Le donjon et les installations du gîte fétichistes donnent aux libertins des envies de BDSM sexuel
Ces deux couples libertins se connaissent depuis des années.
Ultra complices et en totale confiance, entre eux, ils pratiquent sans
préservatif. Ce n’est pas la première fois qu’ils partagent des vacances,
l’année précédente c’était au Cap dAgde mais comme les prix explosent et que
tout devient payant, agacés ils ont décidé de changer de destination.
Dès leur arrivée, ils sont agréablement surpris par
l’accueil malgré l’heure tardive. Une présentation rapide des lieux puis du
donjon et de l’appartement leur est faite. Sur la table du salon ils trouvent
avec le code wifi et le classeur des conseils d’usage, une rose pour chacune
des femmes ainsi que le classeur des vraies bonnes mauvaises idées.
Ils constatent que les repas commandés à 9,50 euros sont
bien au réfrigérateur, qu’une baguette de pain est posée sur la cuisinière. La
climatisation est également allumée et les lits sont prêts. Marc leur indique
que les papiers et la suite de la visite se feront le lendemain quand ils se
seront reposés.
Nos amis libertins prennent une douche salvatrice avant de
se jeter sur le repas. Entre l’entrée et le plat se réchauffant au micro-onde,
Paul commente en rigolant ce qu’il a découvert dans le classeur des Vraies
Bonnes Mauvaises idées.
- C’est complètement fou cette ouverture d’esprit qu’ils ont
ici. Dans le classeur, il y a quasiment des idées et scénarios pour tous les
fétichismes ou presque. J’ai bien aimé l’idée de la chasse à la soumise.
Franck, je te propose que demain nous lâchions une de nos femelles sur la
propriété, le premier qui la trouve se la saute sur place. Qu’en penses-tu ?
Avant même que Franck ait le temps de répondre, les filles
s’insurgent, elles ne sont pas des femelles, encore moins du gibier ! Même si
elles savent pertinemment qu’il plaisantait et ne leur manquait pas de respect,
elles le menacent de représailles.
- Chéri, j’ai lu sur le site du gîte qu’ils peuvent garder
les clés des cages de chasteté, j’ai bien envie de te mettre sous cage de
chasteté et de leur confier les tiennent ! Menace Martine l’épouse de Paul.
- Je ne l’ai pas emmenée ! Répond Paul au tac au tac.
- Moi si ! Lui répond Martine.
Lucie provocatrice dans l’âme surenchérit et déclare qu’être
traitée de gibier l’a profondément blessée. Excitée depuis leur arrivée, elle
propose d’aller visiter le donjon en détail puis de mettre Paul sur la croix de
Saint André pendant qu’ils s’amusent tous les trois dans la chambre LOVE.
Ce soir là, après les heures de route, hormis un bain
naturiste dans la piscine, ils font qu’un petit tour dans le donjon où ils
s’excitent à l’avance.
- J’adore ce lieu et tout ce matériel, je sens que l’on va s’éclater
mon amour ! Déclare Paul à sa femme parfois dominatrice sous la couette.
- Martine, j’ai comme l’impression qu’il est en demande ton
chéri, on le fait dormir dans le lit cage ? Demande Lucie. Comme ça, il n’y
aura pas besoin de chasser, on l’aura déjà sous la main.
- On va peut-être attendre demain, mais l’idée me plait
bien. Il a intérêt à être sage et gentil avec celle qui pourrait bien devenir
une sévère domina…. ! Réponde Martine amusée.
Après quelques bisous de principe, nos libertins ne tardent
pas à se coucher dans les deux lits king size superposés. Réveillé au chant des
oiseaux, Paul est le premier à se lever. Il sort discrètement du gîte sans trop
ouvrir la porte pour que le soleil ne réveille pas tout le monde. C’est avec la
trique encore au garde-à-vous qu’il retourne au donjon après avoir « « levé la
patte » » aux pieds des arbres. Rapidement excité par les lieux et le matériel,
ce n’est pas l’envie qui lui manque de diminuer la « pression » intracrânienne.
CAD l’envie de jouer avec ce qui sert à ??? Vous avez deviné ? Bon, je continue
le récit !
