Menu

lundi 21 novembre 2022

Lucie au gîte fétichiste

Lorsqu’elle a vu les annonces de l’ouverture d’un gîte fétichiste en Espagne accordant une attention particulière aux célibataires, Lucie a trouvé l’idée originale. Après avoir mené sa petite enquête, elle s’est offerte un week-end coquin pour vibrer un peu. Si effectivement les propriétaires du gîte sont ultra respectueux et attentifs à leurs clients, le mobilier et les accessoires qu’ils mettent à votre disposition sont là pour fouetter votre libido.

Manquant un peu d’idées pour jouer seule, en prenant conseil, Lucie s’embarque dans des aventures aussi sulfureuses que jouissives même si, parfois, c’est assez tendu. Ses vacances éroticos sensuelles deviennent BDSM, ABDL et lui feront mal aux fesses.

...............

Lucie est une femme coquine, pas une salope, ne pas confondre. Elle aime les plaisirs de la vie, le BDSM, le bondage mais ne se donne pas au premier venu. Comme beaucoup de femme, elle s’est offert quelques sextoys. Elle a également joué à s’attacher un peu toute seule pour jouer avec le bondage et ses sextoys pour « s’obliger » à jouir un peu plus longtemps.

Ses petits selfbondage étaient très simples, comme attacher ses chevilles et ses cuisses avec des ceintures après avoir mis un petit plug anal, puis un vibro dans son chaton. Le plus compliqué de ses selfbondage a été d’oser mettre des menottes mains dans le dos et de s’allonger sur le ventre pour s’abandonner à ses sextoys. Les clés des menottes étaient tout simplement posées sur la table de nuit. Si ses petits jeux coquins étaient très sages, chaque fois dans son esprit coquin, les fantasmes l’étaient beaucoup moins. Qui n’a pas de fantasmes me direz-vous ?

Lorsqu’elle a vu les annonces de l’ouverture d’un gîte fétichiste accordant une attention particulière aux célibataires, cela l’a titillée. En s’imaginant dans les jeux possibles décrits pour les couples et les hommes seuls, il lui venait des fourmis dans son petit bedon....

Elle s’est donc lancée dans une étude approfondie à la version enquêteurs de police sur les propriétaires du gîte. Les 60 évaluations faites sur le profil de TSM étaient pratiquement toutes dans le même sens. « Un sadique pervers à la fois très respectueux et accueillant ».

Lire les évaluations réelles des personnes l’ayant rencontré

Joueuse mais prudente, Lucie a donc pris un abonnement sur Fessestivites pour contacter les femmes ayant fait des évaluations sur son profil. Toutes les filles lui ont répondu qu’elle ne risquait rien, hormis s’éclater, découvrir et s’amuser en toute simplicité.

Aussi frileuse qu’excitée, elle l’a donc contacté par messagerie pour avoir plus d’informations sur ce que son gîte fétichiste pouvait proposer comme « loisirs ». Sa réponse a été simple !

  • Vous pourrez faire tout ce que vous rêver de vivre et faire seule en étant assistée, accompagnée, guidée et surtout sécurisée. Exemple, si vous rêvez d’essayer une camisole de f o r c e, vous l’enfilez, je ferme la camisole et vous me dites combien de temps vous désirez restée prisonnière. Cela peut être aussi de dormir enfermée dans une cage, de rester une heure nue au pilori, à chaque fois, c’est vous qui décidez. Je peux également vous prêter du matériel pour faire du selfbondage, vous donner des idées de scénarios mais ne jamais entrer dans votre gîte. L’avantage est que si je ne vous vois pas à midi par exemple, je viendrai voir si vous êtes bloquée et en perdition. En clair, ma femme ou moi-même pouvons être la personne de confiance à qui vous pouvez tout dire.

Convaincue qu’elle ne risquait rien et que sa vie ne serait pas en danger, Lucie a donc fait une réservation comme si elle se jetait à la mer.

Trois mois plus tard, et après des rêves érotiques fous et quelques cauchemars, c’est dans la parking de l’aéroport qu’elle rencontre l’agitateur de mauvaise conscience. Venu en ville faire trois achat pour son gîte, il lui a proposé de la récupérer à l’aéroport pour lui éviter d’avoir à payer un taxi. Les discussions pendant le trajet dans le 4x4 poussiéreux, finirent de lever ses craintes. TSM est un gentil taré bourré de très mauvaises et surtout, perverses idées. En rencontrant son épouse Malicia, pour l’apéro de bienvenue, elle constata qu’il n’était pas le seul à avoir des idées perverses.

Pendant que TSM terminait la préparation du repas, Malicia lui fit visiter les lieux et l’accompagna à son gîte. Les discussions furent coquines, entre filles on se lâche un peu plus. Pendant le repas, elle eut des explications sur des fétichismes qu’elle connaissait très peu ou ne comprenait pas comme l’ABDL. C’est au dessert qu’elle avoua qu’elle manquait d’idée pour l’après-midi. C’était une vraie fausse mauvaise bonne idée que de dire cela à TSM ! ! !

  • Je vous propose de vous accompagner à votre gîte pour vous préparer un plan qui finira de vous achever après la fatigue du voyage. Cela peut être très jouissif..... Rassurez-vous, je ne fais que tout installer et je vous abandonne pour aller faire ma sieste ! Répondit TSM.

Peu rassurée elle accepta cette proposition. Il prit une serrure de glace de deux heures et, habitué aux lieux, il ne lui fallut que très peu de temps pour faire une installation sur le lit avec tout ce qu’il faut pour qu’elle se fasse plaisir.

  • Je vous explique le principe. Vous mettez ce que vous voulez dans vos orifices, vous garder une culotte pour bloquer le magic wand massager en bonne place. Ensuite vous attachez vos chevilles dans ces bracelets, vous attachez votre main gauche dans ce bracelet avant d’allumer vos jouets et de menotter votre dernier poignet ici ! Lui indiqua TSM avant d’ajouter : vous pouvez également vous mettre des pinces à sein et une cagoule qui vous aidera à mieux fantasmer. Si vous n’avez pas de question, je vous laisse vous installer ?

  • Si j’ai une question. Comment s’ouvrent les menottes ?

  • Cette petite boite noire est remplie de glace. Quand elle sera fondue, elle libérera votre poignet. Vous pourrez alors vous libérer, c’est aussi simple que ça.

  • Merci, vous pouvez me laisser ! Répondit Lucie toute rouge de honte.

A peine était-il sorti et enfin seule, elle se précipita vers le placard à sextoys. Rien que de les toucher la faisait mouiller. Elle mit un préservatif sur un plug anal de taille modeste, sur le vibro qui n’allait pas tarder se retrouver au chaud.... Au cas où, elle prit aussi des pinces à sein légères car la douleur pure, n’est pas son truc ainsi qu’un petit bandeau pour ses yeux de biche. Après s’être dévêtue, hormis la culotte comme conseillé, elle ne tarda pas à combler ses orifices très demandeur, surtout celui de devant...

Lucie prit place sur le lit pour entraver ses chevilles. A la suite de quoi, elle s’allongea pour entraver son poignet droit. L’excitation étant à son comble, elle le détacha pour se mettre les petites pinces à sein. Elle finalisa son selfbondage après avoir allumé le petit vibro et le gros magic wand puissance 10 logé dans sa culotte. « Ouhaou, cela va être géant » pensa aussitôt Lucie.

Son esprit coquin ne tarda pas à se mettre en route. L’amant de ses rêves venait la « sauter » avant de la livrer en pâture à ses amis. Ce fantasme n’est réellement qu’un fantasme car elle n’accepterait pas ce genre de pratique. Par contre, dans les fantasmes on peut y mettre ce qu’on veut pour délirer, s’envoler et jouir.

En agitant ses reins comme si son amant la prenait sauvagement, elle agitait aussi le vibro et le plug. Ces actions, cumulées aux vibrations et au magic wand massager puis au fait d’être réellement attachée, la firent rapidement monter « dans les tours ». Le premier orgasme fut géant même si elle aurait bien aimé que les sextoys vibrants lui accordent une pause. Le deuxième orgasme ne tarda pas à pointer son nez. Le troisième la mit dans un état de transe. Son corps lui échappait, elle criait son plaisir et tremblait sans discontinuer. Au quatrième elle hurla sa jouissance, chose qu’elle n’avait jamais fait étant plutôt discrète au lit..

« Déglinguée » et en perdition totale, elle commença à subir les effets des sextoys. « Subir » est un bien grand mot, disons qu’elle aspirait à une pause syndicale qu’ils ne semblaient pas vouloir lui accorder ! « Je me fais un gang bang BDSM toute seule » pensa Lucie continuant d’enchaîner contractions sur contractions.

