande du treuil. Cela fut donc facile de trouver celui qui allait faire remonter mes poignets vers le plafond et m’obliger à me pencher en avant pour offrir mes fesses à une maîtresse imaginaire. Quand on est très excité on en fait parfois un peu trop. En effet, j’ai réellement bien fait remonter mes bras au point d’être très penché en avant. (Trop)

Avec précaution j’ai fait glisser la ficelle entre mes doigts pour déposer la télécommande sur le sol. D’un petit coup de pied je l’ai repoussée avant de lâcher la ficelle de rappel attachée aux menottes. A partir de ce moment là, j’ai constaté que j’avais trop monté mes poignets vers le haut et que cela tirait déjà sur mes épaules. Je plains les pauvres gens qui, à l’époque de l’inquisition ou romaine ont été suspendus de cette façon, cela devait être horrible.

La petit salope que j’étais devenu, offrait sa croupe sans possibilité de fuir l’inquisitrice dominatrice. C’est là que mon excitation m’a conduit à imaginer qu’elle voulait rentabiliser sa « soumise » en mettant son cul en libre service à bas prix dans un bordel... Non je ne suis pas gay, mais des fois, j’ai des idées tordues concernant cette partie de mon anatomie. Bouger comme si un sadique sautait la catin, se reporta sans tarder sur le parachute de couilles et mes épaules contrariées par la position.

Le balancement du poids tira fortement sur mes testicules, mouvement qui malgré moi et la douleur me fit bander comme un âne dans la cage. Cette érection entraînât la cage à aller vers l’avant et donc.... tira encore sur mes précieuses déjà bien malmenées. J’avais envie de petites douleurs bien excitantes, pas de faire du CBT ! La « sagesse » m’incita à mettre un terme à ce selfbondage en attrapant la ficelle avec mes petits doigts pour faire remonter jusqu’à eux, la télécommande du treuil.

C’est à ce moment là que mes yeux, ont prévenu le reste de mon anatomie que cela allait prendre du temps ! En effet, 50 mètres de ficelle à faire glisser entre vos doigts par morceau de quelques centimètres, cela prend du temps. Mes épaules et mes testicules en ont parlé à mon cerveau de malade mental, en le menaçant de faire une douloureuse révolution si je ne pressais pas le mouvement. Je commençais à avoir réellement chaud malgré la clim du donjon. Mes yeux piquaient pour cause de transpiration, c’est dire...

Lorsque enfin ma main à attrapé la télécommande, j’ai constaté que choisir le bon bouton pour faire redescendre les mains menottées de la « cruche » penchée en avant, n’était pas chose aisée ! En effet, au lieu d’appuyer sur le bouton « descendre » j’ai appuyé sur le bouton « montée ». AIE pour résumer. Mes épaules étant déjà malmenées, j’ai bien failli lâcher la télécommande, bêtise qui m’aurait obligé à tirer à nouveau les 50 mètres de ficelle.

Ce fut un réel soulagement que de faire redescendre mes poignets et de sortir les menottes du crochet du treuil. Cette action n’est pas aussi facile qu’on ne le pense avec des mains menottées dans le dos. Elle vous impose des mouvements qui, dans mon cas, ce sont reportés sur mes précieuses lestées ! La première chose que j’ai faite une fois libéré du treuil, c’est de m’accroupir pour décrocher le poids de trois kilos fixé au parachute de couilles. Mains menottées dans le dos, cela n’a rien de pratique et il n’est pas facile de défaire des noeuds sans réellement voir ce que vous faites !

L’idée d’aller chercher les clés des menottes dans le jardin avec le poids accroché à mes testicules ne me séduisait pas. Je me suis tellement acharné que même mes doigts étaient mouillés de transpiration. En vain ! Je n’allai pas avoir d’autres choix que de marcher dehors avec les précieuses douloureusement lestées.

Déjà me lever et donc soulever le poids fut une étape, la suivante fut de sortir du donjon car il y a une marche. Difficulté à laquelle s’ajoutait une pression psychologique importante : le risque d’être vu menotté, habillé en femme avec un truc qui se balance entre les jambes ! ! !

Une fois dehors, sur la terrasse de la piscine, le soleil m’a donné un uppercut en guise d’accueil. Je comprends pourquoi Marc fait la sieste à cette heure là ! Si le soleil me harcelait, cela avait l’avantage qu’il ne me verrait pas en mauvaise posture. J’ai rapidement compris qu’il fallait que je marche jambes serrées pour limiter le balancement du poids entre mes jambes.

Oui mais, cette démarche avait deux inconvénients. Le premier est qu’il n’est pas possible d’aller rapidement chercher les clés, les petits pas n’aident pas la vitesse. Le deuxième est que le poids heurte vos tibias. La « petite salope » a donc traversé la terrasse où, vautré sur un banc, un de leurs chats a regardé avec un grand intérêt le poids se balançant devant mes tibias. Peu motivé pour jouer, il n’a pas bougé de son banc. OUF !

J’ai ensuite traversé le jardin sous le soleil à la vitesse d’un escargot fatigué. Par chance, le portique shibari qui est dans le parc est à l’ombre. Ayant un peu d’expérience avec les menottes, je n’ai pas galéré pour me libérer. La premier truc que j’ai retiré c’est le parachute de testicules comme vous vous en doutez. Mes tétons se sont vengés de l’agression lorsque j’ai retiré les pinces à sein.