Il revient donc « sagement » au gîte pour préparer la
tournée générale de café. Pendant qu’il coule, il va installer les bols et de
quoi grignoter sur la terrasse. A son retour, les coquins commencent à bouger
et prennent leur ticket, comme à la sécu, pour passer à la salle de bain
faisant également office de lieu dédié au dépôt de bilan. (Les toil…)
Lorsque Marc les aperçoit en se rendant au potager dans une
tenu ultra fétichiste, baskets trouées, chaussettes usées et short même pas
assorti au tee-shirt vintage, il leur fait un coucou de la main avant de
poursuivre son chemin. Hélé par les filles à moitié nue et les hommes à poil,
il vient donc discuter avec eux en les regardant comme si ils étaient vêtus de
tenue de sport. CAD il n’en avait rien à faire de leur nudité.
La discussion porte dans un premier temps sur les lieux à
visiter, les choses pratiques comme le tabac et les courses alimentaires. (A
croire que le classeur posé sur la table du gîte avec toutes ces infos ne sert
à rien MDR) A la suite de quoi, la discussion porte sur les installations et
sur les propositions de jeux possibles en extérieur. Que n’avaient-ils pas fait
là que d’entraîner Marc sur ce sujet ? ? ?
Vingt minutes plus tard, il n’y avait pas que les yeux des
filles qui brillaient du feu du désir, feu animé par un vent de perversité
force 8. Chasse à la soumise ou au soumis ont été abordé tout comme la
possibilité d’installer le banc à fessée dehors pour autre chose que les
punitions. Il leur explique qu’il est possible de planter 4 pieux dans le gazon
pour entraver une fille ou un homme bras et jambes écartés et fesses en l’air,
d’utiliser le hamac de la piscine comme un sling, de faire un ou des Espaces
game coquin, de faire …..
Paul demanda alors à Marc de terminer la visite sommaire du
donjon, faite rapidement la veille, pour leur laisser le temps de se reposer.
Autant demander à un fétichiste passionné de vous commenter non pas son mais
SES fétichismes. Etant ultra ouvert d’esprit, à chaque matériel ou exemple
donné, Marc indiquait que cela est utilisable autant pour homme que pour femme.
Etant toujours nu, Paul ne put cacher que les explications ne le laissaient pas
de marbre.
Pour ne gêner personne et comme il y avait beaucoup de vent,
Marc leur conseilla d’aller visiter le célèbre Monasterio de Piedra (Monastère
de Pierre) qui est justement bien abrité du vent. Il précisa que le parc
méritait le détour mais qu’il est à faire avec de bonnes chaussures. Après ces
explications moins érotiques, le bas ventre de Paul se remit au repos.
Ils commandèrent avant de partir « touristiser » le repas du
soir mais cette fois dans la salle de restauration. Marc leur proposa de venir
choisir dans son potager les légumes bios du repas qu’il leur préparerait.
Etonnées, les filles apprécièrent tout comme le fait qu’il leur propose de
prendre quelques fruits pour la route dans le verger.
Pendant la journée, il leur prépara une quiche au jambon
Ibérique et aux truffes puis du canard en sauce avec des timbales de légumes et
quelques frittes. (Frittes de courgettes, frittes de carottes, frittes de
pommes de terre).
Vers 17 heures, les touristes libertins rentrèrent avec le
sourire smiley posé sur les lèvres. A priori la visite leur avait plus. Douche
et piscine + coquineries aquatiques fut leur programme de la soirée en
attendant le repas servi à 21 heures.
Pendant le repas à 13 euros pris en salle de restauration,
avec le menu comprenant l’apéro et les amuses bouches, nos libertins contèrent
leurs impressions avant de passer aux questions habituelles posées par les
clients.
Résumé rapide pour ne pas vous ennuyer :
- Qu’est-ce qui vous a incité à venir vivre en Espagne ?
- La macronie, la France qui par en C…, les finances, la
sécurité et la convivialité du pays.
- Vous devez en voir des drôles ?
- Oui, mais le principal est que les clients s’amusent, le
reste on s’en moque. Le plus amusant ce sont les célibataires qui viennent
faire du selfbondage ou des jeux solitaires. Au début ils sont timides, mais
juste au début si vous voyez ce que je veux dire.
