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dimanche 16 juin 2024

Vivre en femme la dysphorie du genre en vacances

 Un de nos clients a  réalisé son rêve et son fantasme de vivre habillé en femme. 

Le blabla, c'est bien, les photos c'est mieux pour vous permettre de voir qu'au gîte fétichistes vous pouvez vivre comme vous voulez ! 

 Il n'a pas été jugé, bien au contraire, nous l'avons même accompagné pour faire de l'urbex en femme.
















 Pour visiter le gîte et les installations sur Youtube, cliquez ICI

Le site du gîte fétichistes est ICI


Zentail spandex seconde peau ???

Zentail définit principalement un costume intégral de lycra venu du Japon il y a X années. 

Il recouvre la totalité du corps. Certains modèles disposent d'orifices pour les yeux et la bouche, d'autres n'ont aucun orifice. Il est possible de respirer à travers l'élasthanne* * L'élasthanne est parfois appelé Lycra, Spandex ou Fibre K, 

L'avantage des tenues en spandex porte sur son prix nettement moins élevé que le latex. A cela se rajoute que cette matière est plus élastique. (plus facile à enfiler) Ce n'est PAS mieux que le latex, c'est différent. 

 ASTUCES pour les hommes qui ne connaissent pas les sensations. - Vous pouvez acheter des collants féminins et les enfiler avant de vous caresser les jambes. Les sensations seront assez proches même si le spandex est plus épais.

- Vous pouvez aussi tester les tenues de cycliste, c'est aussi assez proche des sensations des tenues zentail. ..................

UN ADEPTE DU ZENTAIL AU GITE FETICHISTES

En tenue zentai sur le parcours santé privé du gîte fétichistes

 Pour visiter le gîte et les installations sur Youtube, cliquez ICI

Le site du gîte fétichistes est ICI

 

Urbex, Nurbex et photos fétichistes

Les urbexeur sont parfois des fétichistes ou de simples coquins adeptes de photos érotiques. 

L’urbex ou exploration urbaine, est une pratique consistant à visiter des lieux construits et abandonnés par l’homme ou inaccessibles au public, l’explorateur urbain étant communément désigné par le néologisme urbexeur. 

 Faire du NUrbex signifie associer l’Urbex et la nudité dans un but de photos artistiques ou coquines ou carrément fétichistes. Si vous prenez vos vacances au gîte fétichistes, vous serez conseillés pour les lieux où faire de l’Urbex ou du Nurbex dans de bonnes conditions de sécurité. 

Il pourra également vous être conseillé des lieux pour faire du naturisme sauvage et ou de la « Randonu » ou « Randonnue ». 

LE PLAISIR DES PHOTOS COQUINES en Urbex 

Si ces lieux font parfois frissonner, se vêtir de jolies tenues fétichistes ou porter simplement des sous-vêtements apporte une touche excitante liée à la fois aux lieux et à la peur d’être surpris. Certains fétichistes y pratiquent des bondages, de l’ABDL, du shibari, du BDSM et d’autres jeux érotiques avec des photos de nus ou de charme. A chacun ses plaisirs, cela ne se discute pas. 

ASTUCES ET PRUDENCE POUR LES FETICHISTES 

Commençons par la logique de prudence. Attention aux toitures délabrées, aux planchers fragiles, aux escaliers, aux débris sur le sol. Pour faire des photos coquines ou fétichistes, les astuces de bases sont les suivantes : 

- Prévoir un balai et de quoi faire un peu de ménage là où la dame s’allongera nue par exemple. N’hésitez pas à emmener vos accessoires fétichistes, les lieux peuvent vous donner des idées.... 

- Prévoir un éclairage sur batterie peut s’avérer très utile. 

- En semaine + en journée + en dehors des périodes de la chasse diminue fortement les risques d’être surpris en mauvaise posture lors d’une prise de vue. 

- Evitez de vous garer juste devant le lieux d’Urbex pour éviter d’attirer l’attention. (Ecrivez « En panne » sur un papier bien visible sur le pare-brise annonce aux voleurs que vous allez revenir et que la voiture est HS) 

QUELS SONT LES RISQUES 

Les amateurs d'exploration urbaine s'y aventurent parce qu'ils s'intéressent à l'histoire, pour prendre des photographies érotiques ou non ou juste pour le frisson de découvrir un lieu où personne ne va. Comme il est généralement interdit d'entrer dans les spots où l'on pratique l'urbex, l'activité est considérée comme illégale. 

Si vous taggez les murs, si vous emportez quelque chose et si vous cassez des portes ou autre pour entrer, vous pouvez être poursuivi au pénal. 

Si vous entrer dans ces lieux SANS rien dégrader pour faire des photos, juridiquement vous ne risquez pas grand chose ! 

Quelques lieux tout près du gîte fétichiste mais il y en a bien d’autres : 

Le village entier et l’église de Villanueva de Jalón (à 10 minutes du gîte) 

 
 

Deux hôtels abandonnés près de Morata de Jalón  (à 12 minutes du gîte)

 
 
 
 

Usine abandonnée à Morata de Jalón (5 minutes du gîte fétichistes)



POUR LE NATURISME ET VOS JEUX EN PLEIN AIR

Le parcours santé privé du gîte fétichistes, son parc et son verger sont les lieux 100% sécurisés. A zéro kilomètre !

 


Le premier désert sauvage et non gardé se situe à 45 minutes du gîte fétichistes tout comme la forêt qui le borde.

 


Certains chemins de randonnée se prêteront à vos envies les plus folles ou au randonu. Une forêt s’y prête à merveille à 12 minutes du gîte fétichistes. 

 Pour visiter le gîte et les installations sur Youtube, cliquez ICI

Le site du gîte fétichistes est ICI

 

 

 
 
 
 
 
 
 


 

mardi 20 juin 2023

Une lope gay au gîte fétichistes

 


 - Allo

- Oui bonjour, je vous appelle parce que j’ai quelques questions à propos de votre gîte.

- Mais je vous en prie, que désirez-vous savoir ?

- Je suis un peu gêné de vous poser ces questions mais j’aimerai savoir si vous acceptez les chiens humains et si cela est possible chez vous ?

- Ne soyez pas gêné, cela fait 40 ans que je suis dans le monde des rencontres fétichistes, il n’y a donc pas de sujet tabou avec nous. Chien humain dites-vous, en clair est-il possible de faire du pets-play ou dogtrainning au gîte ? Et bien la réponse est oui, sans aucun problème. Par contre, je vous conseille de prévoir des genouillères et coudières ou des gants car si certaines parties sont, disons carrossables, si vous vous éloignez un peu dans la propriété, ce sont des chemins ou sentiers avec des pierres.

- On peut vraiment se promener comme ça sur votre propriété ?

- Oui, sans aucun problème, rien ne nous gêne. Nous pourrons même, si vous le désirez, servir des repas en gamelle.