Je n’ai pas tardé à retirer le bâillon bouche ouverte avant de repartir, cette fois en marchant normalement au donjon pour tout déposer ainsi que la robe et fermer la porte. En effet, la climatisation n’a pas d’autre utilité que de coûter cher quand une porte est grande ouverte. La douche solaire me tendait les bras tout comme la piscine. Comme le gîte accepte sans problème les naturistes, je me suis dévêtu pour prendre la douche dehors avant de prendre conscience que la naturiste exposait aux regards des oiseaux sa cage de chasteté ainsi qu’aux proprios si ils venaient se baigner.

La douche me fit un bien fou et je n’ai pas résisté à l’envie de me baigner nu sous cage de chasteté. Si c’est fort agréable, cela m’a, à nouveau, excité mais la sagesse m’a interdit de continuer mes délires sans respecter la pause syndicale : aller boire et manger ! Marc est passé avec une serviette sur l’épaule devant le gîte sans même regarder si j’y étais. Il s’en est fallu de peu que je sois vu en mauvaise posture ou sous la douche de la piscine en étant sous cage de chasteté. Si pour lui, c’est un détail dont il n’a rien à faire, pour moi, cela aurait été une étape difficile.

En grignotant, je lisais les fiches du classeur des « Vraies bonnes mauvaises idées » proposées. C’est là que j’ai constaté que j’avais encore ma cage de chasteté et que je m’étais, finalement tellement éclaté que l’idée de me masturber, comme bien souvent quand je me fait un petit selfbondage, ne m’avait même pas effleuré l’esprit.

Je me suis demandé si j’oserai leur confier les clés de ma cage tout en pensant à un autre des scénarios que Marc m’avait indiqué. Pour ne pas faire que des « vilaineries » et profiter de mes vacances, je me suis obligé à m’habiller pour aller visiter un peu la région. En effet, en Espagne, les commerces et autres ferment relativement tard le soir.

A suivre pour mon selfbondage sur la chaise d’inquisition du gîte fétichiste, un scénario qui m’excite rien que d’y penser.

Fin

  • Si Marc existe réellement
  • Si le gîte fétichistes existe réellement
  • Si il est possible de vivre ce type d’aventure au gîte fétichistes
  • Cette histoire est totalement fictive. Son but est de vous donner un exemple de ce qu’il est possible de vivre au gîte fétichistes
Visiter le site du gîte fétichistes en cliquant ICI

lundi 21 novembre 2022

Lucie au gîte fétichiste

Lorsqu’elle a vu les annonces de l’ouverture d’un gîte fétichiste en Espagne accordant une attention particulière aux célibataires, Lucie a trouvé l’idée originale. Après avoir mené sa petite enquête, elle s’est offerte un week-end coquin pour vibrer un peu. Si effectivement les propriétaires du gîte sont ultra respectueux et attentifs à leurs clients, le mobilier et les accessoires qu’ils mettent à votre disposition sont là pour fouetter votre libido.

Manquant un peu d’idées pour jouer seule, en prenant conseil, Lucie s’embarque dans des aventures aussi sulfureuses que jouissives même si, parfois, c’est assez tendu. Ses vacances éroticos sensuelles deviennent BDSM, ABDL et lui feront mal aux fesses.

...............

Lucie est une femme coquine, pas une salope, ne pas confondre. Elle aime les plaisirs de la vie, le BDSM, le bondage mais ne se donne pas au premier venu. Comme beaucoup de femme, elle s’est offert quelques sextoys. Elle a également joué à s’attacher un peu toute seule pour jouer avec le bondage et ses sextoys pour « s’obliger » à jouir un peu plus longtemps.

Ses petits selfbondage étaient très simples, comme attacher ses chevilles et ses cuisses avec des ceintures après avoir mis un petit plug anal, puis un vibro dans son chaton. Le plus compliqué de ses selfbondage a été d’oser mettre des menottes mains dans le dos et de s’allonger sur le ventre pour s’abandonner à ses sextoys. Les clés des menottes étaient tout simplement posées sur la table de nuit. Si ses petits jeux coquins étaient très sages, chaque fois dans son esprit coquin, les fantasmes l’étaient beaucoup moins. Qui n’a pas de fantasmes me direz-vous ?

Lorsqu’elle a vu les annonces de l’ouverture d’un gîte fétichiste accordant une attention particulière aux célibataires, cela l’a titillée. En s’imaginant dans les jeux possibles décrits pour les couples et les hommes seuls, il lui venait des fourmis dans son petit bedon....

Elle s’est donc lancée dans une étude approfondie à la version enquêteurs de police sur les propriétaires du gîte. Les 60 évaluations faites sur le profil de TSM étaient pratiquement toutes dans le même sens. « Un sadique pervers à la fois très respectueux et accueillant ».

Lire les évaluations réelles des personnes l’ayant rencontré

Joueuse mais prudente, Lucie a donc pris un abonnement sur Fessestivites pour contacter les femmes ayant fait des évaluations sur son profil. Toutes les filles lui ont répondu qu’elle ne risquait rien, hormis s’éclater, découvrir et s’amuser en toute simplicité.

Aussi frileuse qu’excitée, elle l’a donc contacté par messagerie pour avoir plus d’informations sur ce que son gîte fétichiste pouvait proposer comme « loisirs ». Sa réponse a été simple !

  • Vous pourrez faire tout ce que vous rêver de vivre et faire seule en étant assistée, accompagnée, guidée et surtout sécurisée. Exemple, si vous rêvez d’essayer une camisole de f o r c e, vous l’enfilez, je ferme la camisole et vous me dites combien de temps vous désirez restée prisonnière. Cela peut être aussi de dormir enfermée dans une cage, de rester une heure nue au pilori, à chaque fois, c’est vous qui décidez. Je peux également vous prêter du matériel pour faire du selfbondage, vous donner des idées de scénarios mais ne jamais entrer dans votre gîte. L’avantage est que si je ne vous vois pas à midi par exemple, je viendrai voir si vous êtes bloquée et en perdition. En clair, ma femme ou moi-même pouvons être la personne de confiance à qui vous pouvez tout dire.