ET LA, au milieu de la discussion cette fois en présence de
l’épouse de Marc, Martine demande devant tout le monde si c’est vrai qu’ils
acceptent de garder les clés des cages de chasteté des messieurs ? Autant dire
que Paul piqua du nez dans son assiette de fromage inclus également dans le
menu ! (Le dernier point n’est pas important mais j’y tenais alors…)
Devant la réponse positive de Marc et son épouse, Martine leur
confia un jeu de clé. Autant dire que pendant le repas, Lucie et Franck
s’amusèrent aux dépens du futur et chaste vacancier.
Le lecteur doit savoir que dans ce monde de coquins, entre
elles, les filles peuvent être de sacrées chipies et même devenir démoniaques
pour martyriser un homme. Les femmes peuvent réellement être pire que les
hommes en ces domaines.
Comme indiqué précédemment dans le texte, la femme de Paul
parfois est dominatrice sous la couette. Oh rien de BDSM, disons qu’elle aime
bien gérer et que son chéri fasse ce qu’elle a envie comme elle a envie. Dans
leur couple, la cage de chasteté n’est pas vraiment un accessoire de domination
et Paul ne la porte jamais très longtemps. Martine la lui impose lorsque elle a
ses règles et surtout, lorsqu’elle a envie qu’il s’occupe beaucoup d’elle en
lui broutant le minou pendant des heures par exemple. Elle l’a bien menacé de
la lui mettre lorsqu’ils vont en club libertin mais n’est jamais passée à
l’acte.
Poussée par Lucie désireuse d’en jouer, de s’en amuser, puis
par Franck, ravi de s’imaginer passer des soirées avec deux femmes pour lui
tout seul, la menace de chasteté perdure. Si bien qu’après le dîner, lorsqu’ils
vont au donjon pour explorer plus en détail les accessoires et carcans, la dite
cage de chasteté trouve sa place sur le sexe de Paul. Quelques minutes plus
tard, il se retrouve entravé nu et encagé sur la croix de Saint André. Les
filles l’allument un max et s’en amusent. Elles poussent le vice jusqu’à
s’agenouiller pour lui lécher les couilles, le caresser, lui grignoter les
tétons ou le dévorer de bisous, le tout en jouant avec sa verge prisonnière
dans le tube de la cage. Le pauvre Paul, donc la verge subit la crise du
logement, ne peut même pas caresser les furies devenues gloutonnes, que dis-je,
des rapaces.
De son côté, Franck a rapproché un magic wand massager du
lit baldaquin puis un gode. Allongé sur le lit, il commente les « souffrances »
psychologique de Paul tout en caressant sa verge en pleine forme. Jugeant qu’il
était temps de passer aux câlins, elles rejoignent Franck pour câliner et
s’occuper de la seule verge libre et disponible. L’encagé entravé sur la croix
ne peut qu’assister à leurs ébats.
Animée par une certaine perversité, au bout d’une heure de
câlins en tout sens, Lucie propose d’installer Paul sous la chaise percée afin
qu’il puisse constater, après coup, qu’elles se sont « bien amusées ». C’est
Franck qui est chargé de l’entraver sous la chaise percée présentée comme des
toilettes pendant que les filles se font un 69 d’anthologie sur le lit de la
chambre LOVE.
Un langue c’est bien, une belle verge en pleine forme c’est
mieux s’accordèrent à dire les deux filles ne parvenant pas à se rassasier.
Franck du faire des efforts surhumains ce soir là pour ne pas jouir trop vite,
ce qui lui aurait imposé une petite pause avant de retrouver un forme « utile »
pour les mangeuses d’homme. Sous sa chaise percée et avec l’abatant des WC
fermé, Paul ne peut qu’entendre et subir. Ce petit jeu ne lui déplait pas, il
aime bien être un peu bousculé de temps en temps. Là, ses fantasmes de cuckold
sont donc pleinement satisfaits.