Une heure plus tard, les batteries du vibro et du magic wand massager finirent par rendre l’âme, laissant ainsi une pauvre fille épuisée de jouissances entravée bras et jambes en croix sur le lit. Lucie sombra dans les bras de Morphée pour un sommeil profond sans rêve. C’est en se tournant comme quelqu’un qui dort qu’elle se réveilla. Pendant une seconde, elle s’affola d’être entravée avant de se rendre compte de la situation. Son poignet droit était libre, elle pouvait se délivrer. Si cela fut facile à faire, le retrait des pinces à sein lui parut soudainement très hard. Une douche salutaire s’avéra obligatoire ! C’est là qu’elle découvrit qu’il y avait aussi des anneaux dans les murs, même dans la salle de bain. « C’est vraiment une maison de fous » se dit-elle.

Lucie prit conscience qu’elle était restée entravée trois heures au total. Malgré ses tétons très sensibles elle enfila un tee-shirt puis une jupe pour aller prendre l’air puis prendre un verre avec Malicia.

  • Alors, c’était bien ? Lui demanda Malicia.

  • Superbe, j’ai cru mourir deux ou trois fois, votre mari est un vrai malade mental !

  • Je sais, c’est aussi pour ça que je l’aime !

  • Il vous l’a fait aussi ?

  • Oh, il m’a fait bien pire !

La discussion entre filles continua sur le sujet un moment mais elles refusent que j’écrive ce qu’elles se sont dit. Croyez-moi sur parole, entre elles les discussions sont parfois chaudes...

N’ayant pas envie de cuisiner, Lucie avait annoncé qu’elle prendrait tous ses repas au gîte. Elle partagea donc celui du soir en mauvaise compagnie et put même assister à la fessée de Malicia, une injustice évidente car c’est une perle. En même temps, en voir une en vraie lui donna des envies, mais elle n’osa pas l’avouer.

TSM lui demanda si elle avait des projets coquins pour la soirée ou la nuit comme si il lui demandait si elle voulait faire du tourisme ou des courses !

  • Non, je n’en ai pas mais si vous avez des idées, je n’aurai rien contre des propositions ! Répondit Lucie un peu gênée.

  • Arrêtez de rougir, ici rien ne nous choque. Vivez vos passions ou essayez des trucs, ne soyez surtout pas gênée, cela fait 40 ans que je suis dans le monde des rencontres. Je suis le propriétaire de Fessestivites et Abkingdom, autant dire que vous pouvez vous lâcher et nous parler librement de tout.

Ne connaissant pas Abkingdom, Lucie voulut en savoir un peu plus sur l’ABDL. TSM lui expliqua la différence entre AB qui signifie adult baby puis l’âge-play avant d’aborder le côté DL qui signifie diaper lover. Il aborda aussi le côté little, petite fille ou petit garçon, une autre forme de régression. Il précisa que c’était quelque chose à découvrir, à essayer au moins une fois pour voir car les sensations, les émotions ressenties ne tuent pas ceux qui essaye pour voir. Il précisa que c’est un fétichisme honteux pour beaucoup alors qu’il n’y a aucun mauvais fétichisme.

  • Il n’y a pas de mal à se faire du bien et à s’accorder des plaisirs quels qu’ils soient. Certains aiment la fessée, d’autres les pieds, d’autres les collants ou le latex, d’autres le libertinage, d’autres le BDSM, où est le mal à aimer pratiquer quelque chose qui fait du bien et ne dérange personne ? Vous devriez essayer au moins une fois l’ABDL, je peux vous faire dormir en couche enfermée dans un lit de bébé. Si je précise enfermée, c’est parce que je sens bien que les jeux de contrainte vous amusent. Rien ne vous y oblige, vous pouvez aussi refaire du bondage pour la nuit.

  • Heu, je crois que pour aujourd’hui, le bondage et les sextoys on va oublier ! Répondit Lucie avant de demander à Malicia si elle aime l’ABDL.

  • J’ai essayé pour voir, non ce n’est pas mon trip mais je confirme, il y a des passionnées. Essayez pour voir, vous verrez bien ! Répondit Malicia.

  • Et qui est-ce qui me met la couche ? Demande Lucie.

  • Vous mais je peux vous aider si vous ne vous en sortez pas toute seule ! Répondit TSM.

  • Vous n’êtes pas jalouse qu’il fasse ça ? Demanda Lucie étonnée.

  • Absolument pas, où est le mal ? Il ne baisera pas avec vous, il vous fera la même chose qu’un infirmier ! Répondit Malicia.

  • Ecoutez Lucie, je vous propose de vous organiser une nuit de douceur sous la contrainte pour vous faire découvrir l’âge-play comme si vous y étiez obligée. Vous mettez seule votre couche, j’attends devant la porte du gîte et je n’entre que quand vous m’y invitez. A partir de là, je vous verrai avec une grosse culotte. Cela vous va ?

Rouge comme une écrevisse, Lucie abdiqua. Une heure plus tard, TSM pénétra donc dans le gîte de Lucie après y avoir été invité. Il la fit s’allonger sur le lit pour arranger les attaches de la couche, puis lui faire enfiler une culotte en plastique.

  • Bien, la petite fille est protégée pour la nuit. Maintenant il faut l’habiller pour qu’elle n’ai pas froid. Regardez ce que j’ai prévu pour vous ! Indiqua TSM ou ouvrant un sac de voyage avec une grenouillère et un body. Que préférez-vous, la grenouillère ou le body ou les deux ?

Lucie prit la grenouillère qu’elle enfila toute seule un peu gênée par cette aventure.

  • Vous êtes toute mimi comme ça, allez bébé, entrez dans le lit qui est sous le grand lit dit TSM en tirant un grand tiroir s’avérant être un lit une place sur roulette. Vous avez un doudou ou je vous en prête un ?

  • J’en ai un répondit Lucie en rougissant. Il est dans ma valise, vous pouvez l’attraper ?

TSM alla donc chercher le doudou de la grande fille et le lui donna avant de pousser le lit à roulette sous le grand lit. A la suite de quoi, il souleva le tissu du côté du lit permettant à Lucie de voir à travers les barreaux d’un lit de bébé.

  • Je vous ai prévu de quoi vous désaltérer et de quoi vous aider à dormir ! Lui indiqua TSM en lui donnant une tétine et un biberon d’eau. A qu’elle heure voulez-vous que je vous libère ?

  • Comment ça me libérer ?

  • Parce que je vais fermer le lit à clé, sans quoi vous allez tricher !

  • Est-ce obligé ?

- Non ici, rien n’est imposé mais vous devriez m’écouter et tester réellement !

Prise dans la tourmente des événements, elle accepta de se laisser enfermer jusqu’à huit heure. TSM lui laissa le bouton d’une petite veilleuse avant de quitter les lieux en lui souhaitant bonne nuit. La première chose que fit Lucie, c’est de toucher entre ses jambes, avoir ce gros truc entre les cuisses la perturbait un peu. « Je suis folle d’avoir accepté » dit Lucie à son doudou. Pour jouer un peu, elle prit la tétine en câlinant sa peluche délavée et usée par des nuits de câlins. A la suite de quoi, elle testa le biberon et trouva ça très pratique pour boire la nuit. Malgré la sieste crapuleuse, Lucie ne tarda pas à éteindre la lumière et s’endormir.

Vers trois heures du matin, c’est une envie pressante qui la réveilla. Si enfermée dans ce lit cage elle se sentait protégée de l’extérieur, le dit lit l’empêchait d’aller aux toilettes. « Le sadique avait raison, j’aurai triché si il l’avait laissé ouvert » se dit Lucie. Sauf que, elle parvint pas à se soulager dans la couche. Une sorte de blocage psychologique l’empêchait de se libérer. Au plus on pense à l’envie de faire pipi, au plus..... elle travaille vos méninges.

Vers quatre heures du matin, après en avoir parlé avec son doudou, elle finit par se dire que faire quelques gouttes dans sa couche ne la tuerait pas. Oui mais entre le dire et pouvoir le faire..... ce n’est que vers quatre heure et demi qu’elle parvint à faire quelques gouttes, enfin, les premières parce qu’un fois ouverte, sa vessie refusa de se refermer. C’est ainsi que, seule dans son lit avec personne pour la regarder, que Lucie découvrit que se lâcher dans une couche ce n’est pas si désagréable que ça. « Tu ne le diras à personne hein » ? Demanda Lucie à son doudou qui, évidement, promis de garder le secret.

C’est ce pipi couche qui déclencha quelque chose d’inexplicable dans la tête de Lucie. Elle se rendormit avec son doudou dans les bras et en suçant son pouce.

  • Coucou Lucie, il est huit heure. Je vous ai apporté le petit déjeuner, tout est sur la terrasse. Je vous ouvre et vous laisse tranquille. Gardez encore un peu votre couche pour le petit déjeuner, cela vous permettra de continuer à découvrir ce monde. Après votre douche, vous la mettrez dans un sac en plastique que vous fermerez bien avant de la mettre dans la poubelle. Ensuite, vous pourrez venir nous voir ou profiter de la propriété. L’eau de la piscine est à 25, si cela vous séduit, vous pouvez aller vous baigner en maillot ou nue, ici les seuls voisins que nous avons ce sont les oiseaux. Bonne journée grand bébé !

