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mardi 20 juin 2023

Une lope gay au gîte fétichistes

 


 - Allo

- Oui bonjour, je vous appelle parce que j’ai quelques questions à propos de votre gîte.

- Mais je vous en prie, que désirez-vous savoir ?

- Je suis un peu gêné de vous poser ces questions mais j’aimerai savoir si vous acceptez les chiens humains et si cela est possible chez vous ?

- Ne soyez pas gêné, cela fait 40 ans que je suis dans le monde des rencontres fétichistes, il n’y a donc pas de sujet tabou avec nous. Chien humain dites-vous, en clair est-il possible de faire du pets-play ou dogtrainning au gîte ? Et bien la réponse est oui, sans aucun problème. Par contre, je vous conseille de prévoir des genouillères et coudières ou des gants car si certaines parties sont, disons carrossables, si vous vous éloignez un peu dans la propriété, ce sont des chemins ou sentiers avec des pierres.

- On peut vraiment se promener comme ça sur votre propriété ?

- Oui, sans aucun problème, rien ne nous gêne. Nous pourrons même, si vous le désirez, servir des repas en gamelle.

- C’est génial, et si on est gay, cela vous pose des problèmes si on joue en extérieur ?

- Toujours pas ! Il y a même du matériel qui se prête bien au fist et autre comme chaise percée, piloris. En fait, le matériel que vous voyez en photo sur le site peut être utilisé à votre convenance que vous soyez lesbienne, gay ou hétéros, on s’en moque.  

- J’ai encore une question ?

- Je vous en prie !
 
- Le gîte est limité à 4 personnes mais si on est 5 comment cela se passe ? Il faut qu’il y en ait un qui aille dormir à l’hôtel ?

- La limitation est due au fait que nous n’avons que deux grands lits et que, pour des raisons juridiques, nous ne pouvons accepter des tentes ou caravanes.

- Oui mais vous avez un lit spécial qui permet de faire dormir dessous ! Si je compte bien cela fait 5 places.

- Allons droit au but, vous désirez venir à 5 et me demandez si on peut s’arranger ?

- Oui c’est ça !

- A partir du moment où il y en a un de vous qui accepte de dormir ailleurs que dans un lit conventionnel, nous pourrions adapter le forfait de la location.

Après cet entretien téléphonique, Damien décide de réserver le gîte pour un week-end du mois de juillet. En réalité il est tout seul pour le moment. Son idée est d’offrir un week-end au gîte à deux Maîtres gays et d’être leur lope. Pendant deux mois, il s’acharne sur les forums et sites gays ainsi que sur Fessestivites et Abkingdom où parfois, il a croisé quelques ABDL intéressés par le BDSM.

Sur Fessestivites  il a trouvé un dom gay très pervers qui est d’accord pour l’accompagner au gîte et s’occuper de la lope. Pour être sûr de ne pas se faire planter, Maître Max lui a demandé une copie de la réservation puis à téléphoner au gîte. Ce dernier a confirmer qu’il y avait une réservation mais a refusé de dévoiler l’identité du locataire. Après une discussion, le gîte lui a simplement indiqué que la personne avait loué, à priori, pour un week-end BDSM gay. Malgré les autres demandes de renseignements, le gîte a respecté l’anonymat du client.

Pauvre Damien....

Pauvre Damien car lors des discussions téléphoniques, faîtes que d’une main, il lui a dévoilé ses fantasmes d’être chien et lope en version BDSM hard. Entre fantasmes et réalités il y a un grand pas. Après être allé le voir chez lui pour « tester » la lope et s’amuser un peu, assez connu dans le monde des rencontres, Maître Max n’a pas eu de mal à trouver dans son relationnel trois autres personnes branchées BDSM gay pour aller avec eux en Espagne. Parmi elles, il y a Master Paul et son ami Lucas qui est switch et Mamadou qui est blanc de peau mais surnommé ainsi pour la taille de son service trois pièces, toujours volontaire pour péter des rondelles.  

Bien que Damien ait proposé de tout payer, les invités participent aux frais de transport à bord d’un monospace loué pour la circonstance. Pendant le trajet pour aller de Lyon au gîte, le soumis aux anges continue de les allumer. L’excitation rend parfois dingue et fait oublier la prudence....

A peine descendus de la voiture, Maître Max prend les choses en main ou plutôt en laisse. Damien se retrouve à poil avec un collier autour du cou devant les propriétaires du gîte. Pendant le pot de bienvenue, pris en gamelle pour Damien, les discussions vont bon train. La laisse du chien est détachée pour qu’il aille décharger les bagages. Les invités constatent qu’effectivement, les « activités » sont quasiment sans limite au gîte. La femme du patron n’a pas été offusquée de servir à boire au chien et a l’air « blindée ».   

Lorsqu’ils arrivent au gîte qui a été préparé pour eux, les invités ne sont pas déçus ! ! ! Sur la terrasse il y a deux piloris. Un est en version Moyen-Âge, l’autre en version esclave à baiser le soumis se retrouvant bloqué par les membres à quatre pattes cul offert. A côté, se trouve le  « banc de la défonce » permettant de bloquer une personne en position diaper. Autant dire qu’une fois la dessus, la voie est très accessible. Une niche de grande taille a également été installée à côté de la piscine. (HUMOUR Normal, en français Chien et niche contiennent les mêmes lettres)

A l’intérieur du donjon, un chaise percée recouverte d’un abattant WC les amusent mais ce qui les surprend, c’est le lit à baldaquin avec des anneaux de partout et son lit cage.

- Cela vous plait ? Demande Damien    

- Mais on est où ici ? Demande Mamadou étonné de ce décor si particulier !

- Au gîte fétichistes !

- C’est assez surprenant répond Master Paul.

- Je prendrai bien une douche, le chien profite d’être encore debout pour venir m’aider !

Damien tiré par la laisse se retrouve dans la douche avec son Maître qui lui impose de se mettre à quatre pattes et de lui servir de chaise de bain. L’idée plaisant aux invités, il ne sortira de la salle de bain qu’après que tout le monde ait pris sa douche. Ses premiers pas de lope sont, pour l’instant, assez soft même si il a du lécher des culs et des pieds pour vérifier qu’ils s’étaient bien lavés. Là où Damien c’est un peu affolé, c’est devant la taille du mandrin de Mamadou.

Ce lieu si particulier donne des envies, Damien est conduit au « banc de la défonce » où, allongé sur le dos, entravé et menotté il a perdu de sa superbe. Pendant que les doigts de Master Paul jouent les spéléologues dans le cul bien offert, Maître Max se fait tailler une pipe. Les doigts fouilleurs font rapidement place à une bite très motivée, huit heures de route avec une lope qui rêvait de se faire sauter, cela donne des envies. Faisant de l’oeil à Mamadou, Lucas profite que Max a laissé la place pour se faire préparer le cul par la langue de Damien en faisant un facesitting.

Pendant que Mamadou et Lucas s’envoient en l’air, Maître Max et Master Paul prennent une bière. Abandonné sur le « banc de la défonce » Damien se désespère de ne pouvoir en prendre une avec eux, mais son avis.... En guise de bière, une demi-heure plus tard, lorsqu’il voit Lucas enjamber sa tête pour un facesitting, il refuse de lécher le cul qui vient de se faire défoncer. Ses réfutations sont très mal prises ! Maître Max prend un paddle accroché à l’étagère des accessoires pour le motiver. La fessée au paddle, cela pique mais en position diaper, c’est hard ! Master Paul rejoint son ami fesseur et entreprend de malaxer d’une main ferme les précieuses de Damien.

Entre deux cris, le désespéré cède et, comme si sa vie en dépendait, lape le cul chargé de lubrifiant et pas très propre. Très excité par ce qu’il voit, Mamadou enfile un préservatif et vient, à sa façon et avec sa bite 26 x 6 expliquer à Damien qu’il doit faire des efforts. Dilaté, défoncé, ramoné aussi bien en profondeur qu’en largeur, il « chante » plus qu’il ne lèche. Libéré et porté pour cause de manque d’énergie jusqu’à la niche où il est attaché, Damien s’y réfugie bien volontiers.  

Pendant le repas, pris avec les propriétaires du gîte, le chien manque à l’appel. Deux gamelles sont apportées à Damien, une d’eau l’autre contenant une sorte de pâtée faite avec ce qu’il y a au menu du soir. Le Maître des lieux leur demande si ils vont le faire dormir dehors ou dans la cage sous le lit en précisant que les nuits sont fraîches. Pour protéger son gîte d’éventuelles fuites urinaires, il leur donne une couche pour personne incontinente ce qui les amusent. De fait, en redescendant à leur gîte, le chien est détaché et mis en couche avant d’être bouclé sous le lit.

Le samedi matin, le petit déjeuner a été déposé sur la table de la terrasse du gîte. Encore une fois, Damien n’a pas pu manger normalement. Equipé de genouillères et moufles, hormis un petit séjour de deux heures au pilori, il va vivre en chien toute la journée. Vers midi, après les avoir vu « s’amuser » sur la balançoire, il prend place sur le « banc des plaisirs » suspendu à la poutre de la balançoire. Il doit attraper avec sa bouche une bite tendu face à lui à chaque balancement. Ne vous y trompez pas, Maître Max ne le fait pas balancer de façon conventionnelle mais à coup de grandes claques.

Pendant le repas pris à 14 heures, Maître Max discute avec le maître des lieux en lui demandant si le sulky servant pour du pony-play peut être adapté pour du chien de traîneau. N’y ayant pas pensé, le maître des lieux leur promet de chercher une solution en précisant « sans garantie ». Après réflexion, il parvient à bricoler quelque chose avec des s a n g l e s et des colliers de plomberie fixés sur les barres du sulky. « Cela n’est pas très esthétique mais devrait fonctionner » lui dit-il en arrivant avec le sulky.

Attelé comme un chien de traîneau, Damien raccompagne son Maître en promenade jusqu’au gîte où il compte bien faire une sieste. Porter et tirer le sulky à quatre pattes est épuisant mais très distrayant comme façon de faire du pony.

- La prochaine fois, on devrait lui attacher les couilles au sulky et le faire tirer comme ça ! Dit Master Paul en affolant le toutou convaincu qu’ils sont capables de le tenter.

Après la sieste, Maître Max découvre qu’il y a des chaînes et des anneaux un peu partout dans les arbres autour du gîte. Il va donc voir le maître des lieux pour voir si il a des idées pour profiter du terrain.

- Vous pourriez organiser une chasse à l’homme. Vous lui laissez un quart d’heure d’avance et après vous le chassez. Libre à vous de décider ce que vous ferez au gibier !