Désireuse de varier un peu les plaisirs, n’ayant jamais
testé la chaise percée ni le « toilet Salve » Lucie prend l’initiative que
quitter le lit ravagé par leurs ébats pour aller s’asseoir et confier la
toilette de son chaton à la langue de Paul. Aux fragrances de l’amour, ce
dernier ne tarde pas à constater que la partie était chaude, avant que sa
langue le lui confirme. Vicieuse comme pas deux, Lucie lui confie aussi son
anus à lécher en plantant ses griffes dans les tétons se trouvant juste sous
ses doigts. De leur côté, Franck et son épouse pratiquent la chevauchée
fantastique jusqu’à sa conclusion. A leurs cris, Paul imagine qu’il sera
bientôt libéré ce qui est une erreur.
En effet, quelques instants plus tard, et sûrement dans un
esprit de partage, Martine se lève en mettant sa main en cuillère sous son
chaton afin de ne pas perdre du bon jus d’homme qu’elle compte bien partager
avec son mari. Comprenant le projet de son amie, Lucie cède sa place sur la
chaise percée et Paul voit arriver l’arrière train de son épouse. Alors qu’il
rechigne, Lucie pose son pied sur la cage de chasteté et commence à lui écraser
les précieuses pour le motiver à laper le précieux liquide qu’elle boit
régulièrement.
« Ne te plaint pas, il aurait pu me sodomiser et puis, en
temps normal, tu aimes bien me faire avaler ton jus d’homme, tu peux donc le
savourer à ton tour » lui crie Martine en plein délire de domina en herbe.
Entravé et malmené, Paul n’a pas d’autres choix que de s’exécuter. Il lèche
donc le sexe baveux de sa femme avec un léger manque de motivation compensé par
un pied de perverse.
En sortant du donjon, l’éclairage de la piscine leur fait
l’effet d’un aimant. Nos libertins rassasiés (sauf un) sont tentés par un bain
de minuit. Paul est envoyé au gîte pour aller récupérer les serviettes. Pendant
son absence les filles complotent et mûrissent l’idée de mettre Paul dans le
pilori et de le faire sauter par son ami Franck.
Avant de se coucher, Paul demande à sa femme de lui retirer
la cage de chasteté. Mais hélas pour lui, c’est Marc et son épouse qui ont les
clés. Les réveiller pour ça n’est pas une bonne idée du tout !
Le lendemain, avant de partir visiter Saragosse, toujours
aussi perverse, Lucie demande à Marc de leur préparer un Espace game. Son idée
est que l’une d’elle devienne la proie d’un prédateur. Rien que d’y penser elle
s’excite. Martine a cédé aux suppliques de son chéri et lui a retiré la cage de
chasteté mais en confiant secrètement à nouveau les clés à Marc.
Sur le chemin du retour après une journée à Saragosse, nos
libertins font quelques photos érotiques en mode Urbex dans un hôtel
désaffecté. Arrivé au gîte, il est décidé de tirer au sort, pour savoir
laquelle des filles sera la proie de l’Espace game. Appelé en renfort, Marc
vient donc équiper Lucie de quelques entraves. Il lui conseille de mettre des
chaussettes pour ne pas blesser ses jolies chevilles avant de les enchaîner de
façon à ce qu’elle ne puisse pas courir. A l’aide d’une autre chaîne et d’un
cadenas, il relie les menottes aux chevilles avant de lui donner une enveloppe
avec les indices.
Nue et ainsi enchaînée, la prisonnière devenant gibier
quitte le donjon avec 15 minutes d’avance. Paul et Franck savourent une bonne
bière en compagnie de Martine comme surveillante de l’alarme mise sur le
mobile.
De son côté, Lucie savoure le fait d’évoluer nue dans la
nature avec des entraves puis d’être le gibier. Cela l’amuse autant que cela
l’excite. En même temps, elle aimerait bien gagner et trouver les clés afin que
ce soit elle qui décide comment s’orienteront les amours du soir. Sur les
conseils de Marc, les chasseurs partent avec une serviette sur l’épaule afin de
protéger leur proie à consommer sur place. En effet, un minimum d’hygiène et de
confort ne peut pas nuire quand on se fait « violer » par des chasseurs
assoiffés de sexe.
Lucie a réalisé une grande partie de l’espace game lorsque
les chasseurs partent chasser la « femelle ». Martine les suit de loin en
marchant normalement contrairement aux hommes bien décidés à gagner la partie.
