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mardi 20 juin 2023

Une lope gay au gîte fétichistes

 


 - Allo

- Oui bonjour, je vous appelle parce que j’ai quelques questions à propos de votre gîte.

- Mais je vous en prie, que désirez-vous savoir ?

- Je suis un peu gêné de vous poser ces questions mais j’aimerai savoir si vous acceptez les chiens humains et si cela est possible chez vous ?

- Ne soyez pas gêné, cela fait 40 ans que je suis dans le monde des rencontres fétichistes, il n’y a donc pas de sujet tabou avec nous. Chien humain dites-vous, en clair est-il possible de faire du pets-play ou dogtrainning au gîte ? Et bien la réponse est oui, sans aucun problème. Par contre, je vous conseille de prévoir des genouillères et coudières ou des gants car si certaines parties sont, disons carrossables, si vous vous éloignez un peu dans la propriété, ce sont des chemins ou sentiers avec des pierres.

- On peut vraiment se promener comme ça sur votre propriété ?

- Oui, sans aucun problème, rien ne nous gêne. Nous pourrons même, si vous le désirez, servir des repas en gamelle.

- C’est génial, et si on est gay, cela vous pose des problèmes si on joue en extérieur ?

- Toujours pas ! Il y a même du matériel qui se prête bien au fist et autre comme chaise percée, piloris. En fait, le matériel que vous voyez en photo sur le site peut être utilisé à votre convenance que vous soyez lesbienne, gay ou hétéros, on s’en moque.  

- J’ai encore une question ?

- Je vous en prie !
 
- Le gîte est limité à 4 personnes mais si on est 5 comment cela se passe ? Il faut qu’il y en ait un qui aille dormir à l’hôtel ?

- La limitation est due au fait que nous n’avons que deux grands lits et que, pour des raisons juridiques, nous ne pouvons accepter des tentes ou caravanes.

- Oui mais vous avez un lit spécial qui permet de faire dormir dessous ! Si je compte bien cela fait 5 places.

- Allons droit au but, vous désirez venir à 5 et me demandez si on peut s’arranger ?

- Oui c’est ça !

- A partir du moment où il y en a un de vous qui accepte de dormir ailleurs que dans un lit conventionnel, nous pourrions adapter le forfait de la location.

Après cet entretien téléphonique, Damien décide de réserver le gîte pour un week-end du mois de juillet. En réalité il est tout seul pour le moment. Son idée est d’offrir un week-end au gîte à deux Maîtres gays et d’être leur lope. Pendant deux mois, il s’acharne sur les forums et sites gays ainsi que sur Fessestivites et Abkingdom où parfois, il a croisé quelques ABDL intéressés par le BDSM.

Sur Fessestivites  il a trouvé un dom gay très pervers qui est d’accord pour l’accompagner au gîte et s’occuper de la lope. Pour être sûr de ne pas se faire planter, Maître Max lui a demandé une copie de la réservation puis à téléphoner au gîte. Ce dernier a confirmer qu’il y avait une réservation mais a refusé de dévoiler l’identité du locataire. Après une discussion, le gîte lui a simplement indiqué que la personne avait loué, à priori, pour un week-end BDSM gay. Malgré les autres demandes de renseignements, le gîte a respecté l’anonymat du client.

Pauvre Damien....

Pauvre Damien car lors des discussions téléphoniques, faîtes que d’une main, il lui a dévoilé ses fantasmes d’être chien et lope en version BDSM hard. Entre fantasmes et réalités il y a un grand pas. Après être allé le voir chez lui pour « tester » la lope et s’amuser un peu, assez connu dans le monde des rencontres, Maître Max n’a pas eu de mal à trouver dans son relationnel trois autres personnes branchées BDSM gay pour aller avec eux en Espagne. Parmi elles, il y a Master Paul et son ami Lucas qui est switch et Mamadou qui est blanc de peau mais surnommé ainsi pour la taille de son service trois pièces, toujours volontaire pour péter des rondelles.  

Bien que Damien ait proposé de tout payer, les invités participent aux frais de transport à bord d’un monospace loué pour la circonstance. Pendant le trajet pour aller de Lyon au gîte, le soumis aux anges continue de les allumer. L’excitation rend parfois dingue et fait oublier la prudence....

A peine descendus de la voiture, Maître Max prend les choses en main ou plutôt en laisse. Damien se retrouve à poil avec un collier autour du cou devant les propriétaires du gîte. Pendant le pot de bienvenue, pris en gamelle pour Damien, les discussions vont bon train. La laisse du chien est détachée pour qu’il aille décharger les bagages. Les invités constatent qu’effectivement, les « activités » sont quasiment sans limite au gîte. La femme du patron n’a pas été offusquée de servir à boire au chien et a l’air « blindée ».   

Lorsqu’ils arrivent au gîte qui a été préparé pour eux, les invités ne sont pas déçus ! ! ! Sur la terrasse il y a deux piloris. Un est en version Moyen-Âge, l’autre en version esclave à baiser le soumis se retrouvant bloqué par les membres à quatre pattes cul offert. A côté, se trouve le  « banc de la défonce » permettant de bloquer une personne en position diaper. Autant dire qu’une fois la dessus, la voie est très accessible. Une niche de grande taille a également été installée à côté de la piscine. (HUMOUR Normal, en français Chien et niche contiennent les mêmes lettres)

A l’intérieur du donjon, un chaise percée recouverte d’un abattant WC les amusent mais ce qui les surprend, c’est le lit à baldaquin avec des anneaux de partout et son lit cage.

- Cela vous plait ? Demande Damien    

- Mais on est où ici ? Demande Mamadou étonné de ce décor si particulier !

- Au gîte fétichistes !

- C’est assez surprenant répond Master Paul.

- Je prendrai bien une douche, le chien profite d’être encore debout pour venir m’aider !

Damien tiré par la laisse se retrouve dans la douche avec son Maître qui lui impose de se mettre à quatre pattes et de lui servir de chaise de bain. L’idée plaisant aux invités, il ne sortira de la salle de bain qu’après que tout le monde ait pris sa douche. Ses premiers pas de lope sont, pour l’instant, assez soft même si il a du lécher des culs et des pieds pour vérifier qu’ils s’étaient bien lavés. Là où Damien c’est un peu affolé, c’est devant la taille du mandrin de Mamadou.

Ce lieu si particulier donne des envies, Damien est conduit au « banc de la défonce » où, allongé sur le dos, entravé et menotté il a perdu de sa superbe. Pendant que les doigts de Master Paul jouent les spéléologues dans le cul bien offert, Maître Max se fait tailler une pipe. Les doigts fouilleurs font rapidement place à une bite très motivée, huit heures de route avec une lope qui rêvait de se faire sauter, cela donne des envies. Faisant de l’oeil à Mamadou, Lucas profite que Max a laissé la place pour se faire préparer le cul par la langue de Damien en faisant un facesitting.

Pendant que Mamadou et Lucas s’envoient en l’air, Maître Max et Master Paul prennent une bière. Abandonné sur le « banc de la défonce » Damien se désespère de ne pouvoir en prendre une avec eux, mais son avis.... En guise de bière, une demi-heure plus tard, lorsqu’il voit Lucas enjamber sa tête pour un facesitting, il refuse de lécher le cul qui vient de se faire défoncer. Ses réfutations sont très mal prises ! Maître Max prend un paddle accroché à l’étagère des accessoires pour le motiver. La fessée au paddle, cela pique mais en position diaper, c’est hard ! Master Paul rejoint son ami fesseur et entreprend de malaxer d’une main ferme les précieuses de Damien.

Entre deux cris, le désespéré cède et, comme si sa vie en dépendait, lape le cul chargé de lubrifiant et pas très propre. Très excité par ce qu’il voit, Mamadou enfile un préservatif et vient, à sa façon et avec sa bite 26 x 6 expliquer à Damien qu’il doit faire des efforts. Dilaté, défoncé, ramoné aussi bien en profondeur qu’en largeur, il « chante » plus qu’il ne lèche. Libéré et porté pour cause de manque d’énergie jusqu’à la niche où il est attaché, Damien s’y réfugie bien volontiers.  

Pendant le repas, pris avec les propriétaires du gîte, le chien manque à l’appel. Deux gamelles sont apportées à Damien, une d’eau l’autre contenant une sorte de pâtée faite avec ce qu’il y a au menu du soir. Le Maître des lieux leur demande si ils vont le faire dormir dehors ou dans la cage sous le lit en précisant que les nuits sont fraîches. Pour protéger son gîte d’éventuelles fuites urinaires, il leur donne une couche pour personne incontinente ce qui les amusent. De fait, en redescendant à leur gîte, le chien est détaché et mis en couche avant d’être bouclé sous le lit.

Le samedi matin, le petit déjeuner a été déposé sur la table de la terrasse du gîte. Encore une fois, Damien n’a pas pu manger normalement. Equipé de genouillères et moufles, hormis un petit séjour de deux heures au pilori, il va vivre en chien toute la journée. Vers midi, après les avoir vu « s’amuser » sur la balançoire, il prend place sur le « banc des plaisirs » suspendu à la poutre de la balançoire. Il doit attraper avec sa bouche une bite tendu face à lui à chaque balancement. Ne vous y trompez pas, Maître Max ne le fait pas balancer de façon conventionnelle mais à coup de grandes claques.

Pendant le repas pris à 14 heures, Maître Max discute avec le maître des lieux en lui demandant si le sulky servant pour du pony-play peut être adapté pour du chien de traîneau. N’y ayant pas pensé, le maître des lieux leur promet de chercher une solution en précisant « sans garantie ». Après réflexion, il parvient à bricoler quelque chose avec des s a n g l e s et des colliers de plomberie fixés sur les barres du sulky. « Cela n’est pas très esthétique mais devrait fonctionner » lui dit-il en arrivant avec le sulky.

Attelé comme un chien de traîneau, Damien raccompagne son Maître en promenade jusqu’au gîte où il compte bien faire une sieste. Porter et tirer le sulky à quatre pattes est épuisant mais très distrayant comme façon de faire du pony.

- La prochaine fois, on devrait lui attacher les couilles au sulky et le faire tirer comme ça ! Dit Master Paul en affolant le toutou convaincu qu’ils sont capables de le tenter.

Après la sieste, Maître Max découvre qu’il y a des chaînes et des anneaux un peu partout dans les arbres autour du gîte. Il va donc voir le maître des lieux pour voir si il a des idées pour profiter du terrain.

- Vous pourriez organiser une chasse à l’homme. Vous lui laissez un quart d’heure d’avance et après vous le chassez. Libre à vous de décider ce que vous ferez au gibier !

- Vous pourriez me prêter un fouet et des bracelets ?