- C’est génial, et si on est gay, cela vous pose des problèmes si on joue en extérieur ?

- Toujours pas ! Il y a même du matériel qui se prête bien au fist et autre comme chaise percée, piloris. En fait, le matériel que vous voyez en photo sur le site peut être utilisé à votre convenance que vous soyez lesbienne, gay ou hétéros, on s’en moque.  

- J’ai encore une question ?

- Je vous en prie !
 
- Le gîte est limité à 4 personnes mais si on est 5 comment cela se passe ? Il faut qu’il y en ait un qui aille dormir à l’hôtel ?

- La limitation est due au fait que nous n’avons que deux grands lits et que, pour des raisons juridiques, nous ne pouvons accepter des tentes ou caravanes.

- Oui mais vous avez un lit spécial qui permet de faire dormir dessous ! Si je compte bien cela fait 5 places.

- Allons droit au but, vous désirez venir à 5 et me demandez si on peut s’arranger ?

- Oui c’est ça !

- A partir du moment où il y en a un de vous qui accepte de dormir ailleurs que dans un lit conventionnel, nous pourrions adapter le forfait de la location.

Après cet entretien téléphonique, Damien décide de réserver le gîte pour un week-end du mois de juillet. En réalité il est tout seul pour le moment. Son idée est d’offrir un week-end au gîte à deux Maîtres gays et d’être leur lope. Pendant deux mois, il s’acharne sur les forums et sites gays ainsi que sur Fessestivites et Abkingdom où parfois, il a croisé quelques ABDL intéressés par le BDSM.

Sur Fessestivites  il a trouvé un dom gay très pervers qui est d’accord pour l’accompagner au gîte et s’occuper de la lope. Pour être sûr de ne pas se faire planter, Maître Max lui a demandé une copie de la réservation puis à téléphoner au gîte. Ce dernier a confirmer qu’il y avait une réservation mais a refusé de dévoiler l’identité du locataire. Après une discussion, le gîte lui a simplement indiqué que la personne avait loué, à priori, pour un week-end BDSM gay. Malgré les autres demandes de renseignements, le gîte a respecté l’anonymat du client.

Pauvre Damien....

Pauvre Damien car lors des discussions téléphoniques, faîtes que d’une main, il lui a dévoilé ses fantasmes d’être chien et lope en version BDSM hard. Entre fantasmes et réalités il y a un grand pas. Après être allé le voir chez lui pour « tester » la lope et s’amuser un peu, assez connu dans le monde des rencontres, Maître Max n’a pas eu de mal à trouver dans son relationnel trois autres personnes branchées BDSM gay pour aller avec eux en Espagne. Parmi elles, il y a Master Paul et son ami Lucas qui est switch et Mamadou qui est blanc de peau mais surnommé ainsi pour la taille de son service trois pièces, toujours volontaire pour péter des rondelles.  

Bien que Damien ait proposé de tout payer, les invités participent aux frais de transport à bord d’un monospace loué pour la circonstance. Pendant le trajet pour aller de Lyon au gîte, le soumis aux anges continue de les allumer. L’excitation rend parfois dingue et fait oublier la prudence....

A peine descendus de la voiture, Maître Max prend les choses en main ou plutôt en laisse. Damien se retrouve à poil avec un collier autour du cou devant les propriétaires du gîte. Pendant le pot de bienvenue, pris en gamelle pour Damien, les discussions vont bon train. La laisse du chien est détachée pour qu’il aille décharger les bagages. Les invités constatent qu’effectivement, les « activités » sont quasiment sans limite au gîte. La femme du patron n’a pas été offusquée de servir à boire au chien et a l’air « blindée ».   

Lorsqu’ils arrivent au gîte qui a été préparé pour eux, les invités ne sont pas déçus ! ! ! Sur la terrasse il y a deux piloris. Un est en version Moyen-Âge, l’autre en version esclave à baiser le soumis se retrouvant bloqué par les membres à quatre pattes cul offert. A côté, se trouve le  « banc de la défonce » permettant de bloquer une personne en position diaper. Autant dire qu’une fois la dessus, la voie est très accessible. Une niche de grande taille a également été installée à côté de la piscine. (HUMOUR Normal, en français Chien et niche contiennent les mêmes lettres)

A l’intérieur du donjon, un chaise percée recouverte d’un abattant WC les amusent mais ce qui les surprend, c’est le lit à baldaquin avec des anneaux de partout et son lit cage.

- Cela vous plait ? Demande Damien    

- Mais on est où ici ? Demande Mamadou étonné de ce décor si particulier !

- Au gîte fétichistes !

- C’est assez surprenant répond Master Paul.

- Je prendrai bien une douche, le chien profite d’être encore debout pour venir m’aider !

Damien tiré par la laisse se retrouve dans la douche avec son Maître qui lui impose de se mettre à quatre pattes et de lui servir de chaise de bain. L’idée plaisant aux invités, il ne sortira de la salle de bain qu’après que tout le monde ait pris sa douche. Ses premiers pas de lope sont, pour l’instant, assez soft même si il a du lécher des culs et des pieds pour vérifier qu’ils s’étaient bien lavés. Là où Damien c’est un peu affolé, c’est devant la taille du mandrin de Mamadou.

Ce lieu si particulier donne des envies, Damien est conduit au « banc de la défonce » où, allongé sur le dos, entravé et menotté il a perdu de sa superbe. Pendant que les doigts de Master Paul jouent les spéléologues dans le cul bien offert, Maître Max se fait tailler une pipe. Les doigts fouilleurs font rapidement place à une bite très motivée, huit heures de route avec une lope qui rêvait de se faire sauter, cela donne des envies. Faisant de l’oeil à Mamadou, Lucas profite que Max a laissé la place pour se faire préparer le cul par la langue de Damien en faisant un facesitting.

Pendant que Mamadou et Lucas s’envoient en l’air, Maître Max et Master Paul prennent une bière. Abandonné sur le « banc de la défonce » Damien se désespère de ne pouvoir en prendre une avec eux, mais son avis.... En guise de bière, une demi-heure plus tard, lorsqu’il voit Lucas enjamber sa tête pour un facesitting, il refuse de lécher le cul qui vient de se faire défoncer. Ses réfutations sont très mal prises ! Maître Max prend un paddle accroché à l’étagère des accessoires pour le motiver. La fessée au paddle, cela pique mais en position diaper, c’est hard ! Master Paul rejoint son ami fesseur et entreprend de malaxer d’une main ferme les précieuses de Damien.

Entre deux cris, le désespéré cède et, comme si sa vie en dépendait, lape le cul chargé de lubrifiant et pas très propre. Très excité par ce qu’il voit, Mamadou enfile un préservatif et vient, à sa façon et avec sa bite 26 x 6 expliquer à Damien qu’il doit faire des efforts. Dilaté, défoncé, ramoné aussi bien en profondeur qu’en largeur, il « chante » plus qu’il ne lèche. Libéré et porté pour cause de manque d’énergie jusqu’à la niche où il est attaché, Damien s’y réfugie bien volontiers.  