L’un des deux est sur la partie haute du terrain, l’autre sur la partie basse
comme un rabatteur. Evoluant entre les arbres du verger, Paul a moins de
visibilité contrairement à Franck qui est plus dans la « plaine ». En les ayant
vu arriver, Lucie se cache entre les vignes située entre la partie basse et
haute du terrain. Hélas (ou tant mieux) pour elle Franck l’a aperçue.
Nos deux chasseurs convergent vers le gibier tentant de fuir
à petits pas vers ce qu’elle pense être le lieu où se trouvent les clés de ses
entraves. Attrapée à bras le corps par Paul, elle ne peut rien faire pour
s’échapper et regarde Franck installer les serviettes de bain. Obligée sous la
menace d’être confiée à Marc pour une séance de fouet, elle n’a pas d’autres
choix que de faire des fellations aux chasseurs avant d’être plaquée au sol.
Paul relève les jambes de sa femme afin qu’elle ne puisse plus échapper à la
belle trique de son ami.
Etant excitée par le jeu, la pénétration du sauvage dans un
mini « marécage » n’est qu’une formalité. Lucie s’éclate à être la victime, à
être ainsi défoncée en plein air. C’est grâce à ses cris de plaisir que Martine
les retrouve facilement. Secrètement elle se plait à imaginer être à sa place.
Si bien qu’elle prend place sur le visage de la proie pour se faire bouffer la
chatte en tenant les jambes agitées de tremblements. A défaut de se faire
sauter, elle peut au moins se faire brouter.
- Encule cette salope mon amour, il faut que tous ses
orifices soient utilisés ! Ordonne Martine à son mari une fois que Franck a
terminé son affaire.
Entre les jambes de Martine on peut entendre crier le mot «
salope », la suite est rapidement étouffé par une chatte bien trempée. Paul
mouille donc de salive le petit orifice à tarauder sans modération une fois «
perforé ». Comme il n’a pas joui depuis 48 heures, autant dire qu’il est
motivé. La « pauvre » Lucie a beau essayer de se soustraire à ses ravisseurs et
au Priape de Paul, la prise de la pastille, bastille pardon se fait sans trop
de soucis. Et pour cause, Lucie aime bien se faire prendre par là. Au bout d’un
petit moment, les oiseaux s’étonnent qu’une victime pousse de tels cris de plaisir.
Cela leur fera sûrement un sujet de discussion une fois rentrée au nid.
Après avoir récupéré les clés, nos libertins reviennent
tranquillement à leur gîte. Les premiers arbres du verger bénéficient d’une
sorte d’engrais bio humain sur le chemin du retour. La douche leur est
salutaire tout comme le bain dans la piscine.
………………..
Comme vous le savez, deux filles sont toujours d’accords
pour dire du mal d’une troisième mais entre elles, elles ne s’épargnent pas
pour autant. Lucie a donc décidé de se « venger » de Martine l’ayant traitée de
salope avant de la faire enculer à son tour. Je précise pour le lecteur, que
ces vengeances bien réelles sont malgré tout très amicales dans ces jeux.
Sur Fessestivites, Lucie a pu voir un bondage réalisé par
Marc pour un couple. L’homme attaché comme un chien est suspendu sous le treuil
dans le donjon. Dans la vidéo, Marc fait voir qu’une fois suspendue, la
personne peut être utilisée par les deux extrémités de son tube digestif en le
faisant tourner. Le lendemain, elle s’arrange pour l’interpeller pour lui
demander si il peut, sous prétexte d’un cours de shibari, réaliser ce bondage
sur son amie. Lui demander de donner un coup de pouce avec ce cours et de
partager une de ses passions n’était donc pas anodin.
Il est 17 heures lorsqu’ils reviennent d’une balade dans le
désert des Bardenas Reales. Elle a prévenu ses amis de sa demande de cours de
shibari tout en précisant que Martine serait son modèle déclaré volontaire. Si
cette dernière sent l’embrouille, elle n’est pas pour autant inquiète, entre
elles il n’y a jamais de réelle méchanceté.