Convaincue qu’elle ne risquait rien et que sa vie ne serait pas en danger, Lucie a donc fait une réservation comme si elle se jetait à la mer.

Trois mois plus tard, et après des rêves érotiques fous et quelques cauchemars, c’est dans la parking de l’aéroport qu’elle rencontre l’agitateur de mauvaise conscience. Venu en ville faire trois achat pour son gîte, il lui a proposé de la récupérer à l’aéroport pour lui éviter d’avoir à payer un taxi. Les discussions pendant le trajet dans le 4x4 poussiéreux, finirent de lever ses craintes. TSM est un gentil taré bourré de très mauvaises et surtout, perverses idées. En rencontrant son épouse Malicia, pour l’apéro de bienvenue, elle constata qu’il n’était pas le seul à avoir des idées perverses.

Pendant que TSM terminait la préparation du repas, Malicia lui fit visiter les lieux et l’accompagna à son gîte. Les discussions furent coquines, entre filles on se lâche un peu plus. Pendant le repas, elle eut des explications sur des fétichismes qu’elle connaissait très peu ou ne comprenait pas comme l’ABDL. C’est au dessert qu’elle avoua qu’elle manquait d’idée pour l’après-midi. C’était une vraie fausse mauvaise bonne idée que de dire cela à TSM ! ! !

  • Je vous propose de vous accompagner à votre gîte pour vous préparer un plan qui finira de vous achever après la fatigue du voyage. Cela peut être très jouissif..... Rassurez-vous, je ne fais que tout installer et je vous abandonne pour aller faire ma sieste ! Répondit TSM.

Peu rassurée elle accepta cette proposition. Il prit une serrure de glace de deux heures et, habitué aux lieux, il ne lui fallut que très peu de temps pour faire une installation sur le lit avec tout ce qu’il faut pour qu’elle se fasse plaisir.

  • Je vous explique le principe. Vous mettez ce que vous voulez dans vos orifices, vous garder une culotte pour bloquer le magic wand massager en bonne place. Ensuite vous attachez vos chevilles dans ces bracelets, vous attachez votre main gauche dans ce bracelet avant d’allumer vos jouets et de menotter votre dernier poignet ici ! Lui indiqua TSM avant d’ajouter : vous pouvez également vous mettre des pinces à sein et une cagoule qui vous aidera à mieux fantasmer. Si vous n’avez pas de question, je vous laisse vous installer ?

  • Si j’ai une question. Comment s’ouvrent les menottes ?

  • Cette petite boite noire est remplie de glace. Quand elle sera fondue, elle libérera votre poignet. Vous pourrez alors vous libérer, c’est aussi simple que ça.

  • Merci, vous pouvez me laisser ! Répondit Lucie toute rouge de honte.

A peine était-il sorti et enfin seule, elle se précipita vers le placard à sextoys. Rien que de les toucher la faisait mouiller. Elle mit un préservatif sur un plug anal de taille modeste, sur le vibro qui n’allait pas tarder se retrouver au chaud.... Au cas où, elle prit aussi des pinces à sein légères car la douleur pure, n’est pas son truc ainsi qu’un petit bandeau pour ses yeux de biche. Après s’être dévêtue, hormis la culotte comme conseillé, elle ne tarda pas à combler ses orifices très demandeur, surtout celui de devant...

Lucie prit place sur le lit pour entraver ses chevilles. A la suite de quoi, elle s’allongea pour entraver son poignet droit. L’excitation étant à son comble, elle le détacha pour se mettre les petites pinces à sein. Elle finalisa son selfbondage après avoir allumé le petit vibro et le gros magic wand puissance 10 logé dans sa culotte. « Ouhaou, cela va être géant » pensa aussitôt Lucie.

Son esprit coquin ne tarda pas à se mettre en route. L’amant de ses rêves venait la « sauter » avant de la livrer en pâture à ses amis. Ce fantasme n’est réellement qu’un fantasme car elle n’accepterait pas ce genre de pratique. Par contre, dans les fantasmes on peut y mettre ce qu’on veut pour délirer, s’envoler et jouir.

En agitant ses reins comme si son amant la prenait sauvagement, elle agitait aussi le vibro et le plug. Ces actions, cumulées aux vibrations et au magic wand massager puis au fait d’être réellement attachée, la firent rapidement monter « dans les tours ». Le premier orgasme fut géant même si elle aurait bien aimé que les sextoys vibrants lui accordent une pause. Le deuxième orgasme ne tarda pas à pointer son nez. Le troisième la mit dans un état de transe. Son corps lui échappait, elle criait son plaisir et tremblait sans discontinuer. Au quatrième elle hurla sa jouissance, chose qu’elle n’avait jamais fait étant plutôt discrète au lit..

« Déglinguée » et en perdition totale, elle commença à subir les effets des sextoys. « Subir » est un bien grand mot, disons qu’elle aspirait à une pause syndicale qu’ils ne semblaient pas vouloir lui accorder ! « Je me fais un gang bang BDSM toute seule » pensa Lucie continuant d’enchaîner contractions sur contractions.