- Pour les bracelets, prenez ceux de la chambre mais avez-vous déjà fouetté au sens propre du terme avec un vrai fouet ?

- Non jamais !

- Nous allons jouer prudence car cela peut être dangereux pour vous comme pour lui. Je vais voir ce que je peux vous prêter.

Le lâché du gibier nu se fait vers 17 heures. Le maître des lieux confit à Maître Max un mini fouet en lui donnant quelques conseils et en lui disant « attention aux yeux, un fouet peut être détourné et arriver là où vous ne voulez pas et parfois même sur vous ».

Parti sur la propriété, Damien se demande ce qu’ils vont lui faire. Marcher lui pose rapidement un problème, Maître Max lui ayant posé un gros ballstretcher. A chaque pas, ses testicules ballottent. « Si cela dure longtemps, elles vont traîner par terre » se dit le gibier. Rattrapé facilement par les chasseurs s’étant partagés le terrain comme des rabatteurs, le pauvre Damien est ramené aux arbres à chaîne pour y être lié bras et jambes écartés. Maître Max découvre rapidement que le fouet peut être cruel pour celui qui le donne. Malgré tout, il commence à s’habituer à cet instrument au grand dam du gibier commençant à être strié de partout.

Assoiffé, il demande grâce et supplie. La négociation est simple, champagne contre l’arrêt du jeu. Les poignets libérés, la lope peut se mettre à genoux et prendre en bouche la verge de Paul. Derrière lui, Lucas, taquine les précieuses pendantes avec son pied, histoire de motiver la lope. La « collation prise », ils rentrent au gîte pour prendre un apéro plus conventionnel en tirant Damien par sa laisse pour prendre une bonne douche.     
         
Pour la paella, il est décidé de laisser Damien s’asseoir à table, il a mérité une pause syndicale. La nuit se terminera au bord de la piscine où le chien a appris la brasse coulée et la pipe coulée. La problématique fut que l’eau de la piscine et la bière cela donne des envies. Maître Max se rend au donjon pour aller chercher la chaise percée. Installée dans le gazon, avec un système d’évacuation humain, la lope prend plusieurs douches....   

Sa soirée est loin d’être terminée, Mamadou a encore des envies. L’orgie se termine tard dans la nuit après de multiples « « échanges » » sur le sling et sans couche pour Damien, il est trop tard pour aller en acheter. De fait, il peut sortir à quatre pattes pour aller une lever dehors. « Si je te vois te lever comme un humain, je te fouette les couilles » lui avait indiqué Maître Max. Autant dire que le toutou a été obéissant.  

Le lendemain, après s’être bien défoulés, amusés dans le donjon et le jardin, nos acolytes font du tourisme conventionnel ou presque puisque c’est avec un gros plug que Damien fera la visite. Ils se rendent au monastère de pierres, un lieu méritant grandement le détour. Ils profitent également de l’immense parc verdoyant et de ses cascades. Marc leur avait conseillé de bien se chausser car il faut crapahuter un peu, cela va avoir de l’importance pour les aventures de Damien. Même si les arbres et les cascades rendent la visite agréable, les chaussettes sont montées en odeur comme le constatent les Maîtres dans la voiture pendant le retour.

Arrivés au gîte, prises sur la terrasse, les bières bien fraîches sont salutaires pour nos assoiffés. Damien pourra en boire une quand il aura léché les pieds déchaussés et dépourvus de chaussettes. Ils les a trouvés « salés », allez donc savoir pourquoi ! Après une bonne douche, nos acolytes prennent un peu de bon temps dans la piscine où, Damien se doit de faire un peu de plongée pour lécher ci et là^^^.

N’ayant pas envie de faire des courses, Damien n’aura pas à cuisiner puisqu’ils se sont fait livrer des repas à 9,50 euros. Si le repas du chien n’a pas été mixé ni mis en gamelle, puisque les Maîtres avaient oublié ce détail, la lope mange malgré tout à quatre pattes sous la table. Nous dirons que ce n’est pas parce qu’ils manquaient de place, mais que c’était juste pour lui faire plaisir...

Le donjon et sa chambre Love sont un peu comme des aimants pour nos acolytes. A peine entrés, Damien est placé puis entravé sous la chaise percée servant de toilettes humaines. Sa mission est simple, préparer les culs de sa langue et, il l’espère, ne pas avoir à les nettoyer après usage. Il n’en nettoya que deux sans trop de résistance, un pied posé sur vos testicules, cela motive.

Nos acolytes s’étant éclatés entre eux, la fatigue aidant, ils s’occupent rapidement de la lope pour qu’elle ait un minimum de plaisir, mais à leur façon... Traduction ? Sur l’étagère aux accessoires, ils avaient repéré le masque permettant de fixer des chaussettes ou slips parfumés sur le visage d’une personne. Maître Max propose généreusement de prêter son slip et une de ses chaussettes afin que la lope profite de lui toute la nuit et ne se sente pas abandonné.

- Tu ne te sentiras pas abandonné puisque tu vas pouvoir me sentir toute la nuit ! Lui indique Maître Max en faisant bien rire ses complices.

Pour qu’il ne pourrisse pas le lit, il doit mettre une couche avant d’être entravé bras et jambes écartées avec son masque aux fragrances humaines bien serré. La nuit parfumée de Damien n’est qu’une mise en bouche car Maître Max a des projets pour lui le lendemain.

Au petit matin, après avoir pissé dehors, il vient le libérer du lit pour le mettre à quatre patte avant de le faire un bondage l’obligeant à n’évoluer qu’en chien. Pour cela il lui attache les jambes une par une avant de lui poser des menottes qu’il passe dans son collier. Après quoi, il lui retire le masque avec son slip et sa chaussette mouillée puis la couche pleine d’urine. Cette dernière est alors placée sur son visage et fixée avec du scotch d’emballage.

- Pour te faire plaisir, et surtout pour que tu ne dises pas que je ne suis pas gentil, je vais placer les clés des menottes aux pieds de la table qui se situe dans la cabane naturelle au fond du verger. A ton retour, tu pourras déjeuner et prendre une douche. Attends, on ne peut pas te laisser le cul exposé à l’air, il faut le combler un minium. Cette queue de chien t’ira à ravir, c’est à peine si tu le sentiras passer. Bonne balade la lope ! Conclu Maître Max avant d’aller se faire un café.

Si il aime bien se faire loper et faire le chien, le pauvre Damien n’est pas au bout de ses peines. En effet, la couche détrempée posée sur son visage ne lui permet quasiment pas de voir. A cela se rajoute que, pour aller au fond du verger à quatre pattes, le trajet va être fort long. C’est lorsqu’il quitte la terrasse où il a été soigneusement équipé, qu’il prend conscience que la rosée matinale va être infernale pour lui. Même si Marc entretient le verger quasiment comme le parc, les herbes y sont plus hautes. Mouillées et fraîches, elles deviennent cruelles avec lui.

La lope transformée en chien est un train de vivre un de ses fantasmes, sauf que, le trajet fort long et avec les herbes mouillées, cela change la donne et c’est de suite moins amusant. En plus, l’herbe fraîche cela donne envie de pisser. C’est à mis chemin, fatigué et surtout par manque de courage qu’il se soulage comme une chienne. C’est dans ce moment d’abandon que sa queue décide de faire bande à part. Cela l’inquiète car Maitre Max risque de ne pas apprécier et de le punir pour ça si il l’apprend. Bien décidé à éviter la punition, Damien presse le pas, ou plutôt, les pattes. C’est en arrivant à la table placée sous la cabane naturelle, qu’il découvre quarante minutes plus tard que Maître Max ne lui a pas laissé les clés des menottes.

Serrer les fesses en revenant ne suffira pas à son anus, « bien usiné » les jours précédents à contenir son envie naturelle dit « solide ». Pour ne pas arriver le cul crade, il en est réduit à se frotter comme une chienne en chaleur dans les herbes. C’est en puisant dans ses réserves de courage qu’il reprend son périple canin. Au passage, il récupère la queue de chienne par très propre qu’il nettoie dans les herbes afin que Maître Max ou ses complices ne lui fassent pas laver avec sa bouche. Tant bien que mal, c’est vers 9h30 qu’il arrive à la terrasse du gîte où les acolytes prennent leur petit déjeuner.

C’est après presque deux heures de marche en chien qu’il est libéré et peut enfin boire ! Boire et déjeuner, après l’effort un peu de réconfort ne peut pas faire de mal, a estimé Maître Max.

- Bien la lope, il ne te reste plus qu’à ranger tes affaires et à faire le ménage, qui, je te le rappelle, est à la charge des locataires. Je t’invite à ne pas trop tarder car nous devons rendre le gîte et le donjon en parfait état de propreté. Je subodore sans trop de risque d’erreur, que Marc se ferait un plaisir de te punir au fouet si c’est mal fait. Je te laisse imaginer sa réaction si je lui disais que tu as mal fait le ménage par pure provocation... ! Lui indique Max avant d’aller faire quelques achats chez ABCplaisir.

C’est avec une pointe de regret et après l’état des lieux sans imperfection...., qu’ils prennent le chemin du retour. Par prudence, la lope ne conduira pas, mais sur l’autoroute, à l’arrière entre les sièges, elle officiera un peu de la bouche.   

FIN

TSM

- Si Marc existe réellement
- Si le gîte fétichistes existe réellement
- Si il est possible de vivre ce type d’aventure au gîte fétichistes
- Cette histoire est totalement fictive. Son but est de vous donner un exemple de ce qu’il est possible de vivre au gîte fétichistes
 

Visiter le site du gîte fétichistes en cliquant ICI

Visiter le gîte en vidéo sur Youtube

A gay lope at the fetish lodge

 

A gay lope at the fetish lodge

- Hello

- Yes, hello, I'm calling because I have a few questions about your gîte.

 - But please, what would you like to know?

- I'm a bit embarrassed to ask you these questions, but I'd like to know if you accept human dogs and if this is possible in your home?

- Don't be embarrassed, I've been in the fetish dating business for 40 years, so there's no taboo subject with us. Human dog you say, in other words, is it possible to have farts-play or dogtrainning at the B&B? Well, the answer is yes, without any problem. However, I would advise you to bring knee and elbow pads or gloves, because although some parts are, let's say, passable, if you go a little further into the property, there are paths or trails with stones.

- Is it really possible to walk around your property like that?

- Yes, it's no problem at all, there's nothing in our way. If you like, we can even serve meals in bowls.

- That's great, and if we're gay, do you have any problems with us playing outside?

- Still not! There's even equipment that lends itself well to fisting and other things like pierced chairs and pilorises. In fact, the equipment you see pictured on the site can be used at your convenience whether you're lesbian, gay or straight, we don't care. 

- Do I still have a question?