Vers 17h30, Marc les rejoint donc pour leur faire voir
comment faire rapidement un bondage « en mode chien ». Il se fait aider en leur
demandant de faire la même chose que lui à Martine nue et à quatre pattes dans
le donjon. Il est vrai que à quatre pour les « pattes » cela va plus vite que
quand il n’y a qu’un seul shibariste. A la suite de quoi, il rajoute quelques
cordes puis demande à Lucie de faire avancer « la chienne » jusque sous le
treuil qu’il fait descendre. C’est là que Martine comprend qu’elle va vivre une
suspension et qu’elle s’est faite piéger par son amie.
Marc finalise rapidement son shibari et entreprend donc de
faire monter Martine à l’aide du treuil. Il lui demande régulièrement si cela
va, si elle a mal quelque part afin d’ajuster quelques cordes.
- Je vais donc vous laisser tranquilles mais avant il faut
que je vous donne les conseils de base. Vous devez vérifier que le s a n g
circule bien à l’extrémité de ses membres ensuite si elle ne va pas bien, rien
que le fait de la faire redescendre et poser sur le sol devrait résoudre le
problème. Mes nœuds de suspension n’en sont pas réellement, il suffit de tirer
ici et ici pour les défaire. Ensuite, il ne vous restera qu’à faire glisser mes
cordes sur ses membres après avoir défait les boucles centrales. Cela peut donc
aller très vite. Merci de ne pas lui faire tourner sur elle-même plus d’un tour
afin de ne pas enrouler les câbles du treuil. Bonne amusement à vous. Leur
indique Marc avant de quitter les lieux.
- Salope tu avais prévu ton coup à l’avance et comploté avec
Marc ! Crie Martine.
- Moi comploter ? Jamais voyons ! D’ailleurs j’ai une petite
surprise pour toi. Regarde cette belle queue de chienne, je suis sûre que tu as
envie de l’avoir dans les fesses ! Lui répond Lucie avec un sourire pervers
posé sur les lèvres.
Avec un plaisir non dissimulé, elle mouille le rosebud de la
queue de chienne du donjon avant de le presser contre le délicat petit orifice
habitué à du plus gros. Ainsi équipée, Martine ressemble à une chienne au
toilettage canin ne tarde pas à faire remarquer Paul amusé, et dont l’état de
sa verge ne cache pas ses intentions.
Nos deux compères ajustent la hauteur de la « chienne » afin
de profiter des deux côtés de son anatomie. Franck se fait sucer pendant que
Paul, placé derrière elle la pénètre avec un plaisir non dissimulé. D’un léger
balancement, Lucie s’amuse à la faire prendre et sucer en alternance avant
d’installer le fauteuil de Maîtresse sous son amie. Assise, elle peut à loisir
attraper ses tétons pour entretenir le balancement.
Après avoir râlé le minimum, syndical, Martine découvre que
se faire prendre ainsi suspendue est planant dans les deux sens du terme. En la
faisant tourner, Lucie permet aux deux hommes d’alterner les « orifices ». Ce
jeu l’amuse un moment mais elle a bien l’intention « d’achever » son amie. Elle
quitte donc sa place de perverse voyeuse pour aller chercher un magic wand à
poser sur le clitoris, appelé aussi bouton des plaisirs féminins. Et c’est
justement un maximum de plaisir qu’elle veut donner à son amie. Il y a quand
même pire comme vengeance nous en conviendrons !
Après un certain nombre d’orgasme, Martine demande grâce.
Rapidement descendue et libérée, elle s’allonge quasiment sur fauteuil de
Maîtresse pour se remettre de toutes ces agréables sensations et jouissances.
N’ayant pas encore pris du plaisir autre que cérébral Lucie s’allonge sur le
lit de la chambre LOVE pour réclamer son dû, chose que les deux hommes se «
dévouent » à lui donner. Réellement épuisée, Martine s’endort pendant les
festivités. (Nan, il n’y a aucun rapport avec le super site Fessestivites)
La semaine de vacances de nos libertins passe à une vitesse
époustouflante. Entre les sorties touristiques en journée, la piscine et les
joutes sexuelles le soir les heures semblent être devenues de minutes. Si bien
que pour en profiter le plus possible, ils ne commandent plus que les repas du
soir à 9,50 euros pour ne pas perdre de temps à aller faire les courses et
cuisiner.