Une heure plus tard, les batteries du vibro et du magic wand massager finirent par rendre l’âme, laissant ainsi une pauvre fille épuisée de jouissances entravée bras et jambes en croix sur le lit. Lucie sombra dans les bras de Morphée pour un sommeil profond sans rêve. C’est en se tournant comme quelqu’un qui dort qu’elle se réveilla. Pendant une seconde, elle s’affola d’être entravée avant de se rendre compte de la situation. Son poignet droit était libre, elle pouvait se délivrer. Si cela fut facile à faire, le retrait des pinces à sein lui parut soudainement très hard. Une douche salutaire s’avéra obligatoire ! C’est là qu’elle découvrit qu’il y avait aussi des anneaux dans les murs, même dans la salle de bain. « C’est vraiment une maison de fous » se dit-elle.

Lucie prit conscience qu’elle était restée entravée trois heures au total. Malgré ses tétons très sensibles elle enfila un tee-shirt puis une jupe pour aller prendre l’air puis prendre un verre avec Malicia.

  • Alors, c’était bien ? Lui demanda Malicia.

  • Superbe, j’ai cru mourir deux ou trois fois, votre mari est un vrai malade mental !

  • Je sais, c’est aussi pour ça que je l’aime !

  • Il vous l’a fait aussi ?

  • Oh, il m’a fait bien pire !

La discussion entre filles continua sur le sujet un moment mais elles refusent que j’écrive ce qu’elles se sont dit. Croyez-moi sur parole, entre elles les discussions sont parfois chaudes...

N’ayant pas envie de cuisiner, Lucie avait annoncé qu’elle prendrait tous ses repas au gîte. Elle partagea donc celui du soir en mauvaise compagnie et put même assister à la fessée de Malicia, une injustice évidente car c’est une perle. En même temps, en voir une en vraie lui donna des envies, mais elle n’osa pas l’avouer.

TSM lui demanda si elle avait des projets coquins pour la soirée ou la nuit comme si il lui demandait si elle voulait faire du tourisme ou des courses !

  • Non, je n’en ai pas mais si vous avez des idées, je n’aurai rien contre des propositions ! Répondit Lucie un peu gênée.

  • Arrêtez de rougir, ici rien ne nous choque. Vivez vos passions ou essayez des trucs, ne soyez surtout pas gênée, cela fait 40 ans que je suis dans le monde des rencontres. Je suis le propriétaire de Fessestivites et Abkingdom, autant dire que vous pouvez vous lâcher et nous parler librement de tout.

Ne connaissant pas Abkingdom, Lucie voulut en savoir un peu plus sur l’ABDL. TSM lui expliqua la différence entre AB qui signifie adult baby puis l’âge-play avant d’aborder le côté DL qui signifie diaper lover. Il aborda aussi le côté little, petite fille ou petit garçon, une autre forme de régression. Il précisa que c’était quelque chose à découvrir, à essayer au moins une fois pour voir car les sensations, les émotions ressenties ne tuent pas ceux qui essaye pour voir. Il précisa que c’est un fétichisme honteux pour beaucoup alors qu’il n’y a aucun mauvais fétichisme.

  • Il n’y a pas de mal à se faire du bien et à s’accorder des plaisirs quels qu’ils soient. Certains aiment la fessée, d’autres les pieds, d’autres les collants ou le latex, d’autres le libertinage, d’autres le BDSM, où est le mal à aimer pratiquer quelque chose qui fait du bien et ne dérange personne ? Vous devriez essayer au moins une fois l’ABDL, je peux vous faire dormir en couche enfermée dans un lit de bébé. Si je précise enfermée, c’est parce que je sens bien que les jeux de contrainte vous amusent. Rien ne vous y oblige, vous pouvez aussi refaire du bondage pour la nuit.

  • Heu, je crois que pour aujourd’hui, le bondage et les sextoys on va oublier ! Répondit Lucie avant de demander à Malicia si elle aime l’ABDL.

  • J’ai essayé pour voir, non ce n’est pas mon trip mais je confirme, il y a des passionnées. Essayez pour voir, vous verrez bien ! Répondit Malicia.

  • Et qui est-ce qui me met la couche ? Demande Lucie.

  • Vous mais je peux vous aider si vous ne vous en sortez pas toute seule ! Répondit TSM.

  • Vous n’êtes pas jalouse qu’il fasse ça ? Demanda Lucie étonnée.

  • Absolument pas, où est le mal ? Il ne baisera pas avec vous, il vous fera la même chose qu’un infirmier ! Répondit Malicia.

  • Ecoutez Lucie, je vous propose de vous organiser une nuit de douceur sous la contrainte pour vous faire découvrir l’âge-play comme si vous y étiez obligée. Vous mettez seule votre couche, j’attends devant la porte du gîte et je n’entre que quand vous m’y invitez. A partir de là, je vous verrai avec une grosse culotte. Cela vous va ?

Rouge comme une écrevisse, Lucie abdiqua. Une heure plus tard, TSM pénétra donc dans le gîte de Lucie après y avoir été invité. Il la fit s’allonger sur le lit pour arranger les attaches de la couche, puis lui faire enfiler une culotte en plastique.

  • Bien, la petite fille est protégée pour la nuit. Maintenant il faut l’habiller pour qu’elle n’ai pas froid. Regardez ce que j’ai prévu pour vous ! Indiqua TSM ou ouvrant un sac de voyage avec une grenouillère et un body. Que préférez-vous, la grenouillère ou le body ou les deux ?

Lucie prit la grenouillère qu’elle enfila toute seule un peu gênée par cette aventure.

  • Vous êtes toute mimi comme ça, allez bébé, entrez dans le lit qui est sous le grand lit dit TSM en tirant un grand tiroir s’avérant être un lit une place sur roulette. Vous avez un doudou ou je vous en prête un ?