Pendant le repas, pris avec les propriétaires du gîte, le chien manque à l’appel. Deux gamelles sont apportées à Damien, une d’eau l’autre contenant une sorte de pâtée faite avec ce qu’il y a au menu du soir. Le Maître des lieux leur demande si ils vont le faire dormir dehors ou dans la cage sous le lit en précisant que les nuits sont fraîches. Pour protéger son gîte d’éventuelles fuites urinaires, il leur donne une couche pour personne incontinente ce qui les amusent. De fait, en redescendant à leur gîte, le chien est détaché et mis en couche avant d’être bouclé sous le lit.

Le samedi matin, le petit déjeuner a été déposé sur la table de la terrasse du gîte. Encore une fois, Damien n’a pas pu manger normalement. Equipé de genouillères et moufles, hormis un petit séjour de deux heures au pilori, il va vivre en chien toute la journée. Vers midi, après les avoir vu « s’amuser » sur la balançoire, il prend place sur le « banc des plaisirs » suspendu à la poutre de la balançoire. Il doit attraper avec sa bouche une bite tendu face à lui à chaque balancement. Ne vous y trompez pas, Maître Max ne le fait pas balancer de façon conventionnelle mais à coup de grandes claques.

Pendant le repas pris à 14 heures, Maître Max discute avec le maître des lieux en lui demandant si le sulky servant pour du pony-play peut être adapté pour du chien de traîneau. N’y ayant pas pensé, le maître des lieux leur promet de chercher une solution en précisant « sans garantie ». Après réflexion, il parvient à bricoler quelque chose avec des s a n g l e s et des colliers de plomberie fixés sur les barres du sulky. « Cela n’est pas très esthétique mais devrait fonctionner » lui dit-il en arrivant avec le sulky.

Attelé comme un chien de traîneau, Damien raccompagne son Maître en promenade jusqu’au gîte où il compte bien faire une sieste. Porter et tirer le sulky à quatre pattes est épuisant mais très distrayant comme façon de faire du pony.

- La prochaine fois, on devrait lui attacher les couilles au sulky et le faire tirer comme ça ! Dit Master Paul en affolant le toutou convaincu qu’ils sont capables de le tenter.

Après la sieste, Maître Max découvre qu’il y a des chaînes et des anneaux un peu partout dans les arbres autour du gîte. Il va donc voir le maître des lieux pour voir si il a des idées pour profiter du terrain.

- Vous pourriez organiser une chasse à l’homme. Vous lui laissez un quart d’heure d’avance et après vous le chassez. Libre à vous de décider ce que vous ferez au gibier !

- Vous pourriez me prêter un fouet et des bracelets ?

- Pour les bracelets, prenez ceux de la chambre mais avez-vous déjà fouetté au sens propre du terme avec un vrai fouet ?

- Non jamais !

- Nous allons jouer prudence car cela peut être dangereux pour vous comme pour lui. Je vais voir ce que je peux vous prêter.

Le lâché du gibier nu se fait vers 17 heures. Le maître des lieux confit à Maître Max un mini fouet en lui donnant quelques conseils et en lui disant « attention aux yeux, un fouet peut être détourné et arriver là où vous ne voulez pas et parfois même sur vous ».

Parti sur la propriété, Damien se demande ce qu’ils vont lui faire. Marcher lui pose rapidement un problème, Maître Max lui ayant posé un gros ballstretcher. A chaque pas, ses testicules ballottent. « Si cela dure longtemps, elles vont traîner par terre » se dit le gibier. Rattrapé facilement par les chasseurs s’étant partagés le terrain comme des rabatteurs, le pauvre Damien est ramené aux arbres à chaîne pour y être lié bras et jambes écartés. Maître Max découvre rapidement que le fouet peut être cruel pour celui qui le donne. Malgré tout, il commence à s’habituer à cet instrument au grand dam du gibier commençant à être strié de partout.

Assoiffé, il demande grâce et supplie. La négociation est simple, champagne contre l’arrêt du jeu. Les poignets libérés, la lope peut se mettre à genoux et prendre en bouche la verge de Paul. Derrière lui, Lucas, taquine les précieuses pendantes avec son pied, histoire de motiver la lope. La « collation prise », ils rentrent au gîte pour prendre un apéro plus conventionnel en tirant Damien par sa laisse pour prendre une bonne douche.     
         
Pour la paella, il est décidé de laisser Damien s’asseoir à table, il a mérité une pause syndicale. La nuit se terminera au bord de la piscine où le chien a appris la brasse coulée et la pipe coulée. La problématique fut que l’eau de la piscine et la bière cela donne des envies. Maître Max se rend au donjon pour aller chercher la chaise percée. Installée dans le gazon, avec un système d’évacuation humain, la lope prend plusieurs douches....   

Sa soirée est loin d’être terminée, Mamadou a encore des envies. L’orgie se termine tard dans la nuit après de multiples « « échanges » » sur le sling et sans couche pour Damien, il est trop tard pour aller en acheter. De fait, il peut sortir à quatre pattes pour aller une lever dehors. « Si je te vois te lever comme un humain, je te fouette les couilles » lui avait indiqué Maître Max. Autant dire que le toutou a été obéissant.  

Le lendemain, après s’être bien défoulés, amusés dans le donjon et le jardin, nos acolytes font du tourisme conventionnel ou presque puisque c’est avec un gros plug que Damien fera la visite. Ils se rendent au monastère de pierres, un lieu méritant grandement le détour. Ils profitent également de l’immense parc verdoyant et de ses cascades. Marc leur avait conseillé de bien se chausser car il faut crapahuter un peu, cela va avoir de l’importance pour les aventures de Damien. Même si les arbres et les cascades rendent la visite agréable, les chaussettes sont montées en odeur comme le constatent les Maîtres dans la voiture pendant le retour.

Arrivés au gîte, prises sur la terrasse, les bières bien fraîches sont salutaires pour nos assoiffés. Damien pourra en boire une quand il aura léché les pieds déchaussés et dépourvus de chaussettes. Ils les a trouvés « salés », allez donc savoir pourquoi ! Après une bonne douche, nos acolytes prennent un peu de bon temps dans la piscine où, Damien se doit de faire un peu de plongée pour lécher ci et là^^^.

N’ayant pas envie de faire des courses, Damien n’aura pas à cuisiner puisqu’ils se sont fait livrer des repas à 9,50 euros. Si le repas du chien n’a pas été mixé ni mis en gamelle, puisque les Maîtres avaient oublié ce détail, la lope mange malgré tout à quatre pattes sous la table. Nous dirons que ce n’est pas parce qu’ils manquaient de place, mais que c’était juste pour lui faire plaisir...

