Lorsqu’elle
a vu les annonces de l’ouverture d’un gîte fétichiste en Espagne
accordant une attention particulière aux
célibataires, Lucie a trouvé l’idée originale. Après avoir mené sa
petite enquête, elle s’est offerte un week-end coquin pour vibrer un
peu. Si effectivement les propriétaires du gîte sont
ultra respectueux et attentifs à leurs clients, le mobilier et les
accessoires qu’ils mettent à votre disposition sont là pour fouetter
votre libido.
Manquant
un peu d’idées pour jouer seule, en prenant conseil, Lucie s’embarque
dans des aventures aussi sulfureuses que
jouissives même si, parfois, c’est assez tendu. Ses vacances
éroticos sensuelles deviennent BDSM, ABDL et lui feront mal aux fesses.
...............
Lucie
est une femme coquine, pas une salope, ne pas confondre. Elle aime les
plaisirs de la vie, le BDSM, le bondage mais
ne se donne pas au premier venu. Comme beaucoup de femme, elle
s’est offert quelques sextoys. Elle a également joué à s’attacher un peu
toute seule pour jouer avec le bondage et ses sextoys
pour « s’obliger » à jouir un peu plus longtemps.
Ses petits selfbondage
étaient très simples, comme attacher ses chevilles et ses
cuisses avec des ceintures après avoir mis un petit plug anal,
puis un vibro dans son chaton. Le plus compliqué de ses selfbondage a
été d’oser mettre des menottes mains dans le dos et de
s’allonger sur le ventre pour s’abandonner à ses sextoys.
Les clés des menottes étaient tout simplement posées sur la table de
nuit. Si ses
petits jeux coquins étaient très sages, chaque fois dans son
esprit coquin, les fantasmes l’étaient beaucoup moins. Qui n’a pas de
fantasmes me direz-vous ?
Lorsqu’elle
a vu les annonces de l’ouverture d’un gîte fétichiste accordant une
attention particulière aux célibataires,
cela l’a titillée. En s’imaginant dans les jeux possibles décrits
pour les couples et les hommes seuls, il lui venait des fourmis dans son
petit bedon....
Elle
s’est donc lancée dans une étude approfondie à la version enquêteurs de
police sur les propriétaires du gîte. Les 60
évaluations faites sur le profil de TSM étaient pratiquement
toutes dans le même sens. « Un sadique pervers à la fois très
respectueux et accueillant ».
Lire les évaluations réelles des personnes l’ayant
rencontré
Joueuse
mais prudente, Lucie a donc pris un abonnement sur Fessestivites pour
contacter les femmes ayant fait des
évaluations sur son profil. Toutes les filles lui ont répondu
qu’elle ne risquait rien, hormis s’éclater, découvrir et s’amuser en
toute simplicité.
Aussi frileuse qu’excitée, elle l’a donc contacté par messagerie pour avoir plus d’informations sur ce que son gîte
fétichiste pouvait proposer comme « loisirs ». Sa réponse a été simple !
-
Vous
pourrez faire tout ce que vous rêver de vivre et faire seule en étant
assistée, accompagnée, guidée et surtout
sécurisée. Exemple, si vous rêvez d’essayer une camisole de f o r
c e, vous l’enfilez, je ferme la camisole et vous me dites combien de
temps vous désirez restée prisonnière. Cela peut être
aussi de dormir enfermée dans une cage, de rester une heure nue
au pilori, à chaque fois, c’est vous qui décidez. Je peux également vous
prêter du matériel pour faire du selfbondage, vous
donner des idées de scénarios mais ne jamais entrer dans votre
gîte. L’avantage est que si je ne vous vois pas à midi par exemple, je
viendrai voir si vous êtes bloquée et en perdition. En
clair, ma femme ou moi-même pouvons être la personne de
confiance à qui vous pouvez tout dire.
Convaincue qu’elle ne risquait rien et que sa vie ne serait pas en danger, Lucie a donc fait une réservation comme si elle
se jetait à la mer.
Trois
mois plus tard, et après des rêves érotiques fous et quelques
cauchemars, c’est dans la parking de l’aéroport
qu’elle rencontre l’agitateur de mauvaise conscience. Venu en
ville faire trois achat pour son gîte, il lui a proposé de la récupérer à
l’aéroport pour lui éviter d’avoir à payer un taxi. Les
discussions pendant le trajet dans le 4x4 poussiéreux, finirent de
lever ses craintes. TSM est un gentil taré bourré de très mauvaises et
surtout, perverses idées. En rencontrant son épouse Malicia, pour l’apéro de bienvenue, elle constata qu’il n’était pas le seul à avoir des idées perverses.
Pendant
que TSM terminait la préparation du repas, Malicia lui fit visiter les
lieux et l’accompagna à son gîte. Les
discussions furent coquines, entre filles on se lâche un peu plus.