  • J’en ai un répondit Lucie en rougissant. Il est dans ma valise, vous pouvez l’attraper ?

TSM alla donc chercher le doudou de la grande fille et le lui donna avant de pousser le lit à roulette sous le grand lit. A la suite de quoi, il souleva le tissu du côté du lit permettant à Lucie de voir à travers les barreaux d’un lit de bébé.

  • Je vous ai prévu de quoi vous désaltérer et de quoi vous aider à dormir ! Lui indiqua TSM en lui donnant une tétine et un biberon d’eau. A qu’elle heure voulez-vous que je vous libère ?

  • Comment ça me libérer ?

  • Parce que je vais fermer le lit à clé, sans quoi vous allez tricher !

  • Est-ce obligé ?

- Non ici, rien n’est imposé mais vous devriez m’écouter et tester réellement !

Prise dans la tourmente des événements, elle accepta de se laisser enfermer jusqu’à huit heure. TSM lui laissa le bouton d’une petite veilleuse avant de quitter les lieux en lui souhaitant bonne nuit. La première chose que fit Lucie, c’est de toucher entre ses jambes, avoir ce gros truc entre les cuisses la perturbait un peu. « Je suis folle d’avoir accepté » dit Lucie à son doudou. Pour jouer un peu, elle prit la tétine en câlinant sa peluche délavée et usée par des nuits de câlins. A la suite de quoi, elle testa le biberon et trouva ça très pratique pour boire la nuit. Malgré la sieste crapuleuse, Lucie ne tarda pas à éteindre la lumière et s’endormir.

Vers trois heures du matin, c’est une envie pressante qui la réveilla. Si enfermée dans ce lit cage elle se sentait protégée de l’extérieur, le dit lit l’empêchait d’aller aux toilettes. « Le sadique avait raison, j’aurai triché si il l’avait laissé ouvert » se dit Lucie. Sauf que, elle parvint pas à se soulager dans la couche. Une sorte de blocage psychologique l’empêchait de se libérer. Au plus on pense à l’envie de faire pipi, au plus..... elle travaille vos méninges.

Vers quatre heures du matin, après en avoir parlé avec son doudou, elle finit par se dire que faire quelques gouttes dans sa couche ne la tuerait pas. Oui mais entre le dire et pouvoir le faire..... ce n’est que vers quatre heure et demi qu’elle parvint à faire quelques gouttes, enfin, les premières parce qu’un fois ouverte, sa vessie refusa de se refermer. C’est ainsi que, seule dans son lit avec personne pour la regarder, que Lucie découvrit que se lâcher dans une couche ce n’est pas si désagréable que ça. « Tu ne le diras à personne hein » ? Demanda Lucie à son doudou qui, évidement, promis de garder le secret.

C’est ce pipi couche qui déclencha quelque chose d’inexplicable dans la tête de Lucie. Elle se rendormit avec son doudou dans les bras et en suçant son pouce.

  • Coucou Lucie, il est huit heure. Je vous ai apporté le petit déjeuner, tout est sur la terrasse. Je vous ouvre et vous laisse tranquille. Gardez encore un peu votre couche pour le petit déjeuner, cela vous permettra de continuer à découvrir ce monde. Après votre douche, vous la mettrez dans un sac en plastique que vous fermerez bien avant de la mettre dans la poubelle. Ensuite, vous pourrez venir nous voir ou profiter de la propriété. L’eau de la piscine est à 25, si cela vous séduit, vous pouvez aller vous baigner en maillot ou nue, ici les seuls voisins que nous avons ce sont les oiseaux. Bonne journée grand bébé !

  • Je ne suis pas un bébé ! Cria Lucie amusée par le côté ultra décontracté de TSM.

Au lieu de se lever, Lucie se laissa aller à farnienter un peu au lit, il est vrai que sa nuit avait été écourtée. Si bien qu’elle s’accorda un deuxième pipi couche sous sa couette en se disant que le matin, pour la grasse matinée, ce truc était bien pratique puisqu’il n’y a plus l’obligation de se lever. Une demi heure plus tard, elle poussa un cri de peur quand un chat échappé de la chatterie du Moulin vint lui faire un câlin. Il y en a cinq, c’est Princesse Chipie la toute blanche à poil long qui était venue lui rendre visite. Son cri lui ayant fait peur, l’adorable chatte s’était enfuie.

Arrivée sur la terrasse, Lucie quitta immédiatement sa grenouillère pour cause de chaleur. « Douche de suite ou café d’abord » se demanda t’elle. Café fut la priorité qui s’imposa à elle. Lucie prit conscience qu’en ce lieu de perdition appelé gîte fétichiste, qu’elle pouvait vraiment se lâcher, qu’elle ne serait pas jugée par les envies qu’elle avait, surtout une. Elle avait envie d’essayer la machine à baiser sur le cheval espagnol que lui avait montré Malicia.

Après avoir pris son petit déjeuner accompagné par le chant des oiseaux, elle retira la couche pour aller aux toilettes puis prendre une douche. Evoluer nue dans cette ambiance décontractée lui plut. C’est donc intégralement nue qu’elle osa se rendre à la piscine pour piquer une tête et faire quelques brasses.

  • Vous devriez faire attention au soleil, votre peau est blanche et vous risquez de prendre un coup de soleil ! Lui dit TSM passant devant la piscine.

Gênée par sa nudité, elle attrapa rapidement sa serviette pour se cacher.

  • Vous êtes vraiment timide ou simplement pudique ? Ici c’est naturiste, donc si vous voulez évoluer nue, ne vous inquiétez pas, on s’en moque ! Lui indiqua TSM amusé.