- Vous pourriez me prêter un fouet et des bracelets ?

- Pour les bracelets, prenez ceux de la chambre mais avez-vous déjà fouetté au sens propre du terme avec un vrai fouet ?

- Non jamais !

- Nous allons jouer prudence car cela peut être dangereux pour vous comme pour lui. Je vais voir ce que je peux vous prêter.

Le lâché du gibier nu se fait vers 17 heures. Le maître des lieux confit à Maître Max un mini fouet en lui donnant quelques conseils et en lui disant « attention aux yeux, un fouet peut être détourné et arriver là où vous ne voulez pas et parfois même sur vous ».

Parti sur la propriété, Damien se demande ce qu’ils vont lui faire. Marcher lui pose rapidement un problème, Maître Max lui ayant posé un gros ballstretcher. A chaque pas, ses testicules ballottent. « Si cela dure longtemps, elles vont traîner par terre » se dit le gibier. Rattrapé facilement par les chasseurs s’étant partagés le terrain comme des rabatteurs, le pauvre Damien est ramené aux arbres à chaîne pour y être lié bras et jambes écartés. Maître Max découvre rapidement que le fouet peut être cruel pour celui qui le donne. Malgré tout, il commence à s’habituer à cet instrument au grand dam du gibier commençant à être strié de partout.

Assoiffé, il demande grâce et supplie. La négociation est simple, champagne contre l’arrêt du jeu. Les poignets libérés, la lope peut se mettre à genoux et prendre en bouche la verge de Paul. Derrière lui, Lucas, taquine les précieuses pendantes avec son pied, histoire de motiver la lope. La « collation prise », ils rentrent au gîte pour prendre un apéro plus conventionnel en tirant Damien par sa laisse pour prendre une bonne douche.     
         
Pour la paella, il est décidé de laisser Damien s’asseoir à table, il a mérité une pause syndicale. La nuit se terminera au bord de la piscine où le chien a appris la brasse coulée et la pipe coulée. La problématique fut que l’eau de la piscine et la bière cela donne des envies. Maître Max se rend au donjon pour aller chercher la chaise percée. Installée dans le gazon, avec un système d’évacuation humain, la lope prend plusieurs douches....   

Sa soirée est loin d’être terminée, Mamadou a encore des envies. L’orgie se termine tard dans la nuit après de multiples « « échanges » » sur le sling et sans couche pour Damien, il est trop tard pour aller en acheter. De fait, il peut sortir à quatre pattes pour aller une lever dehors. « Si je te vois te lever comme un humain, je te fouette les couilles » lui avait indiqué Maître Max. Autant dire que le toutou a été obéissant.  

Le lendemain, après s’être bien défoulés, amusés dans le donjon et le jardin, nos acolytes font du tourisme conventionnel ou presque puisque c’est avec un gros plug que Damien fera la visite. Ils se rendent au monastère de pierres, un lieu méritant grandement le détour. Ils profitent également de l’immense parc verdoyant et de ses cascades. Marc leur avait conseillé de bien se chausser car il faut crapahuter un peu, cela va avoir de l’importance pour les aventures de Damien. Même si les arbres et les cascades rendent la visite agréable, les chaussettes sont montées en odeur comme le constatent les Maîtres dans la voiture pendant le retour.

Arrivés au gîte, prises sur la terrasse, les bières bien fraîches sont salutaires pour nos assoiffés. Damien pourra en boire une quand il aura léché les pieds déchaussés et dépourvus de chaussettes. Ils les a trouvés « salés », allez donc savoir pourquoi ! Après une bonne douche, nos acolytes prennent un peu de bon temps dans la piscine où, Damien se doit de faire un peu de plongée pour lécher ci et là^^^.

N’ayant pas envie de faire des courses, Damien n’aura pas à cuisiner puisqu’ils se sont fait livrer des repas à 9,50 euros. Si le repas du chien n’a pas été mixé ni mis en gamelle, puisque les Maîtres avaient oublié ce détail, la lope mange malgré tout à quatre pattes sous la table. Nous dirons que ce n’est pas parce qu’ils manquaient de place, mais que c’était juste pour lui faire plaisir...

Le donjon et sa chambre Love sont un peu comme des aimants pour nos acolytes. A peine entrés, Damien est placé puis entravé sous la chaise percée servant de toilettes humaines. Sa mission est simple, préparer les culs de sa langue et, il l’espère, ne pas avoir à les nettoyer après usage. Il n’en nettoya que deux sans trop de résistance, un pied posé sur vos testicules, cela motive.

Nos acolytes s’étant éclatés entre eux, la fatigue aidant, ils s’occupent rapidement de la lope pour qu’elle ait un minimum de plaisir, mais à leur façon... Traduction ? Sur l’étagère aux accessoires, ils avaient repéré le masque permettant de fixer des chaussettes ou slips parfumés sur le visage d’une personne. Maître Max propose généreusement de prêter son slip et une de ses chaussettes afin que la lope profite de lui toute la nuit et ne se sente pas abandonné.

- Tu ne te sentiras pas abandonné puisque tu vas pouvoir me sentir toute la nuit ! Lui indique Maître Max en faisant bien rire ses complices.

Pour qu’il ne pourrisse pas le lit, il doit mettre une couche avant d’être entravé bras et jambes écartées avec son masque aux fragrances humaines bien serré. La nuit parfumée de Damien n’est qu’une mise en bouche car Maître Max a des projets pour lui le lendemain.

Au petit matin, après avoir pissé dehors, il vient le libérer du lit pour le mettre à quatre patte avant de le faire un bondage l’obligeant à n’évoluer qu’en chien. Pour cela il lui attache les jambes une par une avant de lui poser des menottes qu’il passe dans son collier. Après quoi, il lui retire le masque avec son slip et sa chaussette mouillée puis la couche pleine d’urine. Cette dernière est alors placée sur son visage et fixée avec du scotch d’emballage.

- Pour te faire plaisir, et surtout pour que tu ne dises pas que je ne suis pas gentil, je vais placer les clés des menottes aux pieds de la table qui se situe dans la cabane naturelle au fond du verger. A ton retour, tu pourras déjeuner et prendre une douche. Attends, on ne peut pas te laisser le cul exposé à l’air, il faut le combler un minium. Cette queue de chien t’ira à ravir, c’est à peine si tu le sentiras passer. Bonne balade la lope ! Conclu Maître Max avant d’aller se faire un café.

Si il aime bien se faire loper et faire le chien, le pauvre Damien n’est pas au bout de ses peines. En effet, la couche détrempée posée sur son visage ne lui permet quasiment pas de voir. A cela se rajoute que, pour aller au fond du verger à quatre pattes, le trajet va être fort long. C’est lorsqu’il quitte la terrasse où il a été soigneusement équipé, qu’il prend conscience que la rosée matinale va être infernale pour lui. Même si Marc entretient le verger quasiment comme le parc, les herbes y sont plus hautes. Mouillées et fraîches, elles deviennent cruelles avec lui.

La lope transformée en chien est un train de vivre un de ses fantasmes, sauf que, le trajet fort long et avec les herbes mouillées, cela change la donne et c’est de suite moins amusant. En plus, l’herbe fraîche cela donne envie de pisser. C’est à mis chemin, fatigué et surtout par manque de courage qu’il se soulage comme une chienne. C’est dans ce moment d’abandon que sa queue décide de faire bande à part. Cela l’inquiète car Maitre Max risque de ne pas apprécier et de le punir pour ça si il l’apprend. Bien décidé à éviter la punition, Damien presse le pas, ou plutôt, les pattes. C’est en arrivant à la table placée sous la cabane naturelle, qu’il découvre quarante minutes plus tard que Maître Max ne lui a pas laissé les clés des menottes.

Serrer les fesses en revenant ne suffira pas à son anus, « bien usiné » les jours précédents à contenir son envie naturelle dit « solide ». Pour ne pas arriver le cul crade, il en est réduit à se frotter comme une chienne en chaleur dans les herbes. C’est en puisant dans ses réserves de courage qu’il reprend son périple canin. Au passage, il récupère la queue de chienne par très propre qu’il nettoie dans les herbes afin que Maître Max ou ses complices ne lui fassent pas laver avec sa bouche. Tant bien que mal, c’est vers 9h30 qu’il arrive à la terrasse du gîte où les acolytes prennent leur petit déjeuner.

C’est après presque deux heures de marche en chien qu’il est libéré et peut enfin boire ! Boire et déjeuner, après l’effort un peu de réconfort ne peut pas faire de mal, a estimé Maître Max.

- Bien la lope, il ne te reste plus qu’à ranger tes affaires et à faire le ménage, qui, je te le rappelle, est à la charge des locataires. Je t’invite à ne pas trop tarder car nous devons rendre le gîte et le donjon en parfait état de propreté. Je subodore sans trop de risque d’erreur, que Marc se ferait un plaisir de te punir au fouet si c’est mal fait. Je te laisse imaginer sa réaction si je lui disais que tu as mal fait le ménage par pure provocation... ! Lui indique Max avant d’aller faire quelques achats chez ABCplaisir.

C’est avec une pointe de regret et après l’état des lieux sans imperfection...., qu’ils prennent le chemin du retour. Par prudence, la lope ne conduira pas, mais sur l’autoroute, à l’arrière entre les sièges, elle officiera un peu de la bouche.   

FIN

TSM

- Si Marc existe réellement
- Si le gîte fétichistes existe réellement
- Si il est possible de vivre ce type d’aventure au gîte fétichistes
- Cette histoire est totalement fictive. Son but est de vous donner un exemple de ce qu’il est possible de vivre au gîte fétichistes
 

Visiter le site du gîte fétichistes en cliquant ICI

Visiter le gîte en vidéo sur Youtube

A gay lope at the fetish lodge

 

A gay lope at the fetish lodge

- Hello

- Yes, hello, I'm calling because I have a few questions about your gîte.

 - But please, what would you like to know?

- I'm a bit embarrassed to ask you these questions, but I'd like to know if you accept human dogs and if this is possible in your home?

- Don't be embarrassed, I've been in the fetish dating business for 40 years, so there's no taboo subject with us. Human dog you say, in other words, is it possible to have farts-play or dogtrainning at the B&B? Well, the answer is yes, without any problem. However, I would advise you to bring knee and elbow pads or gloves, because although some parts are, let's say, passable, if you go a little further into the property, there are paths or trails with stones.

- Is it really possible to walk around your property like that?

- Yes, it's no problem at all, there's nothing in our way. If you like, we can even serve meals in bowls.

- That's great, and if we're gay, do you have any problems with us playing outside?