Pendant le repas, elle eut des explications sur des fétichismes qu’elle
connaissait très peu ou ne comprenait pas comme
l’ABDL. C’est au dessert qu’elle avoua qu’elle manquait d’idée
pour l’après-midi. C’était une vraie fausse mauvaise bonne idée que de
dire cela à TSM ! ! !
-
Je
vous propose de vous accompagner à votre gîte pour vous préparer un
plan qui finira de vous achever après la fatigue
du voyage. Cela peut être très jouissif..... Rassurez-vous, je
ne fais que tout installer et je vous abandonne pour aller faire ma
sieste ! Répondit TSM.
Peu rassurée elle accepta cette proposition. Il prit une serrure de glace de deux heures et, habitué aux lieux, il ne lui
fallut que très peu de temps pour faire une installation sur le lit avec tout ce qu’il faut pour qu’elle se fasse plaisir.
-
Je vous explique le principe. Vous mettez ce que vous voulez dans vos orifices, vous garder une culotte pour bloquer
le magic wand massager
en bonne place. Ensuite vous attachez vos chevilles dans ces bracelets,
vous attachez votre main gauche
dans ce bracelet avant d’allumer vos jouets et de menotter
votre dernier poignet ici ! Lui indiqua TSM avant d’ajouter : vous
pouvez également vous mettre des pinces à sein et une cagoule
qui vous aidera à mieux fantasmer. Si vous n’avez pas de
question, je vous laisse vous installer ?
-
Si j’ai une question. Comment s’ouvrent les menottes ?
-
Cette petite boite noire est remplie de glace. Quand elle sera fondue, elle libérera votre poignet. Vous pourrez alors
vous libérer, c’est aussi simple que ça.
-
Merci, vous pouvez me laisser ! Répondit Lucie toute rouge de honte.
A
peine était-il sorti et enfin seule, elle se précipita vers le placard à
sextoys. Rien que de les toucher la faisait
mouiller. Elle mit un préservatif sur un plug anal de taille
modeste, sur le vibro qui n’allait pas tarder se retrouver au chaud....
Au cas où, elle prit aussi des pinces à sein légères car la
douleur pure, n’est pas son truc ainsi qu’un petit bandeau pour
ses yeux de biche. Après s’être dévêtue, hormis la culotte comme
conseillé, elle ne tarda pas à combler ses orifices très
demandeur, surtout celui de devant...
Lucie
prit place sur le lit pour entraver ses chevilles. A la suite de quoi,
elle s’allongea pour entraver son poignet
droit. L’excitation étant à son comble, elle le détacha pour se
mettre les petites pinces à sein. Elle finalisa son selfbondage après
avoir allumé le petit vibro et le gros magic wand puissance
10 logé dans sa culotte. « Ouhaou, cela va être géant » pensa
aussitôt Lucie.
Son
esprit coquin ne tarda pas à se mettre en route. L’amant de ses rêves
venait la « sauter » avant de la livrer en
pâture à ses amis. Ce fantasme n’est réellement qu’un fantasme car
elle n’accepterait pas ce genre de pratique. Par contre, dans les
fantasmes on peut y mettre ce qu’on veut pour délirer,
s’envoler et jouir.
En
agitant ses reins comme si son amant la prenait sauvagement, elle
agitait aussi le vibro et le plug. Ces actions,
cumulées aux vibrations et au magic wand massager puis au fait
d’être réellement attachée, la firent rapidement monter « dans les tours
». Le premier orgasme fut géant même si elle aurait bien
aimé que les sextoys vibrants lui accordent une pause. Le deuxième
orgasme ne tarda pas à pointer son nez. Le troisième la mit dans un
état de transe. Son corps lui échappait, elle criait son
plaisir et tremblait sans discontinuer. Au quatrième elle hurla sa
jouissance, chose qu’elle n’avait jamais fait étant plutôt discrète au
lit..
«
Déglinguée » et en perdition totale, elle commença à subir les effets
des sextoys. « Subir » est un bien grand mot,
disons qu’elle aspirait à une pause syndicale qu’ils ne semblaient
pas vouloir lui accorder ! « Je me fais un gang bang BDSM toute seule »
pensa Lucie continuant d’enchaîner contractions sur
contractions.
Une
heure plus tard, les batteries du vibro et du magic wand massager
finirent par rendre l’âme, laissant ainsi une pauvre
fille épuisée de jouissances entravée bras et jambes en croix sur
le lit. Lucie sombra dans les bras de Morphée pour un sommeil profond
sans rêve. C’est en se tournant comme quelqu’un qui dort
qu’elle se réveilla. Pendant une seconde, elle s’affola d’être
entravée avant de se rendre compte de la situation. Son poignet droit
était libre, elle pouvait se délivrer. Si cela fut facile à
faire, le retrait des pinces à sein
lui parut soudainement très hard. Une douche salutaire s’avéra
obligatoire ! C’est là qu’elle
découvrit qu’il y avait aussi des anneaux dans les murs, même dans
la salle de bain. « C’est vraiment une maison de fous » se dit-elle.