  • Je ne suis pas un bébé ! Cria Lucie amusée par le côté ultra décontracté de TSM.

Au lieu de se lever, Lucie se laissa aller à farnienter un peu au lit, il est vrai que sa nuit avait été écourtée. Si bien qu’elle s’accorda un deuxième pipi couche sous sa couette en se disant que le matin, pour la grasse matinée, ce truc était bien pratique puisqu’il n’y a plus l’obligation de se lever. Une demi heure plus tard, elle poussa un cri de peur quand un chat échappé de la chatterie du Moulin vint lui faire un câlin. Il y en a cinq, c’est Princesse Chipie la toute blanche à poil long qui était venue lui rendre visite. Son cri lui ayant fait peur, l’adorable chatte s’était enfuie.

Arrivée sur la terrasse, Lucie quitta immédiatement sa grenouillère pour cause de chaleur. « Douche de suite ou café d’abord » se demanda t’elle. Café fut la priorité qui s’imposa à elle. Lucie prit conscience qu’en ce lieu de perdition appelé gîte fétichiste, qu’elle pouvait vraiment se lâcher, qu’elle ne serait pas jugée par les envies qu’elle avait, surtout une. Elle avait envie d’essayer la machine à baiser sur le cheval espagnol que lui avait montré Malicia.

Après avoir pris son petit déjeuner accompagné par le chant des oiseaux, elle retira la couche pour aller aux toilettes puis prendre une douche. Evoluer nue dans cette ambiance décontractée lui plut. C’est donc intégralement nue qu’elle osa se rendre à la piscine pour piquer une tête et faire quelques brasses.

  • Vous devriez faire attention au soleil, votre peau est blanche et vous risquez de prendre un coup de soleil ! Lui dit TSM passant devant la piscine.

Gênée par sa nudité, elle attrapa rapidement sa serviette pour se cacher.

  • Vous êtes vraiment timide ou simplement pudique ? Ici c’est naturiste, donc si vous voulez évoluer nue, ne vous inquiétez pas, on s’en moque ! Lui indiqua TSM amusé.

  • Oh ça va vilain pas beau ! Répondit Lucie provocatrice.

  • Si vous avez envie d’une fessée, cela peut s’arranger vilaine ! Répondit TSM avant de l’inviter à venir choisir les légumes du repas du midi dans son potager.

  • Dans cette tenue ?

  • Mettez la serviette autour de votre taille si vous voulez !

A l’aller, Lucie garda la serviette à sa taille, au retour elle était sur son épaule, cela l’avait agacée d’être obligée de la tenir tout le temps. En arrivant à la maison, il lui proposa un café ainsi qu’à Malicia. Assis sur la terrasse ils échangèrent sur les nouvelles expériences de Lucie qui finit par avouer, que c’était troublant sans rien dévoiler de plus. TSM et Malicia ne lui demandèrent aucun détail, leur but n’est pas de gêner les clients, bien au contraire. Lucie s’isola un instant avec Malicia pour lui avouer qu’elle essayerait bien le cheval espagnol.

  • C’est TSM qui s’occupe de ça, vous voulez que je lui en parle ?

  • Heu....

  • Arrêtez de faire la timide, éclatez-vous, profitez du gîte et de ses installations.

Malicia lui expliqua que c’est son mari qui allait le préparer et lui permettre de s’installer seule dessus.

« Et zut » ! Se dit Lucie, « il faut que je me lâche, car je suis sûre que le sadique aura des idées perverses, plus jouissives que juste m’asseoir sur un gode qui bouge » Ce fut le cas ! Il lui installa la machine dans le gîte mais avec quelques variables à la façon TSM. Une fois qu’elle fut « empalée » sur le gode recouvert d’un préservatif, il lui attacha les chevilles aux anneaux du carcan, bloqua un magic wand massager sur le devant de la selle avant de lui demander si elle voulait être menottée. Elle refusa les menottes, c’était un peu « trop » pour elle de se faire attacher. Il l’abandonna donc pour retourner préparer le repas du midi.

Lucie put donc commencer à jouer avec le variateur de la machine puis le magic sur son chaton en avançant sur la boulle, elle aussi recouverte d’un préservatif. Au bout d’un moment, elle regretta qu’il ne l’ait pas menottée car seule, elle n’arrivait pas à « s’obliger » à empiler les jouissances comme pendant sa sieste crapuleuse. Quand le plaisir était trop fort, elle jouait avec la télécommande de la machine puis avec le bouton du magic. Si elle avait été entravée..... Ce fut quand même bien bon !

Après le repas, vers 14 heures, TSM lui demanda si elle avait besoin de quelque chose avant qu’il aille faire sa sieste. Lucie voulu elle aussi faire une sieste « normale » avant d’être ouverte à une proposition de jeux. Il lui parla donc du principe du Bondage Walking en indiquant qu’il avait plusieurs jeux de pistes pour aller récupérer les clés des menottes ou des cadenas des chaînes.

  • J’ai plusieurs jeux de piste, du simple au plus avancé mais comme vous avez le sens de l’orientation d’une fille, je pense que le simple serait bien pour vous !

  • Mais vous êtes macho, une fille sait aussi très bien s’orienter qu’un homme ! Répondit Lucie.

La provocation ayant fonctionné, il abdiqua et lui indiqua qu’il lui donnerait la fiche d’orientation après la sieste car à 15 heures, on ne fait pas de Bondage Walking en Espagne. Vers 17 heures, Lucie revint les voir pour lui dire qu’elle était prête à jouer et relever le défi.

  • J’ai déposé les clés sur le terrain, voici la fiche du jeu de piste pour les trouver.

  • Mais je ne vous ai pas dit ce que je voulais faire, comment savez-vous ce qu’il me faut ? Demanda Lucie.

  • J’ai un jeu de clés pour plusieurs cadenas et une paire de menottes, dites-moi de quoi avec vous besoin. Vous pouvez avoir 6 cadenas une paire de menottes et des chaînes.

  • Heu, je ne sais pas trop. Vous avez des idées ?

  • Je vous propose deux cadenas + une chaîne pour les chevilles afin de jouer le bagnard. Ensuite, vous pourriez vous faire une ceinture de chaîne qui devient un string. Là il vous faut 2 cadenas de plus. Je peux vous prêter un plug métal, il a un anneau que vous pouvez fixer à la chaîne avec un cadenas. Vous bloquez vos menottes mains dans le dos au niveau de la chaîne. Dans ce cas, il faudra fixer le plan dans une pochette plastique sur une de vos jambes puisque vous ne pourrez pas le tenir dans vos mains. La règle du jeu est simple. Si à 20 heures vous n’êtes pas rentrée, je viendrai vous chercher pour vous ramener. Dans ce cas, je vous verrai donc nue avec votre petit équipement...... Ah un truc j’ai de petite pinces à sein munie de clochette ou un collier lui aussi munie de clochette, que préférez-vous ?

  • Le collier, mes tétons ont déjà trop souffert ! Répond Lucie spontanément avant de comprendre qu’elle vient de se dévoiler encore une fois.

  • OK, allez dans votre gîte, je vous apporte tout ce donc vous avez besoin. Vous vous équiperez seule si vous le désirez ou, si besoin je peux vous aider.

  • Cela devrait aller, vos explications étaient très claires, je devrai m’en sortir !

Lucie ne prend pas conscience qu’elle perd beaucoup de temps en se préparant. Elle accroche le plan à sa cuisse droite par des bandes de velcros avant de verrouiller ses menottes mains dans le dos. Elle part seule et loin des regards de son gîte vers 18 heures. Marcher avec des chaînes aux pieds ralentit sa progression. La clochette fixée à son collier commence à l’agacer. A cela se rajoute que, lorsqu’elle se penche en avant pour lire le plan sans trop pouvoir plier sa jambe, elle tire sur la chaîne passant entre ses fesses et donc,...... sur le plug.

Malgré ses petits inconvénients, Lucie trouve ce jeu très excitant. Elle s’imagine même dans ses petits délires qu’elle est le gibier d’une chasse à la femme. Quel dommage qu’elle n’ait pas assez d’amplitude pour pouvoir venir jouer un peu avec son petit bouton des plaisirs. Elle éclate de rire lorsqu’elle arrive à « la fontaine des assoiffés » comme indiqué sur le plan. Il s’agit d’un biberon attaché à un arbre avec de l’eau encore glacée. Elle descend de bon coeur les deux tiers du biberon.