- Still not! There's even equipment that lends itself well to fisting and other things like pierced chairs and pilorises. In fact, the equipment you see pictured on the site can be used at your convenience whether you're lesbian, gay or straight, we don't care. 

- Do I still have a question?

- Please do!

- The gîte is limited to 4 people, but what happens if there are 5? Does one of us have to go and sleep in a hotel?

- The restriction is due to the fact that we only have two large beds and, for legal reasons, we can't accept tents or caravans.

- Yes, but you have a special bed that allows you to sleep underneath! If I count correctly, that makes 5 places.

- Let's get straight to the point, you'd like to come with 5 people and are asking me if we can work something out?

- Yes, that's it!

- As long as one of you agrees to sleep somewhere other than in a conventional bed, we could adapt the rental package.

After this telephone conversation, Damien decided to book the gîte for a weekend in July. In reality, he was on his own for the moment. His idea was to offer a weekend at the gîte to two gay Masters and to be their lope. For the next two months he's been scouring gay forums and sites, as well as Fessestivites and Abkingdom, where he's come across a few ABDLs interested in BDSM.

On Fessestivites he found a very kinky gay dom who agreed to accompany him to the gîte and look after the lope. To make sure he didn't get the wrong end of the stick, Maître Max asked him for a copy of the booking and then phoned the gîte. The gîte confirmed that a booking had been made but refused to reveal the identity of the tenant. After some discussion, the gîte simply told him that the person had booked, presumably, for a gay BDSM weekend. Despite further enquiries, the gîte respected the customer's anonymity.

Poor Damien....

Poor Damien, because during telephone conversations, which were only one-handed, he revealed his fantasies of being a dog and bitch in a hard BDSM version. There's a big step between fantasy and reality. After visiting him at his home to 'test' the lope and have a bit of fun, Master Max, who is fairly well known in the dating world, had no trouble finding three other gay BDSM enthusiasts to go with them to Spain. Among them are Master Paul and his friend Lucas, who is a switch, and Mamadou, who is white by skin but nicknamed for the size of his three-piece wardrobe, and who is always willing to fart pucks.

Although Damien had offered to pay for everything, the guests contributed to the cost of transport in a minivan hired for the occasion. During the journey from Lyon to the gîte, the submissive angel keeps on lighting them up. Excitement can drive you crazy and make you forget to be careful....

As soon as we got out of the car, Maître Max took matters into his own hands, or rather, his leash. Damien found himself naked with a collar around his neck in front of the owners of the gîte. During the welcome drink, taken in a bowl for Damien, the discussions are going well. The dog's lead was untied so that he could unload the luggage. The guests noticed that there were virtually no limits to "activities" at the gîte. The owner's wife had not been offended by serving the dog a drink, and she seemed "armoured".  

When they arrived at the gîte, which had been prepared for them, the guests were not disappointed! ! ! There are two pilorises on the terrace. One is a medieval version, the other a slave version, where the submissive is locked in place by his four-legged legs with his arse offered to him. Next to it is the "high bench", used to hold a person in the diaper position. Suffice to say that once you're on it, the way is very accessible. A large niche has also been installed next to the swimming pool (HUMOUR Normal, in French Chien and niche contain the same letters).

 Inside the dungeon, a perforated chair covered with a toilet seat amuses them, but what surprises them is the four-poster bed with rings everywhere and its cage bed.

- Do you like it? asks Damien   

- But where are we here? asks Mamadou, amazed by this very special setting!

- At the fetishist lodge !

- It's quite surprising," replies Master Paul.

- I could do with a shower, but the dog's still up and about to help me!

Damien was pulled by the leash and found himself in the shower with his Master, who forced him to get down on all fours and use him as a bath chair. The guests liked the idea and he didn't come out of the bathroom until everyone had had a shower. His first steps as a lope are, for the moment, fairly soft, even if he has to lick asses and feet to check that they've washed properly. Where Damien went a little crazy was the size of Mamadou's chuck.

Damien was taken to the "stoner's bench" where, lying on his back, shackled and handcuffed, he had lost his superbness. While Master Paul's fingers play spelunker in the well offered ass, Master Max gets a blow job. The digging fingers quickly gave way to a highly motivated cock, eight hours on the road with a slut who was dreaming of getting fucked, that makes you want more. Winking at Mamadou, Lucas takes advantage of the fact that Max has left the room to have his arse prepared by Damien's tongue by doing a facesitting.

While Mamadou and Lucas are having sex, Master Max and Master Paul are having a beer. Abandoned on the "high bench", Damien despairs at not being able to have one with them, but his opinion.... By way of beer, half an hour later, when he sees Lucas straddling his head for a facesitting, he refuses to lick the arse that has just been smashed. His rebuttals are taken very badly! Maître Max picks up a paddle from the accessory shelf to motivate him. Spanking on a paddle stings, but in the diaper position, it's hard! Master Paul joins his teacher friend and begins to knead Damien's precious hands with a firm hand.

Between two cries, the desperate man gives in and, as if his life depended on it, laps up the lube-laden and not very clean arse. Very excited by what he sees, Mamadou slips on a condom and comes, in his own way and with his 26 x 6 cock, to explain to Damien that he must make an effort. Stretched out, fucked, deep and wide, he "sings" more than he licks. Freed and carried for lack of energy to the kennel where he is tied up, Damien happily takes refuge there. 

During the meal with the owners of the gîte, the dog was missing. Two bowls were brought to Damien, one with water and the other containing a sort of pâtée made from what was on the evening menu. The owner asked them if they were going to let him sleep outside or in the cage under the bed, pointing out that the nights were cool. To protect his bed and breakfast from possible urine leakage, he gave them a nappy for incontinent people, which amused them. In fact, on the way back to their gîte, the dog was untied and put in a nappy before being buckled under the bed.

 On Saturday morning, breakfast was laid on the table on the gîte terrace. Once again, Damien was unable to eat normally. Equipped with kneepads and mittens, apart from a short two-hour stay in the pillory, he lived like a dog all day. Around midday, after watching them having fun on the swing, he took his place on the "bench of pleasures" suspended from the swing beam. He has to grab a cock stretched out in front of him with his mouth every time he swings. Don't be fooled, Master Max doesn't swing him in the conventional way, but with big slaps.

During lunch at 2pm, Maître Max had a chat with the owner, asking if the sulky used for pony-play could be adapted for sled dogs. Not having thought of this, the owner promised to look for a solution, adding "without guarantee". After some thought, he managed to cobble together something using plumbing sockets and collars fixed to the bars of the sulky: "It's not very aesthetic but it should work", he told her as he arrived with the sulky.

Harnessed like a sled dog, Damien takes his Master for a walk back to the gîte, where he plans to take a nap. Carrying and pulling the sulky on all fours is exhausting, but a very entertaining way to pony up.

- Next time, we should tie his balls to the sulky and make him pull it like that! says Master Paul, scaring the pooch into believing that they are capable of tempting him.

After his nap, Master Max discovered that there were chains and rings all over the trees around the gîte. So he went to see the owner to see if he had any ideas on how to make the most of the area.

- You could organise a manhunt. You give him a quarter of an hour's head start and then you chase him. It's up to you what you do to the game!

- Could you lend me a whip and some bracelets?

- For the bracelets, take the ones in the bedroom, but have you ever been whipped in the true sense of the word with a real whip?

- No, I haven't!

- We're going to play it safe because it could be dangerous for you as well as for him. I'll see what I can lend you.

The naked game was released at around 5pm. The landowner gave Maître Max a mini whip, giving him a few tips and telling him to "watch your eyes, a whip can be diverted and end up where you don't want it to and sometimes even on you".

As he set off across the estate, Damien wondered what they were going to do to him. Walking quickly became a problem for him, as Master Max had fitted him with a large ballstretcher. Every time he took a step, his testicles jiggled. "If this goes on much longer, they'll be dragging on the ground", he says to himself. Easily caught by the hunters who had shared the field like rabbit hunters, poor Damien was led back to the trees by chain to be tied with his arms and legs spread wide. Master Max soon discovers that the whip can be cruel to the person who uses it. Despite this, he begins to get used to the instrument, much to the annoyance of the game, which is beginning to be streaked all over.

Thirsty, he begs for mercy. The negotiation was simple: champagne in exchange for an end to the game. With his wrists freed, the lope can get down on his knees and take Paul's penis in his mouth. Behind him, Lucas teases the precious danglers with his foot, just to motivate the slut. Once they've had their "snack", they head back to the gîte for a more conventional aperitif, pulling Damien by his lead to take a good shower.

For the paella, it was decided to let Damien sit at the table, as he had earned a union break. The night ended by the pool, where the dog had learnt the sunken breaststroke and the sunken pipe. The problem was that pool water and beer make you want to drink. Master Max went to the dungeon to fetch the pierced chair. Set up on the lawn, with a human drainage system, the slut takes several showers....  

Mamadou's evening is far from over, and he still has his cravings. The orgy ends late into the night after many "exchanges" on the sling and without a nappy for Damien, it's too late to go out and buy some. In fact, he's able to get out on all fours to get up outside. "If I see you stand up like a human, I'll whip your balls," Master Max told him. Suffice to say, the doggie was obedient. 

The next day, after having had a great time in the dungeon and the garden, our companions went on a conventional sightseeing tour, or almost a conventional tour, since Damien took a big plug. They visit the stone monastery, a place well worth the diversions. They also enjoyed the immense green park and its waterfalls. Marc had advised them to wear good footwear, as they would have to do some climbing, which would be important for Damien's adventures. Even though the trees and waterfalls made the visit pleasant, the socks had gone up in smell, as the Masters noticed in the car on the way back.

When we arrived at the gîte, the cold beers on the terrace were a welcome relief for our thirsty guests. Damien was able to drink one after he had licked his bare feet and no socks. He found them "salty", so who knows why! After a good shower, our companions have a good time in the pool where Damien has to do a bit of diving to lick this and that^^^.

Damien didn't feel like shopping, so he didn't have to cook, as they had meals delivered for €9.50. Although the dog's meal was not mixed or put in a bowl, as the owners had forgotten this detail, the lope nevertheless ate on all fours under the table. We'd say it wasn't because they were short of space, but that it was just to please him...

The dungeon and its Love room are like magnets for our acolytes. As soon as they enter, Damien is placed and then shackled under the pierced chair used as a human toilet. His mission was simple: to prepare the asses of his tongue and, he hoped, not have to clean them after use. He only cleaned two of them without too much resistance, a foot on your testicles, that's motivating.