Lucie prit conscience qu’elle était restée entravée trois heures au total. Malgré ses tétons très sensibles elle enfila un
tee-shirt puis une jupe pour aller prendre l’air puis prendre un verre avec Malicia.
-
Alors, c’était bien ? Lui demanda Malicia.
-
Superbe, j’ai cru mourir deux ou trois fois, votre mari est un vrai malade mental !
-
Je sais, c’est aussi pour ça que je l’aime !
-
Il vous l’a fait aussi ?
-
Oh, il m’a fait bien pire !
La discussion entre filles continua sur le sujet un moment mais elles refusent que j’écrive ce qu’elles se sont dit.
Croyez-moi sur parole, entre elles les discussions sont parfois chaudes...
N’ayant
pas envie de cuisiner, Lucie avait annoncé qu’elle prendrait tous ses
repas au gîte. Elle partagea donc celui du
soir en mauvaise compagnie et put même assister à la fessée de
Malicia, une injustice évidente car c’est une perle. En même temps, en
voir une en vraie lui donna des envies, mais elle n’osa pas
l’avouer.
TSM lui demanda si elle avait des projets coquins pour la soirée ou la nuit comme si il lui demandait si elle voulait
faire du tourisme ou des courses !
-
Non, je n’en ai pas mais si vous avez des idées, je n’aurai rien contre des propositions ! Répondit Lucie un peu
gênée.
-
Arrêtez de rougir, ici rien ne nous choque. Vivez vos passions ou essayez des trucs, ne soyez surtout pas gênée, cela
fait 40 ans que je suis dans le monde des rencontres. Je suis le propriétaire de Fessestivites et Abkingdom, autant dire que vous pouvez vous lâcher et
nous parler librement de tout.
Ne
connaissant pas Abkingdom, Lucie voulut en savoir un peu plus sur
l’ABDL. TSM lui expliqua la différence entre AB qui
signifie adult baby puis l’âge-play avant d’aborder le côté DL qui
signifie diaper lover. Il aborda aussi le côté little, petite fille ou
petit garçon, une autre forme de régression. Il précisa
que c’était quelque chose à découvrir, à essayer au moins une fois
pour voir car les sensations, les émotions ressenties ne tuent pas ceux
qui essaye pour voir. Il précisa que c’est un
fétichisme honteux pour beaucoup alors qu’il n’y a aucun mauvais
fétichisme.
-
Il n’y a pas de mal à se faire du bien et à s’accorder des plaisirs quels qu’ils soient. Certains aiment la fessée,
d’autres les pieds, d’autres les collants ou le latex, d’autres le libertinage, d’autres le BDSM,
où est le mal à aimer pratiquer quelque chose qui fait du
bien et ne dérange personne ? Vous devriez essayer au moins
une fois l’ABDL, je peux vous faire dormir en couche enfermée dans un
lit de bébé. Si je précise enfermée, c’est parce que je
sens bien que les jeux de contrainte vous amusent. Rien ne
vous y oblige, vous pouvez aussi refaire du bondage pour la nuit.
-
Heu, je crois que pour aujourd’hui, le bondage et les sextoys on va oublier ! Répondit Lucie avant de demander à
Malicia si elle aime l’ABDL.
-
J’ai essayé pour voir, non ce n’est pas mon trip mais je confirme, il y a des passionnées. Essayez pour voir, vous
verrez bien ! Répondit Malicia.
-
Et qui est-ce qui me met la couche ? Demande Lucie.
-
Vous mais je peux vous aider si vous ne vous en sortez pas toute seule ! Répondit TSM.
-
Vous n’êtes pas jalouse qu’il fasse ça ? Demanda Lucie étonnée.
-
Absolument pas, où est le mal ? Il ne baisera pas avec vous, il vous fera la même chose qu’un infirmier ! Répondit
Malicia.
-
Ecoutez
Lucie, je vous propose de vous organiser une nuit de douceur sous la
contrainte pour vous faire découvrir
l’âge-play comme si vous y étiez obligée. Vous mettez seule
votre couche, j’attends devant la porte du gîte et je n’entre que quand
vous m’y invitez. A partir de là, je vous verrai avec une
grosse culotte. Cela vous va ?
Rouge
comme une écrevisse, Lucie abdiqua. Une heure plus tard, TSM pénétra
donc dans le gîte de Lucie après y avoir été
invité. Il la fit s’allonger sur le lit pour arranger les attaches
de la couche, puis lui faire enfiler une culotte en plastique.