  • Oh ça va vilain pas beau ! Répondit Lucie provocatrice.

  • Si vous avez envie d’une fessée, cela peut s’arranger vilaine ! Répondit TSM avant de l’inviter à venir choisir les légumes du repas du midi dans son potager.

  • Dans cette tenue ?

  • Mettez la serviette autour de votre taille si vous voulez !

A l’aller, Lucie garda la serviette à sa taille, au retour elle était sur son épaule, cela l’avait agacée d’être obligée de la tenir tout le temps. En arrivant à la maison, il lui proposa un café ainsi qu’à Malicia. Assis sur la terrasse ils échangèrent sur les nouvelles expériences de Lucie qui finit par avouer, que c’était troublant sans rien dévoiler de plus. TSM et Malicia ne lui demandèrent aucun détail, leur but n’est pas de gêner les clients, bien au contraire. Lucie s’isola un instant avec Malicia pour lui avouer qu’elle essayerait bien le cheval espagnol.

  • C’est TSM qui s’occupe de ça, vous voulez que je lui en parle ?

  • Heu....

  • Arrêtez de faire la timide, éclatez-vous, profitez du gîte et de ses installations.

Malicia lui expliqua que c’est son mari qui allait le préparer et lui permettre de s’installer seule dessus.

« Et zut » ! Se dit Lucie, « il faut que je me lâche, car je suis sûre que le sadique aura des idées perverses, plus jouissives que juste m’asseoir sur un gode qui bouge » Ce fut le cas ! Il lui installa la machine dans le gîte mais avec quelques variables à la façon TSM. Une fois qu’elle fut « empalée » sur le gode recouvert d’un préservatif, il lui attacha les chevilles aux anneaux du carcan, bloqua un magic wand massager sur le devant de la selle avant de lui demander si elle voulait être menottée. Elle refusa les menottes, c’était un peu « trop » pour elle de se faire attacher. Il l’abandonna donc pour retourner préparer le repas du midi.

Lucie put donc commencer à jouer avec le variateur de la machine puis le magic sur son chaton en avançant sur la boulle, elle aussi recouverte d’un préservatif. Au bout d’un moment, elle regretta qu’il ne l’ait pas menottée car seule, elle n’arrivait pas à « s’obliger » à empiler les jouissances comme pendant sa sieste crapuleuse. Quand le plaisir était trop fort, elle jouait avec la télécommande de la machine puis avec le bouton du magic. Si elle avait été entravée..... Ce fut quand même bien bon !

Après le repas, vers 14 heures, TSM lui demanda si elle avait besoin de quelque chose avant qu’il aille faire sa sieste. Lucie voulu elle aussi faire une sieste « normale » avant d’être ouverte à une proposition de jeux. Il lui parla donc du principe du Bondage Walking en indiquant qu’il avait plusieurs jeux de pistes pour aller récupérer les clés des menottes ou des cadenas des chaînes.

  • J’ai plusieurs jeux de piste, du simple au plus avancé mais comme vous avez le sens de l’orientation d’une fille, je pense que le simple serait bien pour vous !

  • Mais vous êtes macho, une fille sait aussi très bien s’orienter qu’un homme ! Répondit Lucie.

La provocation ayant fonctionné, il abdiqua et lui indiqua qu’il lui donnerait la fiche d’orientation après la sieste car à 15 heures, on ne fait pas de Bondage Walking en Espagne. Vers 17 heures, Lucie revint les voir pour lui dire qu’elle était prête à jouer et relever le défi.

  • J’ai déposé les clés sur le terrain, voici la fiche du jeu de piste pour les trouver.

  • Mais je ne vous ai pas dit ce que je voulais faire, comment savez-vous ce qu’il me faut ? Demanda Lucie.

  • J’ai un jeu de clés pour plusieurs cadenas et une paire de menottes, dites-moi de quoi avec vous besoin. Vous pouvez avoir 6 cadenas une paire de menottes et des chaînes.

  • Heu, je ne sais pas trop. Vous avez des idées ?

  • Je vous propose deux cadenas + une chaîne pour les chevilles afin de jouer le bagnard. Ensuite, vous pourriez vous faire une ceinture de chaîne qui devient un string. Là il vous faut 2 cadenas de plus. Je peux vous prêter un plug métal, il a un anneau que vous pouvez fixer à la chaîne avec un cadenas. Vous bloquez vos menottes mains dans le dos au niveau de la chaîne. Dans ce cas, il faudra fixer le plan dans une pochette plastique sur une de vos jambes puisque vous ne pourrez pas le tenir dans vos mains. La règle du jeu est simple. Si à 20 heures vous n’êtes pas rentrée, je viendrai vous chercher pour vous ramener. Dans ce cas, je vous verrai donc nue avec votre petit équipement...... Ah un truc j’ai de petite pinces à sein munie de clochette ou un collier lui aussi munie de clochette, que préférez-vous ?

  • Le collier, mes tétons ont déjà trop souffert ! Répond Lucie spontanément avant de comprendre qu’elle vient de se dévoiler encore une fois.

  • OK, allez dans votre gîte, je vous apporte tout ce donc vous avez besoin. Vous vous équiperez seule si vous le désirez ou, si besoin je peux vous aider.

  • Cela devrait aller, vos explications étaient très claires, je devrai m’en sortir !