Le donjon et sa chambre Love sont un peu comme des aimants pour nos acolytes. A peine entrés, Damien est placé puis entravé sous la chaise percée servant de toilettes humaines. Sa mission est simple, préparer les culs de sa langue et, il l’espère, ne pas avoir à les nettoyer après usage. Il n’en nettoya que deux sans trop de résistance, un pied posé sur vos testicules, cela motive.

Nos acolytes s’étant éclatés entre eux, la fatigue aidant, ils s’occupent rapidement de la lope pour qu’elle ait un minimum de plaisir, mais à leur façon... Traduction ? Sur l’étagère aux accessoires, ils avaient repéré le masque permettant de fixer des chaussettes ou slips parfumés sur le visage d’une personne. Maître Max propose généreusement de prêter son slip et une de ses chaussettes afin que la lope profite de lui toute la nuit et ne se sente pas abandonné.

- Tu ne te sentiras pas abandonné puisque tu vas pouvoir me sentir toute la nuit ! Lui indique Maître Max en faisant bien rire ses complices.

Pour qu’il ne pourrisse pas le lit, il doit mettre une couche avant d’être entravé bras et jambes écartées avec son masque aux fragrances humaines bien serré. La nuit parfumée de Damien n’est qu’une mise en bouche car Maître Max a des projets pour lui le lendemain.

Au petit matin, après avoir pissé dehors, il vient le libérer du lit pour le mettre à quatre patte avant de le faire un bondage l’obligeant à n’évoluer qu’en chien. Pour cela il lui attache les jambes une par une avant de lui poser des menottes qu’il passe dans son collier. Après quoi, il lui retire le masque avec son slip et sa chaussette mouillée puis la couche pleine d’urine. Cette dernière est alors placée sur son visage et fixée avec du scotch d’emballage.

- Pour te faire plaisir, et surtout pour que tu ne dises pas que je ne suis pas gentil, je vais placer les clés des menottes aux pieds de la table qui se situe dans la cabane naturelle au fond du verger. A ton retour, tu pourras déjeuner et prendre une douche. Attends, on ne peut pas te laisser le cul exposé à l’air, il faut le combler un minium. Cette queue de chien t’ira à ravir, c’est à peine si tu le sentiras passer. Bonne balade la lope ! Conclu Maître Max avant d’aller se faire un café.

Si il aime bien se faire loper et faire le chien, le pauvre Damien n’est pas au bout de ses peines. En effet, la couche détrempée posée sur son visage ne lui permet quasiment pas de voir. A cela se rajoute que, pour aller au fond du verger à quatre pattes, le trajet va être fort long. C’est lorsqu’il quitte la terrasse où il a été soigneusement équipé, qu’il prend conscience que la rosée matinale va être infernale pour lui. Même si Marc entretient le verger quasiment comme le parc, les herbes y sont plus hautes. Mouillées et fraîches, elles deviennent cruelles avec lui.

La lope transformée en chien est un train de vivre un de ses fantasmes, sauf que, le trajet fort long et avec les herbes mouillées, cela change la donne et c’est de suite moins amusant. En plus, l’herbe fraîche cela donne envie de pisser. C’est à mis chemin, fatigué et surtout par manque de courage qu’il se soulage comme une chienne. C’est dans ce moment d’abandon que sa queue décide de faire bande à part. Cela l’inquiète car Maitre Max risque de ne pas apprécier et de le punir pour ça si il l’apprend. Bien décidé à éviter la punition, Damien presse le pas, ou plutôt, les pattes. C’est en arrivant à la table placée sous la cabane naturelle, qu’il découvre quarante minutes plus tard que Maître Max ne lui a pas laissé les clés des menottes.

Serrer les fesses en revenant ne suffira pas à son anus, « bien usiné » les jours précédents à contenir son envie naturelle dit « solide ». Pour ne pas arriver le cul crade, il en est réduit à se frotter comme une chienne en chaleur dans les herbes. C’est en puisant dans ses réserves de courage qu’il reprend son périple canin. Au passage, il récupère la queue de chienne par très propre qu’il nettoie dans les herbes afin que Maître Max ou ses complices ne lui fassent pas laver avec sa bouche. Tant bien que mal, c’est vers 9h30 qu’il arrive à la terrasse du gîte où les acolytes prennent leur petit déjeuner.

C’est après presque deux heures de marche en chien qu’il est libéré et peut enfin boire ! Boire et déjeuner, après l’effort un peu de réconfort ne peut pas faire de mal, a estimé Maître Max.

- Bien la lope, il ne te reste plus qu’à ranger tes affaires et à faire le ménage, qui, je te le rappelle, est à la charge des locataires. Je t’invite à ne pas trop tarder car nous devons rendre le gîte et le donjon en parfait état de propreté. Je subodore sans trop de risque d’erreur, que Marc se ferait un plaisir de te punir au fouet si c’est mal fait. Je te laisse imaginer sa réaction si je lui disais que tu as mal fait le ménage par pure provocation... ! Lui indique Max avant d’aller faire quelques achats chez ABCplaisir.

C’est avec une pointe de regret et après l’état des lieux sans imperfection...., qu’ils prennent le chemin du retour. Par prudence, la lope ne conduira pas, mais sur l’autoroute, à l’arrière entre les sièges, elle officiera un peu de la bouche.   

FIN

TSM

- Si Marc existe réellement
- Si le gîte fétichistes existe réellement
- Si il est possible de vivre ce type d’aventure au gîte fétichistes
- Cette histoire est totalement fictive. Son but est de vous donner un exemple de ce qu’il est possible de vivre au gîte fétichistes
 

Visiter le site du gîte fétichistes en cliquant ICI

Visiter le gîte en vidéo sur Youtube

mercredi 7 juin 2023

Les libertins se lâchent au gîte fétichistes

Le donjon et les installations du gîte fétichistes donnent aux libertins des envies de BDSM sexuel

 

Pilori

Ces deux couples libertins se connaissent depuis des années. Ultra complices et en totale confiance, entre eux, ils pratiquent sans préservatif. Ce n’est pas la première fois qu’ils partagent des vacances, l’année précédente c’était au Cap dAgde mais comme les prix explosent et que tout devient payant, agacés ils ont décidé de changer de destination.

Dès leur arrivée, ils sont agréablement surpris par l’accueil malgré l’heure tardive. Une présentation rapide des lieux puis du donjon et de l’appartement leur est faite. Sur la table du salon ils trouvent avec le code wifi et le classeur des conseils d’usage, une rose pour chacune des femmes ainsi que le classeur des vraies bonnes mauvaises idées.

Ils constatent que les repas commandés à 9,50 euros sont bien au réfrigérateur, qu’une baguette de pain est posée sur la cuisinière. La climatisation est également allumée et les lits sont prêts. Marc leur indique que les papiers et la suite de la visite se feront le lendemain quand ils se seront reposés. 