-
Bien,
la petite fille est protégée pour la nuit. Maintenant il faut
l’habiller pour qu’elle n’ai pas froid. Regardez ce
que j’ai prévu pour vous ! Indiqua TSM ou ouvrant un sac de
voyage avec une grenouillère et un body. Que préférez-vous, la
grenouillère ou le body ou les deux ?
Lucie prit la grenouillère qu’elle enfila toute seule un peu gênée par cette aventure.
-
Vous êtes toute mimi comme ça, allez bébé, entrez dans le lit qui est sous le grand lit dit TSM en tirant un grand
tiroir s’avérant être un lit une place sur roulette. Vous avez un doudou ou je vous en prête un ?
-
J’en ai un répondit Lucie en rougissant. Il est dans ma valise, vous pouvez l’attraper ?
TSM alla donc chercher le doudou de la grande fille et le lui donna avant de pousser le lit à roulette sous le grand lit.
A la suite de quoi, il souleva le tissu du côté du lit permettant à Lucie de voir à travers les barreaux d’un lit de bébé.
-
Je vous ai prévu de quoi vous désaltérer et de quoi vous aider à dormir ! Lui indiqua TSM en lui donnant une tétine et
un biberon d’eau. A qu’elle heure voulez-vous que je vous libère ?
-
Comment ça me libérer ?
-
Parce que je vais fermer le lit à clé, sans quoi vous allez tricher !
-
Est-ce obligé ?
- Non ici, rien n’est imposé mais vous devriez m’écouter et tester réellement !
Prise
dans la tourmente des événements, elle accepta de se laisser enfermer
jusqu’à huit heure. TSM lui laissa le bouton
d’une petite veilleuse avant de quitter les lieux en lui
souhaitant bonne nuit. La première chose que fit Lucie, c’est de toucher
entre ses jambes, avoir ce gros truc entre les cuisses la
perturbait un peu. « Je suis folle d’avoir accepté » dit Lucie à
son doudou. Pour jouer un peu, elle prit la tétine en câlinant sa
peluche délavée et usée par des nuits de câlins. A la suite de
quoi, elle testa le biberon et trouva ça très pratique pour boire
la nuit. Malgré la sieste crapuleuse, Lucie ne tarda pas à éteindre la
lumière et s’endormir.
Vers
trois heures du matin, c’est une envie pressante qui la réveilla. Si
enfermée dans ce lit cage elle se sentait
protégée de l’extérieur, le dit lit l’empêchait d’aller aux
toilettes. « Le sadique avait raison, j’aurai triché si il l’avait
laissé ouvert » se dit Lucie. Sauf que, elle parvint pas à se
soulager dans la couche. Une sorte de blocage psychologique
l’empêchait de se libérer. Au plus on pense à l’envie de faire pipi, au
plus..... elle travaille vos méninges.
Vers
quatre heures du matin, après en avoir parlé avec son doudou, elle
finit par se dire que faire quelques gouttes dans
sa couche ne la tuerait pas. Oui mais entre le dire et pouvoir le
faire..... ce n’est que vers quatre heure et demi qu’elle parvint à
faire quelques gouttes, enfin, les premières parce qu’un
fois ouverte, sa vessie refusa de se refermer. C’est ainsi que,
seule dans son lit avec personne pour la regarder, que Lucie découvrit
que se lâcher dans une couche ce n’est pas si désagréable
que ça. « Tu ne le diras à personne hein » ? Demanda Lucie à son
doudou qui, évidement, promis de garder le secret.
C’est ce pipi couche qui déclencha quelque chose d’inexplicable dans la tête de Lucie. Elle se rendormit avec son doudou
dans les bras et en suçant son pouce.
-
Coucou
Lucie, il est huit heure. Je vous ai apporté le petit déjeuner, tout
est sur la terrasse. Je vous ouvre et vous
laisse tranquille. Gardez encore un peu votre couche pour le
petit déjeuner, cela vous permettra de continuer à découvrir ce monde.
Après votre douche, vous la mettrez dans un sac en
plastique que vous fermerez bien avant de la mettre dans la
poubelle. Ensuite, vous pourrez venir nous voir ou profiter de la
propriété. L’eau de la piscine est à 25, si cela vous séduit,
vous pouvez aller vous baigner en maillot ou nue, ici les
seuls voisins que nous avons ce sont les oiseaux. Bonne journée grand
bébé !
-
Je ne suis pas un bébé ! Cria Lucie amusée par le côté ultra décontracté de TSM.