Our acolytes having had a blast with each other, with fatigue helping, they quickly took care of the slut so that she could have a minimum of pleasure, but in their own way... Translation? On the accessory shelf, they had spotted the mask used to attach scented socks or briefs to a person's face. Master Max generously offered to lend his briefs and one of his socks so that the slut could enjoy him all night and not feel abandoned.

- You won't feel abandoned because you'll be able to smell me all night long! says Master Max, making his accomplices laugh.

To make sure he doesn't rot the bed, he has to put on a nappy before being shackled arms and legs apart with his human-scented mask on tight. Damien's fragrant night is just an appetiser, because Master Max has plans for him the next day.

Early in the morning, after pissing outside, he comes to free him from the bed to put him on all fours before doing a bondage forcing him to evolve only as a dog. To do this, he tied his legs together one by one before handcuffing him and threading them through his collar. He then removed the mask with her pants and wet sock, and the nappy full of urine. This is then placed over her face and secured with packing tape.

- To please you, and above all so that you don't say that I'm not nice, I'm going to place the keys to the handcuffs at the foot of the table in the natural hut at the end of the orchard. When you come back, you can have lunch and take a shower. Wait, we can't leave your arse exposed to the air, we've got to fill it in a bit. This dog's tail will look great on you, and the rosebud is so small you'll hardly feel it. Enjoy the ride, bitch! Concluded Master Max before going to make himself a coffee.

While he enjoys being loped and acted like a dog, poor Damien is not at the end of his troubles. The soggy coat on his face means he can barely see. What's more, it's going to be a long way to get to the bottom of the orchard on all fours. It was when he left the terrace where he had been carefully equipped that he realised that the morning dew was going to be hell for him. Although Marc tends the orchard in much the same way as he does the park, the grass here is taller. Wet and fresh, they become cruel to him.

The lope transformed into a dog is living out one of his fantasies, except that the long journey and the wet grass change the situation and make it less fun. Plus, fresh grass makes you want to pee. It was on the way, tired and above all lacking courage, that he relieved himself like a dog. It was during this moment of abandonment that his tail decided to go its own way. This worries him because Maitre Max might not appreciate it and will punish him for it if he finds out. Determined to avoid punishment, Damien presses his pace, or rather, his paws. When he arrived at the table under the natural hut, he discovered forty minutes later that Master Max had not left him the keys to the handcuffs. 

Tightening his buttocks on the way back wasn't enough for his anus, which had been "well machined" over the previous few days, to contain his natural urge for what he called "solid sex". To avoid arriving with a dirty arse, he was reduced to rubbing himself in the grass like a bitch in heat. Drawing on his reserves of courage, he resumed his canine journey. In the process, he retrieves the bitch's tail, which is not very clean, and cleans it in the grass so that Master Max or his accomplices don't make him wash it with his mouth. As best he could, it was around 9.30am that he arrived at the terrace of the gîte where the acolytes were having breakfast.

After almost two hours of dog-walking, he was freed to drink at last! Drink and breakfast, after the effort a bit of comfort can't do any harm, thought Master Max.

- Well, Bitch, all that's left for you to do is put your things away and do the housework, which, I would remind you, is the responsibility of the tenants. I suggest you don't delay too long, as we have to leave the gîte and the dungeon in a perfectly clean state. I suspect, without too much risk of error, that Marc would be delighted to punish you with a whip if it's not done properly. You can imagine his reaction if I told him that you'd done the housework badly out of sheer provocation... ! Max tells him before going off to do some shopping at ABCplaisir.

It was with a touch of regret that they set off on their return journey, after a flawless inventory..... To be on the safe side, the Bitch won't be driving, but on the motorway, in the back between the seats, she'll be officiating with her mouth.  

END

TSM

- If Marc really exists

- If the fetish bed and breakfast really exists

- If it is possible to experience this type of adventure at the Gîte Fetichistes

- This story is completely fictional. Its aim is to give you an example of what it's possible to experience at the gîte fétichistes.

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mercredi 7 juin 2023

Les libertins se lâchent au gîte fétichistes

Le donjon et les installations du gîte fétichistes donnent aux libertins des envies de BDSM sexuel

 

Pilori

Ces deux couples libertins se connaissent depuis des années. Ultra complices et en totale confiance, entre eux, ils pratiquent sans préservatif. Ce n’est pas la première fois qu’ils partagent des vacances, l’année précédente c’était au Cap dAgde mais comme les prix explosent et que tout devient payant, agacés ils ont décidé de changer de destination.

Dès leur arrivée, ils sont agréablement surpris par l’accueil malgré l’heure tardive. Une présentation rapide des lieux puis du donjon et de l’appartement leur est faite. Sur la table du salon ils trouvent avec le code wifi et le classeur des conseils d’usage, une rose pour chacune des femmes ainsi que le classeur des vraies bonnes mauvaises idées.

Ils constatent que les repas commandés à 9,50 euros sont bien au réfrigérateur, qu’une baguette de pain est posée sur la cuisinière. La climatisation est également allumée et les lits sont prêts. Marc leur indique que les papiers et la suite de la visite se feront le lendemain quand ils se seront reposés. 

Nos amis libertins prennent une douche salvatrice avant de se jeter sur le repas. Entre l’entrée et le plat se réchauffant au micro-onde, Paul commente en rigolant ce qu’il a découvert dans le classeur des Vraies Bonnes Mauvaises idées.

- C’est complètement fou cette ouverture d’esprit qu’ils ont ici. Dans le classeur, il y a quasiment des idées et scénarios pour tous les fétichismes ou presque. J’ai bien aimé l’idée de la chasse à la soumise. Franck, je te propose que demain nous lâchions une de nos femelles sur la propriété, le premier qui la trouve se la saute sur place. Qu’en penses-tu ?

Avant même que Franck ait le temps de répondre, les filles s’insurgent, elles ne sont pas des femelles, encore moins du gibier ! Même si elles savent pertinemment qu’il plaisantait et ne leur manquait pas de respect, elles le menacent de représailles.

- Chéri, j’ai lu sur le site du gîte qu’ils peuvent garder les clés des cages de chasteté, j’ai bien envie de te mettre sous cage de chasteté et de leur confier les tiennent ! Menace Martine l’épouse de Paul.

- Je ne l’ai pas emmenée ! Répond Paul au tac au tac.

- Moi si ! Lui répond Martine.

Lucie provocatrice dans l’âme surenchérit et déclare qu’être traitée de gibier l’a profondément blessée. Excitée depuis leur arrivée, elle propose d’aller visiter le donjon en détail puis de mettre Paul sur la croix de Saint André pendant qu’ils s’amusent tous les trois dans la chambre LOVE.

Ce soir là, après les heures de route, hormis un bain naturiste dans la piscine, ils font qu’un petit tour dans le donjon où ils s’excitent à l’avance.

- J’adore ce lieu et tout ce matériel, je sens que l’on va s’éclater mon amour ! Déclare Paul à sa femme parfois dominatrice sous la couette.

- Martine, j’ai comme l’impression qu’il est en demande ton chéri, on le fait dormir dans le lit cage ? Demande Lucie. Comme ça, il n’y aura pas besoin de chasser, on l’aura déjà sous la main.

- On va peut-être attendre demain, mais l’idée me plait bien. Il a intérêt à être sage et gentil avec celle qui pourrait bien devenir une sévère domina…. ! Réponde Martine amusée.

Après quelques bisous de principe, nos libertins ne tardent pas à se coucher dans les deux lits king size superposés. Réveillé au chant des oiseaux, Paul est le premier à se lever. Il sort discrètement du gîte sans trop ouvrir la porte pour que le soleil ne réveille pas tout le monde. C’est avec la trique encore au garde-à-vous qu’il retourne au donjon après avoir « « levé la patte » » aux pieds des arbres. Rapidement excité par les lieux et le matériel, ce n’est pas l’envie qui lui manque de diminuer la « pression » intracrânienne. CAD l’envie de jouer avec ce qui sert à ??? Vous avez deviné ? Bon, je continue le récit !

Il revient donc « sagement » au gîte pour préparer la tournée générale de café. Pendant qu’il coule, il va installer les bols et de quoi grignoter sur la terrasse. A son retour, les coquins commencent à bouger et prennent leur ticket, comme à la sécu, pour passer à la salle de bain faisant également office de lieu dédié au dépôt de bilan. (Les toil…) 

Lorsque Marc les aperçoit en se rendant au potager dans une tenu ultra fétichiste, baskets trouées, chaussettes usées et short même pas assorti au tee-shirt vintage, il leur fait un coucou de la main avant de poursuivre son chemin. Hélé par les filles à moitié nue et les hommes à poil, il vient donc discuter avec eux en les regardant comme si ils étaient vêtus de tenue de sport. CAD il n’en avait rien à faire de leur nudité.

La discussion porte dans un premier temps sur les lieux à visiter, les choses pratiques comme le tabac et les courses alimentaires. (A croire que le classeur posé sur la table du gîte avec toutes ces infos ne sert à rien MDR) A la suite de quoi, la discussion porte sur les installations et sur les propositions de jeux possibles en extérieur. Que n’avaient-ils pas fait là que d’entraîner Marc sur ce sujet ? ? ?

Vingt minutes plus tard, il n’y avait pas que les yeux des filles qui brillaient du feu du désir, feu animé par un vent de perversité force 8. Chasse à la soumise ou au soumis ont été abordé tout comme la possibilité d’installer le banc à fessée dehors pour autre chose que les punitions. Il leur explique qu’il est possible de planter 4 pieux dans le gazon pour entraver une fille ou un homme bras et jambes écartés et fesses en l’air, d’utiliser le hamac de la piscine comme un sling, de faire un ou des Espaces game coquin, de faire ….. 

Paul demanda alors à Marc de terminer la visite sommaire du donjon, faite rapidement la veille, pour leur laisser le temps de se reposer. Autant demander à un fétichiste passionné de vous commenter non pas son mais SES fétichismes. Etant ultra ouvert d’esprit, à chaque matériel ou exemple donné, Marc indiquait que cela est utilisable autant pour homme que pour femme. Etant toujours nu, Paul ne put cacher que les explications ne le laissaient pas de marbre.

Pour ne gêner personne et comme il y avait beaucoup de vent, Marc leur conseilla d’aller visiter le célèbre Monasterio de Piedra (Monastère de Pierre) qui est justement bien abrité du vent. Il précisa que le parc méritait le détour mais qu’il est à faire avec de bonnes chaussures. Après ces explications moins érotiques, le bas ventre de Paul se remit au repos.

Ils commandèrent avant de partir « touristiser » le repas du soir mais cette fois dans la salle de restauration. Marc leur proposa de venir choisir dans son potager les légumes bios du repas qu’il leur préparerait. Etonnées, les filles apprécièrent tout comme le fait qu’il leur propose de prendre quelques fruits pour la route dans le verger.