Au bout d’une heure d’aventure en pleine nature, Lucie commence à se traiter de folle et TSM d’enfoiré pour ses idées tordues. En effet, d’après le plan, c’est de l’autre côté de la petite vallée qu’elle devrait être. C’est donc toujours à petit pas qu’elle fait marche arrière sur 500 mètres et termine le biberon d’eau au passage. Alors qu’elle traverse la petite vallée, Lucie est rattrapée par une envie pressante. Chaînes aux pieds et mains menottées dans le dos, elle n’a pas trop envie de s’agenouiller surtout avec un plug dans les fesses. N’ayant pas d’autre choix que de faire pipi debout, elle trempe ses cuisses et ses pieds en traitant TSM de noms spéciaux qu’il est préférable qu’il n’entende pas.

Assis tranquillement sur sa terrasse avec un pastaga bien frais, le dit Très Sadique Mec la suit de loin avec ses jumelles. Une petite sécurité en cas de chute. Il sait donc où se trouve Lucie quand, à 20 heures il quitte donc son verre vide pour enfourcher son vélo. Il commence par récupérer les clés avant de rejoindre Lucie. En le voyant arriver, elle est à la fois soulagée et honteuse d’être vue nue avec un string de chaîne et un truc dans les fesses. Après avoir libéré les chevilles de la pauvre fille perturbée d’avoir perdu, il pose son sac à dos pour en sortir une bouteille d’eau fraîche.

  • Avec les menottes, cela va être difficile pour moi de boire ! Lui indique Lucie d’un air de dire « t’as pas fini de me libérer ».

  • Je sais mais j’ai bien dit que je viendrai vous chercher, pas que je vous libérerai ! Lui répond TSM en accrochant une laisse au collier de Lucie.

  • Et, ça va pas la tête !

  • Il va bientôt faire nuit, alors où je vous laisse comme ça avec les renards qui ne vont pas tarder à sortir, ou je vous raccompagne à ma façon ! A vous de choisir !

  • Bon ça va, je vous suis, mais je ne suis pas une chienne !

  • Ah, ce jeu vous exciterait ? je peux vous le préparer si vous le désirez !

  • Nan, merci, ça ira pour aujourd’hui !

Cinquante mètre plus loin, TSM (Très Sympathique Mec ^^^) lui retire la laisse et les menottes en lui disant que cela lui allait bien ! Comprenant qu’il avait simplement envie de jouer avec ses nerfs, Lucie lui tire la langue.

  • La fessée c’est toute de suite avec les fesses pluguées ou ce soir après votre douche ?

  • Ce soir je préfère ! Répond Lucie sans réfléchir.

  • Vous êtes donc d’accord pour que je vous donne la fessée méritée !

  • Heu.... je n’ai pas dit oui !

.......................

Laissée seule à son gîte, Lucie prend une douche grandement méritée et justifiée vue la couleur de l’eau à ses pieds. A 21 heures, elle les rejoint à la maison pour le repas du soir en tenue « civile ». Peu pressés et vivant à l’heure espagnole, ils lui proposent de partager leur apéritif maison fait avec des aubergines et des poivrons grillées du jardin.

  • Alors cette expérience de Bondage Walking vous avez aimé ? Demande Malicia.

  • Original à vivre, il y a une sorte de communion qui se fait avec la nature, sauf que j’ai rencontré un rustre qui a voulu me faire marcher en laisse comme une chienne ! Répond Lucie.

  • Oui et qui, au lieu de me remercier d’être allé la libérer et la chercher avant la nuit m’a tiré la langue en guise de reconnaissance. Cela mérite une fessée, qu’en penses-tu Malicia ?

  • Absolument, c’est inadmissible ! Répond Malicia amusée.

  • Classons cette regrettable affaire de suite, venez vous installer sur mes genoux que je vous apprenne la politesse ! Indique alors TSM en reculant sa chaise.

Pour Lucie, ce n’est pas le fait de recevoir une petite fessée qui la perturbe, mais c’est de la recevoir devant quelqu’un ! Une fois allongée sur les genoux de TSM, sa jupe est prestement relevée, la grosse paluche de TSM commence à appliquer la fessée sur une jolie culotte qu’il regrette presque de baisser quelques instants plus tard.

  • Aie, qu’est-ce que vous faites ?

  • Une vraie fessée se donne déculottée, n’est-ce pas Malicia ?

  • Absolument !

Avant même qu’elle n’ait le temps de répondre, TSM continue de lui claquer les fesses gentiment, bien qu’il aurait bien volontiers appuyé un peu plus. Comme une cliente n’est pas une amie, il se contient et ne fait pas durer la fessée de la coquine. Pour Lucie, c’est encore une grande nouveauté car, sa seule expérience de spanking, avait eu lieu une fois avec un de ses copains ultra timide ayant à peine claqué ses fesses. Même si il a été soft, elle sent bien que ses fesses sont chaudes lorsqu’elle prend place sur sa chaise.

Le repas est un moment de partage aussi bien en terme de nourriture que de discussions. Lucie apprend un peu plus de la vie de ce couple d’adorables psychopathes et regrette déjà d’être obligée de partir le lendemain car elle serait bien restée plus longtemps. Hélas, le billet d’avion ne peut être changé. En leur compagnie, elle aimerait découvrir encore plein de choses car elle se sent en totale sécurité.

  • Vous me faites quoi ce soir ? Demande Lucie.

  • La question est mal posée. Que désirez-vous faire et vivre ?

  • J’ai bien aimé la nuit en couche dans le petit lit mais y a t’il moyen de varier un peu ?

  • Avec une couche ?

  • Oui mais aussi du bondage ! Répond Lucie à présent sans trop de pudeur.

  • Couche, bondage et jouissances avant le dodo, cela vous va ? Lui demande TSM dont le cerveau a déjà démarré en mode pervers.

  • Ouiii !

Accompagnée à son gîte par TSM et son sac à malice, Lucie est invitée à s’allonger due sur le lit. Il lui donne une couche et un vibro en lui demandant de se le mettre toute seule « comme une grande ». A la suite de quoi, il démarre le vibro et referme la couche avant de l’aider à enfiler une culotte à cadenas. Il pose le caméscope dans un coin en lui expliquant que c’est la règle au gîte. A partir du moment où il participe, c’est filmé comme pour les caméras des banques. S’il n’y a pas de problème la vidéo est supprimée. Il demande ensuite à Lucie d’entraver ses chevilles puis lui prête une cagoule d’isolation BDSM en lui demandant de la mettre après lui avoir expliqué que le principe serait le même que son selfbondage.

Il l’aide donc à lier son poignet gauche puis guide sa main pour qu’elle ferme elle même les menottes de son poignet droit. Elle est donc attachée bras et jambes en croix sur le lit et cagoulée. TSM branche un magic wand massager filaire sur un programmateur réglé sur 5 minutes On, 5 minutes Off avant de programmer une plus longue période en mode On. Le sextoy trouve sa place entre la couche et la culotte en plastique de Lucie.

TSM (Très Sadique Mec) abandonne Lucie avec ses interrogations après avoir éteint la lumière. Pendant les cinq première minutes, elle se demande ce qu’il a placé entre sa couche et sa culotte en plastique. Elle ne le découvre que quand le magic se met en route. Les vibrations pile poil au-dessus de son chaton, sont loin d’être désagréables. Cumulées avec celles du vibro en bonne place, elles la conduisent doucement sur les rivages d’une jouissance. Hélas, cinq minutes c’est trop court pour y parvenir et le sextoy s’arrête. Elle boude un peu en se disant que c’est dommage que le magic a du tomber en panne.

Elle pousse un cri de surprise dans sa cagoule cinq minutes plus tard quand il se remet en route. Le Très Sadique Mec lui a programmé 4 sessions On et 4 sessions Of avant de le lui laisser 60 minutes non stop. Lucie enrage pendant les sessions Of et On avant de finalement savourer le plaisir du magic en mode On juste au dessus de son chaton. Juste après sa première jouissance, une envie pressante, que cette fois elle libère sans blocage, la fait décoller. « Pipi couche + magic c’est ouhaouuuu » se dit Lucie bien décidé à en acheter un chez ABCplaisir. (ABCplaisir, cela va de soit ! ! ! )

Lorsque la serrure de glace lui rend sa liberté, Lucie se détache mais n’a même pas le courage d’aller attraper les clés de menottes posées sur la table du salon. Ce n’est qu’au petit matin qu’elle trouve le courage de se lever pour aller retirer la menotte gênante toujours accrochée à son poignet.

« Mais où sont les clés de la culotte à cadenas » se demande Lucie. Convaincue qu’il veut l’obliger à venir les voir avec ses grosses fesses, elle sort de son gîte en jupe vers 9 heures et découvre qu’elles sont sur la table avec le petit déjeuner puis une rose fraîche. En lisant le petit papier sous la rose, son sourire disparaît aussitôt. « Départ 11 heures maximum pour que vous ne loupiez pas votre avions ».