Au
lieu de se lever, Lucie se laissa aller à farnienter un peu au lit, il
est vrai que sa nuit avait été écourtée. Si bien
qu’elle s’accorda un deuxième pipi couche sous sa couette en se
disant que le matin, pour la grasse matinée, ce truc était bien pratique
puisqu’il n’y a plus l’obligation de se lever. Une demi
heure plus tard, elle poussa un cri de peur quand un chat échappé de la chatterie du Moulin
vint lui faire un câlin. Il y en a
cinq, c’est Princesse Chipie la toute blanche à poil long qui
était venue lui rendre visite. Son cri lui ayant fait peur, l’adorable
chatte s’était enfuie.
Arrivée
sur la terrasse, Lucie quitta immédiatement sa grenouillère pour cause
de chaleur. « Douche de suite ou café
d’abord » se demanda t’elle. Café fut la priorité qui s’imposa à
elle. Lucie prit conscience qu’en ce lieu de perdition appelé gîte
fétichiste, qu’elle pouvait vraiment se lâcher, qu’elle ne
serait pas jugée par les envies qu’elle avait, surtout une. Elle
avait envie d’essayer la machine à baiser sur le cheval espagnol que lui
avait montré Malicia.
Après
avoir pris son petit déjeuner accompagné par le chant des oiseaux, elle
retira la couche pour aller aux toilettes
puis prendre une douche. Evoluer nue dans cette ambiance
décontractée lui plut. C’est donc intégralement nue qu’elle osa se
rendre à la piscine pour piquer une tête et faire quelques
brasses.
-
Vous devriez faire attention au soleil, votre peau est blanche et vous risquez de prendre un coup de soleil ! Lui dit
TSM passant devant la piscine.
Gênée par sa nudité, elle attrapa rapidement sa serviette pour se cacher.
-
Vous êtes vraiment timide ou simplement pudique ? Ici c’est naturiste, donc si vous voulez évoluer nue, ne vous
inquiétez pas, on s’en moque ! Lui indiqua TSM amusé.
-
Oh ça va vilain pas beau ! Répondit Lucie provocatrice.
-
Si vous avez envie d’une fessée, cela peut s’arranger vilaine ! Répondit TSM avant de l’inviter à venir choisir les
légumes du repas du midi dans son potager.
-
Dans cette tenue ?
-
Mettez la serviette autour de votre taille si vous voulez !
A
l’aller, Lucie garda la serviette à sa taille, au retour elle était sur
son épaule, cela l’avait agacée d’être obligée
de la tenir tout le temps. En arrivant à la maison, il lui proposa
un café ainsi qu’à Malicia. Assis sur la terrasse ils échangèrent sur
les nouvelles expériences de Lucie qui finit par avouer,
que c’était troublant sans rien dévoiler de plus. TSM et Malicia
ne lui demandèrent aucun détail, leur but n’est pas de gêner les
clients, bien au contraire. Lucie s’isola un instant avec
Malicia pour lui avouer qu’elle essayerait bien le cheval
espagnol.
-
C’est TSM qui s’occupe de ça, vous voulez que je lui en parle ?
-
Heu....
-
Arrêtez de faire la timide, éclatez-vous, profitez du gîte et de ses installations.
Malicia lui expliqua que c’est son mari qui allait le préparer et lui permettre de s’installer seule dessus.
«
Et zut » ! Se dit Lucie, « il faut que je me lâche, car je suis sûre
que le sadique aura des idées perverses, plus
jouissives que juste m’asseoir sur un gode qui bouge » Ce fut le
cas ! Il lui installa la machine dans le gîte mais avec quelques
variables à la façon TSM. Une fois qu’elle fut « empalée » sur
le gode recouvert d’un préservatif, il lui attacha les chevilles
aux anneaux du carcan, bloqua un magic wand massager sur le devant de la
selle avant de lui demander si elle voulait être
menottée. Elle refusa les menottes, c’était un peu « trop » pour
elle de se faire attacher. Il l’abandonna donc pour retourner préparer
le repas du midi.
Lucie
put donc commencer à jouer avec le variateur de la machine puis le
magic sur son chaton en avançant sur la boulle,
elle aussi recouverte d’un préservatif. Au bout d’un moment, elle
regretta qu’il ne l’ait pas menottée car seule, elle n’arrivait pas à «
s’obliger » à empiler les jouissances comme pendant sa
sieste crapuleuse. Quand le plaisir était trop fort, elle jouait
avec la télécommande de la machine puis avec le bouton du magic. Si elle
avait été entravée..... Ce fut quand même bien bon
!
Après
le repas, vers 14 heures, TSM lui demanda si elle avait besoin de
quelque chose avant qu’il aille faire sa sieste.
Lucie voulu elle aussi faire une sieste « normale » avant d’être
ouverte à une proposition de jeux. Il lui parla donc du principe du
Bondage Walking en indiquant qu’il avait plusieurs jeux de
pistes pour aller récupérer les clés des menottes ou des cadenas
des chaînes.