Pendant la journée, il leur prépara une quiche au jambon Ibérique et aux truffes puis du canard en sauce avec des timbales de légumes et quelques frittes. (Frittes de courgettes, frittes de carottes, frittes de pommes de terre).

Vers 17 heures, les touristes libertins rentrèrent avec le sourire smiley posé sur les lèvres. A priori la visite leur avait plus. Douche et piscine + coquineries aquatiques fut leur programme de la soirée en attendant le repas servi à 21 heures.

Pendant le repas à 13 euros pris en salle de restauration, avec le menu comprenant l’apéro et les amuses bouches, nos libertins contèrent leurs impressions avant de passer aux questions habituelles posées par les clients.

Résumé rapide pour ne pas vous ennuyer :

- Qu’est-ce qui vous a incité à venir vivre en Espagne ?

- La macronie, la France qui par en C…, les finances, la sécurité et la convivialité du pays.

- Vous devez en voir des drôles ?

- Oui, mais le principal est que les clients s’amusent, le reste on s’en moque. Le plus amusant ce sont les célibataires qui viennent faire du selfbondage ou des jeux solitaires. Au début ils sont timides, mais juste au début si vous voyez ce que je veux dire.

ET LA, au milieu de la discussion cette fois en présence de l’épouse de Marc, Martine demande devant tout le monde si c’est vrai qu’ils acceptent de garder les clés des cages de chasteté des messieurs ? Autant dire que Paul piqua du nez dans son assiette de fromage inclus également dans le menu ! (Le dernier point n’est pas important mais j’y tenais alors…)

Devant la réponse positive de Marc et son épouse, Martine leur confia un jeu de clé. Autant dire que pendant le repas, Lucie et Franck s’amusèrent aux dépens du futur et chaste vacancier.

Le lecteur doit savoir que dans ce monde de coquins, entre elles, les filles peuvent être de sacrées chipies et même devenir démoniaques pour martyriser un homme. Les femmes peuvent réellement être pire que les hommes en ces domaines.

Comme indiqué précédemment dans le texte, la femme de Paul parfois est dominatrice sous la couette. Oh rien de BDSM, disons qu’elle aime bien gérer et que son chéri fasse ce qu’elle a envie comme elle a envie. Dans leur couple, la cage de chasteté n’est pas vraiment un accessoire de domination et Paul ne la porte jamais très longtemps. Martine la lui impose lorsque elle a ses règles et surtout, lorsqu’elle a envie qu’il s’occupe beaucoup d’elle en lui broutant le minou pendant des heures par exemple. Elle l’a bien menacé de la lui mettre lorsqu’ils vont en club libertin mais n’est jamais passée à l’acte.

Poussée par Lucie désireuse d’en jouer, de s’en amuser, puis par Franck, ravi de s’imaginer passer des soirées avec deux femmes pour lui tout seul, la menace de chasteté perdure. Si bien qu’après le dîner, lorsqu’ils vont au donjon pour explorer plus en détail les accessoires et carcans, la dite cage de chasteté trouve sa place sur le sexe de Paul. Quelques minutes plus tard, il se retrouve entravé nu et encagé sur la croix de Saint André. Les filles l’allument un max et s’en amusent. Elles poussent le vice jusqu’à s’agenouiller pour lui lécher les couilles, le caresser, lui grignoter les tétons ou le dévorer de bisous, le tout en jouant avec sa verge prisonnière dans le tube de la cage. Le pauvre Paul, donc la verge subit la crise du logement, ne peut même pas caresser les furies devenues gloutonnes, que dis-je, des rapaces.

De son côté, Franck a rapproché un magic wand massager du lit baldaquin puis un gode. Allongé sur le lit, il commente les « souffrances » psychologique de Paul tout en caressant sa verge en pleine forme. Jugeant qu’il était temps de passer aux câlins, elles rejoignent Franck pour câliner et s’occuper de la seule verge libre et disponible. L’encagé entravé sur la croix ne peut qu’assister à leurs ébats.

Animée par une certaine perversité, au bout d’une heure de câlins en tout sens, Lucie propose d’installer Paul sous la chaise percée afin qu’il puisse constater, après coup, qu’elles se sont « bien amusées ». C’est Franck qui est chargé de l’entraver sous la chaise percée présentée comme des toilettes pendant que les filles se font un 69 d’anthologie sur le lit de la chambre LOVE.   

Un langue c’est bien, une belle verge en pleine forme c’est mieux s’accordèrent à dire les deux filles ne parvenant pas à se rassasier. Franck du faire des efforts surhumains ce soir là pour ne pas jouir trop vite, ce qui lui aurait imposé une petite pause avant de retrouver un forme « utile » pour les mangeuses d’homme. Sous sa chaise percée et avec l’abatant des WC fermé, Paul ne peut qu’entendre et subir. Ce petit jeu ne lui déplait pas, il aime bien être un peu bousculé de temps en temps. Là, ses fantasmes de cuckold sont donc pleinement satisfaits.

Désireuse de varier un peu les plaisirs, n’ayant jamais testé la chaise percée ni le « toilet Salve » Lucie prend l’initiative que quitter le lit ravagé par leurs ébats pour aller s’asseoir et confier la toilette de son chaton à la langue de Paul. Aux fragrances de l’amour, ce dernier ne tarde pas à constater que la partie était chaude, avant que sa langue le lui confirme. Vicieuse comme pas deux, Lucie lui confie aussi son anus à lécher en plantant ses griffes dans les tétons se trouvant juste sous ses doigts. De leur côté, Franck et son épouse pratiquent la chevauchée fantastique jusqu’à sa conclusion. A leurs cris, Paul imagine qu’il sera bientôt libéré ce qui est une erreur.

En effet, quelques instants plus tard, et sûrement dans un esprit de partage, Martine se lève en mettant sa main en cuillère sous son chaton afin de ne pas perdre du bon jus d’homme qu’elle compte bien partager avec son mari. Comprenant le projet de son amie, Lucie cède sa place sur la chaise percée et Paul voit arriver l’arrière train de son épouse. Alors qu’il rechigne, Lucie pose son pied sur la cage de chasteté et commence à lui écraser les précieuses pour le motiver à laper le précieux liquide qu’elle boit régulièrement.

« Ne te plaint pas, il aurait pu me sodomiser et puis, en temps normal, tu aimes bien me faire avaler ton jus d’homme, tu peux donc le savourer à ton tour » lui crie Martine en plein délire de domina en herbe. Entravé et malmené, Paul n’a pas d’autres choix que de s’exécuter. Il lèche donc le sexe baveux de sa femme avec un léger manque de motivation compensé par un pied de perverse.

En sortant du donjon, l’éclairage de la piscine leur fait l’effet d’un aimant. Nos libertins rassasiés (sauf un) sont tentés par un bain de minuit. Paul est envoyé au gîte pour aller récupérer les serviettes. Pendant son absence les filles complotent et mûrissent l’idée de mettre Paul dans le pilori et de le faire sauter par son ami Franck.

Avant de se coucher, Paul demande à sa femme de lui retirer la cage de chasteté. Mais hélas pour lui, c’est Marc et son épouse qui ont les clés. Les réveiller pour ça n’est pas une bonne idée du tout !

Le lendemain, avant de partir visiter Saragosse, toujours aussi perverse, Lucie demande à Marc de leur préparer un Espace game. Son idée est que l’une d’elle devienne la proie d’un prédateur. Rien que d’y penser elle s’excite. Martine a cédé aux suppliques de son chéri et lui a retiré la cage de chasteté mais en confiant secrètement à nouveau les clés à Marc.  

Sur le chemin du retour après une journée à Saragosse, nos libertins font quelques photos érotiques en mode Urbex dans un hôtel désaffecté. Arrivé au gîte, il est décidé de tirer au sort, pour savoir laquelle des filles sera la proie de l’Espace game. Appelé en renfort, Marc vient donc équiper Lucie de quelques entraves. Il lui conseille de mettre des chaussettes pour ne pas blesser ses jolies chevilles avant de les enchaîner de façon à ce qu’elle ne puisse pas courir. A l’aide d’une autre chaîne et d’un cadenas, il relie les menottes aux chevilles avant de lui donner une enveloppe avec les indices.

Nue et ainsi enchaînée, la prisonnière devenant gibier quitte le donjon avec 15 minutes d’avance. Paul et Franck savourent une bonne bière en compagnie de Martine comme surveillante de l’alarme mise sur le mobile.

De son côté, Lucie savoure le fait d’évoluer nue dans la nature avec des entraves puis d’être le gibier. Cela l’amuse autant que cela l’excite. En même temps, elle aimerait bien gagner et trouver les clés afin que ce soit elle qui décide comment s’orienteront les amours du soir. Sur les conseils de Marc, les chasseurs partent avec une serviette sur l’épaule afin de protéger leur proie à consommer sur place. En effet, un minimum d’hygiène et de confort ne peut pas nuire quand on se fait « violer » par des chasseurs assoiffés de sexe. 

Lucie a réalisé une grande partie de l’espace game lorsque les chasseurs partent chasser la « femelle ». Martine les suit de loin en marchant normalement contrairement aux hommes bien décidés à gagner la partie. L’un des deux est sur la partie haute du terrain, l’autre sur la partie basse comme un rabatteur. Evoluant entre les arbres du verger, Paul a moins de visibilité contrairement à Franck qui est plus dans la « plaine ». En les ayant vu arriver, Lucie se cache entre les vignes située entre la partie basse et haute du terrain. Hélas (ou tant mieux) pour elle Franck l’a aperçue.

Nos deux chasseurs convergent vers le gibier tentant de fuir à petits pas vers ce qu’elle pense être le lieu où se trouvent les clés de ses entraves. Attrapée à bras le corps par Paul, elle ne peut rien faire pour s’échapper et regarde Franck installer les serviettes de bain. Obligée sous la menace d’être confiée à Marc pour une séance de fouet, elle n’a pas d’autres choix que de faire des fellations aux chasseurs avant d’être plaquée au sol. Paul relève les jambes de sa femme afin qu’elle ne puisse plus échapper à la belle trique de son ami.

Etant excitée par le jeu, la pénétration du sauvage dans un mini « marécage » n’est qu’une formalité. Lucie s’éclate à être la victime, à être ainsi défoncée en plein air. C’est grâce à ses cris de plaisir que Martine les retrouve facilement. Secrètement elle se plait à imaginer être à sa place. Si bien qu’elle prend place sur le visage de la proie pour se faire bouffer la chatte en tenant les jambes agitées de tremblements. A défaut de se faire sauter, elle peut au moins se faire brouter. 