Le vendredi, Marc rappelle à Paul qui est fumeur, le
principe de l’Eco-tourisme en lui disant qu’à 5,30 le paquet de cigarettes, il
serait intéressant d’en prendre quelques cartouches. Paul inquiétait d’être
contrôlé et verbalisé par les douaniers français, le principe de l'Eco tourisme
lui plait beaucoup. Ils se rendent au tabac du village où Paul achète 6
cartouches que les douaniers ne verront pas. A leur retour, aidé de Malicia,
ils font un carton d’expédition comme ceux de la boutique ABCplaisir, Paul se
crée un compte Mondial Relais et paye l’expédition de ses cartouches de
cigarettes. Son colis ne sera envoyé que le lundi, ce qui leur laisse largement
le temps de rentrer en France et de reprendre 2 autres cartouches avant la
frontière. Au total, Paul a économisé près de 300 euros, ce qui paye une grande
partie de leurs vacances !
Pendant qu’il cherchait à faire des économies, les filles
complotent un max pour faire une surprise de taille 20 X 5 à Paul. Le pilori
est donc sorti du donjon pour être installé près de la piscine. A son arrivé,
les inquisitrices ne dévêtissent pour le bloquer dans le pilori. Franck est
invité à participer activement à la sodomie de son ami. Si il n’était pas très
motivé, quand deux furies gloutonnes s’acharnent sur un homme après lui avoir
mis un cockring et fait des promesses de « remerciement » il n’a pas de souci
d’érection devant les fesses d’un homme.
N’étant pas encore informé qu’il a été condamné au supplice
du Pal, le pauvre Paul ne comprend les intentions des filles que lorsque, tenu
par la queue Franck est conduit derrière lui. Son petit cul fut bien lubrifié
malgré ses réfutations. Ayant déjà connu le gode ceinture, il allait donc
goûter à une belle queue de 20 X 5.
Pour l’aider à accepter plus facilement le « Pal », Lucie
passe sous Paul pour le sucer un peu pendant que Martine guide la queue de
Franck dans le délicat orifice affolée. A l’aide de gros bisous et de caresses
ciblées, la verge de Franck conserve sa « motivation » perforatrice.
Paul ne put réellement se soustraire tant les filles étaient
motivées et motivantes^^^. Une fois emmanché et un peu « ramoné » il commença à
apprécier. Ce n’est qu’à ce moment là que Lucie abandonna la fellation du «
condamné » pour assister au spectacle d’un homme sodomisé par un autre. Cela
l’excita encore plus que d’en avoir parlé et vu sur le net. Elle n’eut pas
d’autres choix que de se caresser sans aucune pudeur avant de prendre Martine
par la main pour l’accompagner dans le plaisir.
Adorant voir les filles se "gouiner", Franck put
se « masturber » autrement qu’avec sa main. En clair, il n’avait plus besoin
d’accompagnement psychologique pour continuer d’enculer son ami. Il trouva même
qu’un cul d’homme est aussi agréable qu’un cul de femme mais garda cette
remarque pour lui. Si bien que les oiseaux perdirent leur latin en assistant à
cette débauche bruyante que la piscine gardera en mémoire.
Franck fut grandement remercié pour sa prestation, et Paul
fut mis sous cage de chasteté avant d’être libéré du pilori. C’est donc nu et
encagé qu’il fut conduit tout honteux à Marc et Malicia pour finir de payer la
semaine de vacances. Ce qu’il ne savait pas, c’est que Martine avait récupéré
les clés de sa cage de chasteté. ET oui, les filles avaient encore comploté.
Elles lui firent croire que Marc les avait placées dans le colis des
cigarettes.
Après le repas du soir pris au gîte, ils ne firent qu’un
passage éclair au donjon, la fatigue du tourisme et leurs aventures en fut la
cause. Cela permis à chacun d’essayer quelques accessoires mais cela ne fut que
de simples petits jeux.
Le lendemain, ils reprirent la route en se promettant de revenir.
FIN
- Si Marc existe réellement
- Si le gîte fétichistes existe réellement
- Si il est possible de vivre ce type d’aventure au gîte
fétichistes
- Cette histoire est totalement fictive. Son but est de vous
donner un exemple de ce qu’il est possible de vivre au gîte fétichistes
Visiter le site du gîte
fétichistes en cliquant ICI
https://gitefetichistes.com