-
J’ai plusieurs jeux de piste, du simple au plus avancé mais comme vous avez le sens de l’orientation d’une fille, je
pense que le simple serait bien pour vous !
-
Mais vous êtes macho, une fille sait aussi très bien s’orienter qu’un homme ! Répondit Lucie.
La
provocation ayant fonctionné, il abdiqua et lui indiqua qu’il lui
donnerait la fiche d’orientation après la sieste car
à 15 heures, on ne fait pas de Bondage Walking en Espagne. Vers 17
heures, Lucie revint les voir pour lui dire qu’elle était prête à jouer
et relever le défi.
-
J’ai déposé les clés sur le terrain, voici la fiche du jeu de piste pour les trouver.
-
Mais je ne vous ai pas dit ce que je voulais faire, comment savez-vous ce qu’il me faut ? Demanda Lucie.
-
J’ai un jeu de clés pour plusieurs cadenas et une paire de menottes, dites-moi de quoi avec vous besoin. Vous pouvez
avoir 6 cadenas une paire de menottes et des chaînes.
-
Heu, je ne sais pas trop. Vous avez des idées ?
-
Je
vous propose deux cadenas + une chaîne pour les chevilles afin de jouer
le bagnard. Ensuite, vous pourriez vous
faire une ceinture de chaîne qui devient un string. Là il vous
faut 2 cadenas de plus. Je peux vous prêter un plug métal, il a un
anneau que vous pouvez fixer à la chaîne avec un cadenas.
Vous bloquez vos menottes mains dans le dos au niveau de la
chaîne. Dans ce cas, il faudra fixer le plan dans une pochette plastique
sur une de vos jambes puisque vous ne pourrez pas le
tenir dans vos mains. La règle du jeu est simple. Si à 20
heures vous n’êtes pas rentrée, je viendrai vous chercher pour vous
ramener. Dans ce cas, je vous verrai donc nue avec votre petit
équipement...... Ah un truc j’ai de petite pinces à sein munie
de clochette ou un collier lui aussi munie de clochette, que
préférez-vous ?
-
Le collier, mes tétons ont déjà trop souffert ! Répond Lucie spontanément avant de comprendre qu’elle vient de se
dévoiler encore une fois.
-
OK, allez dans votre gîte, je vous apporte tout ce donc vous avez besoin. Vous vous équiperez seule si vous le désirez
ou, si besoin je peux vous aider.
-
Cela devrait aller, vos explications étaient très claires, je devrai m’en sortir !
Lucie
ne prend pas conscience qu’elle perd beaucoup de temps en se préparant.
Elle accroche le plan à sa cuisse droite par
des bandes de velcros avant de verrouiller ses menottes mains dans
le dos. Elle part seule et loin des regards de son gîte vers 18 heures.
Marcher avec des chaînes aux pieds ralentit sa
progression. La clochette fixée à son collier commence à l’agacer.
A cela se rajoute que, lorsqu’elle se penche en avant pour lire le plan
sans trop pouvoir plier sa jambe, elle tire sur la
chaîne passant entre ses fesses et donc,...... sur le plug.
Malgré
ses petits inconvénients, Lucie trouve ce jeu très excitant. Elle
s’imagine même dans ses petits délires qu’elle
est le gibier d’une chasse à la femme. Quel dommage qu’elle n’ait
pas assez d’amplitude pour pouvoir venir jouer un peu avec son petit
bouton des plaisirs. Elle éclate de rire lorsqu’elle
arrive à « la fontaine des assoiffés » comme indiqué sur le plan.
Il s’agit d’un biberon attaché à un arbre avec de l’eau encore glacée.
Elle descend de bon coeur les deux tiers du
biberon.
Au
bout d’une heure d’aventure en pleine nature, Lucie commence à se
traiter de folle et TSM d’enfoiré pour ses idées
tordues. En effet, d’après le plan, c’est de l’autre côté de la
petite vallée qu’elle devrait être. C’est donc toujours à petit pas
qu’elle fait marche arrière sur 500 mètres et termine le
biberon d’eau au passage. Alors qu’elle traverse la petite vallée,
Lucie est rattrapée par une envie pressante. Chaînes aux pieds et mains
menottées dans le dos, elle n’a pas trop envie de
s’agenouiller surtout avec un plug dans les fesses. N’ayant pas
d’autre choix que de faire pipi debout, elle trempe ses cuisses et ses
pieds en traitant TSM de noms spéciaux qu’il est
préférable qu’il n’entende pas.