- Encule cette salope mon amour, il faut que tous ses orifices soient utilisés ! Ordonne Martine à son mari une fois que Franck a terminé son affaire.

Entre les jambes de Martine on peut entendre crier le mot « salope », la suite est rapidement étouffé par une chatte bien trempée. Paul mouille donc de salive le petit orifice à tarauder sans modération une fois « perforé ». Comme il n’a pas joui depuis 48 heures, autant dire qu’il est motivé. La « pauvre » Lucie a beau essayer de se soustraire à ses ravisseurs et au Priape de Paul, la prise de la pastille, bastille pardon se fait sans trop de soucis. Et pour cause, Lucie aime bien se faire prendre par là. Au bout d’un petit moment, les oiseaux s’étonnent qu’une victime pousse de tels cris de plaisir. Cela leur fera sûrement un sujet de discussion une fois rentrée au nid. 

Après avoir récupéré les clés, nos libertins reviennent tranquillement à leur gîte. Les premiers arbres du verger bénéficient d’une sorte d’engrais bio humain sur le chemin du retour. La douche leur est salutaire tout comme le bain dans la piscine.

………………..

Comme vous le savez, deux filles sont toujours d’accords pour dire du mal d’une troisième mais entre elles, elles ne s’épargnent pas pour autant. Lucie a donc décidé de se « venger » de Martine l’ayant traitée de salope avant de la faire enculer à son tour. Je précise pour le lecteur, que ces vengeances bien réelles sont malgré tout très amicales dans ces jeux.

Sur Fessestivites, Lucie a pu voir un bondage réalisé par Marc pour un couple. L’homme attaché comme un chien est suspendu sous le treuil dans le donjon. Dans la vidéo, Marc fait voir qu’une fois suspendue, la personne peut être utilisée par les deux extrémités de son tube digestif en le faisant tourner. Le lendemain, elle s’arrange pour l’interpeller pour lui demander si il peut, sous prétexte d’un cours de shibari, réaliser ce bondage sur son amie. Lui demander de donner un coup de pouce avec ce cours et de partager une de ses passions n’était donc pas anodin.

Il est 17 heures lorsqu’ils reviennent d’une balade dans le désert des Bardenas Reales. Elle a prévenu ses amis de sa demande de cours de shibari tout en précisant que Martine serait son modèle déclaré volontaire. Si cette dernière sent l’embrouille, elle n’est pas pour autant inquiète, entre elles il n’y a jamais de réelle méchanceté.

Vers 17h30, Marc les rejoint donc pour leur faire voir comment faire rapidement un bondage « en mode chien ». Il se fait aider en leur demandant de faire la même chose que lui à Martine nue et à quatre pattes dans le donjon. Il est vrai que à quatre pour les « pattes » cela va plus vite que quand il n’y a qu’un seul shibariste. A la suite de quoi, il rajoute quelques cordes puis demande à Lucie de faire avancer « la chienne » jusque sous le treuil qu’il fait descendre. C’est là que Martine comprend qu’elle va vivre une suspension et qu’elle s’est faite piéger par son amie.

Marc finalise rapidement son shibari et entreprend donc de faire monter Martine à l’aide du treuil. Il lui demande régulièrement si cela va, si elle a mal quelque part afin d’ajuster quelques cordes.

- Je vais donc vous laisser tranquilles mais avant il faut que je vous donne les conseils de base. Vous devez vérifier que le s a n g circule bien à l’extrémité de ses membres ensuite si elle ne va pas bien, rien que le fait de la faire redescendre et poser sur le sol devrait résoudre le problème. Mes nœuds de suspension n’en sont pas réellement, il suffit de tirer ici et ici pour les défaire. Ensuite, il ne vous restera qu’à faire glisser mes cordes sur ses membres après avoir défait les boucles centrales. Cela peut donc aller très vite. Merci de ne pas lui faire tourner sur elle-même plus d’un tour afin de ne pas enrouler les câbles du treuil. Bonne amusement à vous. Leur indique Marc avant de quitter les lieux.

- Salope tu avais prévu ton coup à l’avance et comploté avec Marc ! Crie Martine. 

- Moi comploter ? Jamais voyons ! D’ailleurs j’ai une petite surprise pour toi. Regarde cette belle queue de chienne, je suis sûre que tu as envie de l’avoir dans les fesses ! Lui répond Lucie avec un sourire pervers posé sur les lèvres.

Avec un plaisir non dissimulé, elle mouille le rosebud de la queue de chienne du donjon avant de le presser contre le délicat petit orifice habitué à du plus gros. Ainsi équipée, Martine ressemble à une chienne au toilettage canin ne tarde pas à faire remarquer Paul amusé, et dont l’état de sa verge ne cache pas ses intentions.

Nos deux compères ajustent la hauteur de la « chienne » afin de profiter des deux côtés de son anatomie. Franck se fait sucer pendant que Paul, placé derrière elle la pénètre avec un plaisir non dissimulé. D’un léger balancement, Lucie s’amuse à la faire prendre et sucer en alternance avant d’installer le fauteuil de Maîtresse sous son amie. Assise, elle peut à loisir attraper ses tétons pour entretenir le balancement.

Après avoir râlé le minimum, syndical, Martine découvre que se faire prendre ainsi suspendue est planant dans les deux sens du terme. En la faisant tourner, Lucie permet aux deux hommes d’alterner les « orifices ». Ce jeu l’amuse un moment mais elle a bien l’intention « d’achever » son amie. Elle quitte donc sa place de perverse voyeuse pour aller chercher un magic wand à poser sur le clitoris, appelé aussi bouton des plaisirs féminins. Et c’est justement un maximum de plaisir qu’elle veut donner à son amie. Il y a quand même pire comme vengeance nous en conviendrons !

Après un certain nombre d’orgasme, Martine demande grâce. Rapidement descendue et libérée, elle s’allonge quasiment sur fauteuil de Maîtresse pour se remettre de toutes ces agréables sensations et jouissances. N’ayant pas encore pris du plaisir autre que cérébral Lucie s’allonge sur le lit de la chambre LOVE pour réclamer son dû, chose que les deux hommes se « dévouent » à lui donner. Réellement épuisée, Martine s’endort pendant les festivités. (Nan, il n’y a aucun rapport avec le super site Fessestivites) 

  La semaine de vacances de nos libertins passe à une vitesse époustouflante. Entre les sorties touristiques en journée, la piscine et les joutes sexuelles le soir les heures semblent être devenues de minutes. Si bien que pour en profiter le plus possible, ils ne commandent plus que les repas du soir à 9,50 euros pour ne pas perdre de temps à aller faire les courses et cuisiner.

Le vendredi, Marc rappelle à Paul qui est fumeur, le principe de l’Eco-tourisme en lui disant qu’à 5,30 le paquet de cigarettes, il serait intéressant d’en prendre quelques cartouches. Paul inquiétait d’être contrôlé et verbalisé par les douaniers français, le principe de l'Eco tourisme lui plait beaucoup. Ils se rendent au tabac du village où Paul achète 6 cartouches que les douaniers ne verront pas. A leur retour, aidé de Malicia, ils font un carton d’expédition comme ceux de la boutique ABCplaisir, Paul se crée un compte Mondial Relais et paye l’expédition de ses cartouches de cigarettes. Son colis ne sera envoyé que le lundi, ce qui leur laisse largement le temps de rentrer en France et de reprendre 2 autres cartouches avant la frontière. Au total, Paul a économisé près de 300 euros, ce qui paye une grande partie de leurs vacances ! 

Pendant qu’il cherchait à faire des économies, les filles complotent un max pour faire une surprise de taille 20 X 5 à Paul. Le pilori est donc sorti du donjon pour être installé près de la piscine. A son arrivé, les inquisitrices ne dévêtissent pour le bloquer dans le pilori. Franck est invité à participer activement à la sodomie de son ami. Si il n’était pas très motivé, quand deux furies gloutonnes s’acharnent sur un homme après lui avoir mis un cockring et fait des promesses de « remerciement » il n’a pas de souci d’érection devant les fesses d’un homme.

N’étant pas encore informé qu’il a été condamné au supplice du Pal, le pauvre Paul ne comprend les intentions des filles que lorsque, tenu par la queue Franck est conduit derrière lui. Son petit cul fut bien lubrifié malgré ses réfutations. Ayant déjà connu le gode ceinture, il allait donc goûter à une belle queue de 20 X 5.

Pour l’aider à accepter plus facilement le « Pal », Lucie passe sous Paul pour le sucer un peu pendant que Martine guide la queue de Franck dans le délicat orifice affolée. A l’aide de gros bisous et de caresses ciblées, la verge de Franck conserve sa « motivation » perforatrice. 

Paul ne put réellement se soustraire tant les filles étaient motivées et motivantes^^^. Une fois emmanché et un peu « ramoné » il commença à apprécier. Ce n’est qu’à ce moment là que Lucie abandonna la fellation du « condamné » pour assister au spectacle d’un homme sodomisé par un autre. Cela l’excita encore plus que d’en avoir parlé et vu sur le net. Elle n’eut pas d’autres choix que de se caresser sans aucune pudeur avant de prendre Martine par la main pour l’accompagner dans le plaisir.

Adorant voir les filles se "gouiner", Franck put se « masturber » autrement qu’avec sa main. En clair, il n’avait plus besoin d’accompagnement psychologique pour continuer d’enculer son ami. Il trouva même qu’un cul d’homme est aussi agréable qu’un cul de femme mais garda cette remarque pour lui. Si bien que les oiseaux perdirent leur latin en assistant à cette débauche bruyante que la piscine gardera en mémoire.

Franck fut grandement remercié pour sa prestation, et Paul fut mis sous cage de chasteté avant d’être libéré du pilori. C’est donc nu et encagé qu’il fut conduit tout honteux à Marc et Malicia pour finir de payer la semaine de vacances. Ce qu’il ne savait pas, c’est que Martine avait récupéré les clés de sa cage de chasteté. ET oui, les filles avaient encore comploté. Elles lui firent croire que Marc les avait placées dans le colis des cigarettes.

Après le repas du soir pris au gîte, ils ne firent qu’un passage éclair au donjon, la fatigue du tourisme et leurs aventures en fut la cause. Cela permis à chacun d’essayer quelques accessoires mais cela ne fut que de simples petits jeux. 

Le lendemain, ils reprirent la route  en se promettant de revenir.