Lucie ne prend pas conscience qu’elle perd beaucoup de temps en se préparant. Elle accroche le plan à sa cuisse droite par des bandes de velcros avant de verrouiller ses menottes mains dans le dos. Elle part seule et loin des regards de son gîte vers 18 heures. Marcher avec des chaînes aux pieds ralentit sa progression. La clochette fixée à son collier commence à l’agacer. A cela se rajoute que, lorsqu’elle se penche en avant pour lire le plan sans trop pouvoir plier sa jambe, elle tire sur la chaîne passant entre ses fesses et donc,...... sur le plug.

Malgré ses petits inconvénients, Lucie trouve ce jeu très excitant. Elle s’imagine même dans ses petits délires qu’elle est le gibier d’une chasse à la femme. Quel dommage qu’elle n’ait pas assez d’amplitude pour pouvoir venir jouer un peu avec son petit bouton des plaisirs. Elle éclate de rire lorsqu’elle arrive à « la fontaine des assoiffés » comme indiqué sur le plan. Il s’agit d’un biberon attaché à un arbre avec de l’eau encore glacée. Elle descend de bon coeur les deux tiers du biberon.

Au bout d’une heure d’aventure en pleine nature, Lucie commence à se traiter de folle et TSM d’enfoiré pour ses idées tordues. En effet, d’après le plan, c’est de l’autre côté de la petite vallée qu’elle devrait être. C’est donc toujours à petit pas qu’elle fait marche arrière sur 500 mètres et termine le biberon d’eau au passage. Alors qu’elle traverse la petite vallée, Lucie est rattrapée par une envie pressante. Chaînes aux pieds et mains menottées dans le dos, elle n’a pas trop envie de s’agenouiller surtout avec un plug dans les fesses. N’ayant pas d’autre choix que de faire pipi debout, elle trempe ses cuisses et ses pieds en traitant TSM de noms spéciaux qu’il est préférable qu’il n’entende pas.

Assis tranquillement sur sa terrasse avec un pastaga bien frais, le dit Très Sadique Mec la suit de loin avec ses jumelles. Une petite sécurité en cas de chute. Il sait donc où se trouve Lucie quand, à 20 heures il quitte donc son verre vide pour enfourcher son vélo. Il commence par récupérer les clés avant de rejoindre Lucie. En le voyant arriver, elle est à la fois soulagée et honteuse d’être vue nue avec un string de chaîne et un truc dans les fesses. Après avoir libéré les chevilles de la pauvre fille perturbée d’avoir perdu, il pose son sac à dos pour en sortir une bouteille d’eau fraîche.

  • Avec les menottes, cela va être difficile pour moi de boire ! Lui indique Lucie d’un air de dire « t’as pas fini de me libérer ».

  • Je sais mais j’ai bien dit que je viendrai vous chercher, pas que je vous libérerai ! Lui répond TSM en accrochant une laisse au collier de Lucie.

  • Et, ça va pas la tête !

  • Il va bientôt faire nuit, alors où je vous laisse comme ça avec les renards qui ne vont pas tarder à sortir, ou je vous raccompagne à ma façon ! A vous de choisir !

  • Bon ça va, je vous suis, mais je ne suis pas une chienne !

  • Ah, ce jeu vous exciterait ? je peux vous le préparer si vous le désirez !

  • Nan, merci, ça ira pour aujourd’hui !

Cinquante mètre plus loin, TSM (Très Sympathique Mec ^^^) lui retire la laisse et les menottes en lui disant que cela lui allait bien ! Comprenant qu’il avait simplement envie de jouer avec ses nerfs, Lucie lui tire la langue.

  • La fessée c’est toute de suite avec les fesses pluguées ou ce soir après votre douche ?

  • Ce soir je préfère ! Répond Lucie sans réfléchir.

  • Vous êtes donc d’accord pour que je vous donne la fessée méritée !

  • Heu.... je n’ai pas dit oui !

.......................

Laissée seule à son gîte, Lucie prend une douche grandement méritée et justifiée vue la couleur de l’eau à ses pieds. A 21 heures, elle les rejoint à la maison pour le repas du soir en tenue « civile ». Peu pressés et vivant à l’heure espagnole, ils lui proposent de partager leur apéritif maison fait avec des aubergines et des poivrons grillées du jardin.

  • Alors cette expérience de Bondage Walking vous avez aimé ? Demande Malicia.

  • Original à vivre, il y a une sorte de communion qui se fait avec la nature, sauf que j’ai rencontré un rustre qui a voulu me faire marcher en laisse comme une chienne ! Répond Lucie.

  • Oui et qui, au lieu de me remercier d’être allé la libérer et la chercher avant la nuit m’a tiré la langue en guise de reconnaissance. Cela mérite une fessée, qu’en penses-tu Malicia ?

  • Absolument, c’est inadmissible ! Répond Malicia amusée.

  • Classons cette regrettable affaire de suite, venez vous installer sur mes genoux que je vous apprenne la politesse ! Indique alors TSM en reculant sa chaise.

Pour Lucie, ce n’est pas le fait de recevoir une petite fessée qui la perturbe, mais c’est de la recevoir devant quelqu’un ! Une fois allongée sur les genoux de TSM, sa jupe est prestement relevée, la grosse paluche de TSM commence à appliquer la fessée sur une jolie culotte qu’il regrette presque de baisser quelques instants plus tard.

  • Aie, qu’est-ce que vous faites ?

  • Une vraie fessée se donne déculottée, n’est-ce pas Malicia ?

  • Absolument !

Avant même qu’elle n’ait le temps de répondre, TSM continue de lui claquer les fesses gentiment, bien qu’il aurait bien volontiers appuyé un peu plus. Comme une cliente n’est pas une amie, il se contient et ne fait pas durer la fessée de la coquine. Pour Lucie, c’est encore une grande nouveauté car, sa seule expérience de spanking, avait eu lieu une fois avec un de ses copains ultra timide ayant à peine claqué ses fesses. Même si il a été soft, elle sent bien que ses fesses sont chaudes lorsqu’elle prend place sur sa chaise.