Assis
tranquillement sur sa terrasse avec un pastaga bien frais, le dit Très
Sadique Mec la suit de loin avec ses
jumelles. Une petite sécurité en cas de chute. Il sait donc où se
trouve Lucie quand, à 20 heures il quitte donc son verre vide pour
enfourcher son vélo. Il commence par récupérer les clés
avant de rejoindre Lucie. En le voyant arriver, elle est à la fois
soulagée et honteuse d’être vue nue avec un string de chaîne et un truc
dans les fesses. Après avoir libéré les chevilles de
la pauvre fille perturbée d’avoir perdu, il pose son sac à dos
pour en sortir une bouteille d’eau fraîche.
-
Avec les menottes, cela va être difficile pour moi de
boire ! Lui indique Lucie d’un air de dire « t’as pas fini de me libérer ».
-
Je sais mais j’ai bien dit que je viendrai vous chercher, pas que je vous libérerai ! Lui répond TSM en accrochant une
laisse au collier de Lucie.
-
Et, ça va pas la tête !
-
Il va bientôt faire nuit, alors où je vous laisse comme ça avec les renards qui ne vont pas tarder à sortir, ou je
vous raccompagne à ma façon ! A vous de choisir !
-
Bon ça va, je vous suis, mais je ne suis pas une chienne !
-
Ah, ce jeu vous exciterait ? je peux vous le préparer si vous le désirez !
-
Nan, merci, ça ira pour aujourd’hui !
Cinquante mètre plus loin, TSM (Très Sympathique Mec ^^^) lui retire la laisse et les menottes en lui disant que cela lui
allait bien ! Comprenant qu’il avait simplement envie de jouer avec ses nerfs, Lucie lui tire la langue.
-
La fessée c’est toute de suite avec les fesses pluguées ou ce soir après votre douche ?
-
Ce soir je préfère ! Répond Lucie sans réfléchir.
-
Vous êtes donc d’accord pour que je vous donne la fessée méritée !
-
Heu.... je n’ai pas dit oui !
.......................
Laissée
seule à son gîte, Lucie prend une douche grandement méritée et
justifiée vue la couleur de l’eau à ses pieds. A 21
heures, elle les rejoint à la maison pour le repas du soir en
tenue « civile ». Peu pressés et vivant à l’heure espagnole, ils lui
proposent de partager leur apéritif maison fait avec des
aubergines et des poivrons grillées du jardin.
-
Alors cette expérience de Bondage Walking vous avez aimé ? Demande Malicia.
-
Original à vivre, il y a une sorte de communion qui se fait avec la nature, sauf que j’ai rencontré un rustre qui a
voulu me faire marcher en laisse comme une chienne ! Répond Lucie.
-
Oui et qui, au lieu de me remercier d’être allé la libérer et la chercher avant la nuit m’a tiré la langue en guise de
reconnaissance. Cela mérite une fessée, qu’en penses-tu Malicia ?
-
Absolument, c’est inadmissible ! Répond Malicia amusée.
-
Classons cette regrettable affaire de suite, venez vous installer sur mes genoux que je vous apprenne la politesse !
Indique alors TSM en reculant sa chaise.
Pour
Lucie, ce n’est pas le fait de recevoir une petite fessée qui la
perturbe, mais c’est de la recevoir devant quelqu’un
! Une fois allongée sur les genoux de TSM, sa jupe est prestement
relevée, la grosse paluche de TSM commence à appliquer la fessée sur une
jolie culotte qu’il regrette presque de baisser
quelques instants plus tard.
-
Aie, qu’est-ce que vous faites ?
-
Une vraie fessée se donne déculottée, n’est-ce pas Malicia ?
-
Absolument !
Avant
même qu’elle n’ait le temps de répondre, TSM continue de lui claquer
les fesses gentiment, bien qu’il aurait bien
volontiers appuyé un peu plus. Comme une cliente n’est pas une
amie, il se contient et ne fait pas durer la fessée de la coquine. Pour
Lucie, c’est encore une grande nouveauté car, sa seule
expérience de spanking, avait eu lieu une fois avec un de ses
copains ultra timide ayant à peine claqué ses fesses. Même si il a été
soft, elle sent bien que ses fesses sont chaudes lorsqu’elle
prend place sur sa chaise.
Le
repas est un moment de partage aussi bien en terme de nourriture que de
discussions. Lucie apprend un peu plus de la
vie de ce couple d’adorables psychopathes et regrette déjà d’être
obligée de partir le lendemain car elle serait bien restée plus
longtemps. Hélas, le billet d’avion ne peut être changé. En
leur compagnie, elle aimerait découvrir encore plein de choses car
elle se sent en totale sécurité.
-
Vous me faites quoi ce soir ? Demande Lucie.
-
La question est mal posée. Que désirez-vous faire et vivre ?
-
J’ai bien aimé la nuit en couche dans le petit lit mais y a t’il moyen de varier un peu ?