- Please do!

- The gîte is limited to 4 people, but what happens if there are 5? Does one of us have to go and sleep in a hotel?

- The restriction is due to the fact that we only have two large beds and, for legal reasons, we can't accept tents or caravans.

- Yes, but you have a special bed that allows you to sleep underneath! If I count correctly, that makes 5 places.

- Let's get straight to the point, you'd like to come with 5 people and are asking me if we can work something out?

- Yes, that's it!

- As long as one of you agrees to sleep somewhere other than in a conventional bed, we could adapt the rental package.

After this telephone conversation, Damien decided to book the gîte for a weekend in July. In reality, he was on his own for the moment. His idea was to offer a weekend at the gîte to two gay Masters and to be their lope. For the next two months he's been scouring gay forums and sites, as well as Fessestivites and Abkingdom, where he's come across a few ABDLs interested in BDSM.

On Fessestivites he found a very kinky gay dom who agreed to accompany him to the gîte and look after the lope. To make sure he didn't get the wrong end of the stick, Maître Max asked him for a copy of the booking and then phoned the gîte. The gîte confirmed that a booking had been made but refused to reveal the identity of the tenant. After some discussion, the gîte simply told him that the person had booked, presumably, for a gay BDSM weekend. Despite further enquiries, the gîte respected the customer's anonymity.

Poor Damien....

Poor Damien, because during telephone conversations, which were only one-handed, he revealed his fantasies of being a dog and bitch in a hard BDSM version. There's a big step between fantasy and reality. After visiting him at his home to 'test' the lope and have a bit of fun, Master Max, who is fairly well known in the dating world, had no trouble finding three other gay BDSM enthusiasts to go with them to Spain. Among them are Master Paul and his friend Lucas, who is a switch, and Mamadou, who is white by skin but nicknamed for the size of his three-piece wardrobe, and who is always willing to fart pucks.

Although Damien had offered to pay for everything, the guests contributed to the cost of transport in a minivan hired for the occasion. During the journey from Lyon to the gîte, the submissive angel keeps on lighting them up. Excitement can drive you crazy and make you forget to be careful....

As soon as we got out of the car, Maître Max took matters into his own hands, or rather, his leash. Damien found himself naked with a collar around his neck in front of the owners of the gîte. During the welcome drink, taken in a bowl for Damien, the discussions are going well. The dog's lead was untied so that he could unload the luggage. The guests noticed that there were virtually no limits to "activities" at the gîte. The owner's wife had not been offended by serving the dog a drink, and she seemed "armoured".  

When they arrived at the gîte, which had been prepared for them, the guests were not disappointed! ! ! There are two pilorises on the terrace. One is a medieval version, the other a slave version, where the submissive is locked in place by his four-legged legs with his arse offered to him. Next to it is the "high bench", used to hold a person in the diaper position. Suffice to say that once you're on it, the way is very accessible. A large niche has also been installed next to the swimming pool (HUMOUR Normal, in French Chien and niche contain the same letters).

 Inside the dungeon, a perforated chair covered with a toilet seat amuses them, but what surprises them is the four-poster bed with rings everywhere and its cage bed.

- Do you like it? asks Damien   

- But where are we here? asks Mamadou, amazed by this very special setting!

- At the fetishist lodge !

- It's quite surprising," replies Master Paul.

- I could do with a shower, but the dog's still up and about to help me!

Damien was pulled by the leash and found himself in the shower with his Master, who forced him to get down on all fours and use him as a bath chair. The guests liked the idea and he didn't come out of the bathroom until everyone had had a shower. His first steps as a lope are, for the moment, fairly soft, even if he has to lick asses and feet to check that they've washed properly. Where Damien went a little crazy was the size of Mamadou's chuck.

Damien was taken to the "stoner's bench" where, lying on his back, shackled and handcuffed, he had lost his superbness. While Master Paul's fingers play spelunker in the well offered ass, Master Max gets a blow job. The digging fingers quickly gave way to a highly motivated cock, eight hours on the road with a slut who was dreaming of getting fucked, that makes you want more. Winking at Mamadou, Lucas takes advantage of the fact that Max has left the room to have his arse prepared by Damien's tongue by doing a facesitting.

While Mamadou and Lucas are having sex, Master Max and Master Paul are having a beer. Abandoned on the "high bench", Damien despairs at not being able to have one with them, but his opinion.... By way of beer, half an hour later, when he sees Lucas straddling his head for a facesitting, he refuses to lick the arse that has just been smashed. His rebuttals are taken very badly! Maître Max picks up a paddle from the accessory shelf to motivate him. Spanking on a paddle stings, but in the diaper position, it's hard! Master Paul joins his teacher friend and begins to knead Damien's precious hands with a firm hand.

Between two cries, the desperate man gives in and, as if his life depended on it, laps up the lube-laden and not very clean arse. Very excited by what he sees, Mamadou slips on a condom and comes, in his own way and with his 26 x 6 cock, to explain to Damien that he must make an effort. Stretched out, fucked, deep and wide, he "sings" more than he licks. Freed and carried for lack of energy to the kennel where he is tied up, Damien happily takes refuge there. 

During the meal with the owners of the gîte, the dog was missing. Two bowls were brought to Damien, one with water and the other containing a sort of pâtée made from what was on the evening menu. The owner asked them if they were going to let him sleep outside or in the cage under the bed, pointing out that the nights were cool. To protect his bed and breakfast from possible urine leakage, he gave them a nappy for incontinent people, which amused them. In fact, on the way back to their gîte, the dog was untied and put in a nappy before being buckled under the bed.

 On Saturday morning, breakfast was laid on the table on the gîte terrace. Once again, Damien was unable to eat normally. Equipped with kneepads and mittens, apart from a short two-hour stay in the pillory, he lived like a dog all day. Around midday, after watching them having fun on the swing, he took his place on the "bench of pleasures" suspended from the swing beam. He has to grab a cock stretched out in front of him with his mouth every time he swings. Don't be fooled, Master Max doesn't swing him in the conventional way, but with big slaps.

During lunch at 2pm, Maître Max had a chat with the owner, asking if the sulky used for pony-play could be adapted for sled dogs. Not having thought of this, the owner promised to look for a solution, adding "without guarantee". After some thought, he managed to cobble together something using plumbing sockets and collars fixed to the bars of the sulky: "It's not very aesthetic but it should work", he told her as he arrived with the sulky.

Harnessed like a sled dog, Damien takes his Master for a walk back to the gîte, where he plans to take a nap. Carrying and pulling the sulky on all fours is exhausting, but a very entertaining way to pony up.

- Next time, we should tie his balls to the sulky and make him pull it like that! says Master Paul, scaring the pooch into believing that they are capable of tempting him.

After his nap, Master Max discovered that there were chains and rings all over the trees around the gîte. So he went to see the owner to see if he had any ideas on how to make the most of the area.

- You could organise a manhunt. You give him a quarter of an hour's head start and then you chase him. It's up to you what you do to the game!

- Could you lend me a whip and some bracelets?

- For the bracelets, take the ones in the bedroom, but have you ever been whipped in the true sense of the word with a real whip?

- No, I haven't!

- We're going to play it safe because it could be dangerous for you as well as for him. I'll see what I can lend you.

The naked game was released at around 5pm. The landowner gave Maître Max a mini whip, giving him a few tips and telling him to "watch your eyes, a whip can be diverted and end up where you don't want it to and sometimes even on you".

As he set off across the estate, Damien wondered what they were going to do to him. Walking quickly became a problem for him, as Master Max had fitted him with a large ballstretcher. Every time he took a step, his testicles jiggled. "If this goes on much longer, they'll be dragging on the ground", he says to himself. Easily caught by the hunters who had shared the field like rabbit hunters, poor Damien was led back to the trees by chain to be tied with his arms and legs spread wide. Master Max soon discovers that the whip can be cruel to the person who uses it. Despite this, he begins to get used to the instrument, much to the annoyance of the game, which is beginning to be streaked all over.

Thirsty, he begs for mercy. The negotiation was simple: champagne in exchange for an end to the game. With his wrists freed, the lope can get down on his knees and take Paul's penis in his mouth. Behind him, Lucas teases the precious danglers with his foot, just to motivate the slut. Once they've had their "snack", they head back to the gîte for a more conventional aperitif, pulling Damien by his lead to take a good shower.

For the paella, it was decided to let Damien sit at the table, as he had earned a union break. The night ended by the pool, where the dog had learnt the sunken breaststroke and the sunken pipe. The problem was that pool water and beer make you want to drink. Master Max went to the dungeon to fetch the pierced chair. Set up on the lawn, with a human drainage system, the slut takes several showers....  

Mamadou's evening is far from over, and he still has his cravings. The orgy ends late into the night after many "exchanges" on the sling and without a nappy for Damien, it's too late to go out and buy some. In fact, he's able to get out on all fours to get up outside. "If I see you stand up like a human, I'll whip your balls," Master Max told him. Suffice to say, the doggie was obedient. 

The next day, after having had a great time in the dungeon and the garden, our companions went on a conventional sightseeing tour, or almost a conventional tour, since Damien took a big plug. They visit the stone monastery, a place well worth the diversions. They also enjoyed the immense green park and its waterfalls. Marc had advised them to wear good footwear, as they would have to do some climbing, which would be important for Damien's adventures. Even though the trees and waterfalls made the visit pleasant, the socks had gone up in smell, as the Masters noticed in the car on the way back.

When we arrived at the gîte, the cold beers on the terrace were a welcome relief for our thirsty guests. Damien was able to drink one after he had licked his bare feet and no socks. He found them "salty", so who knows why! After a good shower, our companions have a good time in the pool where Damien has to do a bit of diving to lick this and that^^^.

Damien didn't feel like shopping, so he didn't have to cook, as they had meals delivered for €9.50. Although the dog's meal was not mixed or put in a bowl, as the owners had forgotten this detail, the lope nevertheless ate on all fours under the table. We'd say it wasn't because they were short of space, but that it was just to please him...

The dungeon and its Love room are like magnets for our acolytes. As soon as they enter, Damien is placed and then shackled under the pierced chair used as a human toilet. His mission was simple: to prepare the asses of his tongue and, he hoped, not have to clean them after use. He only cleaned two of them without too much resistance, a foot on your testicles, that's motivating.

Our acolytes having had a blast with each other, with fatigue helping, they quickly took care of the slut so that she could have a minimum of pleasure, but in their own way... Translation? On the accessory shelf, they had spotted the mask used to attach scented socks or briefs to a person's face. Master Max generously offered to lend his briefs and one of his socks so that the slut could enjoy him all night and not feel abandoned.

- You won't feel abandoned because you'll be able to smell me all night long! says Master Max, making his accomplices laugh.