Après avoir pris son petit déjeuner, Lucie prend une douche, fait un carré de ménage en laissant tout ce qui a été utilisé comme linge et draps dans un panier prévu à cet effet avec de rejoindre ce couple qui l’a si gentiment accueillie. Après avoir réglé quelques achats en boutique et le solde de son séjour, c’est presque les yeux mouillés qu’elle monte dans la voiture pour prendre la route de l’aéroport.

  • Est-ce que je pourrai revenir et vivre d’autres choses avec votre aide ?

  • Avec plaisir Lucie mais si vous me tirez encore la langue cette fois la fessée sera plus consistante !

  • Leeeeeeeeeeeeee ! Fait Lucie en lui tirant la langue pendant qu’il conduit.

Ni une ni deux, TSM quitte la route pour prendre un chemin pour s’arrêter derrière un bosquet d’arbres.

  • Une bonne déculottée va vous être offerte par la maison !

EPILOGUE

Lucie a eut son avion, TSM prévoit toujours de la marge. Elle a trouvé que les sièges de l’appareil n’étaient pas très confortables, allez savoir pourquoi ?

FIN

Note de l’auteur : le gîte fétichiste ouvre ses portes en Espagne en 2023. Cliquez ICI pour en savoir plus

mercredi 17 août 2022

Fessée le jour de son mariage

 


Quand les fétichismes vous rapprochent, on parle mariage

Lors de notre mariage, ma chère et tendre chipie a osé demander aux personnes présentes et devant le maire si elle avait le droit de réfléchir encore un peu avant de dire « oui » !

Même si ce n’était que de l’humour, elle a jeté un froid malgré l’écrasante chaleur qu’il faisait ce jour là. Quelques secondes plus tard, en entendant son « oui » et en la voyant signer le registre municipal, les coeurs se sont remis à battre normalement.

La chipie a osé récidiver lors de notre mariage BDSM et fessée organisé plus tard, évidement sans la famille. Cela n’a été qu’une petite fête qui a duré 4 jours.

Le samedi à 17 heures, un curé, un fesseur parisien aussi pervers que TSM et un maire lui aussi disjoncté ont donc officié dans les règles de l’Art, en présence des invités. Autant dire que ces cérémonies n’étaient pas vraiment conventionnelles... Un contrat de mariage BDSM a été signé par les mariés et deux témoins (même pas véreux) en présence de la vingtaine d’invités.

Par deux fois, la rebelle totalement inconsciente du danger a ENCORE osé demander aux amis si elle pouvait réfléchir. Une fois devant le vrai maire, une fois devant le maire BDSM de circonstance et une fois au curé nommé Père vert. Elle avait donc par trois fois fait cette demande incongrue : « est-ce que je peux réfléchir encore un peu » ?

J’ai donc décidé, après une longue réflexion, de l’aider à réfléchir avant, ou plutôt, de casser au plus vite son côté rebelle. Je me suis dit que si aux premiers jours de notre mariage je ne mettais la chipie dans le droit chemin, dans dix ans, elle serait infernale.

A cela se rajoute que devant les fesseurs, Maîtres et Maîtresse présents ce jour là, je passerai pour un faible si je ne réagissais pas ! Mon vernis social de dominateur était donc en péril.

J’ai donc laissé de côté mes émotions et sentiments du moment pour attraper une chaise et la conduire dans le gazon pour que tout le monde puisse assister à sa fessée punitive. Une vraie fessée OTK comme il se dit dans le monde des adeptes. Après avoir pris place sur la chaise, j’ai attiré la fautive sur mes genoux avec la ferme intention de la déculotter et de rougir son fessier.

Et là, mesdames et messieurs, alors qu’elle prenait place  sur mes genoux en me suppliant (ça ce n’est pas vrai mais faut bien que j’en rajoute..) les pieds de la chaise se sont enfoncés dans le gazon et nous avons failli basculer. (Ca c’est vrai)

Prêt à en découdre avec mère nature et ma chipie, j’ai réussi à redresser la situation (la chaise) pour remonter sa robe de mariée, la déculotter devant tout le monde et à lui donner la fessée de sa vie ! (Là j’en rajoute un peu^^^)

Totalement matée, après s’être remise sur ses quilles, ses jambes, pardon, l’effrontée a prononcé « Merci Maître » à haute et intelligible voix redorant ainsi mon blason. OUF !

Parmi les invités il y avait : L’Abbé Nédictine, le Père colateur, l’Abbé casse, l’Abbé Pierre, celui qui est chargé des constructions, l’abbé Tonière, l’abbé Résina et les soeurs Rises qui nous ont fait des pets de nones comme désert le lendemain et le Père Vert désireux d’assister à la fessée !

Un mariage 100 % Fessestivites puisque la chipie, qui n’était qu’adepte de la fessée, a eu de vraies mauvaises fréquentations à savoir moi.

TSM 

  La vidéo de la fessée de la mariée est ICI

Forum fessée 

Rencontres Fesses à claque

La boutique du spanking

  La fessée aufeminin histoires érotiques
La fessée aufeminin photos érotiques

Voir des déculottées en vidéo (Sans pub)

SANS PUB = pas de redirection vers des sites d'arnaque

 

 

 

vendredi 15 avril 2022

Recyclage du chocolat de Pâques

 

Recyclage-du-chocolat-de-Paques.jpg

Que faire des chocolats de Pâques en trop ?

 

Après les fêtes de Pâques, il est fréquent qu’il reste du chocolat. Plutôt que le gaspiller, faire des excès pouvant mettre votre tour de taille en péril avant les vacances, quelques idées de jeux coquins.

SOFT le faire fondre et BIEN vérifier bien la température pour éviter les brûlures, faire un massage avant de déguster sans modération. Vous pouvez évidement masser ---> partout, partout.... 

SOFT  le faire fondre sur un gode puis lécher OU faire lécher le gode.

SOFT le faire fondre sur un drap en latex ou PVC, faire un câlin plein de bisous gourmands.

APRES LA FESSEE le faire fondre et BIEN vérifier la température pour éviter les brûlures, le faire couler et l’étaler sur les fesses de la personne fessée et consommer sans modération.

PLUS CHAUD  le faire fondre sur un gode / réaliser un bon lavement / jouer avec le gode dans les fesses / et, après usage, lécher OU faire lécher le gode s'il en reste ..... Le doute subsistera.

POUR ABDL remplir la couche avec ce qu’il reste de chocolat et passer une nuit entière avec cette couche

EN SELFBONDAGE faire fondre le chocolat sur les clés des menottes ou du cadenas ralentira le temps de libération.

Si vous hésitez entre Pâque ou Pâques, sachez que les deux orthographes sont correctes. Il conviendra cependant d'écrire Pâque au singulier lorsque vous voulez faire référence à la fête juive, mais Pâques au pluriel pour célébrer la fête chrétienne et païenne.

Des jeux pour tous avec du BDSM pour soumis et soumises, de l'ABDL, de la fessée et des scénarios ou tutos de selfbondage.

 

ICI il y a 365 idées de jeux, une par jour avec mixité des fétichismes

ICI il y a 150 scénarios ou tuto de selfbondage utilisables aussi pour jouer

ICI il y a près de 1000 idées de jeux

 ICI il y a 80 galeries de X photos avec des idées de jeux et de domination

 VOIR AUSSI LES JEUX DE SOCIETE COQUINS ET FETICHISTES ICI

 Et si cela ne suffit pas, vous pouvez aussi visiter les 27 forums à thème !

 Il y a des mises à jours régulières dans chaque rubrique, repassez nous voir pour avoir les nouveautés.

 

lundi 21 mars 2022

Vacances ABDL en Espagne dans un gîte fétichiste

Les aventures d’un couple ABDL dans un gîte un peu BDSM 

- Chérie, cela te dirait que nous allions en Espagne cette année pour les vacances ?

- Pardon ? Toi qui est si casanier et a toujours refusé d’aller à l’étranger avec des tonnes de prétextes, je ne comprends pas ce changement si soudain ?

- Comme quoi, les choses peuvent évoluer....

- Moi j’irai bien en Italie, ce serait l’occasion d’aller voir ma famille, qu’en penses-tu ?

- Ah non, je préfère l’Espagne, j’en rêve depuis des années.

- C’est nouveau ça ! Que me caches-tu ?

- Disons, euh.... que j’ai découvert un gîte un peu original qui permet de s’amuser....

- Je me disais bien aussi que tu ne me disais pas tout. Et c’est quoi ce gîte ?

- C’est un gîte privé où l’on peut vivre toutes nos petites envies ! On peut même y faire de l’ABDL si on veut.

- Je me disais bien ! On pourrait peut-être oublier un peu les couches pendant les vacances non ?

- J’ai une idée à te proposer !

- J’ai peur d’avance ! Racontes toujours, mais je ne la sens déjà pas !