Nos amis libertins prennent une douche salvatrice avant de se jeter sur le repas. Entre l’entrée et le plat se réchauffant au micro-onde, Paul commente en rigolant ce qu’il a découvert dans le classeur des Vraies Bonnes Mauvaises idées.

- C’est complètement fou cette ouverture d’esprit qu’ils ont ici. Dans le classeur, il y a quasiment des idées et scénarios pour tous les fétichismes ou presque. J’ai bien aimé l’idée de la chasse à la soumise. Franck, je te propose que demain nous lâchions une de nos femelles sur la propriété, le premier qui la trouve se la saute sur place. Qu’en penses-tu ?

Avant même que Franck ait le temps de répondre, les filles s’insurgent, elles ne sont pas des femelles, encore moins du gibier ! Même si elles savent pertinemment qu’il plaisantait et ne leur manquait pas de respect, elles le menacent de représailles.

- Chéri, j’ai lu sur le site du gîte qu’ils peuvent garder les clés des cages de chasteté, j’ai bien envie de te mettre sous cage de chasteté et de leur confier les tiennent ! Menace Martine l’épouse de Paul.

- Je ne l’ai pas emmenée ! Répond Paul au tac au tac.

- Moi si ! Lui répond Martine.

Lucie provocatrice dans l’âme surenchérit et déclare qu’être traitée de gibier l’a profondément blessée. Excitée depuis leur arrivée, elle propose d’aller visiter le donjon en détail puis de mettre Paul sur la croix de Saint André pendant qu’ils s’amusent tous les trois dans la chambre LOVE.

Ce soir là, après les heures de route, hormis un bain naturiste dans la piscine, ils font qu’un petit tour dans le donjon où ils s’excitent à l’avance.

- J’adore ce lieu et tout ce matériel, je sens que l’on va s’éclater mon amour ! Déclare Paul à sa femme parfois dominatrice sous la couette.

- Martine, j’ai comme l’impression qu’il est en demande ton chéri, on le fait dormir dans le lit cage ? Demande Lucie. Comme ça, il n’y aura pas besoin de chasser, on l’aura déjà sous la main.

- On va peut-être attendre demain, mais l’idée me plait bien. Il a intérêt à être sage et gentil avec celle qui pourrait bien devenir une sévère domina…. ! Réponde Martine amusée.

Après quelques bisous de principe, nos libertins ne tardent pas à se coucher dans les deux lits king size superposés. Réveillé au chant des oiseaux, Paul est le premier à se lever. Il sort discrètement du gîte sans trop ouvrir la porte pour que le soleil ne réveille pas tout le monde. C’est avec la trique encore au garde-à-vous qu’il retourne au donjon après avoir « « levé la patte » » aux pieds des arbres. Rapidement excité par les lieux et le matériel, ce n’est pas l’envie qui lui manque de diminuer la « pression » intracrânienne. CAD l’envie de jouer avec ce qui sert à ??? Vous avez deviné ? Bon, je continue le récit !

Il revient donc « sagement » au gîte pour préparer la tournée générale de café. Pendant qu’il coule, il va installer les bols et de quoi grignoter sur la terrasse. A son retour, les coquins commencent à bouger et prennent leur ticket, comme à la sécu, pour passer à la salle de bain faisant également office de lieu dédié au dépôt de bilan. (Les toil…) 

Lorsque Marc les aperçoit en se rendant au potager dans une tenu ultra fétichiste, baskets trouées, chaussettes usées et short même pas assorti au tee-shirt vintage, il leur fait un coucou de la main avant de poursuivre son chemin. Hélé par les filles à moitié nue et les hommes à poil, il vient donc discuter avec eux en les regardant comme si ils étaient vêtus de tenue de sport. CAD il n’en avait rien à faire de leur nudité.

La discussion porte dans un premier temps sur les lieux à visiter, les choses pratiques comme le tabac et les courses alimentaires. (A croire que le classeur posé sur la table du gîte avec toutes ces infos ne sert à rien MDR) A la suite de quoi, la discussion porte sur les installations et sur les propositions de jeux possibles en extérieur. Que n’avaient-ils pas fait là que d’entraîner Marc sur ce sujet ? ? ?

Vingt minutes plus tard, il n’y avait pas que les yeux des filles qui brillaient du feu du désir, feu animé par un vent de perversité force 8. Chasse à la soumise ou au soumis ont été abordé tout comme la possibilité d’installer le banc à fessée dehors pour autre chose que les punitions. Il leur explique qu’il est possible de planter 4 pieux dans le gazon pour entraver une fille ou un homme bras et jambes écartés et fesses en l’air, d’utiliser le hamac de la piscine comme un sling, de faire un ou des Espaces game coquin, de faire ….. 

Paul demanda alors à Marc de terminer la visite sommaire du donjon, faite rapidement la veille, pour leur laisser le temps de se reposer. Autant demander à un fétichiste passionné de vous commenter non pas son mais SES fétichismes. Etant ultra ouvert d’esprit, à chaque matériel ou exemple donné, Marc indiquait que cela est utilisable autant pour homme que pour femme. Etant toujours nu, Paul ne put cacher que les explications ne le laissaient pas de marbre.

Pour ne gêner personne et comme il y avait beaucoup de vent, Marc leur conseilla d’aller visiter le célèbre Monasterio de Piedra (Monastère de Pierre) qui est justement bien abrité du vent. Il précisa que le parc méritait le détour mais qu’il est à faire avec de bonnes chaussures. Après ces explications moins érotiques, le bas ventre de Paul se remit au repos.

Ils commandèrent avant de partir « touristiser » le repas du soir mais cette fois dans la salle de restauration. Marc leur proposa de venir choisir dans son potager les légumes bios du repas qu’il leur préparerait. Etonnées, les filles apprécièrent tout comme le fait qu’il leur propose de prendre quelques fruits pour la route dans le verger.

Pendant la journée, il leur prépara une quiche au jambon Ibérique et aux truffes puis du canard en sauce avec des timbales de légumes et quelques frittes. (Frittes de courgettes, frittes de carottes, frittes de pommes de terre).

Vers 17 heures, les touristes libertins rentrèrent avec le sourire smiley posé sur les lèvres. A priori la visite leur avait plus. Douche et piscine + coquineries aquatiques fut leur programme de la soirée en attendant le repas servi à 21 heures.

Pendant le repas à 13 euros pris en salle de restauration, avec le menu comprenant l’apéro et les amuses bouches, nos libertins contèrent leurs impressions avant de passer aux questions habituelles posées par les clients.

Résumé rapide pour ne pas vous ennuyer :

- Qu’est-ce qui vous a incité à venir vivre en Espagne ?

- La macronie, la France qui par en C…, les finances, la sécurité et la convivialité du pays.

- Vous devez en voir des drôles ?