To make sure he doesn't rot the bed, he has to put on a nappy before being shackled arms and legs apart with his human-scented mask on tight. Damien's fragrant night is just an appetiser, because Master Max has plans for him the next day.

Early in the morning, after pissing outside, he comes to free him from the bed to put him on all fours before doing a bondage forcing him to evolve only as a dog. To do this, he tied his legs together one by one before handcuffing him and threading them through his collar. He then removed the mask with her pants and wet sock, and the nappy full of urine. This is then placed over her face and secured with packing tape.

- To please you, and above all so that you don't say that I'm not nice, I'm going to place the keys to the handcuffs at the foot of the table in the natural hut at the end of the orchard. When you come back, you can have lunch and take a shower. Wait, we can't leave your arse exposed to the air, we've got to fill it in a bit. This dog's tail will look great on you, and the rosebud is so small you'll hardly feel it. Enjoy the ride, bitch! Concluded Master Max before going to make himself a coffee.

While he enjoys being loped and acted like a dog, poor Damien is not at the end of his troubles. The soggy coat on his face means he can barely see. What's more, it's going to be a long way to get to the bottom of the orchard on all fours. It was when he left the terrace where he had been carefully equipped that he realised that the morning dew was going to be hell for him. Although Marc tends the orchard in much the same way as he does the park, the grass here is taller. Wet and fresh, they become cruel to him.

The lope transformed into a dog is living out one of his fantasies, except that the long journey and the wet grass change the situation and make it less fun. Plus, fresh grass makes you want to pee. It was on the way, tired and above all lacking courage, that he relieved himself like a dog. It was during this moment of abandonment that his tail decided to go its own way. This worries him because Maitre Max might not appreciate it and will punish him for it if he finds out. Determined to avoid punishment, Damien presses his pace, or rather, his paws. When he arrived at the table under the natural hut, he discovered forty minutes later that Master Max had not left him the keys to the handcuffs. 

Tightening his buttocks on the way back wasn't enough for his anus, which had been "well machined" over the previous few days, to contain his natural urge for what he called "solid sex". To avoid arriving with a dirty arse, he was reduced to rubbing himself in the grass like a bitch in heat. Drawing on his reserves of courage, he resumed his canine journey. In the process, he retrieves the bitch's tail, which is not very clean, and cleans it in the grass so that Master Max or his accomplices don't make him wash it with his mouth. As best he could, it was around 9.30am that he arrived at the terrace of the gîte where the acolytes were having breakfast.

After almost two hours of dog-walking, he was freed to drink at last! Drink and breakfast, after the effort a bit of comfort can't do any harm, thought Master Max.

- Well, Bitch, all that's left for you to do is put your things away and do the housework, which, I would remind you, is the responsibility of the tenants. I suggest you don't delay too long, as we have to leave the gîte and the dungeon in a perfectly clean state. I suspect, without too much risk of error, that Marc would be delighted to punish you with a whip if it's not done properly. You can imagine his reaction if I told him that you'd done the housework badly out of sheer provocation... ! Max tells him before going off to do some shopping at ABCplaisir.

It was with a touch of regret that they set off on their return journey, after a flawless inventory..... To be on the safe side, the Bitch won't be driving, but on the motorway, in the back between the seats, she'll be officiating with her mouth.  

END

TSM

- If Marc really exists

- If the fetish bed and breakfast really exists

- If it is possible to experience this type of adventure at the Gîte Fetichistes

- This story is completely fictional. Its aim is to give you an example of what it's possible to experience at the gîte fétichistes.

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mercredi 7 juin 2023

Les libertins se lâchent au gîte fétichistes

Le donjon et les installations du gîte fétichistes donnent aux libertins des envies de BDSM sexuel

 

Pilori

Ces deux couples libertins se connaissent depuis des années. Ultra complices et en totale confiance, entre eux, ils pratiquent sans préservatif. Ce n’est pas la première fois qu’ils partagent des vacances, l’année précédente c’était au Cap dAgde mais comme les prix explosent et que tout devient payant, agacés ils ont décidé de changer de destination.

Dès leur arrivée, ils sont agréablement surpris par l’accueil malgré l’heure tardive. Une présentation rapide des lieux puis du donjon et de l’appartement leur est faite. Sur la table du salon ils trouvent avec le code wifi et le classeur des conseils d’usage, une rose pour chacune des femmes ainsi que le classeur des vraies bonnes mauvaises idées.

Ils constatent que les repas commandés à 9,50 euros sont bien au réfrigérateur, qu’une baguette de pain est posée sur la cuisinière. La climatisation est également allumée et les lits sont prêts. Marc leur indique que les papiers et la suite de la visite se feront le lendemain quand ils se seront reposés. 

Nos amis libertins prennent une douche salvatrice avant de se jeter sur le repas. Entre l’entrée et le plat se réchauffant au micro-onde, Paul commente en rigolant ce qu’il a découvert dans le classeur des Vraies Bonnes Mauvaises idées.

- C’est complètement fou cette ouverture d’esprit qu’ils ont ici. Dans le classeur, il y a quasiment des idées et scénarios pour tous les fétichismes ou presque. J’ai bien aimé l’idée de la chasse à la soumise. Franck, je te propose que demain nous lâchions une de nos femelles sur la propriété, le premier qui la trouve se la saute sur place. Qu’en penses-tu ?

Avant même que Franck ait le temps de répondre, les filles s’insurgent, elles ne sont pas des femelles, encore moins du gibier ! Même si elles savent pertinemment qu’il plaisantait et ne leur manquait pas de respect, elles le menacent de représailles.

- Chéri, j’ai lu sur le site du gîte qu’ils peuvent garder les clés des cages de chasteté, j’ai bien envie de te mettre sous cage de chasteté et de leur confier les tiennent ! Menace Martine l’épouse de Paul.

- Je ne l’ai pas emmenée ! Répond Paul au tac au tac.

- Moi si ! Lui répond Martine.

Lucie provocatrice dans l’âme surenchérit et déclare qu’être traitée de gibier l’a profondément blessée. Excitée depuis leur arrivée, elle propose d’aller visiter le donjon en détail puis de mettre Paul sur la croix de Saint André pendant qu’ils s’amusent tous les trois dans la chambre LOVE.

Ce soir là, après les heures de route, hormis un bain naturiste dans la piscine, ils font qu’un petit tour dans le donjon où ils s’excitent à l’avance.

- J’adore ce lieu et tout ce matériel, je sens que l’on va s’éclater mon amour ! Déclare Paul à sa femme parfois dominatrice sous la couette.

- Martine, j’ai comme l’impression qu’il est en demande ton chéri, on le fait dormir dans le lit cage ? Demande Lucie. Comme ça, il n’y aura pas besoin de chasser, on l’aura déjà sous la main.

- On va peut-être attendre demain, mais l’idée me plait bien. Il a intérêt à être sage et gentil avec celle qui pourrait bien devenir une sévère domina…. ! Réponde Martine amusée.

Après quelques bisous de principe, nos libertins ne tardent pas à se coucher dans les deux lits king size superposés. Réveillé au chant des oiseaux, Paul est le premier à se lever. Il sort discrètement du gîte sans trop ouvrir la porte pour que le soleil ne réveille pas tout le monde. C’est avec la trique encore au garde-à-vous qu’il retourne au donjon après avoir « « levé la patte » » aux pieds des arbres. Rapidement excité par les lieux et le matériel, ce n’est pas l’envie qui lui manque de diminuer la « pression » intracrânienne. CAD l’envie de jouer avec ce qui sert à ??? Vous avez deviné ? Bon, je continue le récit !

Il revient donc « sagement » au gîte pour préparer la tournée générale de café. Pendant qu’il coule, il va installer les bols et de quoi grignoter sur la terrasse. A son retour, les coquins commencent à bouger et prennent leur ticket, comme à la sécu, pour passer à la salle de bain faisant également office de lieu dédié au dépôt de bilan. (Les toil…) 

Lorsque Marc les aperçoit en se rendant au potager dans une tenu ultra fétichiste, baskets trouées, chaussettes usées et short même pas assorti au tee-shirt vintage, il leur fait un coucou de la main avant de poursuivre son chemin. Hélé par les filles à moitié nue et les hommes à poil, il vient donc discuter avec eux en les regardant comme si ils étaient vêtus de tenue de sport. CAD il n’en avait rien à faire de leur nudité.

La discussion porte dans un premier temps sur les lieux à visiter, les choses pratiques comme le tabac et les courses alimentaires. (A croire que le classeur posé sur la table du gîte avec toutes ces infos ne sert à rien MDR) A la suite de quoi, la discussion porte sur les installations et sur les propositions de jeux possibles en extérieur. Que n’avaient-ils pas fait là que d’entraîner Marc sur ce sujet ? ? ?

Vingt minutes plus tard, il n’y avait pas que les yeux des filles qui brillaient du feu du désir, feu animé par un vent de perversité force 8. Chasse à la soumise ou au soumis ont été abordé tout comme la possibilité d’installer le banc à fessée dehors pour autre chose que les punitions. Il leur explique qu’il est possible de planter 4 pieux dans le gazon pour entraver une fille ou un homme bras et jambes écartés et fesses en l’air, d’utiliser le hamac de la piscine comme un sling, de faire un ou des Espaces game coquin, de faire ….. 

Paul demanda alors à Marc de terminer la visite sommaire du donjon, faite rapidement la veille, pour leur laisser le temps de se reposer. Autant demander à un fétichiste passionné de vous commenter non pas son mais SES fétichismes. Etant ultra ouvert d’esprit, à chaque matériel ou exemple donné, Marc indiquait que cela est utilisable autant pour homme que pour femme. Etant toujours nu, Paul ne put cacher que les explications ne le laissaient pas de marbre.

Pour ne gêner personne et comme il y avait beaucoup de vent, Marc leur conseilla d’aller visiter le célèbre Monasterio de Piedra (Monastère de Pierre) qui est justement bien abrité du vent. Il précisa que le parc méritait le détour mais qu’il est à faire avec de bonnes chaussures. Après ces explications moins érotiques, le bas ventre de Paul se remit au repos.

Ils commandèrent avant de partir « touristiser » le repas du soir mais cette fois dans la salle de restauration. Marc leur proposa de venir choisir dans son potager les légumes bios du repas qu’il leur préparerait. Etonnées, les filles apprécièrent tout comme le fait qu’il leur propose de prendre quelques fruits pour la route dans le verger.

Pendant la journée, il leur prépara une quiche au jambon Ibérique et aux truffes puis du canard en sauce avec des timbales de légumes et quelques frittes. (Frittes de courgettes, frittes de carottes, frittes de pommes de terre).