Le repas est un moment de partage aussi bien en terme de nourriture que de discussions. Lucie apprend un peu plus de la vie de ce couple d’adorables psychopathes et regrette déjà d’être obligée de partir le lendemain car elle serait bien restée plus longtemps. Hélas, le billet d’avion ne peut être changé. En leur compagnie, elle aimerait découvrir encore plein de choses car elle se sent en totale sécurité.

  • Vous me faites quoi ce soir ? Demande Lucie.

  • La question est mal posée. Que désirez-vous faire et vivre ?

  • J’ai bien aimé la nuit en couche dans le petit lit mais y a t’il moyen de varier un peu ?

  • Avec une couche ?

  • Oui mais aussi du bondage ! Répond Lucie à présent sans trop de pudeur.

  • Couche, bondage et jouissances avant le dodo, cela vous va ? Lui demande TSM dont le cerveau a déjà démarré en mode pervers.

  • Ouiii !

Accompagnée à son gîte par TSM et son sac à malice, Lucie est invitée à s’allonger due sur le lit. Il lui donne une couche et un vibro en lui demandant de se le mettre toute seule « comme une grande ». A la suite de quoi, il démarre le vibro et referme la couche avant de l’aider à enfiler une culotte à cadenas. Il pose le caméscope dans un coin en lui expliquant que c’est la règle au gîte. A partir du moment où il participe, c’est filmé comme pour les caméras des banques. S’il n’y a pas de problème la vidéo est supprimée. Il demande ensuite à Lucie d’entraver ses chevilles puis lui prête une cagoule d’isolation BDSM en lui demandant de la mettre après lui avoir expliqué que le principe serait le même que son selfbondage.

Il l’aide donc à lier son poignet gauche puis guide sa main pour qu’elle ferme elle même les menottes de son poignet droit. Elle est donc attachée bras et jambes en croix sur le lit et cagoulée. TSM branche un magic wand massager filaire sur un programmateur réglé sur 5 minutes On, 5 minutes Off avant de programmer une plus longue période en mode On. Le sextoy trouve sa place entre la couche et la culotte en plastique de Lucie.

TSM (Très Sadique Mec) abandonne Lucie avec ses interrogations après avoir éteint la lumière. Pendant les cinq première minutes, elle se demande ce qu’il a placé entre sa couche et sa culotte en plastique. Elle ne le découvre que quand le magic se met en route. Les vibrations pile poil au-dessus de son chaton, sont loin d’être désagréables. Cumulées avec celles du vibro en bonne place, elles la conduisent doucement sur les rivages d’une jouissance. Hélas, cinq minutes c’est trop court pour y parvenir et le sextoy s’arrête. Elle boude un peu en se disant que c’est dommage que le magic a du tomber en panne.

Elle pousse un cri de surprise dans sa cagoule cinq minutes plus tard quand il se remet en route. Le Très Sadique Mec lui a programmé 4 sessions On et 4 sessions Of avant de le lui laisser 60 minutes non stop. Lucie enrage pendant les sessions Of et On avant de finalement savourer le plaisir du magic en mode On juste au dessus de son chaton. Juste après sa première jouissance, une envie pressante, que cette fois elle libère sans blocage, la fait décoller. « Pipi couche + magic c’est ouhaouuuu » se dit Lucie bien décidé à en acheter un chez ABCplaisir. (ABCplaisir, cela va de soit ! ! ! )

Lorsque la serrure de glace lui rend sa liberté, Lucie se détache mais n’a même pas le courage d’aller attraper les clés de menottes posées sur la table du salon. Ce n’est qu’au petit matin qu’elle trouve le courage de se lever pour aller retirer la menotte gênante toujours accrochée à son poignet.

« Mais où sont les clés de la culotte à cadenas » se demande Lucie. Convaincue qu’il veut l’obliger à venir les voir avec ses grosses fesses, elle sort de son gîte en jupe vers 9 heures et découvre qu’elles sont sur la table avec le petit déjeuner puis une rose fraîche. En lisant le petit papier sous la rose, son sourire disparaît aussitôt. « Départ 11 heures maximum pour que vous ne loupiez pas votre avions ».

Après avoir pris son petit déjeuner, Lucie prend une douche, fait un carré de ménage en laissant tout ce qui a été utilisé comme linge et draps dans un panier prévu à cet effet avec de rejoindre ce couple qui l’a si gentiment accueillie. Après avoir réglé quelques achats en boutique et le solde de son séjour, c’est presque les yeux mouillés qu’elle monte dans la voiture pour prendre la route de l’aéroport.

  • Est-ce que je pourrai revenir et vivre d’autres choses avec votre aide ?

  • Avec plaisir Lucie mais si vous me tirez encore la langue cette fois la fessée sera plus consistante !

  • Leeeeeeeeeeeeee ! Fait Lucie en lui tirant la langue pendant qu’il conduit.

Ni une ni deux, TSM quitte la route pour prendre un chemin pour s’arrêter derrière un bosquet d’arbres.

  • Une bonne déculottée va vous être offerte par la maison !

EPILOGUE

Lucie a eut son avion, TSM prévoit toujours de la marge. Elle a trouvé que les sièges de l’appareil n’étaient pas très confortables, allez savoir pourquoi ?

FIN

Note de l’auteur : le gîte fétichiste ouvre ses portes en Espagne en 2023. Cliquez ICI pour en savoir plus

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