- Oui, mais le principal est que les clients s’amusent, le reste on s’en moque. Le plus amusant ce sont les célibataires qui viennent faire du selfbondage ou des jeux solitaires. Au début ils sont timides, mais juste au début si vous voyez ce que je veux dire.

ET LA, au milieu de la discussion cette fois en présence de l’épouse de Marc, Martine demande devant tout le monde si c’est vrai qu’ils acceptent de garder les clés des cages de chasteté des messieurs ? Autant dire que Paul piqua du nez dans son assiette de fromage inclus également dans le menu ! (Le dernier point n’est pas important mais j’y tenais alors…)

Devant la réponse positive de Marc et son épouse, Martine leur confia un jeu de clé. Autant dire que pendant le repas, Lucie et Franck s’amusèrent aux dépens du futur et chaste vacancier.

Le lecteur doit savoir que dans ce monde de coquins, entre elles, les filles peuvent être de sacrées chipies et même devenir démoniaques pour martyriser un homme. Les femmes peuvent réellement être pire que les hommes en ces domaines.

Comme indiqué précédemment dans le texte, la femme de Paul parfois est dominatrice sous la couette. Oh rien de BDSM, disons qu’elle aime bien gérer et que son chéri fasse ce qu’elle a envie comme elle a envie. Dans leur couple, la cage de chasteté n’est pas vraiment un accessoire de domination et Paul ne la porte jamais très longtemps. Martine la lui impose lorsque elle a ses règles et surtout, lorsqu’elle a envie qu’il s’occupe beaucoup d’elle en lui broutant le minou pendant des heures par exemple. Elle l’a bien menacé de la lui mettre lorsqu’ils vont en club libertin mais n’est jamais passée à l’acte.

Poussée par Lucie désireuse d’en jouer, de s’en amuser, puis par Franck, ravi de s’imaginer passer des soirées avec deux femmes pour lui tout seul, la menace de chasteté perdure. Si bien qu’après le dîner, lorsqu’ils vont au donjon pour explorer plus en détail les accessoires et carcans, la dite cage de chasteté trouve sa place sur le sexe de Paul. Quelques minutes plus tard, il se retrouve entravé nu et encagé sur la croix de Saint André. Les filles l’allument un max et s’en amusent. Elles poussent le vice jusqu’à s’agenouiller pour lui lécher les couilles, le caresser, lui grignoter les tétons ou le dévorer de bisous, le tout en jouant avec sa verge prisonnière dans le tube de la cage. Le pauvre Paul, donc la verge subit la crise du logement, ne peut même pas caresser les furies devenues gloutonnes, que dis-je, des rapaces.

De son côté, Franck a rapproché un magic wand massager du lit baldaquin puis un gode. Allongé sur le lit, il commente les « souffrances » psychologique de Paul tout en caressant sa verge en pleine forme. Jugeant qu’il était temps de passer aux câlins, elles rejoignent Franck pour câliner et s’occuper de la seule verge libre et disponible. L’encagé entravé sur la croix ne peut qu’assister à leurs ébats.

Animée par une certaine perversité, au bout d’une heure de câlins en tout sens, Lucie propose d’installer Paul sous la chaise percée afin qu’il puisse constater, après coup, qu’elles se sont « bien amusées ». C’est Franck qui est chargé de l’entraver sous la chaise percée présentée comme des toilettes pendant que les filles se font un 69 d’anthologie sur le lit de la chambre LOVE.   

Un langue c’est bien, une belle verge en pleine forme c’est mieux s’accordèrent à dire les deux filles ne parvenant pas à se rassasier. Franck du faire des efforts surhumains ce soir là pour ne pas jouir trop vite, ce qui lui aurait imposé une petite pause avant de retrouver un forme « utile » pour les mangeuses d’homme. Sous sa chaise percée et avec l’abatant des WC fermé, Paul ne peut qu’entendre et subir. Ce petit jeu ne lui déplait pas, il aime bien être un peu bousculé de temps en temps. Là, ses fantasmes de cuckold sont donc pleinement satisfaits.

Désireuse de varier un peu les plaisirs, n’ayant jamais testé la chaise percée ni le « toilet Salve » Lucie prend l’initiative que quitter le lit ravagé par leurs ébats pour aller s’asseoir et confier la toilette de son chaton à la langue de Paul. Aux fragrances de l’amour, ce dernier ne tarde pas à constater que la partie était chaude, avant que sa langue le lui confirme. Vicieuse comme pas deux, Lucie lui confie aussi son anus à lécher en plantant ses griffes dans les tétons se trouvant juste sous ses doigts. De leur côté, Franck et son épouse pratiquent la chevauchée fantastique jusqu’à sa conclusion. A leurs cris, Paul imagine qu’il sera bientôt libéré ce qui est une erreur.

En effet, quelques instants plus tard, et sûrement dans un esprit de partage, Martine se lève en mettant sa main en cuillère sous son chaton afin de ne pas perdre du bon jus d’homme qu’elle compte bien partager avec son mari. Comprenant le projet de son amie, Lucie cède sa place sur la chaise percée et Paul voit arriver l’arrière train de son épouse. Alors qu’il rechigne, Lucie pose son pied sur la cage de chasteté et commence à lui écraser les précieuses pour le motiver à laper le précieux liquide qu’elle boit régulièrement.

« Ne te plaint pas, il aurait pu me sodomiser et puis, en temps normal, tu aimes bien me faire avaler ton jus d’homme, tu peux donc le savourer à ton tour » lui crie Martine en plein délire de domina en herbe. Entravé et malmené, Paul n’a pas d’autres choix que de s’exécuter. Il lèche donc le sexe baveux de sa femme avec un léger manque de motivation compensé par un pied de perverse.

En sortant du donjon, l’éclairage de la piscine leur fait l’effet d’un aimant. Nos libertins rassasiés (sauf un) sont tentés par un bain de minuit. Paul est envoyé au gîte pour aller récupérer les serviettes. Pendant son absence les filles complotent et mûrissent l’idée de mettre Paul dans le pilori et de le faire sauter par son ami Franck.

Avant de se coucher, Paul demande à sa femme de lui retirer la cage de chasteté. Mais hélas pour lui, c’est Marc et son épouse qui ont les clés. Les réveiller pour ça n’est pas une bonne idée du tout !

Le lendemain, avant de partir visiter Saragosse, toujours aussi perverse, Lucie demande à Marc de leur préparer un Espace game. Son idée est que l’une d’elle devienne la proie d’un prédateur. Rien que d’y penser elle s’excite. Martine a cédé aux suppliques de son chéri et lui a retiré la cage de chasteté mais en confiant secrètement à nouveau les clés à Marc.  