Vers 17 heures, les touristes libertins rentrèrent avec le sourire smiley posé sur les lèvres. A priori la visite leur avait plus. Douche et piscine + coquineries aquatiques fut leur programme de la soirée en attendant le repas servi à 21 heures.

Pendant le repas à 13 euros pris en salle de restauration, avec le menu comprenant l’apéro et les amuses bouches, nos libertins contèrent leurs impressions avant de passer aux questions habituelles posées par les clients.

Résumé rapide pour ne pas vous ennuyer :

- Qu’est-ce qui vous a incité à venir vivre en Espagne ?

- La macronie, la France qui par en C…, les finances, la sécurité et la convivialité du pays.

- Vous devez en voir des drôles ?

- Oui, mais le principal est que les clients s’amusent, le reste on s’en moque. Le plus amusant ce sont les célibataires qui viennent faire du selfbondage ou des jeux solitaires. Au début ils sont timides, mais juste au début si vous voyez ce que je veux dire.

ET LA, au milieu de la discussion cette fois en présence de l’épouse de Marc, Martine demande devant tout le monde si c’est vrai qu’ils acceptent de garder les clés des cages de chasteté des messieurs ? Autant dire que Paul piqua du nez dans son assiette de fromage inclus également dans le menu ! (Le dernier point n’est pas important mais j’y tenais alors…)

Devant la réponse positive de Marc et son épouse, Martine leur confia un jeu de clé. Autant dire que pendant le repas, Lucie et Franck s’amusèrent aux dépens du futur et chaste vacancier.

Le lecteur doit savoir que dans ce monde de coquins, entre elles, les filles peuvent être de sacrées chipies et même devenir démoniaques pour martyriser un homme. Les femmes peuvent réellement être pire que les hommes en ces domaines.

Comme indiqué précédemment dans le texte, la femme de Paul parfois est dominatrice sous la couette. Oh rien de BDSM, disons qu’elle aime bien gérer et que son chéri fasse ce qu’elle a envie comme elle a envie. Dans leur couple, la cage de chasteté n’est pas vraiment un accessoire de domination et Paul ne la porte jamais très longtemps. Martine la lui impose lorsque elle a ses règles et surtout, lorsqu’elle a envie qu’il s’occupe beaucoup d’elle en lui broutant le minou pendant des heures par exemple. Elle l’a bien menacé de la lui mettre lorsqu’ils vont en club libertin mais n’est jamais passée à l’acte.

Poussée par Lucie désireuse d’en jouer, de s’en amuser, puis par Franck, ravi de s’imaginer passer des soirées avec deux femmes pour lui tout seul, la menace de chasteté perdure. Si bien qu’après le dîner, lorsqu’ils vont au donjon pour explorer plus en détail les accessoires et carcans, la dite cage de chasteté trouve sa place sur le sexe de Paul. Quelques minutes plus tard, il se retrouve entravé nu et encagé sur la croix de Saint André. Les filles l’allument un max et s’en amusent. Elles poussent le vice jusqu’à s’agenouiller pour lui lécher les couilles, le caresser, lui grignoter les tétons ou le dévorer de bisous, le tout en jouant avec sa verge prisonnière dans le tube de la cage. Le pauvre Paul, donc la verge subit la crise du logement, ne peut même pas caresser les furies devenues gloutonnes, que dis-je, des rapaces.

De son côté, Franck a rapproché un magic wand massager du lit baldaquin puis un gode. Allongé sur le lit, il commente les « souffrances » psychologique de Paul tout en caressant sa verge en pleine forme. Jugeant qu’il était temps de passer aux câlins, elles rejoignent Franck pour câliner et s’occuper de la seule verge libre et disponible. L’encagé entravé sur la croix ne peut qu’assister à leurs ébats.

Animée par une certaine perversité, au bout d’une heure de câlins en tout sens, Lucie propose d’installer Paul sous la chaise percée afin qu’il puisse constater, après coup, qu’elles se sont « bien amusées ». C’est Franck qui est chargé de l’entraver sous la chaise percée présentée comme des toilettes pendant que les filles se font un 69 d’anthologie sur le lit de la chambre LOVE.   

Un langue c’est bien, une belle verge en pleine forme c’est mieux s’accordèrent à dire les deux filles ne parvenant pas à se rassasier. Franck du faire des efforts surhumains ce soir là pour ne pas jouir trop vite, ce qui lui aurait imposé une petite pause avant de retrouver un forme « utile » pour les mangeuses d’homme. Sous sa chaise percée et avec l’abatant des WC fermé, Paul ne peut qu’entendre et subir. Ce petit jeu ne lui déplait pas, il aime bien être un peu bousculé de temps en temps. Là, ses fantasmes de cuckold sont donc pleinement satisfaits.

Désireuse de varier un peu les plaisirs, n’ayant jamais testé la chaise percée ni le « toilet Salve » Lucie prend l’initiative que quitter le lit ravagé par leurs ébats pour aller s’asseoir et confier la toilette de son chaton à la langue de Paul. Aux fragrances de l’amour, ce dernier ne tarde pas à constater que la partie était chaude, avant que sa langue le lui confirme. Vicieuse comme pas deux, Lucie lui confie aussi son anus à lécher en plantant ses griffes dans les tétons se trouvant juste sous ses doigts. De leur côté, Franck et son épouse pratiquent la chevauchée fantastique jusqu’à sa conclusion. A leurs cris, Paul imagine qu’il sera bientôt libéré ce qui est une erreur.

En effet, quelques instants plus tard, et sûrement dans un esprit de partage, Martine se lève en mettant sa main en cuillère sous son chaton afin de ne pas perdre du bon jus d’homme qu’elle compte bien partager avec son mari. Comprenant le projet de son amie, Lucie cède sa place sur la chaise percée et Paul voit arriver l’arrière train de son épouse. Alors qu’il rechigne, Lucie pose son pied sur la cage de chasteté et commence à lui écraser les précieuses pour le motiver à laper le précieux liquide qu’elle boit régulièrement.

« Ne te plaint pas, il aurait pu me sodomiser et puis, en temps normal, tu aimes bien me faire avaler ton jus d’homme, tu peux donc le savourer à ton tour » lui crie Martine en plein délire de domina en herbe. Entravé et malmené, Paul n’a pas d’autres choix que de s’exécuter. Il lèche donc le sexe baveux de sa femme avec un léger manque de motivation compensé par un pied de perverse.

En sortant du donjon, l’éclairage de la piscine leur fait l’effet d’un aimant. Nos libertins rassasiés (sauf un) sont tentés par un bain de minuit. Paul est envoyé au gîte pour aller récupérer les serviettes. Pendant son absence les filles complotent et mûrissent l’idée de mettre Paul dans le pilori et de le faire sauter par son ami Franck.

Avant de se coucher, Paul demande à sa femme de lui retirer la cage de chasteté. Mais hélas pour lui, c’est Marc et son épouse qui ont les clés. Les réveiller pour ça n’est pas une bonne idée du tout !

Le lendemain, avant de partir visiter Saragosse, toujours aussi perverse, Lucie demande à Marc de leur préparer un Espace game. Son idée est que l’une d’elle devienne la proie d’un prédateur. Rien que d’y penser elle s’excite. Martine a cédé aux suppliques de son chéri et lui a retiré la cage de chasteté mais en confiant secrètement à nouveau les clés à Marc.  

Sur le chemin du retour après une journée à Saragosse, nos libertins font quelques photos érotiques en mode Urbex dans un hôtel désaffecté. Arrivé au gîte, il est décidé de tirer au sort, pour savoir laquelle des filles sera la proie de l’Espace game. Appelé en renfort, Marc vient donc équiper Lucie de quelques entraves. Il lui conseille de mettre des chaussettes pour ne pas blesser ses jolies chevilles avant de les enchaîner de façon à ce qu’elle ne puisse pas courir. A l’aide d’une autre chaîne et d’un cadenas, il relie les menottes aux chevilles avant de lui donner une enveloppe avec les indices.

Nue et ainsi enchaînée, la prisonnière devenant gibier quitte le donjon avec 15 minutes d’avance. Paul et Franck savourent une bonne bière en compagnie de Martine comme surveillante de l’alarme mise sur le mobile.

De son côté, Lucie savoure le fait d’évoluer nue dans la nature avec des entraves puis d’être le gibier. Cela l’amuse autant que cela l’excite. En même temps, elle aimerait bien gagner et trouver les clés afin que ce soit elle qui décide comment s’orienteront les amours du soir. Sur les conseils de Marc, les chasseurs partent avec une serviette sur l’épaule afin de protéger leur proie à consommer sur place. En effet, un minimum d’hygiène et de confort ne peut pas nuire quand on se fait « violer » par des chasseurs assoiffés de sexe. 

Lucie a réalisé une grande partie de l’espace game lorsque les chasseurs partent chasser la « femelle ». Martine les suit de loin en marchant normalement contrairement aux hommes bien décidés à gagner la partie. L’un des deux est sur la partie haute du terrain, l’autre sur la partie basse comme un rabatteur. Evoluant entre les arbres du verger, Paul a moins de visibilité contrairement à Franck qui est plus dans la « plaine ». En les ayant vu arriver, Lucie se cache entre les vignes située entre la partie basse et haute du terrain. Hélas (ou tant mieux) pour elle Franck l’a aperçue.

Nos deux chasseurs convergent vers le gibier tentant de fuir à petits pas vers ce qu’elle pense être le lieu où se trouvent les clés de ses entraves. Attrapée à bras le corps par Paul, elle ne peut rien faire pour s’échapper et regarde Franck installer les serviettes de bain. Obligée sous la menace d’être confiée à Marc pour une séance de fouet, elle n’a pas d’autres choix que de faire des fellations aux chasseurs avant d’être plaquée au sol. Paul relève les jambes de sa femme afin qu’elle ne puisse plus échapper à la belle trique de son ami.

Etant excitée par le jeu, la pénétration du sauvage dans un mini « marécage » n’est qu’une formalité. Lucie s’éclate à être la victime, à être ainsi défoncée en plein air. C’est grâce à ses cris de plaisir que Martine les retrouve facilement. Secrètement elle se plait à imaginer être à sa place. Si bien qu’elle prend place sur le visage de la proie pour se faire bouffer la chatte en tenant les jambes agitées de tremblements. A défaut de se faire sauter, elle peut au moins se faire brouter. 

- Encule cette salope mon amour, il faut que tous ses orifices soient utilisés ! Ordonne Martine à son mari une fois que Franck a terminé son affaire.