- On loue le gîte un week-end, on s’y amuse et le reste de la semaine, tu décides des sorties et de là où l’on va.

- J’aime bien le on s’y amuse .... tu vas vouloir que je fasse la nounou deux jours.

- Pas obligatoirement, tu sais, il y aura peut-être des trucs qui t’amuseront aussi. En plus, ils ont une piscine et j’ai lu qu’ils proposent des repas sympa avec des produits que l’on peut aller choisir dans le potager.

- Deux jours pour toi, cinq pour moi, tu es sûr ?

- Oui chérie !

- Pas de couche pendant cinq jours ?

- Euh....

- C’est le deal !

Paul sait que cela sera difficile pour lui de se passer de couche pendant cinq jours, mais l’aventure dans un gîte de ce style le fait fantasmer d’avance.

- OK, ont-ils un site ?

- Oui, c’est le gitefetichistes.com

- Trouve-le je veux le voir.

Paul allume l’ordinateur puis se rend sur le site du gîte pour que Sabrina puisse le découvrir. Il croise les doigts, prie quelques dieux en espérant que les photos n’affolent pas sa femme.

......................

Le Gîte s’adapte à vos pratiques, il suffit de nous en parler pour que nous fassions les ajustements. Le gîte et le terrain peuvent être emménagés en fonction de vos envies, du BDSM pur et dur au simple libertinage tout est possible. Il peut également être emménagé en mode spanking ou en mode ABDL. Les adeptes du Latex sont invité à la prudence dans la journée à cause de la chaleur.  

Une fois sur place, n’hésitez pas à nous demander quelques emménagements, quelques idées coquines ou perverses, nous n’en manquons pas. Même si vous n’êtes pas BDSM ou autre, ce lieux vous permettra de vous amuser et de vibrer en toute liberté et en fonction de vos envies.

A noter et important pour mieux comprendre nos motivations.

Vous n’êtes pas de simples clients, nous sommes ravis d’accueillir des personnes comme nous qui apprécient les plaisirs de la vie et les jeux coquins. Aucune tenue aussi farfelue soit-elle ne nous gênera, tout comme la nudité.

Être ravis de vous accueillir, de préparer les lieux ne signifie pas que nous jouerons avec vous. Nous savons respecter les besoins d’intimité.

La prix de la location est pour un couple mais le gîte peut accueillir 2 couples. Le second couple est en supplément, nous préciser la durée de leur séjour. Il est possible d’inviter
4 autres personnes maximum à vos soirées si vous le désirez.

Les installations extérieures peuvent également évoluer en fonction de vos désirs et fétichismes. Voilà pourquoi nous en dire plus avant d’arriver est une bonne chose si vous désirez que nous emménagions les lieux pour que vous puissiez profiter pleinement des lieux.

A la piscine, pour des raisons d’hygiène, si vous désirez jouer, il faut nous demander avant ce que vous pouvez prendre comme jouets.   

......................................

- Il faut que je t’aime pour aller dans un truc pareil ! C’est d’accord grand bébé manipulateur !

Paul saute de joie tel un gamin. En pleine crise d’affection, il prend sa femme dans ses bras et la dévore de bisous.
TROIS MOIS PLUS TARD

Paul a réservé et a échangé un certain nombre d’email avec les gestionnaires du site. Ces derniers lui ont conseillé de les appeler pour affiner leurs recherches. Pour Paul, passer au téléphone fut une étape car la seule personne connaissant son fétichisme est sa femme et les membres d’Abkingom puis de Fessestivites où il a quelques conversations privées.

Lors de l’entretien téléphonique, au début il était tendu mais le Maître des lieux l’a rassuré et finalement un peu piégé pour le faire parler. A la suite de quoi, il lui a fait des propositions, lui a donné des idées et lui a promis d’en donner d’autres pendant le repas si ils en prenaient un avec eux. Tout heureux, Paul, dont l’esprit gambadait, mouillait secrètement sa couche de plaisir pendant cet entretien.

A leur arrivée au gîte, Paul de nature timide a perdu de sa superbe et Sabrina n’est pas beaucoup mieux. Elle regrette d’avoir accepté. Après l’apéritif au rosé local servi frais par 30 degrés à l’ombre, les tourtereaux se sont décontractés. L’accueil chaleureux et l’ouverture d’esprit des gestionnaires du gîte leur a ouvert le boulevard des fantasmes.

« Si vous manquez d’idées coquines, n’hésitez pas à en parler, nous n’en manquons pas » leur à dit le maître des lieux avant d’ajouter « je vous accompagne pour la visite des lieux, en même temps, nous y déposerons vos bagages ».  

En arrivant au gîte situé à une centaine de mètre de la maison principale, il leur présente la terrasse ombragée où ils peuvent prendre leur petit déjeuners et repas dans la tenue de leur choix. Il leur précise qu’ils peuvent faire du naturisme s’ils le désirent. En entrant dans le gîte, le salon est conventionnel tout comme la cuisine mais arrivé dans la chambre, les tourtereaux sont plutôt surpris par le lit à baldaquin.

- C’est moi qui l’ait fabriqué il est multifonction. Il y a des anneaux un peu partout, si vous désirez des menottes il n’y a qu’à demander. Vous avez ici un lit un peu spécial sous le lit !

Le maître des lieux ouvre une porte située sous le lit et tire sur un sommier sur roulette en indiquant : « il peut tout à fait servir de lit pour un bébé adulte pas sage ou désirant vivre quelques fantasmes pendant que madame se repose, ou s’amuse par exemple. Elle peut aussi le laisser enfermé pendant qu’elle va à la piscine, il faut faire attention au soleil pour les bébé ».  

Même tout rouge, Paul se fait déjà des films dans sa tête. Sabrina ne reste pas de marbre devant ce lit qui la perturbe un peu.

- Ne sachant pas si cela vous intéresserait ou pas, comme les ABDL sont plutôt timides, je vous propose de vous emmener le banc à fessée, s’il ne sert pas, ce n’est pas un problème. Je peux aussi vous déposer le carcan diaper, il permet d’imposer la position diaper et ouvre un espace d’imagination pour les coquineries. Je vous dépose ces accessoires et, comme indiqué, si ils ne servent pas, ce n’est pas un problème. Venez je vous montre une des pièces annexes.

Paul et Sabrina le suivent donc pour accéder à une sorte de remise emménagée où là aussi, ils sont surpris.

- Ici c’est une douche permettant de faire divers fétichismes, ici vous avez un lit cage servant de table à langer. Là c’est la poubelle dans laquelle vous devrez mettre les couches que vous mettrez dans ces sacs visant à conserver les odeurs. A propos Paul, les couches que vous avez fait livrer chez nous sont rangées dans ce placard. La grenouillère verte suspendue ici se ferme avec un cadenas, si vous l’utilisez il faudra la mettre dans le panier à linge. Le cadenas est ici avec les clés. Dans le jardin, là bas sous les grands arbres, il y a deux balançoires. Une conventionnelle une autre qui l’est moins. N’hésitez pas à la tester si le coeur vous en dit. Je vous laisse prendre vos marques, n’hésitez pas à demander si vous avez besoin de quelque chose, ou, si vous manquez d’idées.

Après leur avoir souhaité un bon séjour, le maître des lieux les laissent tranquille. Paul et Sabrina retourne au gîte pour défaire leurs bagages. En voyant Paul étudier le lit de dessous, Sabrina lui indique que ce sera son lit pour les deux nuits. Paul fait celui qui boude mais n’est pas très convainquant.

- Aller, avant d’aller visiter un peu les lieux, coucouche bébé !

Comprenant que Sabrina a décidé de s’amuser à jouer la nurse, finalement Paul n’en mène pas large car cela signifie aussi que les gestionnaires du site le verraient en couche. Ce qui amuse le plus sa femme, ce n’est pas la couche, mais le fait qu’il soit soudainement moins motivé.

- Tu as voulu venir, maintenant tu assumes ou tu vas passer sur le banc à fessée ! D’ailleurs regarde, il arrive avec son chariot et des trucs.

Pour ne pas être vu en train de sa faire langer, Paul part aussitôt d’un pas décidé vers la pièce servant de nurserie.

- Allez bébé grimpe là-dessus que je te lange !

C’est la première fois que Sabrina s’amuse autant à le langer. Elle prend une des culottes en plastique qu’elle lui enfile avant de le faire descendre de la table à langer.

- Il est encore là ? demande Paul pas très décidé à sortir.

- Peu importe, tu viens !  

- Non, je n’ose pas !

- Oh, regarde, il y a un harnais avec une laisse, cela pourrait être amusant que je te le mette !

Paul supplie sa femme qui s’amuse de plus en plus. Ce que femme veut, elle le peut, et le pauvre Paul se retrouve torse nu avec le harnais. C’est tiré par la laisse accrochée au harnais qu’il se retrouve devant la porte du gîte. Par chance pour lui, le maître des lieux est déjà reparti.