Sur le chemin du retour après une journée à Saragosse, nos libertins font quelques photos érotiques en mode Urbex dans un hôtel désaffecté. Arrivé au gîte, il est décidé de tirer au sort, pour savoir laquelle des filles sera la proie de l’Espace game. Appelé en renfort, Marc vient donc équiper Lucie de quelques entraves. Il lui conseille de mettre des chaussettes pour ne pas blesser ses jolies chevilles avant de les enchaîner de façon à ce qu’elle ne puisse pas courir. A l’aide d’une autre chaîne et d’un cadenas, il relie les menottes aux chevilles avant de lui donner une enveloppe avec les indices.

Nue et ainsi enchaînée, la prisonnière devenant gibier quitte le donjon avec 15 minutes d’avance. Paul et Franck savourent une bonne bière en compagnie de Martine comme surveillante de l’alarme mise sur le mobile.

De son côté, Lucie savoure le fait d’évoluer nue dans la nature avec des entraves puis d’être le gibier. Cela l’amuse autant que cela l’excite. En même temps, elle aimerait bien gagner et trouver les clés afin que ce soit elle qui décide comment s’orienteront les amours du soir. Sur les conseils de Marc, les chasseurs partent avec une serviette sur l’épaule afin de protéger leur proie à consommer sur place. En effet, un minimum d’hygiène et de confort ne peut pas nuire quand on se fait « violer » par des chasseurs assoiffés de sexe. 

Lucie a réalisé une grande partie de l’espace game lorsque les chasseurs partent chasser la « femelle ». Martine les suit de loin en marchant normalement contrairement aux hommes bien décidés à gagner la partie. L’un des deux est sur la partie haute du terrain, l’autre sur la partie basse comme un rabatteur. Evoluant entre les arbres du verger, Paul a moins de visibilité contrairement à Franck qui est plus dans la « plaine ». En les ayant vu arriver, Lucie se cache entre les vignes située entre la partie basse et haute du terrain. Hélas (ou tant mieux) pour elle Franck l’a aperçue.

Nos deux chasseurs convergent vers le gibier tentant de fuir à petits pas vers ce qu’elle pense être le lieu où se trouvent les clés de ses entraves. Attrapée à bras le corps par Paul, elle ne peut rien faire pour s’échapper et regarde Franck installer les serviettes de bain. Obligée sous la menace d’être confiée à Marc pour une séance de fouet, elle n’a pas d’autres choix que de faire des fellations aux chasseurs avant d’être plaquée au sol. Paul relève les jambes de sa femme afin qu’elle ne puisse plus échapper à la belle trique de son ami.

Etant excitée par le jeu, la pénétration du sauvage dans un mini « marécage » n’est qu’une formalité. Lucie s’éclate à être la victime, à être ainsi défoncée en plein air. C’est grâce à ses cris de plaisir que Martine les retrouve facilement. Secrètement elle se plait à imaginer être à sa place. Si bien qu’elle prend place sur le visage de la proie pour se faire bouffer la chatte en tenant les jambes agitées de tremblements. A défaut de se faire sauter, elle peut au moins se faire brouter. 

- Encule cette salope mon amour, il faut que tous ses orifices soient utilisés ! Ordonne Martine à son mari une fois que Franck a terminé son affaire.

Entre les jambes de Martine on peut entendre crier le mot « salope », la suite est rapidement étouffé par une chatte bien trempée. Paul mouille donc de salive le petit orifice à tarauder sans modération une fois « perforé ». Comme il n’a pas joui depuis 48 heures, autant dire qu’il est motivé. La « pauvre » Lucie a beau essayer de se soustraire à ses ravisseurs et au Priape de Paul, la prise de la pastille, bastille pardon se fait sans trop de soucis. Et pour cause, Lucie aime bien se faire prendre par là. Au bout d’un petit moment, les oiseaux s’étonnent qu’une victime pousse de tels cris de plaisir. Cela leur fera sûrement un sujet de discussion une fois rentrée au nid. 

Après avoir récupéré les clés, nos libertins reviennent tranquillement à leur gîte. Les premiers arbres du verger bénéficient d’une sorte d’engrais bio humain sur le chemin du retour. La douche leur est salutaire tout comme le bain dans la piscine.

………………..

Comme vous le savez, deux filles sont toujours d’accords pour dire du mal d’une troisième mais entre elles, elles ne s’épargnent pas pour autant. Lucie a donc décidé de se « venger » de Martine l’ayant traitée de salope avant de la faire enculer à son tour. Je précise pour le lecteur, que ces vengeances bien réelles sont malgré tout très amicales dans ces jeux.

Sur Fessestivites, Lucie a pu voir un bondage réalisé par Marc pour un couple. L’homme attaché comme un chien est suspendu sous le treuil dans le donjon. Dans la vidéo, Marc fait voir qu’une fois suspendue, la personne peut être utilisée par les deux extrémités de son tube digestif en le faisant tourner. Le lendemain, elle s’arrange pour l’interpeller pour lui demander si il peut, sous prétexte d’un cours de shibari, réaliser ce bondage sur son amie. Lui demander de donner un coup de pouce avec ce cours et de partager une de ses passions n’était donc pas anodin.

Il est 17 heures lorsqu’ils reviennent d’une balade dans le désert des Bardenas Reales. Elle a prévenu ses amis de sa demande de cours de shibari tout en précisant que Martine serait son modèle déclaré volontaire. Si cette dernière sent l’embrouille, elle n’est pas pour autant inquiète, entre elles il n’y a jamais de réelle méchanceté.

Vers 17h30, Marc les rejoint donc pour leur faire voir comment faire rapidement un bondage « en mode chien ». Il se fait aider en leur demandant de faire la même chose que lui à Martine nue et à quatre pattes dans le donjon. Il est vrai que à quatre pour les « pattes » cela va plus vite que quand il n’y a qu’un seul shibariste. A la suite de quoi, il rajoute quelques cordes puis demande à Lucie de faire avancer « la chienne » jusque sous le treuil qu’il fait descendre. C’est là que Martine comprend qu’elle va vivre une suspension et qu’elle s’est faite piéger par son amie.

Marc finalise rapidement son shibari et entreprend donc de faire monter Martine à l’aide du treuil. Il lui demande régulièrement si cela va, si elle a mal quelque part afin d’ajuster quelques cordes.

- Je vais donc vous laisser tranquilles mais avant il faut que je vous donne les conseils de base. Vous devez vérifier que le s a n g circule bien à l’extrémité de ses membres ensuite si elle ne va pas bien, rien que le fait de la faire redescendre et poser sur le sol devrait résoudre le problème. Mes nœuds de suspension n’en sont pas réellement, il suffit de tirer ici et ici pour les défaire. Ensuite, il ne vous restera qu’à faire glisser mes cordes sur ses membres après avoir défait les boucles centrales. Cela peut donc aller très vite. Merci de ne pas lui faire tourner sur elle-même plus d’un tour afin de ne pas enrouler les câbles du treuil. Bonne amusement à vous. Leur indique Marc avant de quitter les lieux.