-
Avec une couche ?
-
Oui mais aussi du bondage ! Répond Lucie à présent sans trop de pudeur.
-
Couche, bondage et jouissances avant le dodo, cela vous va ? Lui demande TSM dont le cerveau a déjà démarré en mode
pervers.
-
Ouiii !
Accompagnée
à son gîte par TSM et son sac à malice, Lucie est invitée à s’allonger
due sur le lit. Il lui donne une couche
et un vibro en lui demandant de se le mettre toute seule « comme
une grande ». A la suite de quoi, il démarre le vibro et referme la
couche avant de l’aider à enfiler une culotte à cadenas. Il
pose le caméscope dans un coin en lui expliquant que c’est la
règle au gîte. A partir du moment où il participe, c’est filmé comme
pour les caméras des banques. S’il n’y a pas de problème la
vidéo est supprimée. Il demande ensuite à Lucie d’entraver ses
chevilles puis lui prête une cagoule d’isolation BDSM en lui demandant
de la mettre après lui avoir expliqué que le principe
serait le même que son selfbondage.
Il
l’aide donc à lier son poignet gauche puis guide sa main pour qu’elle
ferme elle même les menottes de son poignet
droit. Elle est donc attachée bras et jambes en croix sur le lit
et cagoulée. TSM branche un magic wand massager filaire sur un
programmateur réglé sur 5 minutes On, 5 minutes Off avant de
programmer une plus longue période en mode On. Le sextoy trouve sa
place entre la couche et la culotte en plastique de Lucie.
TSM
(Très Sadique Mec) abandonne Lucie avec ses interrogations après avoir
éteint la lumière. Pendant les cinq première
minutes, elle se demande ce qu’il a placé entre sa couche et sa
culotte en plastique. Elle ne le découvre que quand le magic se met en
route. Les vibrations pile poil au-dessus de son chaton,
sont loin d’être désagréables. Cumulées avec celles du vibro en
bonne place, elles la conduisent doucement sur les rivages d’une
jouissance. Hélas, cinq minutes c’est trop court pour y parvenir
et le sextoy s’arrête. Elle boude un peu en se disant que c’est
dommage que le magic a du tomber en panne.
Elle
pousse un cri de surprise dans sa cagoule cinq minutes plus tard quand
il se remet en route. Le Très Sadique Mec lui
a programmé 4 sessions On et 4 sessions Of avant de le lui laisser
60 minutes non stop. Lucie enrage pendant les sessions Of et On avant
de finalement savourer le plaisir du magic en mode On
juste au dessus de son chaton. Juste après sa première jouissance,
une envie pressante, que cette fois elle libère sans blocage, la fait
décoller. « Pipi couche + magic c’est ouhaouuuu » se dit
Lucie bien décidé à en acheter un chez ABCplaisir. (ABCplaisir,
cela va de soit ! ! ! )
Lorsque la
serrure de glace lui rend sa liberté, Lucie se détache mais
n’a même pas le courage d’aller attraper les clés de menottes posées sur
la table du salon. Ce n’est qu’au petit matin qu’elle
trouve le courage de se lever pour aller retirer la menotte
gênante toujours accrochée à son poignet.
«
Mais où sont les clés de la culotte à cadenas » se demande Lucie.
Convaincue qu’il veut l’obliger à venir les voir avec
ses grosses fesses, elle sort de son gîte en jupe vers 9 heures et
découvre qu’elles sont sur la table avec le petit déjeuner puis une
rose fraîche. En lisant le petit papier sous la rose, son
sourire disparaît aussitôt. « Départ 11 heures maximum pour que
vous ne loupiez pas votre avions ».
Après
avoir pris son petit déjeuner, Lucie prend une douche, fait un carré de
ménage en laissant tout ce qui a été utilisé
comme linge et draps dans un panier prévu à cet effet avec de
rejoindre ce couple qui l’a si gentiment accueillie. Après avoir réglé
quelques achats en boutique et le solde de son séjour, c’est
presque les yeux mouillés qu’elle monte dans la voiture pour
prendre la route de l’aéroport.
-
Est-ce que je pourrai revenir et vivre d’autres choses avec votre aide ?
-
Avec plaisir Lucie mais si vous me tirez encore la langue cette fois la fessée sera plus consistante !
-
Leeeeeeeeeeeeee ! Fait Lucie en lui tirant la langue pendant qu’il conduit.
Ni une ni deux, TSM quitte la route pour prendre un chemin pour s’arrêter derrière un bosquet d’arbres.
-
Une bonne déculottée va vous être offerte par la maison !
EPILOGUE
Lucie a eut son avion, TSM prévoit toujours de la marge. Elle a trouvé que les sièges de l’appareil n’étaient pas très
confortables, allez savoir pourquoi ?
FIN