- Le banc à fessée c’est pour toi si tu n’es pas sage ! Lui indique Sabrina en plein délire.

C’est donc dans cette tenue que Paul et Sabrina visite un peu les lieux. Arrivés à la balançoire, ils sont surpris de ce qu’ils découvrent. Effectivement, la deuxième balançoire n’a rien de conventionnel ! Elle ressemble à un banc à fessée suspendu. Elle insiste pour qu’il l’essaye en lui disant qu’elle prendra la normale. Sabrina l’assiste un peu pour qu’il monte et s’installe à quatre pattes. A la suite de quoi, elle lui donne une grande claque sur la couche pour le faire se balancer.

- C’est trop délire ce truc, j’adore ! Lui indique sa femme bien décidée à le faire se balancer.

A chaque fois, elle donne une grande claque sur la couche pour lui faire prendre de la vitesse. Inquiet, Paul lui demande d’aller plus doucement., mais ça.... Finalement, pendant qu’il continue de se balancer, elle prend l’autre balançoire et se moque de lui en lui disant qu’il est très beau comme ça. Les lieux et le petit courant d’air s’insinuant sous sa jupe commencent à lui donner des envies coquines. « Je profiterai bien un peu de la situation moi aussi » pense Sabrina un peu troublée.

Sur le chemin du retour, au grand dam de Paul, ils croisent le maître des lieux sur son tracteur. Le grand bébé se décompose en voyant Sabrina lui faire signe de s’arrêter et pire encore, quand il la voit lui parler à l’oreille.

- Tu lui as demandé quoi ? L’interroge Paul après qu’il soit parti.

- C’est une surprise mon amour ! Lui répond Sabrina en l’embrassant.  

Arrivés au gîte, ils s’installent sur la terrasse pour surfer un peu à l’ombre en attendant l’heure du dîner. Paul se décompose à nouveau en voyant le maître des lieux entrer dans leur gîte avec un sac de voyage à la main.

- Il vient faire quoi ? Demande Paul.

- Surprise, surprise mon amour !

C’est lorsqu’il sort du gîte et les prend en photo que Paul se décompose totalement et commence à s’énerver.

- Rassures-toi, c’est moi qui lui ai demandé. Il n’y a que nous qui aurons les photos.

Le pauvre timide devient l’espace d’un instant la star d’un film surréaliste avec une Sabrina de plus en plus déchaînée. Le maître des lieux les filme ensuite quand elle le conduit à la pièce servant de crèche, Sabrina conduisant son bébé jusqu’a la table à langer. Il filme également le changement de couche avec la petite toilette.

- Vous pourriez le faire entrer dans le lit cage, même si vous ne le fermez pas, cela vous fera des photos ou cela peut être aussi sur la vidéo ! Propose le maître des lieux.

- Génial, allez bébé, va au dodo ! S’écrit Sabrina.

Le maître des lieux souriant mais absolument pas moqueur, semble prendre plaisir à les voir s’amuser. Paul commence malgré tout à se décontracter et à faire le « singe » dans la cage. Et là, le maudit photographe tend un cadenas à Sabrina. Si bien que malgré les réfutations de Paul, il se retrouve enfermé.

- Je vais prendre un bain, sois sage mon amour, je vais à la piscine !
Abandonné cinq minutes, en réalité le temps que Sabrina se mette en maillot, Paul se désespère. En même temps, dans sa couche, toutes ces émotions commencent à faire de l’effet sur la saucisse devenant un boudin coincé. En la voyant arriver, il ne sais plus quoi penser.

- Mais non, je ne vais pas te laisser là ! On va à la piscine, le repas ne sera pas servi avant vingt-et-une heure.

Sabrina n’ayant pas prévu de maillot pour son bébé, c’est donc la première fois qu’il prendra un bain tout nu puisque les couches, ne sont pas acceptées dans la piscine.

21 HEURES

Le repas 100 % fait maison avec les légumes du jardin est une pure merveille. Les tapas aux crudités, poivrons et aubergines grillées accompagnés d’olives locales sont une mise en bouche pour les tomates ramassées un heure avant. Le parfum de ces légumes n’a aucun rapport avec ceux achetés au supermarché. En plat principal courgettes farcies et tomates farcie aux crevettes accompagné de quelques frites pour faire plaisir aux français. Une tarte maison leur est proposée en dessert avec quelques petits chocolats maison en même temps que le café. Autant dire que les papille gustatives des tourtereaux sont ravies !

La soirée se prolonge un peu avec des discussions variées sur les motivations des propriétaires des lieux. Ils leur expliquent que le climat géopolitique de la France en 2021 ne leur convenait plus et qu’ils ont préféré faire comme les Espagnols sous Franco mais dans l’autre sens. Les fétichismes des touristes précédant sont aussi abordés, la curiosité coquine motivant les questions.

- Il y a de tout comme fétichisme, nous avons eu des couples femmes soumise, des libertins, des couples hommes soumis, des ABDL, des .... Le gîte est la terre des libertés, chacun y vit ce qu’il a envie comme il a envie. Nous avons parfois des hommes seuls qui viennent vivre leurs passions.

- Cela se passe comment ? Ils ne s’ennuient pas ? A moins que ce soit vous qui vous occupiez d’eux ? Demande Paul.

- Disons que cela se rapproche du selfbondage. Je ne domine pas les clients, je ne suis pas daddy non plus. Disons que je leur donne des idées et accepte bien volontiers de garder les clés de cage de chasteté par exemple ou de leur servir de sécurité quand ils s’attachent. Il y en a pour qui on organise des jeux de piste sur le terrain. Si ils veulent se libérer de ce qu’il ont sur eux, ils faut qu’ils trouvent les clés. Nous avons aussi eu du pony-play et du pets-play, c’est aussi très sympa de les voir galoper ou déambuler. En fait, nous ce que nous aimons c’est voir nos clients s’éclater tout simplement. Avez-vous des idées pour ce soir ou envie que je vous en donne ?

- Oui j’ai des idées pour ce soir, vous vous en doutez ! Répond Sabrina. Pour commencer, bébé va dormir dans votre petit lit mais en grenouillère cadenassée, je n’ai pas envie qu’il joue avec son petit robinet. Et moi je ne sais pas encore, ce que je ferai mais ne vous inquiétez pas, je trouverai.....

MINUIT

Minuit, l’heure du crime, l’assassin attend sa victime. Dans la nuit on entend quelqu’un qui crie : « maman pipi ». Bon ok, là je délire un peu... (note de l’auteur)

Minuit, l’heure des galipettes !

Sabrina a avoué sans aucune gêne à son mari qu’elle avait envie d’essayer le carcan position diaper. Elle se met nue et place ses jambes à l’intérieur des trous prévus à cet effet. Paul l’aide ensuite à remonter les jambes prisonnières dans le carcan ce qui, génère effectivement une position diaper.

- Prends-moi mon amour, fais-moi des choses j’ai envie que tu me baises sauvagement dans ce truc.

- Tu veux que je t’attache les mains ?

- Oui et après lâches-toi j’ai envie d’essayer ce truc à fond.
 
Voir sa femme ainsi bloquée dans le carcan fesses offertes avec une vue imprenable sur le temple de la fécondité, cela motive grandement Paul déjà bien excité par cette première journée. La voir prendre du plaisir dans ce carcan l’étonne tout comme la voir jouir aussi rapidement. C’est ainsi qu’il découvre que sa femme aime bien que l’on s’occupe d’elle autrement quand dans la position du missionnaire.  
 
- Ouahou, c’est génial ce truc ! Dira Sabrina en s’accrochant au cou de son mari une fois libérée.

- Je t’aime toi, tu me surprendras toujours mon amour !

- Allez bébé, je dois m’occuper de toi !

Une demi-heure plus tard, Paul est changé, couché dans le lit cage sous celui de sa femme. Enfermé dans une grenouillère cadenassée, il aurait bien joué avec son petit robinet et pour cause, juste au-dessus de sa tête, il a pu percevoir que sa femme se donne du plaisir avec des sextoys.

LE LENDEMAIN

Après une nuit difficile pour le pauvre Paul, peu habitué à avoir un toit si près de sa tête, les tourtereaux prennent le petit déjeuner sur la terrasse. Sabrina demande à Paul, toujours prisonnier de sa grenouillère, d’aller voir si le maître des lieux peut les rejoindre quelques minutes et venir prendre un café avec eux.

- Tu ne comptes quand même pas m’envoyer le chercher sans me retirer ça ? Dit Paul en désignant la grenouillère.

- Si tu veux en être libéré tu n’as pas le choix ! Lui répond Sabrina d’humeur taquine.