Entre les jambes de Martine on peut entendre crier le mot « salope », la suite est rapidement étouffé par une chatte bien trempée. Paul mouille donc de salive le petit orifice à tarauder sans modération une fois « perforé ». Comme il n’a pas joui depuis 48 heures, autant dire qu’il est motivé. La « pauvre » Lucie a beau essayer de se soustraire à ses ravisseurs et au Priape de Paul, la prise de la pastille, bastille pardon se fait sans trop de soucis. Et pour cause, Lucie aime bien se faire prendre par là. Au bout d’un petit moment, les oiseaux s’étonnent qu’une victime pousse de tels cris de plaisir. Cela leur fera sûrement un sujet de discussion une fois rentrée au nid. 

Après avoir récupéré les clés, nos libertins reviennent tranquillement à leur gîte. Les premiers arbres du verger bénéficient d’une sorte d’engrais bio humain sur le chemin du retour. La douche leur est salutaire tout comme le bain dans la piscine.

………………..

Comme vous le savez, deux filles sont toujours d’accords pour dire du mal d’une troisième mais entre elles, elles ne s’épargnent pas pour autant. Lucie a donc décidé de se « venger » de Martine l’ayant traitée de salope avant de la faire enculer à son tour. Je précise pour le lecteur, que ces vengeances bien réelles sont malgré tout très amicales dans ces jeux.

Sur Fessestivites, Lucie a pu voir un bondage réalisé par Marc pour un couple. L’homme attaché comme un chien est suspendu sous le treuil dans le donjon. Dans la vidéo, Marc fait voir qu’une fois suspendue, la personne peut être utilisée par les deux extrémités de son tube digestif en le faisant tourner. Le lendemain, elle s’arrange pour l’interpeller pour lui demander si il peut, sous prétexte d’un cours de shibari, réaliser ce bondage sur son amie. Lui demander de donner un coup de pouce avec ce cours et de partager une de ses passions n’était donc pas anodin.

Il est 17 heures lorsqu’ils reviennent d’une balade dans le désert des Bardenas Reales. Elle a prévenu ses amis de sa demande de cours de shibari tout en précisant que Martine serait son modèle déclaré volontaire. Si cette dernière sent l’embrouille, elle n’est pas pour autant inquiète, entre elles il n’y a jamais de réelle méchanceté.

Vers 17h30, Marc les rejoint donc pour leur faire voir comment faire rapidement un bondage « en mode chien ». Il se fait aider en leur demandant de faire la même chose que lui à Martine nue et à quatre pattes dans le donjon. Il est vrai que à quatre pour les « pattes » cela va plus vite que quand il n’y a qu’un seul shibariste. A la suite de quoi, il rajoute quelques cordes puis demande à Lucie de faire avancer « la chienne » jusque sous le treuil qu’il fait descendre. C’est là que Martine comprend qu’elle va vivre une suspension et qu’elle s’est faite piéger par son amie.

Marc finalise rapidement son shibari et entreprend donc de faire monter Martine à l’aide du treuil. Il lui demande régulièrement si cela va, si elle a mal quelque part afin d’ajuster quelques cordes.

- Je vais donc vous laisser tranquilles mais avant il faut que je vous donne les conseils de base. Vous devez vérifier que le s a n g circule bien à l’extrémité de ses membres ensuite si elle ne va pas bien, rien que le fait de la faire redescendre et poser sur le sol devrait résoudre le problème. Mes nœuds de suspension n’en sont pas réellement, il suffit de tirer ici et ici pour les défaire. Ensuite, il ne vous restera qu’à faire glisser mes cordes sur ses membres après avoir défait les boucles centrales. Cela peut donc aller très vite. Merci de ne pas lui faire tourner sur elle-même plus d’un tour afin de ne pas enrouler les câbles du treuil. Bonne amusement à vous. Leur indique Marc avant de quitter les lieux.

- Salope tu avais prévu ton coup à l’avance et comploté avec Marc ! Crie Martine. 

- Moi comploter ? Jamais voyons ! D’ailleurs j’ai une petite surprise pour toi. Regarde cette belle queue de chienne, je suis sûre que tu as envie de l’avoir dans les fesses ! Lui répond Lucie avec un sourire pervers posé sur les lèvres.

Avec un plaisir non dissimulé, elle mouille le rosebud de la queue de chienne du donjon avant de le presser contre le délicat petit orifice habitué à du plus gros. Ainsi équipée, Martine ressemble à une chienne au toilettage canin ne tarde pas à faire remarquer Paul amusé, et dont l’état de sa verge ne cache pas ses intentions.

Nos deux compères ajustent la hauteur de la « chienne » afin de profiter des deux côtés de son anatomie. Franck se fait sucer pendant que Paul, placé derrière elle la pénètre avec un plaisir non dissimulé. D’un léger balancement, Lucie s’amuse à la faire prendre et sucer en alternance avant d’installer le fauteuil de Maîtresse sous son amie. Assise, elle peut à loisir attraper ses tétons pour entretenir le balancement.

Après avoir râlé le minimum, syndical, Martine découvre que se faire prendre ainsi suspendue est planant dans les deux sens du terme. En la faisant tourner, Lucie permet aux deux hommes d’alterner les « orifices ». Ce jeu l’amuse un moment mais elle a bien l’intention « d’achever » son amie. Elle quitte donc sa place de perverse voyeuse pour aller chercher un magic wand à poser sur le clitoris, appelé aussi bouton des plaisirs féminins. Et c’est justement un maximum de plaisir qu’elle veut donner à son amie. Il y a quand même pire comme vengeance nous en conviendrons !

Après un certain nombre d’orgasme, Martine demande grâce. Rapidement descendue et libérée, elle s’allonge quasiment sur fauteuil de Maîtresse pour se remettre de toutes ces agréables sensations et jouissances. N’ayant pas encore pris du plaisir autre que cérébral Lucie s’allonge sur le lit de la chambre LOVE pour réclamer son dû, chose que les deux hommes se « dévouent » à lui donner. Réellement épuisée, Martine s’endort pendant les festivités. (Nan, il n’y a aucun rapport avec le super site Fessestivites) 

  La semaine de vacances de nos libertins passe à une vitesse époustouflante. Entre les sorties touristiques en journée, la piscine et les joutes sexuelles le soir les heures semblent être devenues de minutes. Si bien que pour en profiter le plus possible, ils ne commandent plus que les repas du soir à 9,50 euros pour ne pas perdre de temps à aller faire les courses et cuisiner.

Le vendredi, Marc rappelle à Paul qui est fumeur, le principe de l’Eco-tourisme en lui disant qu’à 5,30 le paquet de cigarettes, il serait intéressant d’en prendre quelques cartouches. Paul inquiétait d’être contrôlé et verbalisé par les douaniers français, le principe de l'Eco tourisme lui plait beaucoup. Ils se rendent au tabac du village où Paul achète 6 cartouches que les douaniers ne verront pas. A leur retour, aidé de Malicia, ils font un carton d’expédition comme ceux de la boutique ABCplaisir, Paul se crée un compte Mondial Relais et paye l’expédition de ses cartouches de cigarettes. Son colis ne sera envoyé que le lundi, ce qui leur laisse largement le temps de rentrer en France et de reprendre 2 autres cartouches avant la frontière. Au total, Paul a économisé près de 300 euros, ce qui paye une grande partie de leurs vacances ! 

Pendant qu’il cherchait à faire des économies, les filles complotent un max pour faire une surprise de taille 20 X 5 à Paul. Le pilori est donc sorti du donjon pour être installé près de la piscine. A son arrivé, les inquisitrices ne dévêtissent pour le bloquer dans le pilori. Franck est invité à participer activement à la sodomie de son ami. Si il n’était pas très motivé, quand deux furies gloutonnes s’acharnent sur un homme après lui avoir mis un cockring et fait des promesses de « remerciement » il n’a pas de souci d’érection devant les fesses d’un homme.

N’étant pas encore informé qu’il a été condamné au supplice du Pal, le pauvre Paul ne comprend les intentions des filles que lorsque, tenu par la queue Franck est conduit derrière lui. Son petit cul fut bien lubrifié malgré ses réfutations. Ayant déjà connu le gode ceinture, il allait donc goûter à une belle queue de 20 X 5.

Pour l’aider à accepter plus facilement le « Pal », Lucie passe sous Paul pour le sucer un peu pendant que Martine guide la queue de Franck dans le délicat orifice affolée. A l’aide de gros bisous et de caresses ciblées, la verge de Franck conserve sa « motivation » perforatrice. 

Paul ne put réellement se soustraire tant les filles étaient motivées et motivantes^^^. Une fois emmanché et un peu « ramoné » il commença à apprécier. Ce n’est qu’à ce moment là que Lucie abandonna la fellation du « condamné » pour assister au spectacle d’un homme sodomisé par un autre. Cela l’excita encore plus que d’en avoir parlé et vu sur le net. Elle n’eut pas d’autres choix que de se caresser sans aucune pudeur avant de prendre Martine par la main pour l’accompagner dans le plaisir.

Adorant voir les filles se "gouiner", Franck put se « masturber » autrement qu’avec sa main. En clair, il n’avait plus besoin d’accompagnement psychologique pour continuer d’enculer son ami. Il trouva même qu’un cul d’homme est aussi agréable qu’un cul de femme mais garda cette remarque pour lui. Si bien que les oiseaux perdirent leur latin en assistant à cette débauche bruyante que la piscine gardera en mémoire.

Franck fut grandement remercié pour sa prestation, et Paul fut mis sous cage de chasteté avant d’être libéré du pilori. C’est donc nu et encagé qu’il fut conduit tout honteux à Marc et Malicia pour finir de payer la semaine de vacances. Ce qu’il ne savait pas, c’est que Martine avait récupéré les clés de sa cage de chasteté. ET oui, les filles avaient encore comploté. Elles lui firent croire que Marc les avait placées dans le colis des cigarettes.

Après le repas du soir pris au gîte, ils ne firent qu’un passage éclair au donjon, la fatigue du tourisme et leurs aventures en fut la cause. Cela permis à chacun d’essayer quelques accessoires mais cela ne fut que de simples petits jeux. 

Le lendemain, ils reprirent la route  en se promettant de revenir.

FIN

- Si Marc existe réellement

- Si le gîte fétichistes existe réellement

- Si il est possible de vivre ce type d’aventure au gîte fétichistes

- Cette histoire est totalement fictive. Son but est de vous donner un exemple de ce qu’il est possible de vivre au gîte fétichistes

Visiter le site du gîte fétichistes en cliquant ICI

https://gitefetichistes.com

lundi 5 juin 2023

Une femme découvre la soumission au gîte fétichiste

 


Cela faisait un moment que Paul me parlait de BDSM et, personnellement, cela me faisait peur. Certes, j’avais bien quelques fantasmes coquins mais de là à les vivre... Ce coquin m’a bien eue en me promettant que nous ne ferions que l’amour dans la chambre LOVE !