- Salope tu avais prévu ton coup à l’avance et comploté avec Marc ! Crie Martine. 

- Moi comploter ? Jamais voyons ! D’ailleurs j’ai une petite surprise pour toi. Regarde cette belle queue de chienne, je suis sûre que tu as envie de l’avoir dans les fesses ! Lui répond Lucie avec un sourire pervers posé sur les lèvres.

Avec un plaisir non dissimulé, elle mouille le rosebud de la queue de chienne du donjon avant de le presser contre le délicat petit orifice habitué à du plus gros. Ainsi équipée, Martine ressemble à une chienne au toilettage canin ne tarde pas à faire remarquer Paul amusé, et dont l’état de sa verge ne cache pas ses intentions.

Nos deux compères ajustent la hauteur de la « chienne » afin de profiter des deux côtés de son anatomie. Franck se fait sucer pendant que Paul, placé derrière elle la pénètre avec un plaisir non dissimulé. D’un léger balancement, Lucie s’amuse à la faire prendre et sucer en alternance avant d’installer le fauteuil de Maîtresse sous son amie. Assise, elle peut à loisir attraper ses tétons pour entretenir le balancement.

Après avoir râlé le minimum, syndical, Martine découvre que se faire prendre ainsi suspendue est planant dans les deux sens du terme. En la faisant tourner, Lucie permet aux deux hommes d’alterner les « orifices ». Ce jeu l’amuse un moment mais elle a bien l’intention « d’achever » son amie. Elle quitte donc sa place de perverse voyeuse pour aller chercher un magic wand à poser sur le clitoris, appelé aussi bouton des plaisirs féminins. Et c’est justement un maximum de plaisir qu’elle veut donner à son amie. Il y a quand même pire comme vengeance nous en conviendrons !

Après un certain nombre d’orgasme, Martine demande grâce. Rapidement descendue et libérée, elle s’allonge quasiment sur fauteuil de Maîtresse pour se remettre de toutes ces agréables sensations et jouissances. N’ayant pas encore pris du plaisir autre que cérébral Lucie s’allonge sur le lit de la chambre LOVE pour réclamer son dû, chose que les deux hommes se « dévouent » à lui donner. Réellement épuisée, Martine s’endort pendant les festivités. (Nan, il n’y a aucun rapport avec le super site Fessestivites) 

  La semaine de vacances de nos libertins passe à une vitesse époustouflante. Entre les sorties touristiques en journée, la piscine et les joutes sexuelles le soir les heures semblent être devenues de minutes. Si bien que pour en profiter le plus possible, ils ne commandent plus que les repas du soir à 9,50 euros pour ne pas perdre de temps à aller faire les courses et cuisiner.

Le vendredi, Marc rappelle à Paul qui est fumeur, le principe de l’Eco-tourisme en lui disant qu’à 5,30 le paquet de cigarettes, il serait intéressant d’en prendre quelques cartouches. Paul inquiétait d’être contrôlé et verbalisé par les douaniers français, le principe de l'Eco tourisme lui plait beaucoup. Ils se rendent au tabac du village où Paul achète 6 cartouches que les douaniers ne verront pas. A leur retour, aidé de Malicia, ils font un carton d’expédition comme ceux de la boutique ABCplaisir, Paul se crée un compte Mondial Relais et paye l’expédition de ses cartouches de cigarettes. Son colis ne sera envoyé que le lundi, ce qui leur laisse largement le temps de rentrer en France et de reprendre 2 autres cartouches avant la frontière. Au total, Paul a économisé près de 300 euros, ce qui paye une grande partie de leurs vacances ! 

Pendant qu’il cherchait à faire des économies, les filles complotent un max pour faire une surprise de taille 20 X 5 à Paul. Le pilori est donc sorti du donjon pour être installé près de la piscine. A son arrivé, les inquisitrices ne dévêtissent pour le bloquer dans le pilori. Franck est invité à participer activement à la sodomie de son ami. Si il n’était pas très motivé, quand deux furies gloutonnes s’acharnent sur un homme après lui avoir mis un cockring et fait des promesses de « remerciement » il n’a pas de souci d’érection devant les fesses d’un homme.

N’étant pas encore informé qu’il a été condamné au supplice du Pal, le pauvre Paul ne comprend les intentions des filles que lorsque, tenu par la queue Franck est conduit derrière lui. Son petit cul fut bien lubrifié malgré ses réfutations. Ayant déjà connu le gode ceinture, il allait donc goûter à une belle queue de 20 X 5.

Pour l’aider à accepter plus facilement le « Pal », Lucie passe sous Paul pour le sucer un peu pendant que Martine guide la queue de Franck dans le délicat orifice affolée. A l’aide de gros bisous et de caresses ciblées, la verge de Franck conserve sa « motivation » perforatrice. 

Paul ne put réellement se soustraire tant les filles étaient motivées et motivantes^^^. Une fois emmanché et un peu « ramoné » il commença à apprécier. Ce n’est qu’à ce moment là que Lucie abandonna la fellation du « condamné » pour assister au spectacle d’un homme sodomisé par un autre. Cela l’excita encore plus que d’en avoir parlé et vu sur le net. Elle n’eut pas d’autres choix que de se caresser sans aucune pudeur avant de prendre Martine par la main pour l’accompagner dans le plaisir.

Adorant voir les filles se "gouiner", Franck put se « masturber » autrement qu’avec sa main. En clair, il n’avait plus besoin d’accompagnement psychologique pour continuer d’enculer son ami. Il trouva même qu’un cul d’homme est aussi agréable qu’un cul de femme mais garda cette remarque pour lui. Si bien que les oiseaux perdirent leur latin en assistant à cette débauche bruyante que la piscine gardera en mémoire.

Franck fut grandement remercié pour sa prestation, et Paul fut mis sous cage de chasteté avant d’être libéré du pilori. C’est donc nu et encagé qu’il fut conduit tout honteux à Marc et Malicia pour finir de payer la semaine de vacances. Ce qu’il ne savait pas, c’est que Martine avait récupéré les clés de sa cage de chasteté. ET oui, les filles avaient encore comploté. Elles lui firent croire que Marc les avait placées dans le colis des cigarettes.

Après le repas du soir pris au gîte, ils ne firent qu’un passage éclair au donjon, la fatigue du tourisme et leurs aventures en fut la cause. Cela permis à chacun d’essayer quelques accessoires mais cela ne fut que de simples petits jeux. 

Le lendemain, ils reprirent la route  en se promettant de revenir.

FIN

- Si Marc existe réellement

- Si le gîte fétichistes existe réellement

- Si il est possible de vivre ce type d’aventure au gîte fétichistes

- Cette histoire est totalement fictive. Son but est de vous donner un exemple de ce qu’il est possible de vivre au gîte fétichistes

Visiter le site du gîte fétichistes en cliquant ICI

https://gitefetichistes.com

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