Malgré ses suppliques en sentant qu’un passage aux toilettes commence à s’imposer, il finit par abdiquer. Aussi rouge que les tomates bien mûres, le grand bébé remonte donc à la maison pour aller voir si le maître des lieux peut venir. Il est à deux doigts de perdre connaissance quand c’est madame qui sort de la maison pour lui répondre. Etre vu ainsi par des étrangers est vraiment difficile et encore plus par une femme. Ne semblant absolument pas gênée par sa tenue, elle l’appelle sur son portable. Un quart d’heure plus tard, il arrive au gîte pour prendre un café avec eux. Sabrina lui avoue manquer un peu d’inspiration et qu’elle prendrait bien quelques idées pour que son bébé profite pleinement du séjour.

- Si vous me donner les clés du cadenas, je peux aller les cacher sur le terrain. J’ai des jeux de piste tous prêts, de faciles à difficiles ! Lui répond le maître des lieux.

- Ah non ! Crie Paul, je dois aller aux toilettes avant !

- Ah, bébé n’a pas encore fait son popo ? Rigole le Maître des lieux en le provoquant gentiment.

Après quelques minutes de négociation, peu motivée pour changer une couche pleine de ...., Sabrina cède aux suppliques. Le Maître des lieux explique alors le principe de son jeu de piste.

- Vous lui mettez un pantalon avec, comme ceinture, la chaînette qui est accrochée au mur dans la nurserie. Vous fermez cette ceinture Lacoste avec le cadenas de sa genouillère puis me donnez les clés. J’irai les cacher sur le terrain. Pendant ce temps, allez voir ma femme et demandez-lui le jeu de piste numéro 2, elle comprendra de suite de quoi il s’agit. J’ai une question pour vos repas. Paella pour ce soir et salade composée puis, pour midi, grillades avec des frittes de patate douce cela vous convient ?

- Parfait ! Répond Sabrina avant de demander si ils peuvent lui préparer un repas de bébé pour midi ?

- Chiche ? Répond le maître des lieux.

Dix minutes plus tard, avec son pantalon cadenassé et un body « I love mummy » Paul voit le maître des lieux partir en vélo avec les clés de sa liberté fessière. Sabrina quant à elle prend la direction de la piscine où, totalement seule, pour un bronzage sans marque, elle abandonnera le peu de tissu qu’elle portait sur elle.

Vers midi, le maître des lieux vient la voir en vélo pour prendre des nouvelles car il n’a toujours pas vu revenir Paul.

- Il commence à faire chaud, désirez-vous que j’aille voir si il va bien et vous le ramener ?

- Oui ! Répond Sabrina prenant conscience qu’il se fait tard en oubliant totalement sa nudité.

Le maître des lieux prend donc son vélo pour aller arpenter la propriété à la recherche de l'aventurier perdu. Au passage il récupère les clés avant de trouver le bébé à l’opposé du terrain. Au lieu de lui donner les clés, il donne une gourde d’eau fraîche puis lui indique la direction à prendre pour rentrer au gîte.   
 
Pendant l’apéritif, Sabrina et la maîtresse des lieux chambrent le bébé de bon coeur en lui disant que le sens de l’orientation masculine n’est pas toujours au top. A la fin de la salade composée, devenue très joueuse, Sabrina demande au maître des lieux si il a une idée de punition pour le grand bébé assis sur une chaise haute avec un bavoir autour du cou.

- Pas de problème mais de quel niveau la punition ?

- Gentille car nous ne faisons pas de BDSM, donc par trop dure ! Répond Sabrina sur ses gardes.

- Un petit bondage simple avec un parcours de bébé à faire pour aller chercher les clés, cela vous irait ?

- Vendu ! Répond aussitôt Sabrina.

Après le désert composé de fruits frais, le maître des lieux va chercher des bracelets de chevilles, une chaînette et des cadenas. Les bracelets de cheville fermés, il fait une ceinture avec la chaînette puis il demande à Paul de se baisser en pliant les jambes. Il passe la chaînette dans les bracelets de cheville avant de la relier à la ceinture. Paul ne peut plus se lever. Une fois que la paire de moufle de bondage est posée puis reliée par une courte chaîne aux bracelets de cheville, pour se déplacer le grand bébé ressemble à un canard boiteux. Sabrina est pliée de rire quand le maître des lieux lui donne les clés.    

- Si vous voulez pousser un peu le jeu, à l’arrivée si il veut être libéré, il est possible d’imposer à bébé de vous faire des bisous où vous voulez. Je dis ça, je ne dis rien mais une fois au frais dans le gîte, de la maison nous ne pouvons rien voir...... Lui indique le maître des lieux avec un petit clin d’oeil avant d’aller faire la sieste qu’il est de tradition de faire en Espagne.

Le grand bébé devenu plus petit met un certain temps, pour ne pas dire un temps certain pour parvenir au gîte pourtant pas très loin. Ayant trouvé que les idées de maître des lieux ne sont pas mauvaise, Sabrina l’attendait couchée, nue jambes sur le canapé en regardant des vidéos très coquines sur Fessestivites. Pour être libéré bébé dut déguster l’abricot si vous voyez ce que je veux dire.  

Après une sieste même pas crapuleuse pour Paul épuisé, ils se rendirent à la piscine pour se baigner en tenue d’Adam et Eve.

L’apéro du soir dura longtemps devant le barbecue où les parfums de la paella titilla grandement les papilles gustatives. Sabrina demanda si ils pouvaient avoir les menottes qui se montent sur le lit. La maîtresse de maison va les chercher sans que cette demande ne l’offusque. A son retour, le cuisinier délégua la surveillance de la paella pour aller chercher quelque chose.  

A son arrivée, Paul et Sabrina s’étonnèrent de le voir arriver avec un socle en X avec une selle posée sur son chariot.

- C’est pour distraire bébé pendant que le riz finit de cuire ! Leur indiqua le maître des lieux.
 
- Allez bébé, monte faire « à dada » ! Ordonna Sabrina à son mari.

- Connaissez-vous le cheval de l’inquisition ? demanda le maître des lieux ?

- Non, qu’est-ce que c’est ? Demanda Paul.

- C’était un instrument également prisé par l’Inquisition catholique, l’âne ou le cheval espagnol était particulièrement sadique. Le condamné devait s’asseoir à cheval sur une structure en forme de V inversé. Le b o u r r e a u lui attachait des poids aux pieds, la victime avait l’impression d’être coupée en deux par ses parties les plus intimes. Il arrivait qu’on les fouette un peu, histoire de leur donner envie de bouger malgré la douleur. Mon cheval est plus gentil, il est possible de rester assis des heures sur une selle. Par contre, les anneaux sur les côtés permettent de fixer solidement le ou la pseudo condamnée assise sur un plug, ou, la machine à baiser qui va dessous. Certes ce n’est pas ABDL, mais aux mélodies que nous avons pu entendre, il y a des pseudos condamnées qui ont bien aimé.

Si l’idée ne brancha pas du tout Paul, très fermé à d’autres pratiques, Sabrina aurait bien essayé le cheval de l’inquisition avec la machine à baiser. Mais, sa timidité ne lui permit pas de demander son installation au gîte.

Après le dîner, les tourtereaux prirent la direction de leur gîte avec le sac contenant les menottes s’adaptant au lit. Ce n’est qu’en arrivant que Paul demanda ce qu’elle comptait en faire.

- J’ai envie que tu m’attaches et me fasses l’amour comme ça, j’ai bien aimé hier soir et ce gîte me donne envie d’être très coquine ! Tu as intérêt à être une bon maître coquin si tu ne veux pas que je te laisse sous le lit en couche jusqu’à l’heure de départ demain !

C’est finalement grâce au gîte que Paul prit conscience que sa femme aime aussi faire l’amour autrement que sous la couette. Ils décidèrent d’un commun accord le lendemain de faire quelques achats à la boutique ABCplaisir avant de partir.

EPILOGUE

La nuit de Paul se déroula comme la première, enfermé sous le lit mais sa femme, épuisée et comblée, fut très sage.

Le lendemain, après le petit déjeuner et l’état des lieux, les tourtereaux furent autorisés à piquer une tête dans la piscine avant de quitter les lieux avec un coeur aussi gros que les pastèques du jardin potager.

Fin  


L’adresse du gîte est ci-dessous, vous pourrez y venir à partir de 2023

https://gitefetichistes.com/
gitefetichistes


Cette histoire est imaginaire, mais cela vous donne uneidée de l’ambiance et de ce que vous pourriez vivre au gîte si vous venez nous voir.

Voir 1600 vidéos ABDL SANS PUB

Histoires érotiques ABDL

Voir des milliers de photos couple ABDL SANS PUB

Boutique avec un rayon dédié à l'ABDL

Forum ABDL

Rencontres ABDL et little

SANS PUB = pas de redirection vers des sites d'arnaque

Vivre en femme la dysphorie du genre en vacances

 Un de nos clients a  réalisé son rêve et son fantasme de vivre habillé en femme.  Le blabla, c'est bien, les photos c'est mieux pou...