A notre arrivée, j’étais un peu tendue. Cela n’a pas duré car l’accueil est aussi simple que chaleureux. C’est vraiment l’esprit « vacances » à la campagne qui est mis en avant. Après nous avoir aidé à décharger nos affaires et expliqué rapidement le fonctionnement du gîte, Marc nous a fait visiter sommairement le parc, l’immense verger en nous disant que nous pouvions aller cueillir des fruits, si nous en avions envie ou nous y amuser. Sous-entendu perçut par Paul comme vous le constaterez plus tard.

Jusque là, c’était l’esprit « vacances » à la campagne mais cela n’a pas duré. Après nous avoir fait voir la piscine en nous précisant que nous pouvions y faire du naturisme, il a ouvert une porte donnant sur ce qu’il a appelé : les lieux de perditions. OUF ! C’était la première fois que j’entrais dans un donjon et si cela est excitant à voir sur internet, en réel, c’est troublant.

Marc nous a fait voir pour la climatisation, les jeux de lumières, la télécommande du treuil puis les accessoires et mobilier à notre disposition. A chaque fois, il donnait très sommairement des exemples d’utilité... Les yeux de Paul brillaient d’envie ! Lorsque Marc nous a précisé que nous pouvions aussi sortir du matériel pour jouer ou faire l’amour à la piscine, dans le parc ou le verger, je me suis décomposée en imaginant que mon mari allait avoir ces envies.

Accompagnés à l’accueil, un ancien moulin restauré, pour y faire les papiers, j’étais encore troublée par ce que j’avais vu dans le « lieu de perdition ». Autant dire qu’une fois seuls, Paul n’a pas tardé à vouloir y retourner. Il m’a attrapée et jetée sur le lit de la chambre LOVE pour me dévorer de bisous.

Un bisou en appelant un autre, dans ces lieux grisants, le plaisir charnel semble décuplé.

Comme par hasard, le lit de la chambre love est équipé de menottes permettant d’attacher une personne. Paul a retiré ma culotte et m’a donc entravée les bras et jambes en croix pour continuer de me dévorer de bisous et caresses. Il m’a soudain abandonnée pour aller chercher un gros vibro dans les X sextoys du donjon. Branché à la rallonge fixée à la tête du lit, j’ai du « subir » ses attaques sensuelles sans même pouvoir le caresser à mon tour ni même, l’étreindre.

« Obligée » de subir un tsunami de caresses, de bisous avec en plus, un truc qui vibre contre votre bouton magique, cela donne des envies de plus. J’ai fini par lui dire de me prendre tant j’étais excitée. Il n’a pas tardé et, pour la première fois, je me suis vue dans le miroir situé au dessus du lit. J’ai découvert les fesses de mon mari en pleine action mais aussi que mon visage peut être très expressif...

Paul avait commandé le repas livré dans le réfrigérateur du gîte. Si bien qu’après la douche, j’ai mis la table et réchauffé le repas au micro-onde. Mon mari n’avait pas l’air d’avoir faim et n’avait pas encore pris sa douche. Il lisait et sa lecture semblait passionnante au point de m’oublier ! ! ! J’ai compris la raison de cette soudaine passion pour la lecture, quand il est allé prendre sa douche.

Sur la table du gîte se trouvent deux classeurs. Un avec toutes les infos pratiques et touristiques pour les touristes, l’autre appelé « le classeur des vraies bonnes mauvaises idées ». C’est en quelque sorte le tutorial pervers des installations coquines. Mon mari avait trouvé un mode d’emploi pour libérer ses envies sadiques ! ! ! Bon, j’avoue que certaines des idées du classeur sont troublantes...

La route nous ayant fatigué, nous n’avons pas traîné à essayer le lit king size. Un bisou et trente secondes plus tard, Paul dormait me laissant seule avec mon temps d’insomnie. J’avais envie de retourner lire le classeur maudit, juste.... pour tuer le temps en attendant que Morphée s’occupe de mon cas. Lire a mis le feu aux poudres de ma libido. Mes doigts coquins ne sont pas parvenus à « m’achever », une douce somnolence a fini par envahir. Au lieu de profiter du lit king size, je me suis lamentablement endormie sur le canapé avec la lumière allumée.

Le lendemain, Marc nous a conseillé d’aller visiter le Monastère de Pierre en nous indiquant que ce serait une bonne stratégie, à cause du vent très fort ce jour là. Après 40 minutes d’autoroute gratuite, cela change, nous sommes arrivés à destination. Ouah ! Ce lieu est lui aussi magique ! Après la visite de l’abbaye grandiose, nous avons visité le parc et ses cascades. Ce lieu est géant, frais et abrité du vent. C’est un peu fatiguant pour les petites jambes habituées aux ascenseurs. Marc nous avait prévenu des horaires espagnols, nous n’étions donc pas inquiets en arrivant au restaurant en début d’après-midi. Pour 15 euros nous avons pu apprécier un bon repas servi rapidement. A priori, ils n’aiment pas faire attendre les clients ou sont mieux organisés pour le service, cela change.

Pour revenir au gîte, nous avons essayé un autre itinéraire fort sympathique, passant de zones ultra boisées à des zones quasi désertiques. Les contrastes sont surprenants. En arrivant, Paul m’a proposée de prendre un bain à la piscine puis de se reposer. Reposer, mon oeil... J’ai rapidement été attaquée par un requin coquin et affamé. Il a osé, essayé de me manger mais j’ai refusé par peur que Marc nous voit. En guise de câlins aquatiques, je me suis laissée bloquer dans le pilori du donjon.

Rapidement dévêtue, et pour cause je n’avais qu’un bas de maillot, je me suis faite traiter de sorcière par le grand inquisiteur bien décidé à essayer quelques instruments. Après avoir désinfecté et recouvert d’un préservatif le petit plug de chienne, il me l’a logé dans les fesses en me disant que la petite queue m’allait très bien. Le mufle !

Ce n’était pas la première fois qu’il me mettait un petit truc dans les fesses, mais me faire prendre debout, entravée avec un truc dans l’anus m’a faite décoller très vite. Chacun de ses mouvements était comme décuplé derrière. C’est là que j’ai commencé à trouver que le BDSM, ce n’est pas si inintéressant que ça dans la réalité. En effet, cela faisait deux fois qu’il me faisait l’amour en deux jours, et deux fois que... que c’était bien bon !

Le repas du soir fut pris dans la salle de restauration du gîte avec les propriétaires. Supers zens, ils nous ont parlé de leurs mésaventures, des surprises en arrivant au moulin. Il nous ont indiqué ne pas regretter un seul instant d’avoir quitter la France. Nous avons compris rapidement pourquoi pendant notre semaine de vacances. Ici la vie est moins chère, les gens sont zens. Le repas, servi sur assiette ressemblait à celui d’un trois étoiles ! Pour treize euros tout compris, c’était franchement bon et copieux.

Le lendemain, nous avons continué de « touristiser » en allant au marché de Saragossse sur les conseils de Marc et son épouse. Constat cruel : quand les prix sont de folie et ultra bas, on dépense plus ! Bon en même temps, j’ai deux ans d’avance pour les fringues. RIRE !

Arrivés au gîte, après un énième resto cette fois à 12 euros par tête, puis une première exploration de Saragosse, la piscine nous tendait les bras. Et mes fesses devaient les tendre aussi à mon mari désireux de jouer les requins toujours affamés. Devant mon refus, la pudeur... il m’a dit que cela mériterait une fessée.

« Hummmm, voilà une bonne idée, mais sur le banc à fessée » fut ma réponse. Paul fut surpris car je n’avais jamais osé lui parler de ce fantasme. Conduite au donjon puisque nous avions la clé, je fus donc entravée sur le banc à fessée puis, punie pour provocation.

Aie, aie, aie au début, mais, au bout d’un moment, j’étais comme dans une bulle. Quand Paul s’est arrêté en voyant mes fesses rougir « sérieusement » d’après lui. L’inconsciente lui a dit « c’est tout » ?

Que n’avais-je pas dit là ! Il a attrapé le paddle Fessestivites et j’ai dégusté au départ avant d’entrer à nouveau dans la bulle d’une « masochiste des fesses qui se découvre ».

Le repas du requin étant servi et entravé sur un banc à fessée, les deux côté de mon tube digestif ont été utilisé même si, derrière, je n’aime pas trop. Là, ce fut différent, peut-être que le fait d’être entravée décuple mes plaisirs.

La suite des vacances c’est déroulée sur le même principe et c’est, finalement, épuisant ! Tourisme, marche, piscine et sexe avouons-le, c’est génial mais fatiguant.

Pour le sexe en extérieur, Paul avait conspiré avec Marc lui ayant prêté des menottes. Sous prétexte d’aller manger des fruits mûrs sur l’arbre, mon mari m’a faite marcher jusqu’au fond du verger. Et là, il m’a menottée par surprise à un arbre, m’a déculottée, fessée et ....

Finalement, faire ça au grand air ce n’est pas si mal ! Bon d’accord, j’ai perdu une culotte puisque nous l’avons oubliée au fond du verger !

Ce qui est un peu fou en ces lieux, c’est qu’en plus des vacances touristiques, on a envie de céder à la tentation et que l’on découvre des choses pas désagréables du tout.

Fin

Cette histoire est fictive.Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existé est purement fortuite hormis pour Marc qui existe réellement tout comme le gîte fétichistes dont le site est ICI.

Selfbondage au treuil du gîte fétichistes

 

Equipement du gîte fétichistes

J’étais en vacances en Espagne où j’ai choisi comme hébergement de louer le gîte Fétichistes avec l’idée de faire du tourisme mais aussi de m’amuser.

Lorsque j’ai dit à Marc que je manquais d’idées pour faire du selfbondage, sa réponse, accompagnée d’exemples de multiples scénarios possibles, n’a pas tardée ! Après une petite discussion et quelques questions un peu gênantes, il m’a proposé de me guider sur un scénario et des tenues si j’en avais envie.

Devant mes incompréhensions et mes doutes, il m’a donc accompagné au donjon où il a installé le matériel de base en me disant que pour les accessoires et tenues, je pourrai agrémenter à ma guise en fonction de mes envies. Après avoir fait descendre le crochet du treuil du donjon, il y a bloqué les menottes en y attachant une longue ficelle.

  • Une fois que vous serez menotté, avec la télécommande vous n’aurez plus qu’à faire remonter vos poignets menottés mains dans le dos. Ensuite, vous faites descendre doucement la télécommande sur le sol et la ficelle vous permettra de la récupérer et donc, de redescendre vos bras. Pour les clés de menottes, si vous souhaitez plus de frissons, je vous conseille d’aller les mettre sous le portique shibari qui est dans le parc. Ainsi, si vous êtes nu ou en robe vous aurez peur d’être vu, cela rajoutera des frissons. Si vous êtes pudique, vous n’avez qu’à les poser sur le lit de la chambre LOVE ou sur le sling.