FIN

- Si Marc existe réellement

- Si le gîte fétichistes existe réellement

- Si il est possible de vivre ce type d’aventure au gîte fétichistes

- Cette histoire est totalement fictive. Son but est de vous donner un exemple de ce qu’il est possible de vivre au gîte fétichistes

Visiter le site du gîte fétichistes en cliquant ICI

https://gitefetichistes.com

The libertines let loose at the gîte fétichistes

 The dungeon and facilities of the fetish gîte give rise to sexual BDSM desires.

 

Pilor

These two libertine couples have known each other for years. They are very close and have total confidence in each other, and practice without condoms. It's not the first time they've shared a holiday, the previous year it was at Cap d'Agde, but as prices were rocketing and they had to pay for everything, they decided to change destination.

As soon as they arrived, they were pleasantly surprised by the welcome they received, despite the late hour. They were given a quick introduction to the premises, the dungeon and the flat. On the table in the living room they found a rose for each of the women, along with the wifi code and the binder of useful tips, as well as the binder of really good bad ideas.

They saw that the meals ordered for 9.50 euros were in the fridge, and that a loaf of bread was on the cooker. The air conditioning is also on and the beds are ready. Marc tells them that the paperwork and the rest of the visit will take place the next day when they have had a rest. 

Our libertine friends take a life-saving shower before throwing themselves into the meal. Between the starter and the dish warming up in the microwave, Paul jokingly comments on what he has discovered in the True Good Bad Ideas binder.

- It's amazing how open-minded they are here. In the binder, there are ideas and scenarios for almost every fetish. I really liked the idea of the hunt for the submissive. Franck, I'd like to suggest that tomorrow we release one of our females on the property, and the first person to find her gets to have sex with her. What do you think?

Before Franck even had time to reply, the girls were in an uproar, saying that they were not females, let alone game! Even though they knew he was joking and not showing them any disrespect, they threatened him with reprisals.

- Darling, I read on the B&B website that they can keep the keys to the chastity cages, so I'm thinking of putting you in a chastity cage and entrusting them with the keys! threatens Martine, Paul's wife.

- I didn't take her with me! replies Paul.

- But I did! Martine replies.

 Lucie, a provocateur at heart, goes one better and declares that being treated like a game has hurt her deeply. Excited since their arrival, she suggested going on a detailed tour of the dungeon and then putting Paul on the cross of Saint André while the three of them had fun in the LOVE room.

That evening, after hours on the road, apart from a naturist dip in the pool, they took a short tour of the dungeon where they got excited in advance.

- I love this place and all the equipment, I have a feeling we're going to have a blast, my love! says Paul to his sometimes domineering wife under the duvet.

- Martine, I have the impression that your darling is in demand. Shall we have him sleep in the cage bed? asks Lucie. That way we won't have to go hunting, we'll already have him.

- Maybe we'll have to wait until tomorrow, but I like the idea. He'd better be good and gentle with the one who could well become a severe domina....! Martine replies, amused.

After a few principled kisses, it wasn't long before our libertines went to bed in the two king-size bunk beds. Woken by the sound of birdsong, Paul is the first to get up. He leaves the gîte discreetly without opening the door too much so that the sun doesn't wake everyone up. With his boner still at attention, he returns to the dungeon after "lifting his paw" at the foot of the trees. Quickly excited by the surroundings and the equipment, there's no lack of desire to reduce the intracranial 'pressure'. CAD the desire to play with what is used for ??? Can you guess? Well, I'll continue the story!

So he 'wisely' returns to the gîte to prepare the general round of coffee. While it's brewing, he sets up the bowls and nibbles on the terrace. On his return, the rascals start to move and take their ticket, just like at the social security office, to go to the bathroom, which also serves as a place dedicated to filing for bankruptcy. (The toil...) 

When Marc spotted them on their way to the vegetable garden, dressed in an ultra fetishistic outfit, with trainers with holes in them, worn socks and shorts that didn't even match his vintage T-shirt, he waved to them before continuing on his way. Hosed by the half-naked girls and naked men, he chatted with them, looking at them as if they were wearing sports clothes. He couldn't care less about their nudity.

The discussion initially focused on places to visit, practical things like tobacco and food shopping. (You'd think the binder with all that information on it on the table in the gîte would be useless, LOL). After that, the discussion turns to the facilities and possible outdoor games. What hadn't they done to get Marc started on this subject?

Twenty minutes later, it wasn't just the girls' eyes that were shining with the fire of desire, a fire driven by a force 8 wind of perversity. Hunting for submissives was discussed, as was the possibility of installing the spanking bench outside for something other than punishment. He explained that it was possible to plant 4 stakes in the lawn to restrain a girl or a man with his arms and legs spread wide and his buttocks in the air, to use the hammock in the swimming pool as a sling, to make one or more naughty game areas, to make ..... 

Paul then asked Marc to finish the brief tour of the dungeon, which had been done quickly the day before, to give them time to rest. You might as well ask a passionate fetishist to comment on not his fetish, but HIS fetish. Being ultra open-minded, with each material or example given, Marc indicated that it could be used for both men and women. Still naked, Paul couldn't hide the fact that the explanations didn't leave him indifferent.

So as not to disturb anyone, and as it was very windy, Marc advised them to visit the famous Monasterio de Piedra (Monastery of Stone), which is well sheltered from the wind. He explained that the park was well worth the diversions, but that it had to be done with good shoes. After these less erotic explanations, Paul's lower abdomen went back to rest.

They ordered the evening meal, this time in the dining room, before setting off to 'touristize'. Marc invited them to come and choose the organic vegetables he would be preparing for them from his vegetable garden. Surprised, the girls appreciated this, as did the fact that he suggested they take some fruit for the road from the orchard.

During the day, he prepared a quiche with Iberian ham and truffles, followed by duck in sauce with vegetable timbales and a few chips (courgette chips, carrot chips, potato chips).

Around 5pm, the libertine tourists returned with smiley smiles on their lips. They'd obviously enjoyed their visit. Shower and pool + watery naughtiness was their programme for the evening until the meal served at 9pm.

During the 13-euro meal in the restaurant, which included an aperitif and appetisers, our libertines shared their impressions before taking the usual questions from customers.

Here's a quick summary so as not to bore you:

- What made you decide to come and live in Spain?

- Macronia, France going to hell, the country's finances, safety and friendliness.

- You must see some funny things?

- Yes, but the main thing is that the customers have fun, we don't care about the rest. The most amusing are the single people who come to do self-bondage or solitary games. At first they're shy, but only at first if you know what I mean.

AND THEN, in the middle of the discussion, this time in the presence of Marc's wife, Martine asks in front of everyone if it's true that they agree to keep the keys to the gentlemen's chastity cages? Suffice it to say that Paul noshed on his plate of cheese, which was also included on the menu! (The last point isn't important, but it was important to me...)

When Marc and his wife said yes, Martine gave them a set of keys. It goes without saying that during the meal, Lucie and Franck had fun at the expense of the future chaste holidaymaker.

Readers should be aware that in this naughty world, between them, the girls can be real bitches, and can even become demonic when it comes to tormenting a man. Women really can be worse than men in these matters.

As mentioned earlier in the text, Paul's wife is sometimes domineering under the duvet. Oh nothing BDSM, let's just say that she likes to manage things and that her darling does what she wants as she wants. In their relationship, the chastity cage isn't really a domination accessory and Paul never wears it for very long. Martine imposes it on him when she's having her period and, above all, when she wants him to spend a lot of time with her, grazing her pussy for hours on end, for example. She has threatened to put it on him when they go to a sex club, but has never actually done it.

Urged on by Lucie, who wants to play with it and have fun with it, and then by Franck, who is delighted to imagine spending evenings with two women all to himself, the threat of chastity persists. So much so that after dinner, when they go to the dungeon to explore the accessories and shackles in more detail, the so-called chastity cage finds its way onto Paul's sex. A few minutes later, he found himself shackled naked and caged on the cross of Saint Andrew. The girls light him up and have a great time. They go so far as to kneel down and lick his balls, caress him, nibble his nipples or devour him with kisses, all the while playing with his penis trapped in the cage tube. Poor Paul, whose penis is suffering from the housing crisis, can't even caress the furies that have become gluttonous, or rather, birds of prey.

For his part, Franck moved a magic wand massager closer to the four-poster bed and then a dildo. Lying on the bed, he comments on Paul's psychological "sufferings" while stroking his fully erect penis. Judging that it was time to move on to cuddling, they join Franck to cuddle and take care of the only free and available penis. The caged man, shackled to the cross, can only watch their lovemaking.

Driven by a certain perversity, after an hour of cuddling in all directions, Lucie suggests putting Paul under the pierced chair so that he can see afterwards that they've "had a good time". Franck was given the task of restraining him under the commode, which was presented as a toilet, while the girls had an anthology 69 on the bed in the LOVE bedroom.   

A tongue is good, a beautiful penis in great shape is better, agreed the two girls, unable to satisfy themselves. Franck had to make superhuman efforts that evening not to cum too quickly, which would have meant a short break before he was back in 'useful' shape for the man-eaters. Under his pierced chair and with the toilet flap closed, Paul could only hear and endure. He doesn't mind this little game, he likes to be pushed around a bit from time to time. So his cuckold fantasies are fully satisfied.

Wishing to vary the pleasures a little, having never tried the pierced chair or the "toilet Salve", Lucie takes the initiative of leaving the bed ravaged by their lovemaking to sit down and entrust the grooming of her kitten to Paul's tongue. With the scent of love, Paul soon realised that the game was hot, before his tongue confirmed it. Lucie, as vicious as ever, also gives him her anus to lick, digging her claws into the nipples just beneath her fingers. For their part, Franck and his wife continue the fantastic ride to its conclusion. At their screams, Paul imagines that he will soon be released, which is a mistake.

Indeed, a few moments later, and surely in the spirit of sharing, Martine stood up, spooning her hand under her kitten so as not to lose any of the good man juice she intended to share with her husband. Understanding her friend's plan, Lucie gives up her place on the commode and Paul sees his wife's rear end arrive. As he balked, Lucie put her foot on the chastity cage and began to crush his precious ones to motivate him to lap up the precious liquid she regularly drank.

"Don't complain, he could have sodomised me and, normally, you like to make me swallow your man juice, so you can enjoy it too," Martine shouts at him, in the full throes of her budding domination. Restrained and manhandled, Paul has no choice but to comply. So he licks his wife's drooling sex with a slight lack of motivation compensated by a perverse foot.

As they leave the dungeon, the pool lights act like a magnet. Our libertines are sated (except for one) and tempted to go skinny-dipping. Paul is sent to the gîte to collect the towels. While he's away, the girls plot and come up with the idea of putting Paul in the pillory and having his friend Franck blow him up.