Devant mon visage blême pour cause de gêne, il m’a rassuré en me disant que pour les célibataires, le but du gîte est justement qu’ils puissent s’amuser. Il précisât, que j’aurai bien tord de m’en priver. Il m’a ensuite donné deux autres exemples tous aussi grisants que gênants pour un timide comme moi.

Abandonné au donjon avec ma gêne et ma monstrueuse excitation, je me suis retrouvé seul avec moi-même et donc, en mauvaise compagnie... Pour le coup des clés des menottes, je suis donc allé les mettre sous le portique shibari qui est dans le parc, lieu qui m’exposerait à leurs regards suivant l’heure où je jouerai. Déjà pour moi, en parler avait été une étape, et là, je risquais de m’exposer...

Le problème de ce lieu de perdition, est qu’il y a tellement de matériel que rien que de les voir on s’excite et donc, on perd un peu de sa retenue. J’ai donc décidé d’ajouter quelques accessoires mis à la disposition des clients. Je me suis pris un plug, un parachute de couilles avec un poids et des pinces à sein

Excité comme une puce devant un vieux chien bien dodu, j’avais déjà envie de me ... enfin vous avez compris. La morale (humour) m’a obligé à me rendre dans mon gîte pour mettre sans tarder ma cage de chasteté. J’y ai laissé les clés avant de sortir.

Arrivé au donjon, je me suis donc mis nu pour enfiler une des robes roses empruntée dans la salle aux secrets. Sa matière m’excitait tout comme de m’habiller une femme. Dans ma cage de chasteté, c’était déjà la fête, ou plutôt la crise du logement. Le plug n’a pas tardé à trouver sa place dans mes petites fesses, cela faisait de moi « une femme comblée ».

Sans tarder, j’ai voulu mettre le parachute de couille avec un poids de 3 kilos. Avec ma cage de chasteté tirant déjà vers l’avant, cela m’a pris un peu de temps. Les pinces à sein furent posées par l’encolure de la robe ce qui, après le moment de douleur, cela m’excitât encore plus, rendant ainsi la cage de chasteté ultra étroite.

L’idée de me bâillonner me vint, mais cela m’obligea à marcher jusqu’au placard aux accessoires. Suivant les conseils donnés, j’ai donc pris le bâillon bouche ouverte. Comme indiqué, contrairement au bâillon boule, ce modèle ne peut réellement pas être recraché. Une fois en bouche, sans les mains, il reste en place.

Cela commençait déjà à bien tirer sur mes testicules, je me suis demandé si je n’avais pas un peu exagéré en les lestant avec 3 kilos mais, une fois lancé, je ne suis pas revenu en arrière. Avant de me menotter, j’ai donc attrapé la télécommande du treuil posée au sol avec sa ficelle. Le bruit et la sensation des menottes se refermant sur mes poignets m’excitât encore grandement au point que ma tête tournait un peu.

A ce moment là, en tournant la tête, je pouvais voir les boutons de la télécommande du treuil. Cela fut donc facile de trouver celui qui allait faire remonter mes poignets vers le plafond et m’obliger à me pencher en avant pour offrir mes fesses à une maîtresse imaginaire. Quand on est très excité on en fait parfois un peu trop. En effet, j’ai réellement bien fait remonter mes bras au point d’être très penché en avant. (Trop)

Avec précaution j’ai fait glisser la ficelle entre mes doigts pour déposer la télécommande sur le sol. D’un petit coup de pied je l’ai repoussée avant de lâcher la ficelle de rappel attachée aux menottes. A partir de ce moment là, j’ai constaté que j’avais trop monté mes poignets vers le haut et que cela tirait déjà sur mes épaules. Je plains les pauvres gens qui, à l’époque de l’inquisition ou romaine ont été suspendus de cette façon, cela devait être horrible.

La petit salope que j’étais devenu, offrait sa croupe sans possibilité de fuir l’inquisitrice dominatrice. C’est là que mon excitation m’a conduit à imaginer qu’elle voulait rentabiliser sa « soumise » en mettant son cul en libre service à bas prix dans un bordel... Non je ne suis pas gay, mais des fois, j’ai des idées tordues concernant cette partie de mon anatomie. Bouger comme si un sadique sautait la catin, se reporta sans tarder sur le parachute de couilles et mes épaules contrariées par la position.

Le balancement du poids tira fortement sur mes testicules, mouvement qui malgré moi et la douleur me fit bander comme un âne dans la cage. Cette érection entraînât la cage à aller vers l’avant et donc.... tira encore sur mes précieuses déjà bien malmenées. J’avais envie de petites douleurs bien excitantes, pas de faire du CBT ! La « sagesse » m’incita à mettre un terme à ce selfbondage en attrapant la ficelle avec mes petits doigts pour faire remonter jusqu’à eux, la télécommande du treuil.

C’est à ce moment là que mes yeux, ont prévenu le reste de mon anatomie que cela allait prendre du temps ! En effet, 50 mètres de ficelle à faire glisser entre vos doigts par morceau de quelques centimètres, cela prend du temps. Mes épaules et mes testicules en ont parlé à mon cerveau de malade mental, en le menaçant de faire une douloureuse révolution si je ne pressais pas le mouvement. Je commençais à avoir réellement chaud malgré la clim du donjon. Mes yeux piquaient pour cause de transpiration, c’est dire...

Lorsque enfin ma main à attrapé la télécommande, j’ai constaté que choisir le bon bouton pour faire redescendre les mains menottées de la « cruche » penchée en avant, n’était pas chose aisée ! En effet, au lieu d’appuyer sur le bouton « descendre » j’ai appuyé sur le bouton « montée ». AIE pour résumer. Mes épaules étant déjà malmenées, j’ai bien failli lâcher la télécommande, bêtise qui m’aurait obligé à tirer à nouveau les 50 mètres de ficelle.

Ce fut un réel soulagement que de faire redescendre mes poignets et de sortir les menottes du crochet du treuil. Cette action n’est pas aussi facile qu’on ne le pense avec des mains menottées dans le dos. Elle vous impose des mouvements qui, dans mon cas, ce sont reportés sur mes précieuses lestées ! La première chose que j’ai faite une fois libéré du treuil, c’est de m’accroupir pour décrocher le poids de trois kilos fixé au parachute de couilles. Mains menottées dans le dos, cela n’a rien de pratique et il n’est pas facile de défaire des noeuds sans réellement voir ce que vous faites !

L’idée d’aller chercher les clés des menottes dans le jardin avec le poids accroché à mes testicules ne me séduisait pas. Je me suis tellement acharné que même mes doigts étaient mouillés de transpiration. En vain ! Je n’allai pas avoir d’autres choix que de marcher dehors avec les précieuses douloureusement lestées.

Déjà me lever et donc soulever le poids fut une étape, la suivante fut de sortir du donjon car il y a une marche. Difficulté à laquelle s’ajoutait une pression psychologique importante : le risque d’être vu menotté, habillé en femme avec un truc qui se balance entre les jambes ! ! !

Une fois dehors, sur la terrasse de la piscine, le soleil m’a donné un uppercut en guise d’accueil. Je comprends pourquoi Marc fait la sieste à cette heure là ! Si le soleil me harcelait, cela avait l’avantage qu’il ne me verrait pas en mauvaise posture. J’ai rapidement compris qu’il fallait que je marche jambes serrées pour limiter le balancement du poids entre mes jambes.

Oui mais, cette démarche avait deux inconvénients. Le premier est qu’il n’est pas possible d’aller rapidement chercher les clés, les petits pas n’aident pas la vitesse. Le deuxième est que le poids heurte vos tibias. La « petite salope » a donc traversé la terrasse où, vautré sur un banc, un de leurs chats a regardé avec un grand intérêt le poids se balançant devant mes tibias. Peu motivé pour jouer, il n’a pas bougé de son banc. OUF !

J’ai ensuite traversé le jardin sous le soleil à la vitesse d’un escargot fatigué. Par chance, le portique shibari qui est dans le parc est à l’ombre. Ayant un peu d’expérience avec les menottes, je n’ai pas galéré pour me libérer. La premier truc que j’ai retiré c’est le parachute de testicules comme vous vous en doutez. Mes tétons se sont vengés de l’agression lorsque j’ai retiré les pinces à sein.

Je n’ai pas tardé à retirer le bâillon bouche ouverte avant de repartir, cette fois en marchant normalement au donjon pour tout déposer ainsi que la robe et fermer la porte. En effet, la climatisation n’a pas d’autre utilité que de coûter cher quand une porte est grande ouverte. La douche solaire me tendait les bras tout comme la piscine. Comme le gîte accepte sans problème les naturistes, je me suis dévêtu pour prendre la douche dehors avant de prendre conscience que la naturiste exposait aux regards des oiseaux sa cage de chasteté ainsi qu’aux proprios si ils venaient se baigner.

La douche me fit un bien fou et je n’ai pas résisté à l’envie de me baigner nu sous cage de chasteté. Si c’est fort agréable, cela m’a, à nouveau, excité mais la sagesse m’a interdit de continuer mes délires sans respecter la pause syndicale : aller boire et manger ! Marc est passé avec une serviette sur l’épaule devant le gîte sans même regarder si j’y étais. Il s’en est fallu de peu que je sois vu en mauvaise posture ou sous la douche de la piscine en étant sous cage de chasteté. Si pour lui, c’est un détail dont il n’a rien à faire, pour moi, cela aurait été une étape difficile.

En grignotant, je lisais les fiches du classeur des « Vraies bonnes mauvaises idées » proposées. C’est là que j’ai constaté que j’avais encore ma cage de chasteté et que je m’étais, finalement tellement éclaté que l’idée de me masturber, comme bien souvent quand je me fait un petit selfbondage, ne m’avait même pas effleuré l’esprit.

Je me suis demandé si j’oserai leur confier les clés de ma cage tout en pensant à un autre des scénarios que Marc m’avait indiqué. Pour ne pas faire que des « vilaineries » et profiter de mes vacances, je me suis obligé à m’habiller pour aller visiter un peu la région. En effet, en Espagne, les commerces et autres ferment relativement tard le soir.

A suivre pour mon selfbondage sur la chaise d’inquisition du gîte fétichiste, un scénario qui m’excite rien que d’y penser.

Fin

  • Si Marc existe réellement
  • Si le gîte fétichistes existe réellement
  • Si il est possible de vivre ce type d’aventure au gîte fétichistes
  • Cette histoire est totalement fictive. Son but est de vous donner un exemple de ce qu’il est possible de vivre au gîte fétichistes
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