Before going to bed, Paul asks his wife to remove the chastity cage. But unfortunately for him, Marc and his wife have the keys. Waking them up for this isn't a good idea at all!

The next day, before setting off to visit Zaragoza, as perverse as ever, Lucie asks Marc to prepare an Espace game for them. His idea was for one of them to fall prey to a predator. She gets excited just thinking about it. Martine gave in to her darling's pleas and removed the chastity cage, but secretly entrusted the keys back to Marc.  

On the way back from a day in Zaragoza, our libertines take a few erotic Urbex-style photos in a disused hotel. When they arrive at the gîte, it's decided to draw lots to see which of the girls will fall prey to the Espace game. Marc is called in to help, and comes to fit Lucie with some restraints. He advised her to wear socks so as not to hurt her pretty ankles before chaining them so that she couldn't run. Using another chain and a padlock, he linked the handcuffs to her ankles before handing her an envelope with the clues.

Naked and thus chained, the prisoner, now game, leaves the dungeon 15 minutes early. Paul and Franck enjoy a good beer with Martine as the alarm supervisor on the mobile.

For her part, Lucie is relishing the fact that she is naked in the wilderness, tied up in shackles, and that she is the game. It amuses her as much as it excites her. At the same time, she'd like to win and find the keys so that she can decide how the evening's lovemaking will go. On Marc's advice, the hunters leave with a towel over their shoulder to protect their prey from being eaten on the spot. After all, a minimum of hygiene and comfort can't hurt when you're being "raped" by sex-hungry hunters. 

Lucie has created a large part of the game space when the hunters set off to hunt the "female". Martine follows them at a distance, walking normally, unlike the men who are determined to win the game. One of them is on the upper part of the field, the other on the lower part like a rabbit. Walking between the trees in the orchard, Paul had less visibility than Franck, who was more on the "plain". Having seen them coming, Lucie hid between the vines between the lower and upper parts of the field. Unfortunately (or fortunately) for her, Franck spotted her.

Our two hunters converge on the game, trying to flee in small steps towards what she thinks is the place where the keys to her fetters are. Caught by Paul's arm, she can do nothing to escape and watches as Franck installs the towels. Forced under threat to be handed over to Marc for a whipping session, she has no choice but to perform oral sex on the hunters before being pinned to the floor. Paul pulls his wife's legs up so that she can no longer escape his friend's hard-on.

Excited by the game, the savage's penetration of a mini "swamp" is just a formality. Lucie is having a great time being the victim, being fucked like this in the open air. It's thanks to her cries of pleasure that Martine easily finds them. Secretly she likes to imagine being in her place. So much so that she sits on her prey's face to have her pussy eaten, her legs trembling. If she can't get fucked, at least she can get grazed. 

- Fuck that slut, my love, all her orifices have to be used! Martine orders her husband once Franck has finished his business.

Between Martine's legs you can hear the word "slut" being shouted, but the rest is quickly muffled by a well soaked pussy. So Paul wets the little orifice with saliva and taps it without moderation once it's been "perforated". As he hasn't had an orgasm for 48 hours, it's fair to say he's motivated. No matter how hard 'poor' Lucie tried to evade her captors and Paul's Priape, taking the pastille, bastille pardon, went off without a hitch. And for good reason, Lucie likes to be caught out this way. After a while, the birds are surprised that a victim can utter such cries of pleasure. It's sure to be a topic of discussion when they get back to the nest. 

After collecting the keys, our libertines quietly return to their nest. The first trees in the orchard are treated to a kind of human bio-fertiliser on the way back. A shower and a dip in the pool are just as beneficial.

 ....................

As you know, two girls always agree to say bad things about a third, but that doesn't mean they spare each other. So Lucie has decided to take 'revenge' on Martine for calling her a slut before having her fucked in turn. For the reader's information, these very real acts of revenge are nonetheless very friendly in these games.

 On Fessestivites, Lucie saw a bondage performed by Marc for a couple. The man, tied up like a dog, is suspended under the winch in the dungeon. In the video, Marc shows that once suspended, the person can be used by both ends of his digestive tract by rotating it. The next day, she managed to get hold of him to ask him if he could, under the pretext of a shibari class, perform this bondage on her friend. Asking him to help out with the class and to share one of his passions was no small thing.

It was 5pm when they returned from a walk in the Bardenas Reales desert. She had told her friends about her request for a shibari lesson, specifying that Martine would be her volunteer model. Although Martine sensed that there was trouble brewing, she wasn't worried - there was never any real malice between them.

At around 5.30pm, Marc joined them to show them how to do a quick bondage "in doggy mode". He got them to help him by asking them to do the same to Martine naked and on all fours in the dungeon. It's true that four of you on all fours is quicker than when there's only one shibarist. He then added a few ropes and asked Lucie to take "the bitch" down to the winch, which he lowered. That's when Martine realises that she's going to be suspended and that her friend has tricked her.

Marc quickly puts the finishing touches to his shibari and starts to lift Martine up using the winch. He asks her regularly if she's all right, if she's in any pain, so that he can adjust a few ropes.

- So I'll leave you in peace, but first I need to give you some basic advice. You need to check that the s a n g is circulating well at the ends of her limbs, then if she's not doing well, just lowering her back down and laying her on the ground should solve the problem. My suspension knots aren't really knots, you just have to pull here and here to undo them. Then all you have to do is slide my ropes over her limbs after undoing the central loops. So it can go very quickly. Please don't make it turn on itself more than one turn so as not to wind up the winch cables. Have fun. Marc tells them before leaving.

- Bitch, you planned ahead and plotted with Marc! Martine shouts. 

 - Me scheming? Never! Besides, I've got a little surprise for you. Look at that beautiful bitch's tail, I'm sure you'd like to have it up your bum! Lucie replies with a perverse smile on her lips.

With undisguised pleasure, she wets the rosebud of the dungeon bitch's cock before pressing it against the delicate little orifice used to bigger things. Thus equipped, Martine looks like a dog being groomed, as Paul is quick to point out with amusement, and the state of his penis makes no secret of his intentions.

Our two companions adjust the height of the "bitch" to take advantage of both sides of her anatomy. Franck had his dick sucked while Paul, positioned behind her, penetrated her with undisguised pleasure. With a gentle rocking motion, Lucie had fun having her alternately taken and sucked before installing the Mistress chair under her friend. As she sits, she can grab her nipples to keep the rocking going.

After grumbling the bare minimum, Martine discovers that being caught suspended like that is exhilarating in both senses of the word. By spinning her around, Lucie allowed the two men to alternate "orifices". The game amuses her for a while, but she has every intention of "finishing off" her friend. So she leaves her position as a perverted voyeur to go and find a magic wand to put on the clitoris, also known as the button of feminine pleasures. And it's precisely maximum pleasure that she wants to give her friend. There are worse ways of taking revenge!

After a number of orgasms, Martine begs for mercy. Quickly lowered and freed, she lies down on the Mistress's armchair to recover from all those pleasurable sensations and orgasms. Not yet having had any pleasure other than cerebral, Lucie lay down on the bed in the LOVE room to claim her due, something that the two men "devoted" themselves to giving her. Truly exhausted, Martine falls asleep during the festivities. (No, there's no connection with the super site Fessestivites) 

The week's holiday for our libertines goes by at breathtaking speed. Between sightseeing during the day, swimming in the pool and sexual jousting in the evening, the hours seem to have become minutes. So much so that to make the most of it, they only order the evening meals at 9.50 euros so as not to waste time shopping and cooking.

On Friday, Marc reminded Paul, a smoker, of the principle of Eco-tourism, telling him that at 5.30 a packet of cigarettes, it would be worthwhile taking a few cartons. Paul was worried about being inspected and fined by French customs officers, but the principle of Eco-tourism appealed to him greatly. They went to the village tobacconist's where Paul bought 6 cartons that the customs officers would not see. On their return, with Malicia's help, they made a shipping box like the ones in the ABCplaisir shop. Paul set up a Mondial Relais account and paid for his cartons of cigarettes to be sent. His parcel wasn't sent until Monday, which gave them plenty of time to get back to France and pick up 2 more cartons before the border. In total, Paul saved nearly 300 euros, which paid for a large part of their holiday!

While he was trying to save money, the girls were plotting to give Paul a 20 x 5 surprise. So the pillory was taken out of the dungeon and set up by the pool. When he arrives, the Confessors undress him and lock him in the pillory. Franck is invited to take an active part in his friend's sodomy. If he wasn't very motivated, when two gluttonous furies go down on a man after putting a cock ring on him and making promises of "thanks", he has no trouble getting an erection in front of a man's bottom.

Not yet aware that he had been condemned to the ordeal of the Pal, poor Paul only understood the girls' intentions when, held by the tail, Franck was led behind him. His little arse was well lubricated despite his refutations. Having already experienced the strap-on dildo, he was about to get a taste of a nice 20 x 5 cock.

To help him accept the "Pal" more easily, Lucie went under Paul to suck him a little while Martine guided Franck's cock into the delicate orifice in panic. With the help of big kisses and targeted caresses, Franck's penis maintained its perforating "motivation". 

Paul couldn't really get out of the way as the girls were so motivated and motivating^^^. Once he'd got his trousers on and had a bit of a "sweep", he began to enjoy it. It was only then that Lucie abandoned the fellatio of the "condemned" to witness the spectacle of one man being sodomised by another. This aroused her even more than talking about it and seeing it on the net. She had no choice but to caress herself without any modesty before taking Martine by the hand to accompany her in the pleasure.

Franck loved watching girls 'dick' themselves, so he was able to 'masturbate' with something other than his hand. To put it plainly, he no longer needed psychological support to continue fucking his friend. He even found that a man's arse was as pleasurable as a woman's, but kept this remark to himself. So much so that the birds went wild as they witnessed this noisy debauchery that the pool will always remember.

Franck was greatly thanked for his performance, and Paul was put in a chastity cage before being released from the pillory. Naked and caged, he was led in shame to Marc and Malicia to finish paying for the week's holiday. What he didn't know was that Martine had got the keys to his chastity cage. And yes, the girls had been plotting again. They led him to believe that Marc had put them in the cigarette parcel.

After the evening meal at the gîte, they only made a short visit to the dungeon, the result of tiredness from sightseeing and their adventures. This gave everyone a chance to try out a few accessories, but these were just little games. 

  The next day, they set off again, promising to return.

END

 TSM

 - If Marc really exists

- If the fetish bed and breakfast really exists

- If it is possible to experience this type of adventure at the fetishist gîte

- This story is completely fictional. Its aim is to give you an example of what it's possible to experience at the gîte fétichistes.

Visit the Gîte Fetichistes website by clicking HERE

 

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